Quatorze

 

 

 

ADAMUS SAINT GERMAIN

 

 

LES MATERIAUX DU CRIMSON CIRCLE

 

Série: ILLUMINATION

 

SHOUD 9

 

Adamus Saint Germain, canalisé par Geoffrey Hoppe, assisté par Linda Hoppe,

 

Présenté au Crimson Circle le 1er Juin 2024

 

www.crimsoncircle.com

 

 *****

 

NOTE IMPORTANTE: Ces informations ne vous concernent probablement pas, à moins que vous ne preniez l'entière responsabilité de votre vie et de vos créations.

 

 

 

Pour profiter pleinement de toutes les énergies, Vous pouvez visionner en Anglais, la vidéo du SHOUD 9 ou simplement l’écouter, tout en lisant l’Interprétation ci-dessous.

 

 

 

 

 

 

*****

 

Respiration d’Introduction de Linda

 

 

 

 

Heureux de vous revoir. Nous voilà de retour de notre pause. J’espère que vous avez pris soin de vous et que vous êtes prêts pour ce Shoud, pour cette canalisation avec Geoffrey Hoppe, et avec l’espoir qu’Adamus se présentera vraiment en pleine force (rires). (NDI : en référence au fait qu’Adamus semblait absent sur la partie antérieure et que Geoffrey s’en est inquiété).

 

 

Alors, comme toujours, commençons par cette bonne respiration profonde.

 

Vous savez, oui, nous respirons tous, mais il s’agit de cette respiration consciente.

 

 

 

 

Nous sommes ici en tant que groupe, mais ce n’est pas une respiration de groupe, c’est  une respiration personnelle pour chacun de nous, en nous, avec notre souveraineté, l’amour.

 

 

 

Il suffit de respirer dans votre cœur, en vous permettant d’être vraiment conscients et présents.

Prenez cette bonne respiration consciente.

 

Ressentez en vous.

 

Respirez et   coulez.

 

 

 

 

Ouvrez-vous au potentiel le plus élevé, une chose tellement importante pour permettre à chacun de nous d’être dans cette bonne respiration profonde.

 

Respirez le «  Je Suis ce que Je Suis, » « J’Existe. »

 

 

 

 

Respirez une sensation fluide.

 

Et le plus important, Permettre. C’est plus important que jamais maintenant.

 

Respirez en Permettant le flux. Soyez avec.

 

 

 

 

Restez avec cette bonne respiration profonde pendant que nous nous préparons pour Adamus.  

 

Respirez-le. Il est là. Respirez-le et ressentez.

 

 

 

 

*****

 

ADAMUS DE SAINT GERMAIN

 

 

 

Je suis là (applaudissements du public). Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Souverain.

 

Maintenant, je dois admettre que je n'essayais pas d'effrayer Cauldre, ni aucun d'entre vous, ni de le rendre nerveux, même si je suis sûr que cela l'a rendu un peu nerveux (en référence aux commentaires de Geoff sur l'absence d'Adamus dans le segment précédent). J'ai simplement dû procéder à de grands changements. J'avais un très beau Shoud tout prêt. Il était magnifique.

 

Je le donnerai peut-être à un moment donné (quelques rires). Mais à la dernière minute, j'ai dû tout supprimer. Tout changer. Tout jeter - tout jeter par la fenêtre – et le réorganiser en quelque sorte. Faire feu de tout bois.

 

 

Ce que j’avais prévu n’était tout simplement pas approprié pour aujourd’hui. Je me suis senti dans les Shaumbra, en chacun d'entre vous, en vous tous à travers le monde, et j'ai réalisé que ma brillante discussion sur le Shoud de la journée devrait attendre. Nous avons d'autres choses à faire ici.

 

J'étais donc en retard. D'habitude, je viens discuter avec Cauldre la veille, le jour même, mais j'étais un peu en retard parce que j'ai dû tout refaire. J'ai dû préparer des énergies très spéciales pour ce que nous allons faire ici aujourd'hui.

 

LINDA : Oh-oh (ils rient).

 

ADAMUS : Des énergies très, très spéciales pour ce que nous allons faire. Et je pense que vous l'apprécierez. Je pense en fait, que c'est  vous qui l'avez demandé.

Donc, avant de commencer, je veux faire certaines choses.

 

 

Je souhaite la bienvenue à tous ceux qui sont nouveaux dans le Crimson Circle. Ce n'est probablement pas ce à quoi vous avez été habitués dans le passé, c'est le moins que l'on puisse dire. C'est un peu différent. Nous – nous, ce groupe ici, les Shaumbra – c'est une bande de rebelles. Une bande de pirates. Ils ne respectent pas les règles. Ils ne font pas leurs devoirs. Ils n'écoutent même pas particulièrement les Grands Maîtres Ascensionnés, mais c'est un groupe magnifique. Ils s'appellent eux-mêmes des pirates. Ils suivent leur propre lumière. Et parfois, je sais qu'il semble que ce ne soit pas le cas, ils se laissent distraire. Mais en fin de compte, lorsqu'ils se retrouvent coincés, lorsque les choses sont les plus difficiles, c'est là que cette énergie, l'énergie des pirates, ressort /se manifeste, et ils sont déterminés à le faire. Liés et déterminés.

 

 

 

Donc, pour ceux d'entre vous qui sont nouveaux ici, nous sommes un peu différents. Nous sommes parfois très irrévérencieux. Nous aimons nous amuser. Nous aimons aller au-delà du makyo. Le makyo, c’est la connerie spirituelle, et tout le monde y est soumis. Chacun d’entre vous qui êtes sur le chemin, va tôt ou tard se laisser prendre par le makyo. Puis, vous vous en rendrez compte et vous passerz à autre chose.

 

Pour ceux d'entre vous qui attendent aujourd'hui quelque chose de nouveau, nous n'avons rien de nouveau. Alors autant aller voir ailleurs. Rien de nouveau aujourd'hui. Vous savez, c'est toujours étonnant que les Shaumbra se demandent : «Qu'y a-t-il de nouveau ? Quel est la dernière? Qu'est-ce qu'il y a de mieux? Et c'est comme : « Avez-vous au moins jeté un œil à ce que nous avons fait dans le passé ? Avez-vous au moins essayé de faire ça ? » Mais aujourd’hui rien de nouveau.

 

 

J'ai ressenti les énergies et j'ai réalisé que nous devions faire quelques ajustements. Nous devons faire un peu de libération aujourd'hui. Nous allons donc faire plusieurs merabhs aujourd'hui au cours de ce Shoud.

 

Je demande donc à chacun d'entre vous de ressentir dès maintenant les énergies de tout, des Shaumbra, du monde. Ressentez ces énergies.

