Quatorze

 

 

 

ADAMUS SAINT GERMAIN

 

 

LES MATERIAUX DU CRIMSON CIRCLE

 

Série: L’Art d’Être Assis Sur Un Banc

 

SHOUD 9

 

Adamus Saint Germain, canalisé par Geoffrey Hoppe, assisté par Linda Hoppe,

 

Présenté au Crimson Circle le 4 Juin 2022

 

www.crimsoncircle.com

 

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NOTE IMPORTANTE: Ces informations ne vous concernent probablement pas, à moins que vous ne preniez l'entière responsabilité de votre vie et de vos créations.

 

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Pour profiter pleinement de toutes les énergies, Vous pouvez visionner la vidéo du SHOUD 9 ici en Anglais, ou simplement l’écouter, tout en lisant l’Interprétation ci-dessous.

 

 

 

 

 

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Respiration d’Introduction de Linda

 

 

 

Bienvenue !

 

Bienvenue au Centre de Connexion du Crimson Circle ici à Louisville, Colorado.

 

Et nous sommes très enthousiastes, c'est le shoud 9 de la Série « l’Art d’Être Assis sur un Banc ».

 

 

Et parce que c'est la première fois avec un public en direct depuis le mois d'août (de l’année dernière), ça fait loin ! Nous sommes donc très enthousiasmés par ce potentiel et par ce qui va suivre.

 

Et comme vous pouvez le voir, Geoffrey Hoppe se prépare pour Adamus et…. Je ne sais pas qui était dans l’autre mais le bras est géant (Geoff gesticule ses bras).

 

 

Et donc, prenons de bonnes respirations profondes et avant de faire cela, ce que je veux mentionner… comme toujours, de commencer par une bonne respiration profonde, cette respiration consciente, mais comme toujours, de la musique est jouée avant qu'Adamus n'entre.

 

Mais pour la toute première fois, nous avons une vidéo musicale de Shaumbra que nous allons jouer… à partir de la respiration.

 

 

Et ça s'appelle : "I'm Here (Je Suis Ici)", par le groupe "Deaplee" et c'est Jessica Simanowski et Jaba Verzellenberg. Et nous sommes très enthousiastes à ce sujet. Pouvez-vous imaginer ce premier clip de Shaumbra ?!

 

 

Alors sur ce, allons-y et prenons cette bonne respiration profonde et consciente.

Oui, nous respirons tout le temps, mais il s’agit de respirer en présence. Et la bonne respiration profonde… inspirant avec Tout ce que vous êtes, et permettant le flux, laissant ces énergies bouger à chaque respiration, en les ressentant et en les autorisant.

 

 

Respirez le : « Je Suis Ici, J'Existe ».

 

Ressentez-le, laissez-le couler, soyez avec lui avec ce bon souffle profond de vie, avec ce bon souffle profond de vie.

 

 

Alors ouvrez-vous aux énergies d'Adamus, respirez en lui, ressentez-le. Il est là pour nous. Comme il dit : "à chaque respiration"….

 

Alors ressentez-le, soyez avec lui alors que nous invitons Adamus avec nous.

 

 

 

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ADAMUS SAINT GERMAIN

 

 

 

Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Souverain.

 

 

Ah ! Du public en direct (rires). Ah ! J'attendais cela (acclamations et applaudissements du public), j'attendais d'être de retour avec mes chers Shaumbra. Ah !

 

Bien évidemment, nous étions tous ensemble sur le plan énergétique, mais il n'y a rien de tel que la sensation de la chair (prenez la main de quelqu'un), regardez- le dans les yeux, l'énergie directe que nous recevons lorsque nous nous réunissons comme ça. Ces deux dernières années ont été intéressantes. Hum. J'ai dû apprendre beaucoup de nouvelles façons de faire les choses. J'ai dû apprendre à aller au-delà de tant de façons différentes.

 

 

Nous allons en parler dans un moment, mais pour l'instant, avant d'aller plus loin, j'aimerais reconnaître et remercier cette chère Linda d'Eesa pour son merveilleux travail d'assistance et pour avoir été le public ces deux dernières années (plus d'acclamations et d'applaudissements). Le public. Alors, Linda, qu'est-ce que cela vous a fait d'endosser tous les attributs des Shaumbra (Linda soupire) et d'avoir été le public ?

 

 

LINDA : C'était un honneur et un défi.

 

ADAMUS : Nous avons un petit cadeau pour vous…

 

LINDA : Oh ! Sainte Fumée!

 

ADAMUS : … pour le travail que vous avez fait (Kerri apporte un grand vase avec des fleurs).

 

 

LINDA : Whoaaa!

 

ADAMUS : Douze belles roses rouges (plus d'applaudissements) …

 

LINDA : Oh, waouh !

 

ADAMUS : … pour cette chère Linda. Oui.

 

LINDA : De belles roses pourpres!

 

ADAMUS : Ouais, vous pouvez me remercier, pas Cauldre.

 

LINDA : Ohhh !

 

 

ADAMUS : C'était mon idée.

 

LINDA : Merci beaucoup !

 

ADAMUS : Oui.

 

LINDA : Puis-je les laisser ici ?

 

ADAMUS : S'il vous plaît, juste là.

 

LINDA : Oh ! C'est tellement beau !

 

 

ADAMUS : Nous voulions reconnaître officiellement que c'est vous qui avez posé les questions ; c'est vous qui avez en quelque sorte pris mes coups, qui avez reçu les - pas les abus, mais - ouais, ok, les abus (quelques rires) pendant cette période, et qui  avez fait un excellent travail. Maintenant, nous aimerions que vous continuiez à participer avec les Shaumbra.

 

LINDA : Ah !

 

ADAMUS : Mais maintenant…

 

LINDA : Oh, ok.

 

 

ADAMUS : … vous pouvez prendre une profonde respiration, chère Linda, et prendre un peu de recul.

 

LINDA : Ok !

 

ADAMUS : Vous n'avez pas à assumer cette énorme responsabilité (elle expire de manière audible). Oui, merci beaucoup.

 

LINDA : Encore une fois, c'était un honneur.

 

 

ADAMUS : (se raclant la gorge) Excusez-moi (se raclant à nouveau la gorge). Eum -eh ! La voix de Cauldre devient tellement sèche, à être ici dans le Colorado (il parle comme si sa voix était tendue), après des siècles dans les tropiques chauds et humides. Eh ! Oui! (Kerri apporte son café). Ce n'est pas que j'en ai besoin, mais Cauldre aimera ça. Merci.

 

KERRI : Aimeriez-vous cette friandise avec ? (elle lui offre un dessert avec le café)

 

 

 

ADAMUS : Oui, j'aimerais bien. Merci (quelques rires). Comment a-t-elle su ? Elle doit être médium, oui. Merci beaucoup Kerry. Merci à vous. Ah oui. Laissez-moi - ehh-ahem ! – laissez-moi m'assurer que ma voix ou celle de Cauldre va mieux (il boit une gorgée). Ahhh ! Du café humain. Ah ! Le café est l'une des grandes choses de l'être humain, cela et quelques autres choses. Mais le café est si bon.

 

Donc, ça a été deux années intéressantes, et je dois dire que ce n'est pas encore vraiment fini.

 

 

LINDA : Ughh!

 

ADAMUS : Non, non. Ce n'est pas fini. Vous avez juste appris à faire avec (Adamus rit). Appris à faire avec, pour la plupart. Il y a plus à venir, et ce n'est pas grave. Cela n'a pas d'importance. Vous allez trouver que des choses dans le monde deviennent de plus en plus folles, mais ça n'a pas d'importance

 

 

 

Évaluation Des Shaumbra

 

Prenons un peu de recul et faisons un petit bilan de nos années passées ensemble en tant que Shaumbra. Eh bien, tout d'abord, il y a eu la rencontre avec Tobias quand il est venu en 1999, en août 1999. Notre anniversaire approche à grands pas. Il a envoyé l'appel aux Shaumbra. Il a travaillé avec l'Archange Gabriel et le cor a retenti, mais, bien sûr, les Shaumbra ont-il entendu ? Non. Non (rires). Non (Adamus rit). Et Gabriel a soufflé et soufflé et soufflé et soufflé jusqu'à ce qu'il soit à court de souffle, et les Shaumbra, « Euh ? Quoi? Quoi?"

 

 

Mais quelque chose s'est passé alors. Une sorte d'étincelle s'est allumée d'elle-même. Les roses - vous savez, ce parfum de roses, ce « réveillez-vous et sentez les roses, Shaumbra », ce « Revenez à la maison » et c'est cela et Internet qui ont réuni Shaumbra en 1999, 2000 et les rassemblements ont continué. L'énergie que vous avez déployée, il y a tant d'années, s'est maintenue dans la bonne résonance et la bonne fréquence pour attirer les bonnes personnes. Il ne s'agit pas de la taille du groupe ou quoi que ce soit du genre. Il s'agit de ceux qui sont vraiment prêts à passer par leur éveil, et pas seulement l'éveil mais les étapes suivantes, la libération.

 

 

Donc, après que l'appel au rassemblement ait été lancé– et il est toujours là, c'est presque comme un phare et c'est quelque chose sur laquelle FM œuvre dans son travail. Le message étant: « Si vous êtes prêt, si vous êtes vraiment prêt et que vous n'êtes pas dans le makyo (illusions, croyances), si vous êtes vraiment prêt à traverser des épreuves internes difficiles, alors cet endroit est fait pour vous. » C'est une zone sans makyo. Vous venez ici, vous les nouveaux, avec le makyo, vous allez apprendre très vite, c'est une zone sans makyo. Avant, je devais vous le rappeler, mais maintenant d'autres Shaumbra le font pour vous.

 

 

Donc, après l'appel au rassemblement, il y a eu cette longue, longue période de libération. Vous vous en souvenez ? Oh, vous êtes toujours dedans (Adamus rit). La libération. Oh, et Tobias vous a parlé de ça – lâchez et permettez – et ensuite il a travaillé avec vous, vous faisant savoir que vous n'étiez vraiment pas fous du tout. Pas du tout. C'était juste ce que vous traversiez. Ce qui est vraiment fou, c'est simplement d'accepter la vie dans la réalité 3D, sans aller au-delà. Vous n'étiez pas fous du tout. Vous étiez des pionniers, certes, mais pas des fous.

 

Il a fallu un certain temps, un long temps, pour travailler sur la libération, et certains d'entre vous le font encore. À cela, je dis: « Passez à autre chose. »(Linda rit) Non, c'est vraiment aussi simple que ça. Parfois, on s'y attarde, on ressent cette agonie et cette souffrance et on se dit : « J'ai tous ces problèmes, j'ai eu de mauvais parents, j'ai eu une mauvaise vie». Surmontez-le/allez au-delà.

 

 

Nous avons beaucoup - non, c'est aussi simple que cela. J'ai fait cette déclaration - je ne suis pas le gars le plus populaire pour l'avoir dit - mais si vous avez encore des problèmes dans votre vie, que ce soit l'abondance ou même la santé ou n'importe quoi d'autre, il y a quelque chose que vous tirez de ça,  toujours. Vous en tirez toujours quelque chose. Très bien, faites avec. Mais quand vous serez prêts, vous en sortez. C'est aussi simple que cela. Si vous rendez les choses plus difficiles, vous jouez un jeu avec vous-même. Surmontez-le/Passez à autre chose. Il n'y a pas de complots. Personne ne fait équipe contre vous. Vous n'avez pas de fardeau écrasant sur vos épaules. Vous n'avez pas besoin d'avoir de karma, pas si vous ne le voulez pas. Donc, vous vous débarrassez de tout ça pour qu'on puisse passer à autre chose. Et je sais que cela ressemble à de l'indifférence, ou est-ce que je pense juste ça ?

 

 

LINDA : Euh, il y a quelques…

 

ADAMUS : Parlez un peu pour que je puisse manger.

 

LINDA : … personnes qui se posent des questions.

 

ADAMUS : Ce sont… woops ! (certaines friandises tombent par terre)

 

LINDA : Oh, joli.

 

ADAMUS : Ouais. Eh bien, je dois manger ici pendant que nous parlons. Mais est-ce que cela semble insensible?

 

LINDA : Si quelqu'un ne vous connaît pas.

 

ADAMUS : Si quelqu'un ne me connaît pas. Me connaître ou connaître moi ?

 

LINDA : Vous connaître!

 

 

ADAMUS : Me connaître. Ok  (il ramasse quelque chose sur le sol). Voulez-vous ça?

 

LINDA : Non, merci !

 

ADAMUS : Je vais juste le mettre là (quelques rires alors qu'il le jette dans les fleurs et ramasse quelque chose d'autre). Et ça, ça vous plairait ?

 

LINDA : Non merci !! (Plus de rires)

 

ADAMUS : (riant) Je vais juste le mettre ici (rires). Maintenant, il arrive un moment – ​​je suis sérieux ici – il arrive un moment où vous dites : « J'en ai fini avec ça. J'en ai fini avec la merde... »

 

LINDA : Non, vous avez raison.

 

ADAMUS : « … et d'être une victime. J'en ai juste fini avec ça. »

 

LINDA: Vous avez raison.