 

(pause)

 

Et si vous ne l’avez pas déjà réalisé, il se passe bien plus de choses que jamais auparavant. Il se passe plus de choses, et cela peut parfois rendre les choses très, très difficiles à certains moments. Cela peut presque vous mettre en pièces à certains moments.

Ressentez les énergies pendant un moment.

 

(pause)

 

 

Je vais maintenant demander à ma chère Linda d'Eesa de prendre le micro. Nous allons sortir et parler aux Shaumbra dans le public. Et la première question de la journée est… mais avant de faire cela, je vais vous demander encore une chose.

 

Contrairement à ce que je dis souvent, vous savez : « Rayonnez votre lumière, faites briller votre lumière », mais pour l'instant, pour vous tous ici, pour vous tous qui regardez, ne le faites pas. Non. Arrêtez-vous un instant. Ne la laissez même pas briller. Gardez-la simplement ici, dans notre espace sacré, à l'intérieur de vous-même. Aucune lumière ne brille, du moins pendant la durée de ce Shoud.

 

 

À Quel Point Est-Ce Difficile ?

 

Donc, avec cela, la question s’adresse à la première personne : à quel point est-ce difficile, ce que vous êtes en train de faire? Linda, quelqu'un d'autre ? À quel point est-ce difficile ?

(pause pendant que Linda apporte le micro à quelqu'un)

 

 

 

 

LINDA : J'ai ce regard !

 

MARY : Très difficile !

 

ADAMUS : Très difficile. D'accord, sur une échelle de 1 à 10, où le situeriez-vous ?

 

MARY : Eh bien, cela dépend des jours.

 

ADAMUS : Bien. Bien.

 

MARY : Certains jours, c'est zéro, et je vole dans tous les sens.

 

ADAMUS : Ok. Prenons les six derniers mois. Quels ont été les défis ?

 

MARY : Eh bien, la même réponse s'appliquerait, mais comme hier, c'était un défi.

 

 

ADAMUS : Pourquoi ? Je pensais que c'était censé être une grande fête. Heaven's Cross (La Croix du Ciel),) vous savez, «Nous allons de l'avant. Nous intégrons notre divinité », mais c'est un défi.

 

MARY : Oui. Je veux dire, je peux – par exemple, le matin je suis allée faire une randonnée, et je me suis amusée comme une folle.

 

ADAMUS : Bien.

 

MARY : Et puis j'ai - mon orbite, mon cercle d'amis et ma famille sont confrontés à beaucoup de maladies.

 

ADAMUS : C'est difficile.

 

MARY : Et donc c'est difficile.

 

ADAMUS : Ouais.

 

MARY : Et puis le climat politique aux États-Unis.

 

ADAMUS : Attendez, quoi – je ne suis pas au courant (ils rient).

 

 

 

 

MARY : Cela crée une sorte de peur pour moi.

 

ADAMUS : Vraiment ? Pourquoi?

 

MARY : Eh bien, les gens qui se battent pour… ils disent : « La guerre ! » Partez en guerre ! » Donc.

 

ADAMUS : Êtes-vous démocrate ou républicaine ?

 

MARY: Est-ce que ça a de l'importance ?

 

ADAMUS : Non, juste par curiosité.

 

MARY : Je ne sais pas si je dirais démocrate ou républicaine, mais je ne suis certainement pas de droite.

 

ADAMUS : Ok. Avez-vous déjà essayé de n'être ni l'un ni l’autre ? De rester derrière ce petit mur?

 

MARY: J'essaie.

 

ADAMUS : Vous essayez.

 

MARY : J'essaie. J'essaye.

 

ADAMUS : Mais vous voulez y entrer de temps en temps.

 

MARY : J'essaie. J'essaye.

 

 

 

ADAMUS : Ouais (elle rit). Et vraiment, je veux dire, ce serait mon conseil, et contrairement à certaines critiques que j'ai reçues récemment, je ne suis même pas contre le vote. Votez si vous le souhaitez, mais gardez votre énergie en dehors de tout cela. La situation ne fera qu'empirer.

 

MARY : Ouais, ouais.

 

ADAMUS : Et je veux dire pire, pire.

 

MARY : C'est pourquoi je continue à faire ces promenades dans la nature.

 

ADAMUS : Genre, pire, pire, pire. Et pas seulement ici aux États-Unis

 

MARY : Ok, vous n'aidez pas à faire face à la peur qui surgit ! (ils rient)

 

ADAMUS : Ce n'est pas mon travail ! Non, il ne faut pas avoir peur. Vraiment. Et je vais le dire maintenant. Je l'ai déjà dit. Tout finira par s'arranger, mais nous traversons une période très difficile en ce moment. Tout finira par s'arranger. Il y a trop de lumière sur la planète pour que cela ne fonctionne pas. Il y a vous sur la planète, mais en attendant, il va y avoir des turbulences dans le monde extérieur et peut-être intérieur. Et c'est pour ça que j'ai abandonné les plans.

 

 

 

 

MARY : Et je crois que c'est ce qui me préoccupe. Ce n'est pas tant pour moi. Mais plutôt pour mes petits-enfants. Je crains qu’ils ne soient au cœur de la violence.

 

ADAMUS : Bien.

 

MARY : Donc, c'est la violence qui…

 

ADAMUS : Ouais. Mais il n'est pas nécessaire d'en arriver là. Et nous n'allons pas faire un grand rassemblement pour la paix dans le monde, un rassemblement kumbaya ou quoi que ce soit de ce genre. Nous allons nous tenir derrière le petit muret et, une fois le Shoud terminé, nous allons laisser notre lumière rayonner à nouveau vers les potentiels plus élevés. Mais pour l'instant, c'est le moment de la tension. Je veux dire, comme vous l'avez probablement remarqué.

 

MARY : Oui. Oui.

 

 

 

 

ADAMUS : Ouais. Et il y a des jours où c'est très difficile, et c'est pourquoi j'ai dit que j'avais de grands projets pour le Shoud aujourd'hui, mais que j'ai dû les abandonner.

 

J'ai dû me dire : « Euh, non, il nous faut autre chose ici. » Et c'est une bonne chose à retenir dans votre vie pour vos projets, tous vos projets. Je ne parle pas de vos rêves, mais de vos projets. Ils vont probablement changer et il faut s'y préparer. Je veux dire, beaucoup d’entre vous sont très axés sur la planification, et vous aimez avoir de bons horaires et tout le reste. Jetez-les. Ou, si vous ne le faites pas, ils seront supprimés, parce que les choses changent si vite que vous ne pouvez pas vraiment avoir– je veux dire, vous pourriez avoir un plan pour ce que vous allez peut-être acheter au magasin. Mais la planification que vous aviez l'habitude de faire, la planification du reste de votre vie, la planification – oubliez-la. Elle s'en va par la fenêtre. Et je sais que vous n'aimez pas entendre cela parce que : « Oh, non ! Et je vais élaborer un plan, puis j'y mettrai ma lumière et cela se passera de cette façon. Ce ne sera pas forcément le cas.

 

MARY : Eh bien, j'aimerais dire, pendant que j'ai le micro, que je vous remercie pour tout ce que vous faites pour nous, car personnellement, je ne sais pas comment j’aurai pu surmonter toute cette tourmente. Et vous m'avez énormément aidé.

 

ADAMUS : Merci.

 

MARY : Et je tenais à le dire. Merci.

 

 

 

 

ADAMUS : Merci. Mais ensuite vous devez vous remercier vous-même, parce que je suis simplement un miroir pour chaque Shaumbra.

 

MARY : Ok. Merci.

 

ADAMUS : Encore quelques autres. C'est difficile. Difficile. Est-ce que c'est un défi en ce moment ? Est-ce que vous vous contentez de passer à travers, Vince ?

 

VINCE : Ouais, je suppose, ou je suis tellement ignorant que je ne sais même pas ce qui se passe (Adamus rit).

 

ADAMUS : C'est en quelque sorte une bonne position, d'une certaine manière. Mais pourtant, vous savez ce qui se passe.

 

VINCE : Ouais.

 

ADAMUS : Ouais. Aviez-vous jamais pensé que vous verriez le monde comme ça ?

 

VINCE : Non. Je n’ai jamais…

 

ADAMUS : Genre, il y a 30 ou 40 ans ?

 

VINCE : Non.

 

ADAMUS : Ouais.

 

VINCE : Étant un optimiste perpétuel, je n'ai jamais – ce n'était pas dans ma conscience de le concevoir.

 

ADAMUS : Ouais.

 

 

 

 

VINCE : Mais je me tiens derrière le petit mur. Je ne regarde pas les nouvelles. Je ne m'investis/ne m’impliques pas.

 

ADAMUS : Ouais. Mais vous pouvez cependant ressentir les énergies.

 

VINCE : Oh, oui.

 

ADAMUS : Oh, Oui.

 

VINCE : Oh, oui.

 

ADAMUS : Alors, comment ça se passe ?

 

VINCE : Vous essayez de l'ignorer.

 

ADAMUS : Ouais.

 

VINCE : Je m'assois, je fais mon Sudoku et je ferme la porte à clé (Adamus rit).

 

ADAMUS : Bien. Merci, Vince.

 

LINDA : Plus ?

 

ADAMUS : Quelques autres. Les défis dans cette vie.

 

LINDA : Voyons voir.

 

PATRICIA : Oh, encore moi (Adamus rit). J'ai été populaire ces derniers temps.

 

ADAMUS : Oui.

 

 

 

PATRICIA : Cela a été vraiment difficile /un véritable défi, très, très difficile.

 

ADAMUS : Ouais. De quelle manière?

 

PATRICIA : Eh bien, pour moi, je me sens moi-même et ce n'est pas le défi. Je ressens ma légèreté, mon énergie et ma direction. Mais faire face au monde, c'est tout simplement fou.

 

ADAMUS : Ouais.

 

PATRICIA : Et c'est comme si un morceau tombait quelque part, et que vous vous disiez : « D'accord, ça va rester. » Et puis quelque chose de plus étrange se produit. C'est juste – c'est difficile, j’ai beaucoup de mal… Je suis souvent confrontée au fait d'être seule, au niveau humain. Je ne me sens pas seule au niveau spirituel.

 

ADAMUS : Bien.

 

PATRICIA : C’est mon défi. C'est juste de rester ici. La densité de ce plan terrestre.

 

ADAMUS : Bien.

 

 

 

 

ADAMUS : C'est plutôt difficile. Vraiment difficile. C'est, encore une fois, ce pourquoi j'ai en quelque sorte refait la journée. Bien. Merci.

 

PATRICIA : Ok.

 

ADAMUS : Un de plus. Les défis. Oh, elle peut courir (en référence à Linda quelques rires). De l’autre côté de la pièce. Je veux dire, absolument de l'autre côté de la pièce et elle devait venir. Il a fallu qu'elle vienne. Ouais.

 

TRACY : Quelle est la question, déjà ? Désolée, je me sens un peu bizarre et silencieuse aujourd'hui.

 

ADAMUS : Ouais, pas de problème. Qu'en est-il des défis, de votre vie en ce moment ? Est-ce que c'est un vrai défi, ou pas si difficile que ça?

 

TRACY : Ouais. Je suis fatiguée d'y penser. Mais bien sûr, il y a beaucoup de défis. Je suis en quelque sorte aspirée par la conscience de masse. Et comme si mes identités essayaient en quelque sorte de disparaître, puis essayaient aussi de rester.

 

ADAMUS : Bien. Bien.

 

 

 

 

TRACY : Donc, il y a le fait d'aller, de jouer mon rôle dans le monde, et je sais que je fais briller ma lumière. Mais ensuite, c'est comme m'extraire de la conscience de masse et me dire : « Oh, putain, merci… » Comme, vous savez : « Oh, maintenant je peux, genre, m'étendre/m’expanser », et c'est vrai. C'est donc ce va-et-vient constant entre le souvenir et le fait de ne pas oublier que, lorsque je suis dans la densité, je suis piégée. Dernièrement, j'ai vraiment essayé de permettre ce sentiment d'être piégée au lieu de le combattre, parce que je n'aime vraiment pas ça.

 

ADAMUS : C'est vraiment difficile pour vous parce que vous êtes dans le système scolaire, n'est-ce pas ?

 

TRACY : Ouais.

 

ADAMUS : Ouais. Et vous enseignez à de jeunes ?

 

TRACY : Collège et lycée.

 

 

 

 

ADAMUS : Collège et lycée. C'est encore pire. C'est encore plus difficile. Alors, comment gérez-vous cela ? Vous savez, être vous-même, traverser tout ce que vous traversez, et vous retrouver alors en plein milieu de cette conscience de masse.

 

TRACY : Ouais. Par exemple, je suis dans un collège communautaire, donc je n'ai pas autant de densité que, par exemple, dans les universités, mais c'est quand même beaucoup.

 

ADAMUS : Bien.

 

TRACY : Mais j'interagis aussi beaucoup maintenant avec des universitaires supérieurs, et c'est comme – je suis un peu comme une tornade pour eux, parce que je me lance. Donc c'est plutôt amusant, parce que je passe au travers de tous leurs documents. Parfois, c'est fatiguant ou je sens que cette énergie m'envahit et je dois la laisser partir.

 

ADAMUS : Bien. Bien.

 

 

 

TRACY : Donc, c'est juste une prise conscience constante du genre : « Oh, merde ! J'ai pris ça sur moi. Laisse tomber ça. Comme me rappeler qui je suis et ne pas être dans les jeux.