 

ADAMUS : « Et ensuite ? »

 

 

ADAMUS : Donc, nous partons de cette libération et du nettoyage/ de la suppression de tous ces trucs. Vous n'en avez pas besoin. Ce n'est pas à vous. Je sais que je l'ai dit tellement de fois, mais allez au-delà, et un jour vous réaliserez : « Oh, je vais juste m'en remettre. Je ne dis pas que les choses dans la vie ne font pas mal parfois, mais les humains ont tendance à continuer à les porter. Vous traversez la blessure, le chagrin, la douleur, peu importe ce que c'est, vous traversez ce processus incroyable, puis vous le libérez et vous lui permettez d'aller vers la sagesse. C'est l'étape suivante. Vous lui permettez d'aller à la sagesse. Vous arrêtez de vous y attarder. Vous arrêtez d'être une victime et dites : «Laisse-le devenir sagesse», et votre âme le fait. Ce n'est pas vous qui le faites. C'est votre âme qui s'en charge. L'âme attend simplement que vous disiez : «Ok, je suis prêt à lâcher ça et à l'amener à la sagesse », et alors elle le fera. Elle vous l'enlèvera. Et puis, bien sûr, vous allez essayer de vous y accrocher et de lui donner un sens et de le justifier, et vous ne le ferez pas. Vous lâchez prise et vous le laissez aller à la sagesse.

 

 

Encore une fois, cela peut sembler un peu insensible, comme : «  Oh, vous ne savez pas ce que j'ai traversé». Et j'ai entendu quelqu'un dire récemment que, puisque je n'ai pas été sur la planète depuis un moment, je ne comprends pas certaines des choses que vous traversez. Je n'ai pas à le faire. Non, je n'ai pas vraiment besoin de le faire. Il ne s'agit pas d'essayer de tout comprendre. Il s'agit de savoir : quand serez-vous prêts à abandonner le fait d'être une victime, de ne pas avoir d'abondance ? Oh! Avec les Shaumbra, c'était l'un des grands défis, et vous l'avez simplement laissé tomber. Vous dites – vous vous faites cette déclaration à vous-même – « Je suis prêt à laisser tomber. Point final. Pas de « si », de « et », ou de « mais ». Pas de « peut-être» ou  « en quelque sorte » ou « que va-t-il se passer ensuite ? » Je suis prêt à lâcher prise. » Et puis vous le faites. Pouf ! Venir à la sagesse. Oh ! C'est la vraie bénédiction en elle. Vous ne faites pas la sagesse. Votre âme le fait. Votre âme le distille. Ça enlève toute la merde qui s'y trouve. Elle enlève toute la merde. Elle prend toutes les petites minuties, les détails, même les émotions humaines coincées derrière, et elle les amène à la sagesse. Et ensuite on pourrait dire, d'une certaine manière, qu'elle le donne au Je Suis comme un cadeau de la vie.

 

Donc… oui ?

 

 

LINDA : J'ai une question que le public crie. J'entends cela et je ressens cela et je le sais, mais il est très difficile d'imaginer comment quelqu'un qui est en phase terminale avec une maladie au-delà des mots qui n'est pas réversible, comment fait-il cela ?

 

ADAMUS : Tout d'abord, nous vous avons donné ces roses, alors arrêtez de représenter le public.

 

LINDA : Hehh !!

 

ADAMUS : Ouais.

 

LINDA : Hé ! (quelques rires) Eh bien, je m'y suis habituée.

 

ADAMUS : Donc, pouvons-nous reprendre ces roses, s'il vous plaît ? (rires) Ramenez-les. Rapportez-les chez le fleuriste.

 

 

Deuxièmement, bonne question. Je ne veux pas trop distraire ici, mais bonne question. Et je vais donner une réponse que certains ne comprendront peut-être pas très bien, mais acceptez la mort. Acceptez la mort. C'est aussi simple que cela. Ça va arriver. Nous allons en parler davantage dans cette session, mais arrêtez de lutter contre ces choses. Et la mort est un processus magnifique. Nous l'avons fait- je crois que Jean a choisi un produit pour ce mois-ci, comment s'appelait-il ?

 

JEAN : Simple Maître.

 

ADAMUS : Simple Maître, et ça parle – nous faisons une expérience de mort. Nous mourions avant, vous savez, vous le faites physiquement. Donc, si vous êtes intéressé par la mort, écoutez le Simple Maître. Vous allez mourir, parce que ce n'est pas tant une chose physique que vraiment une transformation de la conscience. Donc vous allez mourir pour – je ne sais pas – à combien vous le vendez?

 

JEAN : 250 $ jusqu'en juin.

 

ADAMUS : 250 $ jusqu'en juin, vous allez pouvoir mourir. Quelle affaire! (quelques rires et Linda soupire). Pas, pour aller aux pompes funèbres, c'est beaucoup plus cher. Combien coûte une crémation typique de nos jours ? (Linda soupire à nouveau) Je ne sais pas, environ deux mille dollars ou plus ? Vous savez. Donc, 250 $, un dixième du prix.

 

 

Donc, non, c'est une question difficile. Arrêtez de vous battre. Nous y reviendrons plus tard, et je sais que nous avons une webdiffusion pour les anges qui arrive rapidement. Ce sera l'un des grands sujets de discussion à aborder. Mais continuons.

 

Ensuite, vous passez par la sagesse et la sagesse c'est de dire: « Hé, je vais mourir. Ce corps, bon sang, va être soit intégré, soit je vais juste le laisser derrière moi. Peu importe, mais je vais mourir. C'est un soulagement. Pourriez-vous imaginer si quelqu'un disait : « Vous n'allez pas mourir – héh ! – jamais » Vous aimeriez cela, Andy ?

 

 

ANDY : Non.

 

ADAMUS : Non. Pourquoi ?

 

ANDY : Eh bien, même si vivre est tellement amusant…

 

ADAMUS : Pourrions-nous avoir le micro ?

 

 LINDA : Bien sûr. Oh, première fois depuis des mois et des mois…

 

ADAMUS : Ouais, mon garçon…

 

LINDA : … et des mois et des mois et des mois et des mois et des mois et des mois.

 

ADAMUS : Merci d'être le premier à briser la glace (applaudissements du public).

 

ANDY : La vie est vraiment très amusante. Mais, vous savez, comme vous l'avez dit, la mort, vous allez mourir. C'est comme naître de nouveau. Vous allez probablement faire ça aussi.

 

 

ADAMUS : Ouais. C'est une libération.

 

ANDY : Ouais !

 

ADAMUS : C'est une véritable libération merveilleuse, le lâcher-prise. Ouais. Bien. Merci. Merci.

 

Donc, vous l'apportez à la sagesse, puis quelque chose commence à se produire et vous commencez à réaliser quel tas de trucs vous avez transporté pendant si longtemps, et vous réalisez que vous vous êtes vraiment accroché à ces ordures. Et, d'une certaine manière, c'était plutôt amusant de passer par ce, vous savez, processus cathartique et tout le traitement et tout le reste. Mais ensuite, vous vous élevez au-dessus de cela et vous dites : « Bon sang, c'était vraiment laborieux. C'était genre… » Cela vous empêchait de vivre vraiment.

 

 

Ensuite, après la sagesse que Shaumbra est en train de traverser, il est maintenant temps de comprendre la physique dont nous parlons, la métaphysique de la réalité et les illusions de la réalité. Nous parlons du temps et de l'espace. Nous parlons d'aller au-delà. Nous parlons de réalités multiples en même temps. Nous parlons de ce que c'est vraiment que de choisir son destin, plutôt que de le subir.

 

Nous entrons donc dans toute cette partie maintenant pour vraiment comprendre la physique, et elle est brillante. Elles sont assez simples. Vous n'avez pas besoin d'être un physicien. En fait, la physique, la métaphysique dont nous parlons sont plus poétiques que scientifiques. La science est formidable, j'adore la science, mais la science se regarde elle-même. Elle observe ce qu'elle pense observer. Nous devenons poétiques avec notre métaphysique, nous parlons de ce qu'est la lumière, de ce qu'est l'énergie, de la façon dont les choses se fondent dans la matière, et finalement de la façon dont votre esprit/mental, et même pas tant vos croyances mais votre conscience, va créer votre réalité pour vous. C'est ce que nous faisons maintenant. Beaucoup de physique, de métaphysique de la vie elle-même.

 

 

Et enfin, en rapport avec tout ça, nous en arrivons à la raison pour laquelle vous êtes vraiment ici.  Il ne s'agissait pas seulement de libérer des trucs. Nous devions le faire, mais la raison pour laquelle vous êtes vraiment ici, c'est pour faire briller votre lumière, pour faire le banc, pour être cette présence sur la planète en ce moment. Vous saviez que la planète allait en avoir besoin. Vous saviez que c'était le moment épique.

 

 

Les Effets De Votre Lumière

 

Maintenant, la planète ne devient pas pire que jamais. Ce n'est vraiment pas le cas. En fait, statistiquement, la vie d'un humain typique est meilleure que jamais, je dirais depuis la fin de l'Atlantide jusqu'à maintenant. Je sais que beaucoup de gens crient et disent : « Oh ! La planète va en enfer. » Non, la planète était en enfer et la planète est en train d'en émerger en quelque sorte, mais encore avec beaucoup de traces de l'enfer (quelques rires).

 

 

Il y a plus de conscience, de lumière sur la planète en ce moment qu'il n'y en a jamais eu.

 

Les choses ne s'effondrent pas. Mais la seule chose à garder à l'esprit est que le rythme est plus rapide que jamais. Ce n'est pas que la planète va en enfer. En fait, la vie en général est meilleure. Non pas qu'elle était terriblement géniale avant, mais elle est meilleure. Il y a moins de guerres. Il y a moins d'humains affamés. Il y a moins de maladies que jamais sur la planète. Mais les choses vont plus vite. Gardez cela à l'esprit, vous savez, quand vous avez ces jours où vous ressentez une conscience de masse ou si vous écoutez les nouvelles, « Oh ! Tout s'écroule maintenant. » Non, ce n'est pas le cas. C'est juste que cela va plus vite. Cela donne ce sentiment que vous perdez le contrôle. Cela donne ce sentiment /l'impression que vous ne pouvez tout simplement pas suivre le rythme, que tout va exploser.

 

 

Mais tout se passe pour une raison, et en fait, si vous vous sentez vraiment dedans un instant, votre lumière exacerbe en fait certains des problèmes de la planète. Votre lumière cause plus de perturbations. Votre lumière donne en fait l'impression que tout va plus vite, ce qui provoque plus de changements. Quand votre lumière sort, ce n'est pas comme si vous mettiez cette belle eau ou cette huile scintillante à la surface de tout et que vous répariez. Vous faites bouger /Vous secouez les choses en ce moment. Pas intentionnellement, bien sûr, mais la lumière, la conscience sort et touche des endroits qui n'ont pas beaucoup de lumière, je ne vais pas les appeler sombres; des endroits qui pourraient même être mauvais. Votre lumière entre là et secoue les choses. Et puis, dans une sorte de métaphysique correspondante, tout continue à aller encore plus vite. Votre lumière fait que les événements se produisent plus rapidement.

 

 

Le temps ne change pas nécessairement, mais il le fera. Ce n'est pas le temps qui passe plus vite. C'est la séquence des événements qui s'accélère. Votre lumière en est la cause. Donc, encore une fois, vous lisez les nouvelles : « Oh, mon Dieu ! Que se passe-t-il en Ukraine ? Que se passe-t-il avec l'énergie ? Que se passe-t-il avec l'économie ?» Eh, regardez dans le miroir. Vous êtes à l'origine de tout cela, mais seulement du point de vue de la lumière. Vous ne le faites pas pour essayer de causer quelque dommage que ce soit. Vous le faites, car votre lumière brille, parce qu'il y avait tellement de choses sur la Terre qui étaient prêtes à changer. Elles étaient prêtes. Elles avaient juste besoin de quelque chose pour les lancer, pour les propulser.

 

 

L'espèce humaine attend depuis si longtemps un remake/une refonte. C'est phénoménal. Cette vieille biologie dans laquelle vous êtes toujours est tellement en retard. Où cela va-t-il aller? Est-ce que ça va être juste une super biologie? Peut-être. Peut- être pas. Peut-être une biologie numérique. Peut-être une biologie totalement augmentée. Mais est-ce important ? Est-ce que ça importe? Vous savez, vous avez cette intéressante relation amour/haine avec le corps. Et si je dis : « Eh bien, voyons voir, dans 30 ans, le corps humain sera simplement une forme numérique. » Vous allez dire : « Oh, mon Dieu! C'est terrible.

 

Cela ressemble à un acte sinistre. » Eh bien, je pense que la biologie était encore pire (Adamus rit), celui qui a inventé celle-là (quelques rires). C'est ce dans quoi vous vous enfoncez. Les humains pourraient devenir numériques. Ils pourraient être totalement augmentés. Il pourrait s'agir d'une variation biologique en tube à essai /en éprouvette de la biologie que vous avez actuellement. Ça pourrait être de la robotique totale. Peu importe. C'est ce dans quoi vous intégrez votre conscience. Donc ça n'a pas vraiment d'importance si c'est cette biologie ou pas.

 

 

Le fait est que ça va juste plus vite. En fait, ça ne s'aggrave pas. Alors, s'il vous plaît, voudriez-vous bien lâcher ça? Ça ne s'aggrave pas. Je vais trouver des statistiques dont je parlerai peut-être à ProGnost, peut-être à un Shoud, mais, non, en fait, il y a plus de lumière et de conscience sur la planète que jamais. Mais, vous savez, c'est vraiment ennuyeux pour certains humains. Non, ils ne veulent vraiment pas ça. Pour certaines organisations, sans parler des églises (quelques rires), mais il y en a certaines, elles ne veulent pas lâcher prise, et elles doivent le faire.

 

Tout évolue. Tout a sa mort, qui n'est rien d'autre qu'une transformation d'un état à un autre. La biologie a fait son temps. C'est l'une des raisons de certaines des maladies qui sévissent en ce moment. Cela oblige la science à chercher de nouvelles solutions. Pas seulement une vaccination, pas seulement un médicament, mais une nouvelle solution pour le corps. Je trouve ça incroyable, ce qui se fait dans les laboratoires en ce moment, en termes de corps physique. Le processus de réflexion va au-delà de choses comme l'ADN, les atomes et d'autres choses du genre, mais il s'agit de refaire un remake complet du corps physique. Fascinant.

 

 

Portons un toast - la planète ne s'aggrave pas /elle ne va pas plus mal, elle va juste plus vite. Et comment faites-vous face à cela ? Vous permettez. Vous buvez ! Vous buvez ! (quelques rires) Buvez du café, mangez du chocolat, un peu de vin, beaucoup de vin. Ça va juste plus vite. Et quand vous êtes submergés/ accablés, et je sais que beaucoup d'entre vous ont été très stressés ces derniers temps. Vous savez, j'aimerais bien faire ça aussi, avoir un tableau qui montre le niveau d'anxiété des Shaumbra au jour le jour (quelques rires et quelqu'un dit « Oh ! »). Ouais, oh ! Nous n'aurions pas assez de papier (plus de rires).

 

Vous savez, parfois il y a eu une période où les énergies des Shaumbra étaient plutôt détendues et beaucoup plus ouvertes, et puis il y a eu un pic, le niveau d'anxiété a augmenté ces derniers temps – ces deux dernières années, en particulier. Qui ici a ressenti de l'anxiété au cours du dernier mois ? Au cours du mois dernier (beaucoup de gens lèvent la main). Ouais. Ok. C'est naturel, d'ailleurs. Je veux dire, ça va. Ne combattez pas du tout l'anxiété. Prenez du recul et dites: « Qu'est-ce qui cause cette anxiété ? » En d'autres termes, est-ce la vôtre ? Probablement pas. Vous la ressentez juste de partout sur la planète, alors que tous ces changements ont lieu, dont beaucoup d'entre eux sont basés sur votre lumière, votre banc, en faisant tant de choses de ce genre.

 

 

Je m'amuse parfois avec les Shaumbra parce qu'il y en a encore qui pensent : « Oh, nous allons nous mettre sur le banc, et nous allons envoyer notre lumière d'amour au monde. Ça et nous allons remplacer la livraison FedEx par la livraison Unicorn, et ça va être une belle… » ​​Oh, non. Si vous pouviez prendre du recul et regarder ce qui se passe réellement, votre lumière va sortir et mettre à mal certains vieux systèmes sur la planète. Mais c'est ce que vous vouliez. Vous ne vouliez pas simplement faire du gentil, de l'agréable, et saupoudrer de la poussière de fée, parce que vous saviez que ça ne marche pas à long terme. Donc la lumière sort et perturbe les systèmes. Pas intentionnellement. Pas parce que vous voulez juste faire sauter/ exploser des bâtiments ou mettre le bazar. Mais c'est le résultat de la lumière qui sort.

 

Prenons une profonde respiration avec ça.

 

 

Non, la planète n'est pas plus mal en point. Elle va juste plus vite. Et, encore une fois, souvenez-vous de la vue d'ensemble, vous êtes venus ici. Vous avez répondu à cet appel. Vous avez traversé beaucoup d'épreuves de libération, puis vous êtes arrivé au point de l'amener à la sagesse ou de le donner à la sagesse. Maintenant, nous traversons la physique de la réalité, la métaphysique – c'est ce que j'attendais – et maintenant nous faisons briller la lumière sur la planète. Elle en a besoin. Elle a besoin de la conscience. Non pas qu'elle ait besoin d'être sauvée; elle a juste besoin et veut la conscience.

 

 

 

Encore une fois, si nous devions peut-être créer une vidéo animée à ce sujet. Donc, vous êtes assis là un jour sur un banc, assis dans un parc près d'un lac ou autre, vous êtes assis sur un banc - et sans ordre du jour, vous laissez simplement votre lumière sortir - et puis dans cette vidéo animée, nous suivons votre lumière qui sort, qui sort dans le monde, et  qui touche quelqu'un, un physicien travaillant dans le laboratoire. Elle touche un fonctionnaire du gouvernement qui travaille sur un type de résolution de problèmes internationaux. Elle touche un banquier qui envisage un nouveau système qui est vraiment beaucoup plus équitable. Elle touche le système éducatif de votre ville ou de votre pays.

 

Nous suivons cette lumière au fur et à mesure. Et elle n'essaie pas de vous faire changer, quelle que soit la personne qu'elle touche. Elle n'essaie pas de forcer un changement. Mais elle les enveloppe simplement dans la lumière, et dans cette lumière, ils voient soudainement un potentiel qu'ils n'avaient peut-être jamais vu auparavant. Un médecin travaillant sur des réponses pour le cancer. Le cancer du corps est simplement une mauvaise communication du réseau de communication du corps, souvent causée par des choses comme la haine et la colère. C'est tout ce que c'est.

 

 

Donc, cette lumière sort et nous la suivons, puis elle va vers un groupe de physiciens vraiment fous et farfelus. Un scientifique, comme Albert Einstein. Il avait l'habitude d'être considéré comme un vrai cinglé. Et elle va à ce groupe qui est assis là, et soudain la lumière brille parmi tout ce groupe et l'un d'eux dit : «  Je ne sais pas d'où je tiens ça, mais je viens de penser - après toutes ces recherches, tout ce travail - que l'énergie n'est qu'une chanson. C'est tout ce que c'est. Une chanson, une communication. «  Et les autres le regardent comme s'il était devenu cinglé, comme s'il était fou. Mais ensuite, il fait quelque chose d'encore plus inattendu de lui-même. Il commence à chanter, «  L'énergie n'est qu'une communication. » Nous allons travailler sur cette compétence de chant (rires).

 

«L'énergie … » Eh bien, nous allons travailler là-dessus (quelques rires de plus).

 

 

Et soudain, ils sont tellement déconcertés. Ils n'ont jamais vu le Dr Lipschitz chanter au milieu d'une réunion (rires). Ils sont déconcertés et ils l'écoutent chanter sur l'énergie et les communications dans une chanson. Et, parce qu'ils ne parlent pas mentalement, ils sont un peu consternés par cette irruption de chant, tout à coup, ils commencent à comprendre. Et la pièce se remplit de lumière, de votre lumière, et ils disent : « Cela a toujours été là. Nous étions tellement pris dans les mathématiques, dans la science, la droiture et la convention de la science que nous ne l'avons jamais vu, que l'énergie est juste une communication. » Boom! 

 

Puis, nous suivons, la vidéo suit cette lumière qui revient vers vous, assis sur le banc du parc, avec un grand sourire sur votre visage en disant : « Je ne sais pas ce que fait exactement cette lumière, mais je peux sentir qu'elle fait quelque chose.  » Et puis six mois plus tard, vous lisez le journal - bon, d'accord, vous êtes sur votre appareil intelligent en train de vérifier les nouvelles, et non pas vos sites de conspiration, mais les vraies nouvelles - et soudain vous voyez cette chose : Un groupe de scientifiques, dirigé par le Dr Albert Lipschitz, conclut que l'énergie est une communication. Le monde change, comme le monde a changé quand Einstein a présenté sa théorie de la relativité.

 

 

Soit dit en passant, ce n'était pas une théorie de l'absolu. Ce n'était pas une théorie de l'absolu. Einstein a simplement dit que c'était relatif. C'est relatif à quoi ? La théorie de la relativité, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi on l'appelait ainsi ? Vous pensiez que c'était à propos de vos proches ? (Adamus rit) Non, non, non, non. La Théorie de la Relativité, pourquoi s'appelle-t-elle ainsi ? C'est relatif. Einstein a dit, et cela n'a pas vraiment été publié ou mis en avant, sur beaucoup de choses, que tout dépend de l'observateur. C'est pourquoi c'est relatif, et ça peut changer. Et ça peut changer. Ça et une bonne lumière, et ça changera. Oh! Eh bien, je m'écarte un peu ici.

 

Prenons une grande respiration profonde. Je dois faire ce que je suis venu faire ici, c'est vous interroger (le public dit : « Ohh ! »).

 

 

 

 

Le Jeu Télévisé d'Adamus

 

Maintenant, lors d'un de nos récents rassemblements au pavillon Shaumbra à Kona, j'ai dit au public que j'avais un désir secret, une passion secrète. Si je devais revenir pour toute une vie, ce qui n'arrivera jamais, vous allez vous en rendre compte un jour. C'est comme : « Euh-euh. Non, non. » Vous pourrez revenir une fois de temps en temps, peut-être par le biais d'un canal ou juste pour quelques jours, comme une sorte de mirage. Mais revenir comme revenir? Pas question, à moins que vous ne m'offriez un très bon poste d'animateur de jeux télévisés (quelques rires). C'est ce que je serais si je revenais. Gourou? Non! Non, non, non. Un Maître Ascensionné réincarné ? Eh, nah, Tobias l'a fait. Je veux être un animateur de jeux télévisés. Je veux dire, c'est un super boulot. Tout ce que vous faites c'est de vous asseoir devant des gens  avec des cartes et de poser des questions et de donner l'impression que tout le monde est stupide (quelques rires). C'est donc ce que nous allons faire maintenant (plus de rires).

 

 

Maintenant, c'est l'heure de : « Qui est un Maître ? » Ok, j'ai une liste de questions soigneusement préparées. J'ai consulté Kuthumi, Tobias et quelques autres Maîtres Ascensionnés pour en arriver à ces questions. Le sujet général d'aujourd'hui est "Le changement mondial".

 

LINDA : Merde ?

 

ADAMUS : Le décalage/ Le déplacement. Vous avez entendu cela. Vous vouliez juste dire : merde. Allez-y. Allez-y. Dites-le à haute voix (quelques rires). Vous saviez ce que j'essayais de dire. Vous vouliez juste dire « merde », n'est-ce pas ?

 

LINDA : N'est-ce pas la même chose ?

 

ADAMUS : Habituellement, oui (Linda rit). Ok.

 

 

Première question, et, Linda, soyez prête avec le micro. Première question, le coronavirus - d'environ 2020 à aujourd'hui - a-t-il causé le changement, ou le changement a-t-il causé le coronavirus ? TIC Tac. TIC Tac. Linda tend le micro.

 

JARED : Bonjour.

 

ADAMUS : Bonjour. Lequel est venu en premier, la poule ou l'œuf ?

 

JARED : Ooh! Je dirais les deux.

 

ADAMUS : Les deux.

 

JARED : En même temps.

 

ADAMUS : Absolument. C'est le Et.

 

 

JARED : Ta da !

 

ADAMUS : Pourquoi les gens ne réalisent-ils pas cela ? Ils disent : « Oh, je dois décider ceci ou cela. Je ne sais pas quoi faire ! »C'est le Et. Ils sont arrivés en même temps. Pourquoi le poulet a-t-il traversé la route?

 

JARED : Parce qu'il a choisi de le faire.

 

ADAMUS : Pour aller de l'autre côté.

 

JARED : Oh.

 

ADAMUS : Zhoom ! Le camion passe. Allez de l'autre côté (il pointe vers le haut). Traversez… badump! Ah ok. C'est dur d'être un animateur de jeu télévisé. Ok ! (quelques rires). Alors, le coronavirus a-t-il causé le changement, ou le changement a-t-il causé le coronavirus ?

 

JARED: Je dirais que c'était le changement, puis cela s'est en quelque sorte manifesté de la manière qu'il a choisie, le coronavirus.

 

ADAMUS : Ouais, bien.

 

JARED : Ouais.

 

 

ADAMUS : Bonne réponse. Ok. Nous en essaierons quelques autres dans la même question. Bonne réponse.

 

LINDA : Ok. Merci.

 

ADAMUS : Il dit que c'était vraiment la conscience, le changement, puis le coronavirus est apparu, n'est-ce pas ? Bien. Suivant.

 

PAUL : Peut-être les deux cas.

 

ADAMUS : Cela pourrait être les deux cas.

 

PAUL : Ouais.

 

ADAMUS : Quelle voie allez-vous choisir ?

 

 

PAUL : Ce que je ressens en ce moment.

 

ADAMUS : Ce que vous ressentez, ok ! Que ressentez-vous en ce moment ?

 

PAUL : En ce moment ? (petite pause) Ce n'est pas...

 

ADAMUS : Le changement a-t-il causé le coronavirus ou le coronavirus a-t-il causé le changement ?

 

PAUL : Eh bien, ça n'a pas d'importance.

 

ADAMUS : Cela n'a pas d'importance.

 

PAUL : Ouais.

 

ADAMUS : Ok.

 

PAUL : Ouais.

 

ADAMUS : Ok. Bien.

 

PAUL : Ouais.

 

ADAMUS : Super. Encore deux, même question.

 

 

LINDA : Ok.

 

ADAMUS : Lequel est venu en premier ? Qu'est-ce qui a causé quoi ? Le décalage (de conscience) ou le coronavirus ?