 

ADAMUS : Exactement.

 

TRACY : Parce qu'ils sont tellement dans les jeux, vous savez? Et, vous savez, j'ai de la compassion pour ça.

 

ADAMUS : Merci. Bien.

 

TRACY : Oui.

 

ADAMUS : Oui. Et je tiens à rappeler à chacun d'entre vous qu'il y a longtemps, avant que vous ne veniez sur cette planète dans cette vie, nous discutions de certains des potentiels, de ce qui allait se passer. Ce n’était pas clairement défini, mais nous le savions en quelque sorte. Nous parlions du fait que vous acceptiez enfin de permettre votre Réalisation, après avoir attendu une vie ou deux, et être restés sur la planète. Et je me souviens avoir souligné que ça allait être difficile, et je me souviens que chacun d'entre vous a dit: « Ah ! Je peux le faire. Pas de problème. » J'ai dit : «Mais ce sera parfois très difficile», parce que vous allez vivre quelque chose de très profond et de très personnel, et vous allez également être sur la planète en interaction avec d'autres humains à l'une des... - enfin, pas l'une des – c’est la plus grande période de changement jamais vécue sur cette planète. Et votre réaction a été : « Hé ! Je peux le faire/je peux le supporter. Allez, c'est parti! Donnez m'en plus! » Vous voyez? Nous voici donc en plein milieu.

 

 

 

 

Comment Vous Sentez-Vous?

 

La question suivante est : quel mot utiliseriez-vous pour décrire ce que vous ressentez ces jours-ci ? Quel mot utiliseriez-vous pour décrire ? Et cela ne veut pas dire un livre. Il s'agit d'un mot.

 

MARKO : Oh, allez ! (il rit)

 

ADAMUS : En parlant de livres, comment se porte votre livre ?

 

MARKO : Eh bien, comment le saviez-vous ? (ils rient).

 

ADAMUS : Nous en parlons au Club des Maîtres Ascensionnés.

 

 

 

MARKO : Oh, bien, bien, bien. J'ai fait un rêve il y a deux jours, et… (un homme dit : « Un mot ? » et quelques rires) Et j'étais juste – il est habitué à mes histoires, alors. Beaucoup d'histoires! Et – parce que je suis sur le point de voyager autour du monde pendant quelques mois – et les premiers rêves que j'ai faits à ce sujet étaient du genre : « Oh, merde ! Cela va être vraiment très difficile. » Mais ensuite, le dernier rêve que j'ai fait était celui où mon âme et ma sur-âme sont apparues, et j'ai dit : « Les gars, écoutez. En tant qu'humain, je vais devoir relever ce défi maintenant. »  J'étais sur un vélo, et ils me disaient: « Oh, nous venons avec toi ! » J'ai dit: « Mais il y aura des bosses, Ok? » Ils m'ont dit: « Oh, non, non, non ! Nous allons quand même nous joindre à toi. » J'ai dit : «Ok, je vous aurais prévenus. » Et puis c'était incroyable. Tout s'est passé comme sur des roulettes. Je veux dire, c'était...

 

ADAMUS : Vous allez donc voyager autour du monde sur votre vélo. Est-ce que j'ai bien compris ?

 

MARKO : Je vais faire le tour du monde avec mon âme et ma sur-âme, bébé. Alors, ils sont comme…

 

LINDA : N'était-ce pas censé être une réponse en un seul mot ?

 

 

 

 

ADAMUS : Oui, c'était le cas ! (Adamus rit) Réalisez-vous, vous savez, que tout le monde est genre: « Ok, sympa, mais… ».

 

MARKO : Très bien.

 

ADAMUS : Quel est le mot que vous utiliseriez pour décrire ce que vous ressentez en ce moment ?

 

MARKO : C'est comme passer à travers.

 

ADAMUS : Ok.

 

MARKO : Pour moi, c'est comme – wheww ! - comme si c'était tellement facile de glisser en ce moment.

 

ADAMUS : Ok, c'est cool. Bien.

 

MARKO : En plein essor.

 

ADAMUS : Bien.

 

 

 

MARKO : Ouais. Voulez-vous une autre histoire? Je plaisante ! (il rit)

 

ADAMUS : Non, non ! Merci. Plus tard, plus tard ! Bien. Suivant. Quel mot ? Il y a un mot qui ressort. C'est tellement – ​​pfff ! – qu'il n'y a pas besoin d'être médium pour le deviner.  Il est juste là. Quel mot ?

 

STEPHANIE : Tragédie grecque.

 

ADAMUS : Tragédie grecque. Oui, en quelque sorte. En quelque sorte.

 

STÉPHANIE : Ouais.

 

ADAMUS : Et expliquez un peu aux autres ce que vous entendez par là.

 

STEPHANIE : Ma vie a été une tragédie grecque, et ce dernier chapitre marque la fin d'un mariage de 36 ans.

 

ADAMUS : Waouh. Waouh. Et comment cela se passe-t-il depuis la fin du mariage?

 

STÉPHANIE : Incroyable.

 

ADAMUS : Oh, bien. C’était donc une grande libération.

 

 

 

 

STÉPHANIE : Ouais. C'était une trahison. C'est tout, vous savez...

 

ADAMUS : Oufwww !

 

STEPHANIE: Waufff !

 

ADAMUS : Les histoires. Les histoires qu'ils pourraient raconter. Ouais.

 

STÉPHANIE : Oui.

 

ADAMUS : Bien. Encore deux ou trois. Quel est le mot qui vous vient à l'esprit ?

 

TODD ​​: Le mot qui me vient à l’esprit est « ténacité » ou « tenace ».

 

ADAMUS : Ok.

 

TODD : Des deux côtés. J'ai l'impression qu'il y a juste cette ténacité sur la façon dont les choses sont reçues et ensuite sur la façon dont je dois réagir/ répondre, ou sur la façon dont je suis présent qui doit être tenace, me tenir à permettre.

 

ADAMUS : Bien.

 

 

 

 

TODD : Pour lâcher prise, pour ne pas s'accrocher, et pour être tenace dans ce domaine.

 

ADAMUS : Êtes-vous tenace envers vous-même, votre moi humain ?

 

TODD : Oui. Eh bien, en moi-même, et probablement parce que je le vois en moi-même, je le perçois aussi à l'extérieur.

 

ADAMUS : Et si vous étiez tenace avec le Soi Maître ou l'âme ? Est-ce que l'humain leur donne du fil à retordre ?

 

TODD : C'est comme si c'était une cour.

 

ADAMUS : Une cour (ils rient). Ok. Et puis nous allons passer à la tragédie grecque.

 

TODD : Oui ! (quelques rires) Non, je pense que je deviens de plus en plus conscient du Maître et que je permets cela.

 

ADAMUS : Ok.