 

LINDA : Voici un fauteur de troubles.

 

ADAMUS : Le coronavirus est-il soudainement descendu sur la Terre et a-t-il ensuite provoqué ce grand changement ?

 

ALICE : Pour moi, ça ressemble à - est-ce que ce micro est allumé ?

 

ADAMUS : Pourrions-nous avoir un peu de volume sur le micro ?

 

ALICE : Bonjour !

 

ADAMUS : Nous y voilà.

 

 

ALICE : Et voilà (elle rit). On dirait que c'est un cercle en fait. Comme, donc nous faisons un peu de décalage et puis nous appelons ça quelque chose.

 

ADAMUS : Oui.

 

ALICE : Et ce quelque chose provoque encore plus de décalage /de changements. Donc j'aime vraiment « les deux ». Mais dans ce cas, si vous me faites m'engager, je dirais que le déplacement/ le changement a causé le coronavirus.

 

 

ADAMUS : La merde a causé - eh, le changement a causé le coronavirus. Bien. Un autre sur la même question (quelques rires).

 

LINDA : Un autre ?

 

ADAMUS : Oui.

 

LINDA : Voyons voir. Alexandra.

 

ALEXANDRA : Oui, je serais d'accord pour dire que notre…

 

ADAMUS : Pouvons-nous avoir un peu de volume sur le microphone, s'il vous plaît ?

 

 

ALEXANDRA : Je sais, et ma bouche n'est pas assez proche ? Je pense que si nous n'avions pas été prêts pour cela ou si nous n'avions pas demandé – pas seulement nous, mais tout le monde – alors cela ne serait pas arrivé, n'est-ce pas ? C'est tout l'intérêt des Points de Séparation, c'est que les gens qui n'ont pas fait cette expérience auraient été ailleurs parce qu'ils ne demandaient pas.

 

ADAMUS : Absolument.

 

ALEXANDRA : Oui.

 

ADAMUS : Et la bonne réponse est en fait les deux, mais le fait de se pencher davantage du côté du changement a causé le coronavirus. Plus de conscience sur la planète a causé quelque chose. Vous n'aviez pas besoin de savoir ce que ça allait être. Peu importait. Cela aurait pu être beaucoup de choses. Mais ce qui s'est passé, c'est que ce virus est entré, a envahi la planète et a causé d'énormes changements. Donc tout le monde dit que c'est en fait les deux, mais c'est le changement qui a vraiment commencé. Donc en fait, le changement a créé le coronavirus, et le coronavirus s'est ajouté au changement.

 

 

Encore une fois, il n'était pas nécessaire que ce soit un coronavirus. Cela aurait pu être tellement de choses différentes. Cela aurait pu être d'énormes tremblements de terre, des volcans ou quelque chose du genre. Non pas que je le prédise pour un avenir proche, mais cela pourrait se produire.

 

Donc, tous ceux qui ont répondu correctement ou même partiellement à cette question, veuillez contacter Bonnie pour un chèque-cadeau de 25 $ au magasin du Crimson Circle (Adamus siffle). Ouais (le public dit « Whoaa ! » et « Yeahh ! » et quelques applaudissements) Et Bonnie regarde : « Qui, moi ? Oui, vous êtes la seule Bonnie assise au fond de la salle qui peut faire quelque chose comme ça. »

 

Bon, question suivante. Phewww! Nous l'amplifions, maintenant. Question suivante. Comment le monde a-t-il changé ces deux dernières années ?

 

LINDA : Ouf.

 

 

ADAMUS : Tic-tac. TIC Tac. Linda ? Comment le monde a-t-il changé ? Ce n'est pas un simple « oui » ou « non ». Cela nécessite un peu de réflexion, alors que Scott se prépare.

 

SCOTT : Ouais. Je ne sais pas si c'est encore allumé. Ehhh, comment ça a changé? (il soupire) Un peu plus fou. Un peu mais plus introspectif.

 

ADAMUS : Uh huh. Uh huh.

 

SCOTT: Un peu plus de gens se demandent : «  Mais qu'est-ce qui se passe là dehors? Que diable se passe-t-il à l'intérieur ? Dans ma propre vie ? »

 

ADAMUS : C'est vrai. Ouais.

 

SCOTT : « Quand tout ça va finir? » (il rit)

 

ADAMUS : C'est vrai. Exact. Bien. Ils veulent tous savoir quand est-ce que ça va se terminer?

 

 

 

SCOTT : Quand est-ce que ça va finir ? Ouais!

 

ADAMUS : Ouais. Et, vous savez, comme je l'ai déjà dit avant, ça va continuer encore et encore pendant très, très longtemps.

 

 (légère pause)

 

Je n'ai pas dit ça. J'ai d'abord dit que ça allait être très rapide et que ça se terminerait rapidement, et ce n'est pas le cas. Et je ne me trompe pas non plus. C'est juste que les humains ont décidé de laisser ça aller plus loin et plus longtemps, parce qu'ils sont en quelque sorte dans le changement. Non, ils aiment ce qui se passe.

 

SCOTT : Ouais.

 

LINDA : Dans quoi ?

 

ADAMUS : Vous avez entendu.

 

 

SCOTT : (riant) Oh, mon Dieu.

 

ADAMUS : Vous avez entendu (quelques rires). Donc, quelques manières spécifiques. Donnez-moi une ou deux manières spécifiques. Comment le monde a-t-il changé ?

 

SCOTT : Oh.

 

ADAMUS : C'était sur l'une des diapositives aujourd'hui.

 

SCOTT: Ouais, eh bien, le grand Walkout (départ).

 

ADAMUS : Ouais, ouais.

 

SCOTT : La démission du travail. Les gens disent vraiment : « Qu'est-ce que je veux faire de ma vie ? Vous savez, « Et si je ne gagne pas d'argent - ou combien d'argent dois-je gagner pour vraiment profiter de la vie plutôt que de trimer pendant plus de 60 heures par semaine? »

 

ADAMUS : Ouais. Ouais. Comment est votre vie professionnelle ?

 

 

 

SCOTT : (rires) Je n'aurais jamais pensé que je serais autant soignant que je le fais. Je n'ai jamais pensé que ma source de revenus serait principalement le handicap de mon partenaire.

 

ADAMUS : C'est vrai.

 

SCOTT: Donc, je veux dire, je n'aurais jamais imaginé cela. Je veux dire, ça fait maintenant six ans et demi que vous n'en avez même pas parlé.

 

ADAMUS : C'est vrai.

 

SCOTT : Donc, ces façons. Mais c'est juste, ça vient quand j'en ai besoin.

 

ADAMUS : C'est ainsi que cela devrait être.

 

SCOTT : C'est plus facile que d'essayer de gagner de l'argent.

 

ADAMUS : Ouais. Ouais. Vous êtes-vous déjà amusé à gagner de l'argent ?

 

SCOTT : Pas vraiment. Non.

 

 

ADAMUS : Ouais. Pendant un court moment, mais je veux dire…

 

SCOTT : (riant doucement) C'est comme si, plus je travaillais, moins je gagnais, en quelque sorte.

 

ADAMUS : Exactement ! Je veux que vous répétiez cela pour le monde entier.

 

SCOTT : Plus je travaillais pour gagner de l'argent, moins j'en gagnais.

 

ADAMUS : Ok, et tout le monde (quelques applaudissements), chaque Shaumbra dans le monde qui pense encore qu'il faut travailler dur pour gagner plus, les Shaumbra qui sont en ce moment pour la plupart financièrement indépendants mais qui ne souffrent pas financièrement, ils ont exactement les mêmes mots. Ils disent: « Plus je travaillais, moins je gagnais. » Maintenant, cela défie la logique, mais c'est en fait de la métaphysique, parce que vous permettez que cela vienne à vous, plutôt que de travailler pour cela. Travailler est un concept de souffrance. Point final. Alors maintenant, vous pouvez profiter de la vie.

 

SCOTT : Cool. Pour ainsi dire, en quelque sorte.

 

 

ADAMUS : Très bien. Pour ainsi dire, ouais (ils rient). Ok. Deux de plus. Ouais.

 

LINDA : Ok.

 

ADAMUS : Ouais. Ouais. Ok. Alors, comment le monde a-t-il changé ces dernières années ? Oui Monsieur.

 

PATRICK : Je pense que ça dépend.

 

ADAMUS : C'est vrai. C'est une réponse typique de Shaumbra (ils rient), vous savez, comme... (il y a un retour de micro)

 

PATRICK : Désolé pour ça.

 

ADAMUS : Ok.

 

PATRICK: Je pense que ceux qui étaient en quelque sorte plus extravertis, ils étaient en quelque sorte obligés de rester à l'intérieur.

 

ADAMUS : Bien.

 

 

PATRICK : Ils avaient moins de facteurs externes qui entraient.

 

ADAMUS : Donc il y a moins de personnes de type A dans le monde en ce moment à cause du virus ?

 

PATRICK : Ouais (il rit). Je pense que oui. Donc, ils étaient en quelque sorte plus concentrés sur l'intérieur de la maison, ce qui comptait pour eux, n'est-ce pas ?

 

ADAMUS : Oui.

 

PATRICK : Je pense que ceux qui étaient déjà dans la maison, ils étaient plutôt casaniers. Ils regardaient en quelque sorte le monde extérieur.

 

ADAMUS : Bien.

 

PATRICK : C'est vrai. Donc, comme, vous savez, avec l'Ukraine en cours ou qu'ils passaient plus de temps sur les nouvelles peut-être, ils voulaient aussi regarder ce qui comptait pour eux.

 

ADAMUS : C'est vrai. Donc les gens sont allés plus à l'intérieur.

 

PATRICK : Ouais.

 

ADAMUS : Ouais. Bien. Que se passe-t-il lorsque les gens entrent en eux ? Je veux dire, pas seulement au sens propre, mais au sens figuré.

 

PATRICK: Ouais, ils doivent en quelque sorte réaliser, vous savez, ce qui est important pour eux.

 

 

 

ADAMUS : La consommation de drogue augmente.

 

PATRICK : Ouais.

 

ADAMUS : Ouais, ouais.

 

PATRICK : Comme…

 

ADAMUS : Non, c'est le cas. La consommation de drogue augmente, parce que les gens n'aiment vraiment pas aller à l'intérieur. C'est tellement plus facile d'être extérieur tout le temps, de blâmer quelqu'un d'autre, plutôt que de se regarder soi-même. Je vais donc faire tous ces tableaux et diagrammes pour notre prochaine réunion d'un certain type montrant statistiquement le saut dans l'utilisation de ces médicaments.

 

PATRICK : Ouais, échapper à la réalité.

 

ADAMUS : L'anxiété, la douleur et tout le reste de ces choses ont explosé, parce que les gens ont dû s'arrêter une minute et se regarder, et ils n'aiment pas faire ça. Ils préfèrent être dehors.

 

PATRICK : Distraits.

 

ADAMUS : Distraits. Mais la beauté du coronavirus, c'est que vous allez poser vos fesses et vous interroger sur vous-même, et beaucoup de gens n'ont pas aimé ça. Mais beaucoup de gens l'ont fait. C'était bon pour beaucoup. Merci.

 

PATRICK : Merci.

 

ADAMUS : Un de plus sur cette question et nous avancerons.

 

LINDA : (chuchotant) Ok.

 

ADAMUS : Alors, comment le monde a-t-il changé au cours des deux dernières années ?

 

 

OLIVIA : Salut. Est-ce que ça marche? (se référant au microphone, qui avait des difficultés techniques)

 

ADAMUS : Nous ne savons pas (rires). Nous n'en avons  aucune idée. Et, vous savez, la réponse de Shaumbra à cela est : «Est-ce important?

 

OLIVIA : Est-ce important ? Non, ce n'est pas le cas.

 

ADAMUS : Est-ce que c'est important ? Ouais. Ouais, allez-y et faites comme si vous parliez dedans.

 

OLIVIA : Bien sûr. Salut.

 

ADAMUS : Salut.

 

OLIVIA : Donc, ce n'était pas satisfaisant, la réalité. Personne n'était satisfait de sa vie quand ils avaient besoin de s'arrêter et de juste regarder leur vie.

 

 

ADAMUS : Mm hmm. Personne ne l'était.

 

OLIVIA : Eh bien, je pense…

 

ADAMUS : L'étiez-vous ?

 

OLIVIA : Non.

 

ADAMUS : Non.

 

OLIVIA : Non. Ça m'a forcée à m'arrêter.

 

ADAMUS : Qu'est-ce qui vous a fait arrêter ?

 

OLIVIA: Eh bien, je faisais quelques projets de conseil et puis ça s'est arrêté juste avant le début de - enfin, au début de la pandémie, et j'avais beaucoup de temps libre

 

ADAMUS : Qu'avez-vous fait, juste vous asseoir à la maison et m'écouter ?

 

OLIVIA : Eh bien, en fait, ouais (rires).

 

ADAMUS : Ouais, ouais (Adamus rit).

 

 

OLIVIA : C'est vrai.

 

ADAMUS : Je le savais. Ouais. M'écouter et nous bavardions et moi apportant ma lumière dans votre vie. Que s'est-il passé à la suite de cela? Qu'est-ce qui a changé dans votre vie ?

 

OLIVIA : Eh bien, j'ai eu assez de temps pour me pencher sur des choses que j'avais oubliées.

 

ADAMUS : Comme ?