 

 

 

 

TODD : Et puis j'ai l'impression qu'il y a tellement d'énergie avec ça. C'est comme si je m'acclimatais à cela– comment dire – en essayant de me débarrasser du concept selon lequel il existe un équilibre  dans ce nouvel espace. Il n’y a pas d’équilibre. Ça va être ce que ça va être, et ça va réagir, et puis c'est comme si l'humain disait : « WTF ?! (C’est quoi ce foutoir) vous savez, « Allons-nous atteindre quelque chose de normal ? » et c'est comme si c'était normal, vous savez. Et donc, cela évoque beaucoup de choses qui arrivent, qui se passent avec ça. Je veux dire, c'est intérieur. Je peux voir la drague, les peurs, l'anxiété. Vous savez, avant de commencer, c'est comme si j'avais le plexus solaire qui palpitait, ce qui est un signe pour moi.

 

ADAMUS : Mais vous ne ressentez généralement pas d'anxiété.

 

TODD : Eh bien, ouais (il rit).

 

ADAMUS : Alors, de quoi s'agit-il ?

 

TODD : Je suis toujours – je pense que c'est parce que je pratique encore l'amour de soi.

 ADAMUS : Ok.

 

TODD : C'est un rappel qu'il y a une partie de moi qui n’est pas encore pleinement acceptée, ou que j'ignore, qui est en train de se manifester, parce que cela fait partie des énergies qui se produisent.

 

 

 

 

ADAMUS : Combien de personnes ici ou en ligne ont ressenti un sentiment d'anxiété, en particulier récemment, au cours des deux derniers mois, alors qu'habituellement vous n'avez pas d'anxiété ? Levez la main. Ouais, n'est-ce pas bizarre ? Et puis vous essayez de dormir avec de l'anxiété. Ce n'est pas un bon partenaire au lit. Donc, c'est, oui, beaucoup d'anxiété. Bien. Merci. Un de plus. Leslie. Leslie. Salut Leslie.

 

LESLIE : Salut.

 

ADAMUS: John dit – hein, John. FM dit…

 

LESLIE : J’ai l’impression de constamment me rééquilibrer.

 

ADAMUS : FM dit : "Bonjour."

 

LESLIE : Bonjour. Il a été très présent aujourd'hui.

 

ADAMUS : Oui.

 

LESLIE : Je suis constamment en train de me rééquilibrer. Je travaille dans un monde de gens qui sont très confrontés à des défis, et je me lève et puis…

 

ADAMUS : Oui.

 

 

 

 

LESLIE : Et puis je rentre chez moi et je m'assois seule pendant des heures.

 

ADAMUS : Et tout le concept d'équilibre ? Jetez-le, vous savez, ou comment avez-vous dit, comment l'avez-vous appelé ?

 

TODD ​​: Tenace.

 

ADAMUS : Ouais, tenace.

 

LESLIE : Ouais, j'ai aimé ce que tu as dit. J'ai tout à fait compris ce que tu as dit à propos du fait que tu ne peux même pas penser – je veux dire, c'est presque renoncer /abandonner l'idée d'être équilibré, parce que…

 

 

 

ADAMUS : Ouais. Vous avez tous eu des façons d'équilibrer. Vous savez, vous avez en quelque sorte développé cela au cours des vies, mais particulièrement au début de cette vie. Vous trouvez des moyens de revenir des difficultés, des épreuves, peu importe ; ce sont pour la plupart des jeux psychologiques. Il faut les laisser aller. Et je sais que cela va être très difficile pour beaucoup d'entre vous, parce que vous avez l'habitude de répéter cette vieille chose : « Comment retrouver l'équilibre ». Vous traversez un tas de conneries. Vous êtes déstabilisés psychiquement, psychologiquement, et vous vous dites : « Voilà comment je vais retrouver mon équilibre ». Jetez-le. Cela ne fonctionne pas et, en fait, vous n’en avez pas besoin. Et puis vous entrez dans l'anxiété, et vous vous dites : « Eh bien, si je ne ramène pas mes outils d'auto-équilibrage, je vais passer de l'autre côté. » Oui, mais vous vous rendrez compte que l'autre côté n'est pas ce que vous pensiez. Donc, vous savez, vous avez eu cette peur de perdre la tête, de perdre la tête ou quoi que ce soit d'autre, et vous avez essayé de rester dans les paramètres, de rester en équilibre. Jetez-le. En fait, cela fait plus de mal que de bien.

 

 

 

 

LESLIE : C'est vraiment bon à entendre (elle rit). C'est vraiment, vraiment très bon à entendre.

 

ADAMUS : Donc, bien.

 

 

 

L'Observation d'Adamus

 

Le mot que j'ai ressenti avant ce Shoud – c'était hier soir, bien sûr, assis au Club des Maîtres Ascensionnés, et en contemplant tout ce qui s'est passé ces derniers temps, et en me sentant dans les Shaumbra – je suis venu, j'ai fait le tour, et j'ai parlé à beaucoup d'entre vous personnellement, et le mot qui était si évident était « sensibilité ». Plus que jamais. Et parfois, il est difficile d'atteindre ce mot quand vous êtes accablés /dépassés, ou que vous souffrez d'anxiété, ou que vous essayez de comprendre les choses et que vous blâmez les gens autour de vous. Vous rejetez la faute sur autres chose. Vous n'avez pas fait un assez bon travail ou quoi que ce soit d'autre. Mais finalement, ce que j'ai ressenti, c'est une sensibilité incroyable que vous développez.

 

Un autre mot est simplement « brut ». Je veux dire que vous êtes à fleur de peau en ce moment. Tout vous affecte – vous-même, vos vies antérieures qui se transforment et qui reviennent essentiellement à vous dans leur illumination, et le monde. C'est incroyablement sensible. Et d’une certaine manière, c’est un peu ironique, parce que c'est exactement ce que vous vouliez. Vous voulez devenir plus conscient des choses, et c'est ce que vous devenez. Il n'est pas nécessaire d'y travailler. Vous n'avez pas besoin de faire des exercices de sensibilité tous les jours, parce qu'ils vont juste devenir mentaux et vous désensibiliser. Cela se produit naturellement. Vous devenez de plus en plus conscient de toutes les énergies qui vous entourent, mais votre esprit/mental a du mal à tout comprendre.

 

 

 

Vous essayez de rassembler les pièces du puzzle et vous n'y parvenez vraiment pas, et je ne vous encourage même pas à essayer de le faire, parce que cela se fait, encore une fois, à un niveau très mental. Et ce que vous allez réaliser, c'est que les sensibilités et leurs interprétations n'ont pas besoin d'avoir lieu ici  (en pointant la tête). Elles ont lieu au niveau du Maître, qui est non mental.