 

OLIVIA : Mes rêves.

 

ADAMUS : Vos rêves. Donc vous avez passé les deux années à rêver.

 

OLIVIA : Non. J'avais, comme, écrit mes rêves pendant presque 20 ans, et puis je me suis souvenue que j'avais tout ce matériel, alors ...

 

 

ADAMUS : Est-ce que vous rêvez de moi?

 

OLIVIA : (elle réfléchit) Quelques…

 

ADAMUS : (chuchotant) Oui ! Oui! Oui!

 

OLIVIA : Je suppose.

 

ADAMUS : Ouais, je suppose. Ok.

 

OLIVIA : Je suppose.

 

ADAMUS : Avez-vous rêvé de Kuthumi ?

 

OLIVIA : Non.

 

ADAMUS : Non. D'accord. Ha, ha, ha, ha, ha, ha ! (rire)

 

OLIVIA : Pas vraiment (Adamus continue de rire).

 

ADAMUS : Ouais, bien. Alors, les rêves. Qu'avez-vous fait de tous ces trucs de rêve ? Je veux dire, c'est juste un rêve. Qu'allez-vous en faire ?

 

OLIVIA : Je peux écrire. J'ai commencé à écrire en octobre 2020, et ça a été intéressant. J'aime beaucoup ça.

 

ADAMUS : Donc, vous écrivez un livre sur vos rêves.

 

 

OLIVIA : Non. J'ai un blog sur Medium. Medium est comme une plate-forme de médias sociaux pour les écrivains.

 

ADAMUS : Bien, bien.

 

OLIVIA : Et j'ai essayé d'en faire quelque chose, mais récemment j'ai eu cette idée de construire une plateforme, une plateforme en ligne pour les rêves.

 

ADAMUS : Vraiment ? Auriez-vous fait cela si vous n'aviez pas été obligée de rester dans votre maison pendant deux ans ?

 

OLIVIA : Non.

 

ADAMUS : Non.

 

OLIVIA : J'en suis absolument sûre.

 

ADAMUS : Alors diriez-vous que c'est peut-être une passion, une énorme passion dans votre vie de faire cela ?

 

OLIVIA : Absolument.

 

 

ADAMUS : Oui, et de communiquer avec les autres au sujet des rêves. Que sont les rêves, après tout ?

 

OLIVIA : Des dimensions.

 

ADAMUS : Des dimensions. Mais sont-ils juste des rêves ? Sont-ils juste des histoires de l'esprit/du mental ? Sont-ils …

 

OLIVIA : Non. Non.

 

ADAMUS : … juste un babillage de votre cerveau ?

 

 

OLIVIA : Des rencontres réelles. La plupart d'entre eux ne sont que des choses réelles qui se produisent, comme s'il s'agissait d'une autre dimension. Ce n'est pas de la 3D, mais c'est n'importe quoi.

 

ADAMUS : Combien ici ont fait des rêves étranges ces derniers temps ? Je veux dire, vraiment bizarres. Genre trop bizarre. Ouais. Oui, parce que quelque chose se passe dans les rêves. Beaucoup de libération a lieu dans les rêves. Beaucoup d'actions se produisent. Ce n'est pas seulement ici sur cette planète que les choses se passent.

 

 

 

OLIVIA : Non.

 

ADAMUS : C'est dans tous les royaumes autour de vous. Et l'une des choses que nous faisons en ce moment en tant que Shaumbra, en particulier dans le prochain Keahak, est d'aller au-delà. C'est génial, et c'est très viscéral, très réel, mais il y a tellement d'autres choses qui se passent. Et si vous pouvez combiner tout cela avec sagesse et comprendre qu'il y a tellement de choses dans les autres royaumes également, la vie devient tout simplement beaucoup plus amusante. Moins ennuyeuse, moins fastidieuse. Maintenant, vous êtes très multidimensionnels.

 

OLIVIA : C'est très, très intéressant, parce que je connais beaucoup de choses qui se passent dans les rêves.

 

ADAMUS : Bien.

 

OLIVIA : Je veux dire, beaucoup de choses peuvent se produire dans les rêves. Vous pouvez aller visiter différents mondes, par exemple.

 

ADAMUS : Oui.

 

OLIVIA : Mais que se passerait-il si vous disposiez d'une plate-forme mondiale en ligne pour que tout le monde puisse y mettre ses rêves, puis que nous commencions à créer, comme, une conscience, comme globale, comme connectée. Que pourrait-il se passer ?

 

 

ADAMUS : Alors, pensez-vous faire cela ? Ou est-ce que vous le faites ?

 

OLIVIA : Je suis en train de lever des fonds d'investissement.

 

ADAMUS : Oh, d'accord.

 

OLIVIA : En ce moment même.

 

ADAMUS : Bien. Bien. Combien?

 

OLIVIA : Un million de dollars.

 

ADAMUS : Un million, bien. Le montant exact que j'avais. C'est ce dont vous allez avoir besoin.

 

OLIVIA : Plus ou moins, oui.

 

ADAMUS : Ouais, ouais. Non, non. Pas plus ou moins. Je veux dire, c'est le montant, un million de dollars.

 

OLIVIA : C'est le montant, ouais.

 

ADAMUS : Ouais, ouais. Ouais.

 

OLIVIA : Ouais.

 

 

ADAMUS : Bien. Donc, pourquoi est-ce important? Je veux dire, c'est juste une sorte de truc de rêve et les gens ont mieux à faire que de s'inquiéter de leurs rêves. La plupart des gens ne se souviennent pas de leurs rêves. Pourquoi est-ce important?

 

OLIVIA : C'est comme une façon d'expliquer comment fonctionne la réalité. Si vous comprenez comment les dimensions fonctionnent, vous allez là-bas et vous faites des choses, puis vous venez ici et vous ouvrez une brèche dans les dimensions, puis vous apportez des choses de là-bas ici quand vous en avez besoin. C'est juste faire l'expérience des dimensions.

 

ADAMUS : Alors, allez-vous m'interviewer pour cette plate-forme, pour avoir mon point de vue sur les rêves ?

 

OLIVIA : Je vous interviewe, bien sûr.

 

ADAMUS : Ouais. Allez-vous m'interviewer ? Est-ce dans votre intention de vous asseoir et de faire une interview avec l'oncle Adamus sur les rêves ? (quelques rires)

 

OLIVIA : Oui, tout à fait.

 

ADAMUS : Bien, bien.

 

OLIVIA : Absolument.

 

ADAMUS : Ouais. Ouaip.

 

OLIVIA : Oui, oui. Absolument.

 

 

ADAMUS : Ouais. Elle n'avait pas encore pensé à cela, mais j'ai planté l'idée (rires). Non, j'aimerais parler des rêves, parce qu'ils ne sont pas ce que les gens pensent qu'ils sont. Il se passe tellement de choses dans les rêves. Premièrement, les rêves sont une grande scène. Vous allez jouer différentes choses. Vous le testez avant de l'amener ici. Souvent, vous l'apportez ici, puis cela s'écarte de ce que vous avez répété là-bas, mais vous essayez différents scénarios. Vous mettez des tenues d'acteurs différents, des vêtements différents, des attitudes différentes et vous testez différents résultats, et ensuite vous voyez si vous pouvez l'amener ici. Maintenant, c'est le truc et c'est là que la plupart des gens se bloquent, c'est de le ramener ici quand vous êtes confronté à cette réalité, à la conscience de masse, et de ne pas se souvenir de votre foutu rêve en premier lieu. Alors ça tombe à plat. Ça ne marche pas. Mais il y a un moyen de relier tous les points ensemble et de les ramener ici. C'est ce dont nous allons parler dans notre interview.

 

OLIVIA : Super. Merci.

 

ADAMUS : Bien. Bien.

 

OLIVIA : Merci.

 

ADAMUS : J'adore les rêves. J'aime les rêves. Quels rêves peuvent venir? Ouais.

 

OLIVIA : Quels rêves peuvent venir ?

 

ADAMUS : Ouais. Ok.

 

Donc, nous devons avancer ici. La question suivante est… ok. Ah, ah ! C'est une bonne question. Je l'ai écrite (quelques rires). Qu'est-ce qui a causé le conflit mondial actuel qui est actuellement centré sur la Russie et l'Ukraine ? Qu'est-ce qui a causé ce conflit ?

Oh, au fait, allez voir Bonnie pour votre certificat de magasin de 50 $ (le public dit « Oooh ! ») Ouais.

 

OLIVIA : Merci.

 

ADAMUS : D'accord. C'est une question à 100 $ ici.

 

 

 

EMMA : Oh, mon Dieu.

 

ADAMUS : Alors, voyons voir. Qu'est-ce qui a causé le conflit actuel ?

 

EMMA : Je peux avoir raison quoi que je dise ? (elle rit doucement)

 

ADAMUS : Allez-y et levez-vous, si cela ne vous dérange pas.

 

EMMA : Ok. Donc, à mon avis, c'était...

 

ADAMUS : Vous allez devoir parler très fort. Nous avons des problèmes techniques (quelques retours de micro).

 

EMMA : Aussi fort. Pour moi, cela a été causé par la lutte pour le pouvoir.

 

ADAMUS : La lutte pour le pouvoir, oui.

 

EMMA : Et les gens en ont marre de tout ça.

 

ADAMUS : Oui.

 

EMMA : La superpuissance contre le petit gars, et le monde se rassemble pour décider qu'ils n'en feront pas une plus grande guerre.

 

ADAMUS : Oui.

 

EMMA : Ils vont juste s'effondrer.

 

ADAMUS : Quelle part de ce conflit, si vous regardez les énergies, vous savez, une sorte d'énergie sous-jacente, quelle part est basée sur - vous avez parlé de pouvoir - mais sur le pouvoir masculin ?

 

 

EMMA : Oh, oui.

 

ADAMUS : Le pouvoir de l'homme, le pouvoir du garçon.

 

EMMA : A cent pour cent…

 

ADAMUS : Cent pour cent.

 

EMMA : … je dirais.

 

ADAMUS : Je dirais plutôt 90, mais, vous savez…

 

EMMA : Ouais, 99.

 

ADAMUS : Je veux dire, nous ne voulons pas tout rejeter sur l'homme.

 

EMMA : Ouais. Environ 99.

 

ADAMUS : Alors, que se passe-t-il vraiment avec cette crise qui se poursuit ? Vous avez fait allusion à certains d'entre eux, mais le pouvoir.

 

EMMA: Je pense que l'objectif global est "Plus de harcèlement".

 

ADAMUS : C'est vrai. Plus d'intimidation. Ouais.

 

EMMA: Et le monde entier est en quelque sorte en train de se rassembler sur ce sujet.

 

ADAMUS : Ils le font.

 

EMMA : « Nous en avons assez. »

 

 

ADAMUS : Je veux dire, n'est-ce pas merveilleux, d'une certaine manière ? Maintenant, ce conflit allait se produire de toute façon. Donc je ne dis pas que c'est juste arrivé, mais ça allait arriver, parce qu'il y a beaucoup d'anciennes énergies dans le sol, d'anciennes énergies historiques. Vous savez, le karma et le fait de porter une dette karmique ne concerne pas seulement l'individu. Cela peut arriver dans les pays, et c'est vieux, vieux. Plus quelques influences religieuses, plus la lutte pour le pouvoir, plus la question des garçons, la question des hommes (quelques rires). Tout cela – ça allait revenir sur le tapis.

 

Maintenant, la question est, alors que votre lumière sort - encore une fois, nous faisons cette animation vidéo phénoménale de votre lumière qui sort- ce problème allait surgir. Il le fallait. Il avait été réprimé pendant longtemps, et pas seulement entre l'Ukraine et la Russie, mais partout dans le monde. La guerre civile se déroule toujours, mesdames et messieurs, ici même en Amérique (le public est d'accord). Et elle le fait. Sortez sur certains des anciens champs de bataille. Les énergies ont pu être assez stables là-bas il y a 10 ans, 20 ans. Mais en ce moment, ces énergies se battent, parce que votre lumière sort et votre lumière dit : « Nous devons libérer tous ces vieux problèmes. Ce sont des énergies bloquées, et ces énergies causent beaucoup de souffrance sur la planète, et il est temps de les libérer. » C'est ce qui arrive quand votre lumière sort.

 

Et le problème ici avec l'Ukraine et la Russie – l'ancien karma, les hommes/masculin, l'ancien pouvoir – provoque une concentration/ focalisation mondiale. Maintenant, qu'est-ce que les gens vont en faire ? On pourrait espérer, du point de vue humain, qu’ils diront: «C'est fini. Plus de ces batailles. Plus de tout cela … » Vous ne pouvez pas envahir l'énergie d'un autre, même si vous pensez que vous le pouvez. Vous ne pouvez plus essayer de voler qui que ce soit. Vous ne pouvez pas revendiquer le territoire de quelqu'un d'autre comme étant le vôtre, car il est symbolique et analogue à vous. C'est votre énergie divine et souveraine. N'entrez pas dans ce jeu qui consiste à laisser quelqu'un d'autre prendre votre territoire, en croyant qu'il le peut, en croyant qu'il peut vous voler. Et maintenant, il agit sur une scène mondiale. C'est vraiment incroyable.

 

Donc, pour ceux d'entre vous… merci. Vous obtenez - qu'est-ce que je vous ai promis?

 

 

EMMA : Était-ce 200 $ ?

 

ADAMUS : Disons 200 $ (rires). Voyez Bonnie (quelques applaudissements), ou vous pouvez avoir le choix entre ça ou la nouvelle crypto-monnaie Crimson Circle Bitcoin. Ouais.

 

LINDA : Nooon !

 

ADAMUS : Prenez le crédit du magasin (plus de rires). OK, dernière question ici sur la liste. Ok. Oooh ! C'est une question à 250 $.

 

LINDA : Ooh ! Faites-moi de la lèche ! (Linda et Adamus rient)

 

ADAMUS : Ok. Alors, qu'avez-vous appris sur vous-même au cours des deux dernières années ? Qu'avez-vous appris sur vous-même au cours des deux dernières années ? Linda, allez-y (elle le tend à quelqu'un qui ne veut pas le prendre ; quelques rires). Et si vous voulez bien vous lever et laisser tout le monde entendre ce que vous avez à dire. Qu'avez-vous appris sur vous-même ? Distillé en cinq minutes ou moins. Je voyais bien que cette question allait être longue.

 

 

MARY : Il s'est passé beaucoup de choses ces deux dernières années. Notamment …

 

 

ADAMUS : Ne serait-ce pas triste s'il n'y en avait pas ?

 

MARY: Ouais. Eh bien, c'est particulièrement au cours des six derniers mois.

 

ADAMUS : Ouais. Ouais.

 

MARY : Ouais.

 

ADAMUS : Des trucs difficiles ?

 

MARY : Ouais. J'ai eu un accident assez grave au cours de l'hiver, et beaucoup de - vous savez, il n'y a pas de leçons - c'était beaucoup d'expérience.

 

ADAMUS : Bon.

 

MARY : Finalement, mon numéro est sorti et j'ai eu mon gros accident de vélo que je n'avais jamais eu.

 

ADAMUS : Bon.

 

MARY : Et donc maintenant je suis une vraie cycliste parce que j'ai des cicatrices.

 

ADAMUS : Bien. Que s'est-il vraiment passé avec ça ?

 

MARY: C'était littéralement, je pense, beaucoup d'expérience. C'était tout un tas de choses que je n'avais jamais faites auparavant, toutes ces choses médicales comme les ambulances et la chirurgie.

 

 

ADAMUS : Bon. Bon. Mais que se passait-il vraiment énergétiquement ?

 

MARY: Oh ! J'ai soufflé une énorme quantité d'énergie de…

 

ADAMUS : Duh! Ouais!

 

MARY : … depuis toujours.

 

ADAMUS : Pourquoi avez-vous choisi un accident de vélo, plutôt que de simplement le faire disparaître?

 

MARY : Plus prometteur pour moi.

 

ADAMUS : Plus prometteur. Ou vous avez tendance à trop réfléchir aux choses.

 

MARY : Moi?! A trop réfléchir aux choses ? !

 

ADAMUS : Mnhh ! Je ne fais que deviner (ils rient). Vous le feriez progressivement. Vous y pensiez et puis vous débattiez et puis vous décidiez de ne pas le faire. Vous étiez en quelque sorte prête pour ce changement massif et – pour en revenir au truc du rêve – alors vous allez dans les autres royaumes et vous vous dites : « Mec, jouons des choses différentes. Ok, je vais d'abord essayer de le faire en pensant simplement que je vais tout lâcher. » Erhh ! Cela n'a pas fonctionné. Ensuite, vous le faites à travers : « Peut-être que je le ferai par la cérémonie et le rituel ». Ehhh ! Vous avez essayé et c'est vraiment ennuyeux.

 

MARY: J'ai en quelque sorte abandonné ces méthodes,  il y a longtemps.

 

 

ADAMUS : Ouais. Ensuite, c'est comme : «  Ooh! Attendez une seconde. Je m'identifie comme motard et je n'ai pas encore eu mon accident. Waouh ! Quelle opportunité de faire une merde de libération et d'apporter une charge de merde de mon énergie divine tout en même temps, et puis j'ai les cicatrices pour le prouver et je peux raconter des histoires comme jamais auparavant. » (Elle rit) Vous savez, je suis un peu théâtral, mais c'est exactement ce qui s'est passé.

 

MARY : Quelque chose comme ça, ouais.

 

ADAMUS : Ouais. Et l'humain se souvient : « Ohh ! J'ai dû aller chez le médecin et la douleur, et je ne pouvais pas dormir la nuit, et bla, bla, bla. » Ce n'est pas vraiment la partie la plus importante de ceci. La partie importante est que vous avez adopté une manière dramatique, colorée et poétique de lâcher un tas de choses, et d'en ramener un tas. C'était un échange d'énergie parfait.

 

MARY : Et un bon moment pour le faire.

 

ADAMUS : Bien sûr ! Le moment parfait.

 

MARY: J'ai eu mon accident au solstice d'hiver, et j'ai repris mon vélo à l'équinoxe de printemps.

 

ADAMUS : Bien sûr ! Tout le monde ne le ferait pas ? ! (rire)

 

MARY : J'ai dû demander à des amis de m'aider à monter et à descendre du vélo.

 

ADAMUS : Bien sûr.

 

MARY: Mais je l'ai fait.

 

ADAMUS : Mais il en ressort tellement de sagesse et, bien sûr, l'humain se souvient de la douleur, du genre de choses ennuyeuses avec elle ou de choses fastidieuses.

 

MARY: Eh bien, la rééducation était une sorte de douleur dans les fesses.

 

ADAMUS : La rééducation. Mais vous avez appris pendant la rééducation.

 

MARY : Quoi ?

 

ADAMUS : Vous avez appris pendant la rééducation.

 

MARY : Oh, absolument !

 

ADAMUS : Vous étiez en contact avec votre corps comme jamais auparavant.

 

MARY : Oh, c'est fou. C'est comme si chaque jour je pouvais faire quelque chose que je ne pouvais pas faire la veille. Et regarder le processus de guérison…

 

ADAMUS : Ouais !

 

MARY : ... a été tout simplement miraculeux. Ce sont des miracles.

 

 

 

ADAMUS : Vous voyez ? ! Quelle beauté, la chose que vous avez mise en place. Alors, que diriez-vous aux autres sur le processus de guérison ?

 

MARY : Regardez-le ! Il suffit de regarder.

 

ADAMUS : Ne le contrôlez pas.

 

MARY : Et permettez que ça arrive.

 

ADAMUS : N'interférez pas. Ne le faites pas …

 

MARY : Eh bien, non. Faites votre, vous savez, faites votre physiothérapie et faites ce que dit votre médecin, si vous pensez que votre médecin en vaut la peine, vous savez. Mais juste …

 

ADAMUS : (chuchotant) Permettez.

 

MARY: J'ai dit ça !

 

ADAMUS : Je sais que vous l'avez fait. Ouais, ouais. Mais vous vous êtes éloignée de ça.

 

MARY : J'ai dit et permettez-le...

 

 

 

 

ADAMUS : Parce que vous y pensiez et que vous n'y reveniez jamais.

 

MARY : … de se produire parce que c'est vraiment miraculeux.

 

ADAMUS : Ce sera le cas ! Le corps physique se guérira lui-même. Il le fait vraiment. Il a été programmé depuis le tout début en tant qu'être angélique …

 

MARY : C'est fou.

 

ADAMUS : … que le corps puisse se guérir lui-même.

 

MARY : C'est fou.

 

ADAMUS : Le corps peut aussi se transformer et passer par tout ce changement dans le corps de lumière, dans la nouvelle espèce humaine. Mais il faut juste s'écarter du chemin. Et oui, il y aura...

 

MARY : Belle transition. J'apprécie cela.

 

ADAMUS : Cauldre me donne du fil à retordre.

 

MARY : C'est une excellente transition.

 

 

 

ADAMUS : Bien sûr, un peu de douleur, mais c'est ce sur quoi l'humain se concentre : « Oh ! C'était tellement douloureux. » Eh bien, vous venez d'avoir votre tout nouveau corps de lumière ! Vous vous promenez sur la planète en tant que Maître Ascensionné avec un corps de lumière. « Je sais, mais j'ai eu mal à la tête pendant trois jours. » Ok (rires).

 

MARY : Trois jours.

 

ADAMUS : Ok, prenons une bonne respiration profonde. Merci, et c'est 250 $, plus 100 $ de bonus pour m'avoir laissé vous donner du fil à retordre (le public dit « Wooo ! »). Trois cent cinquante dollars. Voyez Bonnie (applaudissements du public). Très bien.

 

Passons à autre chose. Nous pouvons baisser les lumières et faire tout ce qui est en notre pouvoir pour améliorer le son. Ok. Prenez… non, s'il vous plaît, s'il vous plaît. Prenez un siège à côté de moi (à Linda). Alors, suivant. Oh, ok.

 

Prenons une bonne respiration profonde.

 

 

 

La Lumière, Les Ténèbres et le Mal

 

Nous avons parlé de la lumière. Lors de notre dernier rassemblement, le mois dernier, nous avons fait une  DreamWalk de la lumière (la Marche du Rêve de la Lumière) et, encore une fois, vraiment, j'aimerais voir ce film d'animation pour tous les Shaumbra qui veulent le faire. Vous suivez cette lumière à partir du Shaumbra qui fait le banc, sans ordre du jour, et vous la suivez alors qu'elle fait le tour du monde vers des petits enfants qui se sentent perdus et sans espoir, des enfants de cinq ans qui pensent : « Pourquoi suis-je revenu pour un autre durée de vie? » Et tout à coup – whooosh ! – la lumière vient sur eux, et soudain ils se disent : « Oh, maintenant je me souviens. Merde! Je suis revenu ici pour laisser partir tous mes trucs, intégrer toutes mes vies passées et être un Maître comme ces autres personnes, ces Shaumbra. » Super vidéo (Adamus rit).

 

Donc, nous avons beaucoup parlé de la lumière et du moment où elle sort, et je ne saurais trop insister sur le fait que la lumière n'a aucun ordre du jour. Maintenant, je sais que l'humain dit: « Oui, mais nous voulons le diffuser pour rendre le monde meilleur. » A quoi cela ressemble-t-il? Est-ce l'endroit que vous imaginez dans votre esprit/mental ? Est-ce que c'est ça? Rempli de licornes ? Rempli de gens heureux qui se promènent et s'offrent du chocolat ? Je ne pense pas que beaucoup de gens veulent ça. Donc, en d'autres termes, votre lumière sort sans ordre du jour.

 

 

Laissez le monde, laissez les potentiels de chaque individu décider de la façon dont ils veulent le faire. Chute de vélo, peut-être. C'est à eux de décider. Mais le fait est que la lumière sort. Nous avons donc fait cette magnifique, magnifique DreamWalk.

Aujourd'hui, je veux parler de l'obscurité. L'obscurité. Heh ! Ouais pourquoi pas? Nous avons parlé de la lumière. Vous pouvez parler de l'obscurité.

 

Tout d'abord, d'abord et avant tout, l'obscurité n'est pas une force d'opposition. L'obscurité n'est pas une force opposée. Vous ne combattez pas les ténèbres en vous. L'obscurité est simplement là où la lumière n'a pas encore été, et il faut de l'obscurité pour que la lumière soit la lumière.

 

Il y a ce concept sur la planète en ce moment, c'est l'ancienne formule de dualité, que vous avez votre lumière et tout va bien, et vous avez votre obscurité et tout est mauvais. Et que la lumière et l'obscurité vont s'affronter, et parfois l'obscurité a un avantage, et d'autres fois c'est la lumière. Mais si on s'assoit tous, qu'on se tient la main et qu'on chante Kumbaya, la lumière vaincra une fois pour toutes l'obscurité. Ce qui se passe dans ce scénario, c'est que fondamentalement, tout disparaît (Adamus rit). Vous avez besoin de l'obscurité, c'est ce que je dis, parce que c'est là où la lumière n'a pas encore été. Elle ne s'oppose pas à la lumière.

 

 

L'obscurité, même en vous, ne s'oppose pas à la lumière. C'est simplement là où aucune conscience n'a jamais été. Ce n'est pas un endroit. Elle n'a ni taille ni volume. C'est simplement là où vous n'êtes pas encore allé. Certains d'entre vous s'aventurent dans l'obscurité dans leurs rêves la nuit : « À quoi cela ressemblerait-il d'entrer – d'amener ma lumière, ma conscience – dans un endroit où cela n'a jamais été auparavant ? Quelle expérience.

 

Mais malheureusement, sur cette planète qui est basée sur la dualité, la polarité, les batailles, on en est venu à penser qu'il s'agit d'annihiler l'obscurité. Ressentez cela un instant. C'est faux! Putain, tout est faux (Linda halète). Désolé (rires). C'est la seule fois où je dois utiliser ce mot aujourd'hui, parce que je suis tellement emphatique à ce sujet. Tout est faux.

 

Même la Nouvelle Pensée, le Nouvel Âge, certains spiritualistes ont ce coup de foudre à propos de: « Nous allons combattre les ténèbres. » Vous ne combattez que contre vous-même. Vous ne combattez que contre vous-même, et vous ne combattez même pas vraiment l'obscurité. Vous combattez simplement votre propre lumière. Vous déformez votre lumière lorsque vous combattez l'obscurité.

 

 

Maintenant, c'est tellement essentiel pour ce que nous faisons en ce moment. Nous n'essayons pas de vaincre les ténèbres/ l'obscurité. Vous avez besoin de l'obscurité. Il faut qu'elle soit là.