 

Mais, alors que j'examinais les Shaumbra avant cela, j'ai pensé : « Nous devons vraiment nous pencher sur ce problème de sensibilité. »

 

La sensibilité est une bonne chose. Vous devenez de plus en plus conscients. Ce n'est pas comme si vous deveniez soudainement un médium et que vous pouviez lire les vies  antérieures de tout le monde, et vous ne voulez pas vraiment le faire. Pas du tout (Adamus rit). Pouvez-vous imaginer que quelqu'un veuille devenir médium pour faire des lectures pour les autres ? C'est terrible. Mais la sensibilité, ce sentiment d’être à vif et très vulnérable en ce moment, très, très vulnérable. Je dirais que c'est exactement là où vous devriez être, mais vous n'êtes pas sûr de ce qui se passe. Vous n'êtes pas sûr de savoir comment absorber tout cela. Et, plus que toute autre chose, il y a tellement de choses dans l’air en ce moment. Tout ce qui se passe sur la planète, la folie qui règne ici même aux États-Unis. Je veux dire, c'est de la folie. Mais c'est de votre faute (quelques rires).

 

 

 

 

Je ne pensais pas que c'était drôle (Adamus rit). C'est de votre faute, parce que c'est la bénédiction que vous avez donnée à la planète.

 

Lorsque la lumière commencera à arriver aux niveaux où elle est actuellement, elle bouleversera /secouera les choses. Vous mettez un peu de lumière sur les gens, sur la planète, cela ne veut pas dire que tout d'un coup tout le monde est heureux et gentil et assis autour du feu de camp en chantant kumbaya. Cela secoue/ bouleverse les systèmes et, en fin de compte, cela permet à tout ce qui est ancien de devenir nouveau. En fin de compte, cela permet à cette planète de devenir la planète de la haute conscience, de l’amour et de la véritable Réalisation.

 

Mais maintenant, ressentez-le un instant, toutes ces institutions qui sont secouées /ébranlées par la lumière. Il y en a partout. Je veux dire, toutes les secousses. Et lorsque cela se produit, les gens sont pris de panique, et ils s'accrochent plus que jamais à leurs anciennes habitudes, aux anciennes méthodes, ou alors ils veulent revenir en arrière, et c'est exactement ce qui se passe ici sur la planète. Et en tant qu'être sensible, vous le ressentez, puis vous dites : « Qu'est-ce qui ne va pas chez moi ? ».

 

 

 

 

Une fois de plus, comme je vous l'ai déjà dit à maintes reprises, vous assumez des choses qui ne sont pas les vôtres/ qui ne vous appartiennent pas. Vous assumez des énergies, qu'il s'agisse de politique. La politique et tout le pouvoir qui l'accompagne. Et vous ne pouvez pratiquement pas l’éviter si vous êtes ici sur la planète en ce moment. Vous pouvez essayer de l'éviter, mais il est toujours dans l'air. Il y en a partout, et encore une fois, votre sensibilité. Vous ressentez cela.

 

Donc, ce que j'aimerais faire, c'est juste un court merabh ici. Commençons par la musique, au fur et à mesure que nous entrons dans le vif du sujet.

 

 

 

 

 

Merabh – Qu’est-Ce Qui Vous Appartient ?

 

La situation dans son ensemble, ce que j’essaie de dire, c’est que…

 

(la musique commence)

 

… eh bien, vous êtes ici à un moment incroyable. Parfois, j'aimerais même être là avec vous. Mais ensuite, je me dis: « Non, non, non ! » (rires)

 

Vous êtes ici en ce moment incroyable, et vous êtes des pirates à la peau épaisse, plus dure que des ongles. Vous vous plongez dans cet environnement incroyable. C'est comme – imaginez qu'un film soit tourné sur  ce sujet, sur le fait d'être ici à cette époque.

 

Imaginons le point de vue d'un chien, par exemple, genre : «Ce fou d'humain. Pourquoi a-t-il choisi de revenir ? Le monde s’effondre. Ce n'est pas une mauvaise chose. Il s'effiloche pour être libéré, pour s'ouvrir. Mais vous êtes ici au milieu de tout cela, et vous savez, si vous y regardez vraiment, c'est vous qui apportez la lumière qui est à l'origine de tout cela/ qui provoque tout cela.

 

Je ne dis pas qu'il faut se sentir coupable. Je dis juste qu'il faut le reconnaître pour ce que c’est.

 

 

 

 

Ce que je veux dire ici, c'est que c'est un défi, et ce qui est vraiment important en ce moment, c'est de ressentir ce qui vous appartient. Qu'est-ce qui vous appartient ?

Vous ressentez les énergies de la planète. Vous sentez, eh bien, vous sentez Gaia partir. Et vous sentez que la planète entière change à bien des égards.

 

Je suis impressionné/ stupéfait de voir à quelle vitesse les choses changent /évoluent en ce moment. Il suffit de regarder l’intelligence artificielle. Il y a quelques années, si vous en aviez parlé aux gens, ils auraient haussé les épaules et se seraient demandé de quoi vous parliez. Aujourd'hui, elle est omniprésente.

 

Mais l’important, pour l'instant, c’est de ressentir ce qui vous appartient. Et n’essayez pas non plus de le mettre /de l'exprimer en mots. C'est un sentiment. Qu'est-ce qui vous appartient ?

 

 (pause)

 

 

 

 

Qu'est-ce qui est à vous ?

 

 (pause)

 

Si vous voulez vraiment mieux le comprendre, encore une fois, essayez de ne pas le mettre en mots. Mais soyez le Maître ici pendant un moment – ​​enfin, tout le temps si vous le pouvez, mais au moins pour cet instant – qu'est-ce qui est à vous ?

 

(pause)

 

Tout le reste ne l’est pas.

 

(pause)

 

Laissez vos sensibilités aller vers votre Soi – plus de conscience de Soi, plus de relation avec le Soi.

 

(pause)

 

Pendant si longtemps, beaucoup d’entre vous – dans cette vie et dans d'autres vies – ont été des détenteurs/ des porteurs d’énergie ou des détenteurs de lumière pour la planète. Mais vous ne l'êtes plus.

 

 

 

 

Il y a une grande différence entre détenir de l'énergie et de la lumière, et simplement émettre /rayonner de la lumière. Une grande différence. Dans un cas, vous portez un fardeau sur vos épaules ; dans l'autre, vous êtes simplement libre.

 

(pause)

 

En tant que Maître, quel est le vôtre ?

 

(pause)

 

Vous voyez, tout cela s'est tellement emmêlé avec le monde, avec d'autres personnes, jonglant avec d'autres personnes dans vos vies, essayant de prendre soin d'elles, s'inquiétant du monde. Vous savez, cela va paraître vraiment insensible, mais vous n'avez pas besoin de vous préoccuper du monde. Vraiment, vous n'en avez pas besoin.