 

Maintenant, les ténèbres ne sont pas une force opposée, alors arrêtez s'il vous plaît de croire cela. S'il vous plaît, arrêtez de parler de votre propre obscurité. Vous savez, il y a des années et des années et des années, Tobias en a parlé, et Cauldre a presque abandonné sa carrière de canal à ce moment-là lorsque Tobias a dit ( ici ) : « Votre obscurité est votre divinité », ce qui signifie que c'est vraiment un endroit où se trouvent toutes les choses /tout la merde que vous n'aimez pas chez vous. C'est un endroit où vous ne voulez pas aller.

 

Donc, dans notre travail en tant que métaphysiciens, en tant que ceux qui rayonnent la lumière, il ne s'agit pas de s'opposer à l'obscurité. Et c'est de la simple physique, mais c'est aussi très bon sur le plan émotionnel. Nous allons y revenir dans un instant. C'est vraiment bon sur le plan émotionnel de comprendre qu'il n'y a pas du tout de mal dans votre obscurité. Aucun mal du tout. En d'autres termes, n'ayez pas peur d'aller là où votre lumière n'est pas encore allée. Il n'y a pas de croque-mitaine. Il n'y a pas de monstres. Satan n'est pas là. Dans votre obscurité, c'est simplement là où votre lumière n'a pas encore brillé.

 

 

Cela soulève donc la question : « Mais, Adamus, n'y a-t-il pas le mal sur la planète ? Le mal n'est-il pas ténèbres ? Qu'est-ce que le mal ? Qu'est-ce que le mal ? Certes, vous pourriez tous nommer le mal. Beaucoup d'entre vous ont été sujets au mal dans leur vie. Vous avez entendu parler du mal dans les nouvelles, mais qu'est-ce que le mal ?

 

Le mal est un mot intéressant – e-v-i-l (le mal) – l'antithèse, le contraire de – l-i-v-e (vivre).

 

Je me demande si c'est un hasard ? Non. Non. Le mal contient le mot « mensonge ». Mentir.

 

Et quoi d'autre? Voile. Voile. Donc, le mal n'est finalement qu'un gros mensonge. Pas un mensonge qui est perpétué par une conspiration. Il ne s'agit pas de ça. C'est le mensonge à soi-même, et peut-être à cause du voile, résultat de la densité ici dans cette dimension 3D dans laquelle vous vous trouvez. Mais le mal n'est en fin de compte qu'une distorsion de la lumière. Une distorsion de la lumière. Ce n'est pas sombre. C'est simplement la distorsion qui se produit lorsqu'une personne se voile la face, lorsqu'elle se ment à elle-même sur qui elle est vraiment. Ils se mentent à eux-mêmes et disent : « Je ne suis qu'un humain sur la planète. Je suis soumis aux gouvernements, je suis soumis aux dieux, donc je suis juste un humain sur la planète. » C'est un gros mensonge. Quand l'humain dit « Je ne sais pas », c'est un gros mensonge, et c'est essentiellement l'origine du mal, qui peut devenir encore plus tordu et de plus en plus méchant au fur et à mesure que vous avancez.

 

 

Mais le mal n'est pas l'obscurité. Le mal n'est qu'une distorsion, et la plus grande distorsion de toutes, dans tout cela, la plus grande distorsion - nous pourrions en parler indéfiniment, nous pourrions en débattre - mais tout se résume à ceci : la véritable cause du mal, c'est quand quelqu'un croit et vit que l'énergie est en dehors de lui. C'est le mal. Cela fait ressortir le mal.

 

C'est tellement simple. Pourquoi les gens envahissent-ils d'autres pays ? Parce qu'ils ne réalisent pas que l'énergie est déjà en eux. Ils croient au pouvoir. Ils croient qu'il faut s'emparer d'autres terres et d'autres personnes et, oui, c'est le mal. Mais c'est à cause de cette distorsion que : « je dois obtenir quelque chose. Je dois le voler à quelqu'un. Je dois tuer quelqu'un pour l'avoir. Je dois jouer à des jeux psychiques avec eux. Je dois jouer des tours de tête avec eux. Je dois déformer leur vie pour prendre quelque chose. C'est ça le mal, ou l'origine du mal, c'est qu'il est en dehors de vous.

 

 

Si quelqu'un comprend vraiment que  tout est votre énergie, que tout est là et que tout est prêt à servir, comment pourriez-vous être déformé en pensant que vous devez voler quelqu'un d'autre, qu'il faut lui faire du mal, qu'il faut peut-être le dorloter, qu'il faut faire de la lèche à quelqu'un ? Donc, en réalité, les origines du mal sont un manque de compréhension du fait que tout est à vous et que tout est là. Vous n'avez besoin de rien d'autre. Et, vous savez, les Shaumbra en sont encore au stade de la théorie. Ils entendent les mots, mais ils se lancent dans des débats mentaux à ce sujet, « Eh bien, oui, si tout est à moi, comment se fait-il que ma vie ne soit pas parfaite? » Eh bien, je vous pose la même question en retour. Comment cela se fait-il ? Comment se fait-il que vous traîniez des choses? Pourquoi vous pleurez et vous plaignez que quelqu'un vous a fait du mal ?

Comment se fait-il, que certains d'entre vous Shaumbra, comment se fait-il que vous visitiez tous ces sites de conspiration tous les jours ? Vous savez, je veux dire, les sites de complot, regardez-les. Allez-y et regardez-les. Je vous encourage tous à le faire. Quel est le facteur le plus commun à tous ces sites? « Quelqu'un d'autre se fout de vous » (quelques rires). Je l'ai répété (plus de rires). J'ai besoin d'un peu de chocolat ici.

 

LINDA : Oui. Vous en avez besoin. Vous en avez besoin.

 

 

ADAMUS : Je suis tellement secoué (Adamus rit). Quelqu'un d'autre contrôle...

 

LINDA : Puis-je vous apporter quelque chose d'autre pour vous aider ? Y a-t-il autre chose?

 

ADAMUS : Je vais bien. « Quelqu'un d'autre vous contrôle. Quelqu'un d'autre a le pouvoir sur vous. Quelqu'un d'autre vous fait des choses secrètes. Quelqu'un d'autre est – ils mettent des petits robots dans votre corps à travers vos bras lorsque vous vous faites vacciner. » Mais c'est en quelque sorte le MO - le mode opératoire - de toute conspiration. Cela a toujours été le cas. Si vous regardez l'histoire des conspirations, quelqu'un vous prend quelque chose et vous dit: « Nous n'allons pas vous dire qui c'est, ou ce que c'est. Tout cela est un grand secret, jusqu'à ce que vous rejoigniez notre cause de conspiration, qui va vous coûter 500 $ d'initiation. »

 

C'est un concentré d'énergie, et j'aime en parler, parce que pour moi c'est un exemple brillant de cette croyance que tout est là, ailleurs– les réponses, l'abondance, l'énergie et tout le reste. C'est l'origine du mal.

 

LINDA : Pourquoi y a-t-il tant de choses sur le complot ? On dirait que c'est devenu fou.

 

ADAMUS : Les gens deviennent très polarisés. Et il y a beaucoup de facteurs là-dedans – bonne question, mais beaucoup de facteurs – parce que c'est aussi que les gens qui aiment le drame. Vous enlevez les trucs de la conspiration aux amateurs de conspiration,  aux fanatiques, et, oh, ils n'ont rien plus à faire. Ils ne sont plus spéciaux, parce que, vous savez, quand ils sont dans les conspirations, ils sont très spéciaux parce que : « je sais quelque chose que vous ne savez pas ». Vous savez : « je suis spécial parce que j'ai cette information secrète que vous n'avez pas, parce que vous lisez juste les nouvelles traditionnelles. Je lis les vrais trucs. » (Quelques rires) Ok.

 

Mais ils aiment le drame. Ça fait une bonne histoire. Cela perpétue toute cette histoire que l'énergie est à l'extérieur de vous et que quelqu'un essaie de la prendre, que ce soient des extraterrestres, que ce soient - oh ! – les gens qui vivent sous la Terre. Je ne leur ai pas encore dit. Ils vont sortir la semaine prochaine de sous terre et ils vont voler des petits bébés et des moutons en même temps (plus de rires) et les ramener sous terre pour – Dieu sait ce qu'ils vont en faire.

 

 

Donc, vous savez, et ils y croient. Ils adorent ça, parce qu'ils insistent sur le fait que l'énergie est en dehors d'eux. C'est le mal. L'obscurité ne l'est pas. L'obscurité ne l'est pas. L'obscurité est simplement là où vous n'êtes pas encore allés. Le mal est la distorsion de la lumière et n'importe qui peut la libérer à tout moment. Il peut dire: « Oh, d'accord. Personne n'essaie de profiter de moi. Ils n'essaient pas d'avoir des gouvernements secrets ou de nous tuer tous avec les pulvérisateurs de poudreuses dans l'air, qui pulvérisent ces trucs sur nous ou quelque chose comme ça. »Vous savez, cela fait de bonnes histoires et les Shaumbra… les Shaumbra. Vous voilà (regardant une autre caméra). Ah ! Vous essayez de me fuir, n'est-ce pas ? Les Shaumbra (Adamus rit), vous savez, cela fait de bonnes histoires et cela vous distrait en quelque sorte de ce pour quoi nous sommes ici à faire en ce moment. J'ai expliqué plus tôt pourquoi nous sommes ici.

 

 

 

Nous avons traversé l'appel à l'éveil, et nous en arrivons à la libération, à la sagesse, à la physique et à la lumière qui irradie. Plutôt simple. Mais vous vous laissez distraire par ce genre de choses. Et pourquoi? Eh bien, parce que c'est alléchant, c'est séduisant. Cela vous rend spécial. Il y a beaucoup de drame dans tout ça. Et, bon sang, vous évitez toujours le fait que c'est votre énergie. Pourquoi vous ne regardez pas ça ? Pourquoi ne pas y faire face ? C'est votre énergie. Mais vous ne voulez pas, parce que « c'est un gouvernement secret, et en plus de cela, tous ceux qui ont été vaccinés maintenant sont des zombies ambulants» (Adamus imite la marche comme un zombie). Au moins ils sont vivants, vous savez. C'est tout ce que je peux dire (quelques rires). Certains d'entre vous en deviennent fanatiques à ce sujet. Ooh ! Vous bouillonnez, je peux sentir le bouillonnement sortir en ce moment même. Quelqu'un ici bouillonne? Non, non. Je fulmine.

 

LINDA : Pas à voix haute !

 

ADAMUS : Ouais (ils rient). Et vous ?

 

LINDA : Non.

 

 

ADAMUS : Ok.

 

Donc, maintenant, deux choses. S'il vous plaît, comprenez que l'obscurité est seulement là où votre lumière n'a pas encore été. Et comprenez aussi que la lumière peut être déformée par le mal. La définition du mal est de croire que l'énergie est à l'extérieur de vous et que vous devez l'obtenir d'une manière ou d'une autre, comme si c'était ce grand jeu, grand jeu auquel nous allons jouer. «Très bien, vous n'avez pas d'énergie. Elle est là dehors ou dans tous les autres, sauf en vous, vous êtes si spécial. Maintenant, voici le jeu : Sortez et obtenez-la. Sortez et obtenez votre énergie. Et puis vous allez faire ça vie après vie. »

 

 

 

 

DreamWalk Dans Votre Obscurité/ Vos Ténèbres

 

Maintenant, pour faire suite au mois dernier, j'aimerais faire une DreamWalk (une Marche dans le Rêve) dans votre obscurité/ dans vos ténèbres.

 

LINDA : Oh !

 

ADAMUS : Ouais. Ça a l'air excitant, hein ?

 

LINDA : Mmm !

 

ADAMUS : Qui allons-nous rencontrer là-bas ? OK, mettons de la musique et prenons une bonne respiration profonde.

 

(la musique commence)

 

 

Les gens se demandent souvent : « Quelle est la genèse du mal ? Où cela a-t-il commencé ? Pourquoi Dieu permet-il le mal ? Jusqu'à quel point le mal est-il mauvais? Peut-on être un peu mauvais ou très mauvais, ou est-ce juste le mal?»

 

Le mal est un mensonge, et le mensonge est que l'énergie est à l'extérieur de vous, que les réponses sont en dehors de vous, que même votre propre esprit/mental et votre propre âme sont à l'extérieur de vous. C'est ça le mal.

 

Cela conduit souvent à des actes odieux, en effet. Mais généralement, le mal est juste une sorte de, eh bien, c'est drôle à dire, c'est une sorte de chose intérieure. C'est juste quelque chose que les gens - c'est une chose intérieure purulente. De temps en temps, il se manifeste sur une scène très dramatique, mais la plupart des gens nourrissent le mal intérieurement, tranquillement.

 

 

« Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? Comment se fait-il que je n'en ai plus ? Comment se fait-il que les autres aient ce que je n'ai pas ? Comment puis-je en obtenir plus ? Peut-être que je ne suis pas digne ? » C'est ça le mal.

 

Le mal réside souvent et est reconnu à l'intérieur, ce qui est très intéressant, car c'est la distorsion même en soi, la croyance que les choses sont à l'extérieur, mais pourtant, ils permettent au mal d'être à l'intérieur, de s'infecter, de suppurer, de croître, de s'accumuler à l'intérieur.

 

Pourquoi est-ce que les gens laissent le mal être en eux, mais pas leur propre énergie, pas leur propre lumière ?