 

Ce n'est pas dans une optique d'indifférence, mais ce que vous avez fait et ce que vous faites en ce moment, votre propre Réalisation et le rayonnement de votre propre lumière, c'est ce dont le monde a besoin. Ils n’ont pas besoin de beaucoup de « soins », d’être « dorlotés» ou d’« inquiétudes ».

 

(pause)

 

 

 

 

Donc, cela n’a pas vraiment d’importance. Vous faites ce pour quoi vous êtes venus ici, faire briller votre lumière. Il y a une lumière qui est en train de se répandre, et vous n'avez pas besoin de l'assumer, surtout en tant qu'être sensible.

 

Et cette même lumière, en particulier depuis la Croix du Ciel, est en train de produire/d’apporter des changements incroyables sur cette planète. Et cette planète ne va pas se détruire, s’effondrer, retourner à un âge sombre ou quoi que ce soit de ce genre. Ce ne sera tout simplement pas le cas.

 

Elle va subir des changements. Elle va traverser ses propres luttes, mais la lumière qui est venue ici va la guider.

 

(pause)

 

Je dois m'amuser en pensant que tant de gens ont cru qu'avec la Croix du Ciel, tout d'un coup – je ne sais pas – tout allait être parfait. Eh bien, d’une certaine manière, c’est le cas. Mais la perfection consistait à apporter de nouveaux niveaux de conscience et de sensibilisation à cette planète.

 

 

 

 

Chaque fois qu’il y a de grands changements aussi énormes que celui-là, de grands changements doivent se produire sur la planète, et c'est certainement ce qui s'est passé. Cela fait quoi, 15 mois se sont écoulés depuis la Croix du Ciel, et les changements commencent à un niveau subtil.

 

C'est un peu comme la graine d'un arbre. Elle est dans le sol, il ne semble pas se passer grand-chose, mais à l'intérieur de cette graine, il se passe beaucoup de choses. Et soudain, elle éclate. Elle germe et, à un moment donné, sort de terre et commence à pousser. Et c'est ce qui s'est passé.  Il y a tellement de lumière, mais elle agissait à des niveaux profonds, et maintenant elle émerge.

 

Mais revenons à la discussion. Qu'est-ce qui est à vous? Je vous demande de ressentir cela en tant que Maître. Qu'est-ce qui est à vous?

 

(pause plus longue)

 

Le reste ne l’est pas. Vous pouvez en être conscient. Vous pouvez même danser avec. Mais cela ne vous appartient pas.

 

 

 

 

Vous pouvez être très conscients de ce qui se passe sur la planète, et vous pouvez même le ressentir et le sentir. Vous pouvez ressentir le sentiment de désespoir qui règne actuellement sur la planète. Vous pouvez ressentir cela. Mais ne vous l'appropriez pas, car il ne vous appartient pas.

 

Il y a un grand sentiment de tension sur la planète. Vous pouvez vous lever le matin et plonger directement dans cette tension, mais vous devez réaliser ensuite qu'elle ne vous appartient pas.

 

Revenons donc à la question : « Qu'est-ce qui vous appartient ? »

 

(pause)

 

Prenez une bonne respiration profonde. Une bonne respiration profonde.

 

(la musique se termine)

 

Prenez une bonne respiration profonde. Ok.

 

 

 

 

 

La Lumière et Permettre

 

Allumons les lumières très rapidement, très fort (Adamus rit et le public dit : « Ohhh ! » quand les lumières deviennent très brillantes). C'est comme ça ! Non, je suis sérieux. Nous sommes dans un endroit agréable, doux et facile. Pouvez-vous imaginer ce que ressent le reste de la planète lorsque votre lumière est allumée si fort ? (quelques rires) Je suis très, très sérieux. Tout le monde dit : « Ohh ! Baissez/ Éteignez les lumières ! » C’est ce qui se passe actuellement sur toute la planète.

 

Ils se demandent : « Que se passe-t-il ?! » Soudain, tout est illuminé et mis au point et il y a tellement d'intensité. Vous pouvez le baisser maintenant, ils essaient de retrouver la vue (les lumières s'éteignent). N'est-ce pas plus agréable ? Éteignons toutes les lumières pendant un moment et ressentons simplement les énergies. Ouais, tout. Toutes les lumières (quelqu’un dit « Oh, wow »). Waouh ! N'est-ce pas magnifique? Maintenant, même la toile de fond, si vous le pouvez, et ce moniteur ici aussi.

 

(pause)

 

 

 

 

C'est plutôt sombre, hein ?

 

Ok. Je suis toujours là, au cas où vous vous poseriez la question. Nous sommes toujours là.

Et puis – tout le monde fait son truc dans le noir, vous savez, c'est un peu comme des cafards qui courent partout et tout le monde fait son truc, beaucoup d'obscurité – et puis tout d'un coup, au compte de trois, toutes les lumières s'allument. Un, deux, trois, boum ! (Les lumières ne se rallument pas à son signal.) Très bien, eh bien, comptons jusqu'à 10 ou 20 (plus de rires). Ils se précipitent vers l'arrière. Et c'est comme : « Ohhh ! «Aveuglez-les ! (Les lumières se rallument vivement.) Ouais, bien, bien ! (Adamus rit) C'est à ça que ça ressemble ! Ok, vous pouvez maintenant les (les lumières reviennent à la normale).

 

C’est un peu ce qui se passe sur la planète en ce moment. La lumière éclaire beaucoup de choses, et c'est parfois inconfortable. Mais cela oblige les gens à regarder les choses, à regarder leur vie, ce qui se passe. Et c’est le cas, mais, vous savez, cela provoque beaucoup de stress et d’agitation, et vous ressentez tout cela, d'autant plus que vous devenez de plus en plus sensibles.

 

 

 

 

J'ai observé les Shaumbra récemment et particulièrement avant le Shoud d'aujourd'hui, et c'est comme si nous devions juste faire un petit peu de – quoi ? (quelqu'un dit très bas: « Permettre ») Permettre ! Permettre, permettre. Oui, je l'ai entendu. Une personne, vous savez, « Permettre ». Permettre est votre plus grand/ votre meilleur outil. C’est vraiment le cas. Permettre est le meilleur outil qui soit. C'est vraiment la seule chose que vous ayez.

 

Et permettre ne signifie pas /ne veut pas dire laisser les gens, les circonstances, la vie profiter de vous. Il ne s'agit pas de cela. Permettre signifie que vous vous ouvrez à votre Soi. Appelez-le comme vous voulez – appelez-le le Maître, l'âme, peu importe – vous vous ouvrez à cela. L’humain cesse de planifier. L'humain cesse d'essayer de guider le navire. Vous n'avez pas à le faire. Et je sais que c'est comme : « Eh bien, non. C'est mon vaisseau, bon sang ! En fait, c'est votre merde, mais ce n'est pas votre vaisseau (rires).