 

Cette DreamWalk est maintenant dans vos propres ténèbres /dans votre propre obscurité, et s'il vous plaît ne confondez pas le mal et l'obscurité/les ténèbres. Je veux que vous n'ayez plus peur de votre propre obscurité, et je veux que vous soyez conscients de ce que le mal, de ce que la croyance dans le mensonge– le mensonge étant que vous ne l'avez pas (votre énergie, votre lumière) – peut faire.

 

 

Mais maintenant, prenez une bonne respiration profonde.

 

Vous avez eu deux années pour aller à l'intérieur. Des plongées profondes. Des rêves profonds.

 

Il est temps maintenant d'affronter votre propre obscurité/ vos propres ténèbres et de ne plus jamais les craindre. N'ayez jamais peur /Ne craignez jamais ce que vous ne connaissez pas encore, ce que vous n'avez pas encore vécu.

 

Prenez une bonne respiration profonde et sentez-vous maintenant comme votre lumière, comme un Maître maintenant, alors qu'elle entre en contact avec votre obscurité/avec vos ténèbres.

 

(pause)

 

 

Il y a une pensée courante qui est que vous voudriez que votre lumière essaie de surmonter l'obscurité, essaie de la détruire. Mais ici, nous n'essayons pas de faire cela.

 

La lumière est une lumière de grâce. Elle n'essaie pas de percer l'obscurité. Elle la sent tout simplement.

 

La lumière ne cherche pas à submerger /à écraser les ténèbres. Elle se fond plutôt avec elle, elle s'intègre à elle.

 

La lumière est la conscience, la conscience. En fin de compte, c'est votre énergie, et l'obscurité est simplement là où vous n'êtes pas encore allé.

 

Les Shaumbra me demandent si souvent : « Comment puis-je sortir ? Comment m'évader ? Comment puis-je aller au-delà du mental ? Je sais qu'il y a plus là-dehors, mais je ne sais pas comment m'y rendre. Comment puis-je transcender ces autres dimensions dont vous, Adamus, vous parlez ? Comment puis-je entrer dans ces endroits qui sont au-delà du mental ? »

 

 

Entrez simplement dans votre propre obscurité. C'est là où la lumière n'a pas encore été.

Laissez votre lumière, votre conscience se sentir maintenant dans l'obscurité sans crainte. Pourquoi auriez-vous peur de l'endroit où vous n'êtes pas encore allé, alors que vous ne savez pas encore où cela se trouve ? Pourquoi y aurait-il la moindre peur ? C'est simplement là où vous n'êtes pas encore allé.

 

L'obscurité n'est pas remplie de mal. Le mal n'est en fait qu'une distorsion de la lumière. Ce n'est pas l'obscurité.

 

Laissez l'obscurité/ les ténèbres venir à vous maintenant, votre obscurité intérieure. Laissez-la venir à vous.

 

(pause)

 

 

Les humains ont appris que dans l'obscurité/ les ténèbres se trouvent des démons, alors « fuyez-la ». On leur enseigne que les ténèbres sont Satan, « N'y allez pas. Restez loin de ça. C'est  l'antre de Satan. »

 

Les ténèbres ont une si mauvaise réputation. C'est simplement là où vous n'êtes pas encore allé. Et pendant des éons de temps dans l'histoire de l'humanité, il y a eu ceux qui ont voulu rester eux-mêmes. En d'autres termes, là où ils en sont actuellement, et ensuite ils veulent que tout le monde fasse de même : «N'allez pas dans quelque chose de nouveau, quoi que ce soit au-delà. Restez où vous êtes. »

 

Le vrai métaphysicien réalise qu'il n'y a pas de mal dans son obscurité. Il y a simplement des choses qui restent à expérimenter.

 

Laissez-vous ressentir et danser avec votre propre obscurité.

 

 

L'obscurité n'a pas d'ordre du jour/aucun programme quel qu'il soit. Elle n'essaiera pas de vous faire plonger dans ses expériences qui sont encore à venir. Elle n'essaiera pas d'éteindre votre lumière. Elle ne le peut pas.

 

L'obscurité n'est pas un mauvais endroit. C'est simplement là où vous n'êtes pas encore allé.

 

J'irais même jusqu'à dire que là où vous avez déjà été dans votre légèreté, dans votre expérience, là où vous avez été, contient beaucoup plus de démons, beaucoup plus de mauvais souvenirs. Mais l'obscurité, non. Elle n'a pas d'agenda /pas d'ordre du jour.

La peur de l'obscurité /des ténèbres est l'une des principales raisons pour lesquelles les humains se retiennent. « Restez dans ce que vous connaissez déjà. Restez dans la conscience de l'expérience actuelle. N'y allez pas. N'ouvrez pas cette porte », disent-ils. Mais il est temps, Shaumbra, que chacun apporte sa lumière à l'obscurité /aux ténèbres et ses ténèbres à la lumière.

 

 

Il n'y a rien à craindre dans votre propre obscurité, absolument rien. Assez logiquement, car il ne s'est encore rien passé là-bas. Rien n'a été expérimenté s'il est encore dans l'obscurité.

 

Le fait de ne plus craindre son obscurité permet liberté et libération. Ne plus craindre qu'il y ait des démons là-dedans, des fantômes du passé, des choses qui les égarent ; aller dans l'obscurité fera d'eux des toxicomanes ou des idiots ou des victimes en enfer. Non.

Laissez-vous ressentir votre propre obscurité.

 

(pause)

 

Cela provoque un peu d'anxiété, un peu d'hésitation. « Oof ! Est-ce correct? Que va-t-il se passer ? » Laissez-vous pénétrer pleinement.

 

Le mal auquel vous pensez, le mal que vous assimilez souvent aux ténèbres, ce sont deux choses très différentes. Le mal, une distorsion, un mensonge qu'il y a quelque chose en dehors de vous. Mais ce n'est pas l'obscurité. Pourtant, dans la conscience des humains, ils l'assemblent, c'est la même chose. Ce ne l'est pas.

 

 

Laissez-vous sentir profondément dans l'obscurité. Laissez l'obscurité se sentir dans votre lumière.

 

Il n'y a rien à craindre là-dedans, surtout quand vous réalisez que tout vient de votre énergie, de votre âme, de votre Je Suis. Tout est là. Il n'y a aucune séparation quelle qu'elle soit.

 

Il n'y a pas de séparation entre la lumière et l'obscurité. C'est vraiment, vraiment un concept humain. Elles ne sont pas différentes.

 

L'obscurité n'est pas quelque chose qui est une force opposée. Permettez-vous de la ressentir comme une énergie de soutien.

 

 (pause)

 

On dit que les gens ont peur de leurs propres ombres, de leur propre obscurité/ ténèbres. Ce dont ils ont réellement peur, c'est de leur propre passé.

 

(pause)

 

 

Il y a un tel système de croyances à propos de l'obscurité, une croyance qu'il y a des forces opposées. Il n'y en a pas. Elles travaillent ensemble.

 

S'il n'y avait pas d'obscurité, la lumière n'aurait nulle part où aller. S'il n'y avait pas de lumière, les ténèbres n'existeraient pas. Elles n'auraient aucune raison d'exister. Elles travaillent ensemble - votre lumière et votre obscurité/vos ténèbres.

 

Sentez-le. Touchez ça. Sentez-vous dans votre obscurité/vos ténèbres.

 

Sentez-le avec vos mains, avec votre peau. Ressentez-le dans les circuits de votre esprit/mental. Sentez-le dans votre souffle/ votre respiration. Ce n'est pas une force d'opposition, et il n'y a rien à craindre du tout.

 

Combien de fois vous êtes-vous retenu, combien de fois avez-vous reculé parce que c'est l'inconnu ? Vous avez peur de ce qui pourrait arriver. Vous avez peur, en fin de compte,  de ce qu'on appelle les ténèbres, ce qui s'est transmis de génération en génération par la philosophie, par la religion, par l'actualité, et qu'on appelle les ténèbres. Cela a poussé tant d'humains à avoir peur d'eux-mêmes.

 

 

Il est temps, en tant que métaphysiciens, de dépasser cette barrière et de permettre à la lumière et à l'obscurité d'être ensemble – de travailler ensemble – et non pas à la lumière de s'opposer à l'obscurité.

 

Il y a des gens autrement intelligents sur la planète qui insistent encore sur le fait que nous allons sortir et combattre l'obscurité, la vaincre. Ils ne comprennent tout simplement pas. Ils perpétuent la très ancienne bataille.

 

Ah, les statues de l'Archange Mikael tenant l'épée, comme si nous allions tous combattre les ténèbres. Cette épée est simplement la souffrance du Soi, simplement la peur l'obscurité/des ténèbres.

 

Prenons une bonne respiration profonde.

 

Je vous demande d'embrasser votre obscurité, parce que c'est vous. Elle est là. C'est votre âme. C'est votre énergie. Et il n'y a rien à craindre.

 

On lui a donné une si mauvaise réputation, mais ce n'est pas le cas. C'est juste ce qui n'a pas encore été expérimenté. C'est là où aucune lumière n'est encore venue, que ce soit par peur ou simplement parce qu'on n'était pas prêt. Et quand on est prêt, on entre dans cette obscurité. Et si l'on comprend vraiment que tout est notre énergie, alors ce qui se déroule lorsque la lumière pénètre dans l'obscurité sont des choses miraculeusement belles sans l'élément de souffrance, sans la peur, sans la paranoïa.

 

 

Le mal – qui n'est pas l'obscurité – le mal, c'est tout simplement ne pas vivre; ne pas vivre parce qu'on ne comprend pas que tout est notre énergie de toute façon.

 

Prenons une bonne respiration profonde avec cela, chers Shaumbra.

 

Sentez-vous en cela - votre obscurité et votre lumière qui se rejoignent, qui ne se battent pas.

 

Votre lumière sort  lorsque vous faites du Benching (Être Assis sur un banc), sans essayer de vaincre l'obscurité du monde.

 

Non, l'obscurité du monde est nécessaire. Le mal ? C'est une autre histoire, mais peut-être que votre lumière brillera et aidera les gens à comprendre que tout est leur énergie. Il n'y a pas besoin de l'obtenir, de la chercher, de la convoiter de quelqu'un d'autre, de n'importe qui d'autre, de quoi que ce soit d'autre. Elle ne se trouve pas dans un champ unifié au loin dans les galaxies. Il n'y a aucune raison de s'approprier le territoire d'un autre. Il n'y a aucune raison de vouloir le pouvoir sur cette planète. C'est le mal, mais pas votre obscurité/vos ténèbres.

 

 

 

En tant que métaphysiciens, transcendons le vieux concept d'obscurité et apprenons à danser avec elle. C'est simplement là où vous n'êtes pas encore allé.

 

Et pas besoin de craindre ce qui viendra quand vous y allez, même si vous n'avez aucune idée de ce qui va se passer, parce qu'il y a une confiance innée en vous-même, en votre âme, que lorsque vous entrez dans l'obscurité, les expériences qui viennent sont parfaites parce qu'elles sont les vôtres. Elles sont votre énergie. Elles sont votre grâce.

 

Prenons une bonne respiration profonde dans notre DreamWalk, votre DreamWalk dans votre obscurité/ vos ténèbres. Rien à craindre.

 

(Fin de la musique)

 

Prenons une bonne respiration profonde avec ça.

 

Ainsi, lorsque que vous êtes sur le banc, que vous partagez votre lumière, qu'elle brille sur vous-même, il ne s'agit pas de combattre l'obscurité. C'est terriblement naïf, pour ceux qui y croient encore. Donc hier, en termes de vraie métaphysique.

 

 

Soyez avec votre obscurité/ vos ténèbres. Soyez avec votre lumière. Et comprenez ce qu'est vraiment le mal. C'est le mensonge qu'il y a quelque chose en dehors de vous-même.

Prenons une bonne respiration profonde sur la beauté de cette journée, le retour à nos audiences Shaumbra en direct. S'il vous plaît, ceux qui ont eu un gain, veuillez voir Bonnie au fond de la salle pour recevoir votre argent.

 

Sur ce, chers amis, prenons une bonne respiration profonde en nous souvenant de quoi ?

 

ADAMUS ET LE PUBLIC : Tout est bien dans toute la création.

 

ADAMUS : Merci, Shaumbra (applaudissements du public).

 

 

 

 

 

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Respiration d’Intégration de Linda

 

 

Donc, avec cela et sur cette note passionnante, encore une fois, prenons à nouveau quelques respirations profondes.

 

Laissez ces énergies bouger,

 

 

Laissez rayonner vos énergies.

 

Quelques bonnes respirations profondes, honorant Tout ce que Vous êtes.

 

 

 

Et merci de faire partie de ce shoud, d'être ici avec Adamus et notre public en direct.

 

Merci à tous, heureux que vous ayez pu être là.

 

Merci !

 

 

 

 

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CRIMSON CIRCLE

The Global Affiliation of New Energy Teachers

Affiliation Mondiale Des Enseignants Nouvelle Énergie

www.crimsoncircle.com

 

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Interprétation de Feolla 

feolla.ca@gmail.com    www.quatorzenouvelleenergie.com

 

Avec l'Aimable participation d'Elyo pour la partie Introduction et Conclusion de Linda

 

 

 

 

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Adamus® canalisé par Geoffrey Hoppe , assisté par Linda Hoppe

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