 

 

 

Vous savez, c'est plutôt drôle, parce que vous avez votre vaisseau/bateau, c'est vous, votre nom est juste sur le côté, mais ce n'est vraiment pas le vôtre. Et je sais que cela peut paraître étrange, et c'est comme : « Eh bien, bon sang, non. C'est le mien. De quoi parlez-vous? » C'est comme si, non. Cela appartient vraiment à l’âme. Vous en faites partie, mais pendant si longtemps l'humain a insisté pour le gérer, le posséder, le faire couler de temps en temps, et tout le reste. Mais vous en arrivez à un point comme maintenant où vous dites : « Je lâche prise. Je lâche prise. Je lâche prise. »  Et cela ne signifie pas dire que vous abandonnez. Cela signifie que vous commencez à réaliser que le navire /le vaisseau est celui de l’âme, du Maître et de vous, tous ensemble.

 

Il y a tant de choses en vous qui sont prêtes à se manifester, C'est comme prendre une profonde inspiration, s'ouvrir et permettre.

 

Avec tout ce qui se passe dans le monde en ce moment, avec la folie – et cela va devenir encore plus fou – mais quand vous rencontrez ces jours difficiles, que ce soit avec vous-même ou avec les autres, vous prenez une profonde respiration et vous permettez.

 

 

 

 

Souvent, au lieu de cela, vous essayez de devenir mental/ de vous faire du mauvais sang. Vous essayez de commencer à penser : « Qu’ai-je fait de mal ? Qu'est-ce que je dois faire? Comment puis-je retrouver mon équilibre? Comment puis-je me protéger et me défendre ? »  Vous savez ce que c'est. Vous devenez fous mentalement, et ça ne sert à rien. Vous vous épuisez.

 

Vous en arrivez finalement au point où, peu importe ce qui se passe en vous ou autour de vous, vous le permettez. Et parfois, cela semble presque contre-productif ou contre-intuitif, parce qu'on se dit: « Je ne veux plus de ça. C'est trop. » Mais c'est à ce moment-là que vous le permettez vraiment.

 

Ce que vous permettez, c'est votre lumière, votre divinité. C'est tout. Votre lumière et votre divinité. Et vous réalisez alors que vous n’avez pas besoin de comprendre toutes ces choses. Vous n'avez pas à sauver le monde. Vous n'avez pas à vous défendre, à vous protéger ou à faire quoi que ce soit d'autre. Il s'agit simplement de permettre.

 

 

 

 

C'est presque trop facile. Je devrais faire le « Permettre aux Shaumbra », le rendre vraiment difficile (Adamus rit) et nous devrions passer par toutes sortes d'exercices et d'agitation.

 

Mais permettre, c'est juste cela. C’est vraiment la seule chose que vous avez réellement en ce moment, parce que vous, en tant qu’humain, traversez tellement de transformations. Il se passe tellement de choses. D'une certaine manière, vous lâchez une identité – vous tuez presque l'identité pour la lâcher – et c'est difficile. Et vous avez aussi toutes ces choses dans le monde autour de vous. C'est très difficile/ un véritable défi.

 

Respirez profondément et ici même, dans notre espace sûr où nous n'essayons même pas de rayonner vers la planète pour le moment, sentez simplement que vous permettez. C'est permettre le Je Suis.

 

(pause)

 

Et si votre tête s'emballe, que vous commencez à penser, et si vous devez commencer à devenir mental à ce sujet, vous ne le permettez pas vraiment. Respirez profondément et permettez.

 

(pause)

 

 

 

 

Vous n'avez pas besoin d'entrer dans les mots ou dans le mental ou quoi que ce soit de ce genre. Il s’agit simplement de permettre.

 

Prenez une bonne respiration profonde et laissez entrer.

 

(pause)

 

Maintenant, comme vous le permettez, les choses prennent naturellement leur sens– j'essaie de réfléchir à la façon de le – mais comme vous le permettez, les choses ont naturellement un sens, mais pas selon la logique de l'esprit/mental, mais vraiment la perspective/ le point de vue du Maître. Et vous réalisez soudain que le monde n'est pas en train de s'effondrer. Il est plus fou maintenant, mais il ne s'écroule pas. Vous réalisez soudain que vous ne faites rien de mal. Vous réalisez soudain que vous avez travaillé beaucoup trop dur sur les choses, et vous réalisez que tout est en réalité dans son ordre divin, sans que vous ayez à le gérer ou à y travailler. Il vous suffit d'en faire l'expérience.

 

Lorsque vous permettez – vous le permettez vraiment, vous ne vous lancez pas dans des jeux d'esprit/du mental, mais c'est comme si vous vous ouvriez – dans une vraie liberté, vous permettez, et cela vous donne une meilleure perspective. Une meilleure compréhension, mais une compréhension non mentale. Et vous réalisez alors à quel point vous avez travaillé si dur sur les choses. Tellement dur. Vous avez assumé tant de choses qui n'étaient pas les vôtres.

 

 

 

 

Cela a en fait rendu cette dernière vie sur la planète beaucoup moins agréable qu'elle ne devrait l'être. Prenez simplement une profonde respiration et permettez.

 

(pause)

 

J'ai beaucoup parlé ces derniers temps d'imagination. L'imagination. C'est la lumière. En physique ou en métaphysique, la lumière est l'imagination. C'est la même chose. Vous considérez la lumière comme des faisceaux venant de quelque part, mais en fin de compte, ce n'est que de l'imagination.

 

Alors, quelle est la corrélation ? Quelle est la relation entre permettre et l’imagination ?

Ressentez cela pendant un moment. Essayez de ne pas y penser, mais ressentez-le. Quelle est la relation entre permettre et l’imagination ?

 

(pause)

 

 

 

Un certain nombre de choses. Vous ne pouvez vraiment pas imaginer librement, ouvertement et de manière non mentale, à moins que vous ne le permettiez. Les deux vont de pair. Vous pouvez prétendre imaginer des choses, faire semblant de vous imaginer comme un être grandiose, mais si vous ne le permettez pas, cela va devenir mental et vous allez juste l'humaniser. Vous ne ferez que l'amoindrir/ le diminuer.

 

Lorsque vous permettez, lorsque vous vous ouvrez à votre propre lumière, votre imagination devient soudain la source, le centre de votre création.

 

 

Merabh pour Permettre l'Imagination

 

Je vais donc vous demander de mettre un peu de musique et de vous sentir vraiment à l'aise dans cet exercice, pendant que nous l'amenons à un merabh.

 

 (la musique commence)

 

Permettre signifie en quelque sorte : « Ok, je suis prêt à aller de l'avant/ à passer à autre chose. Il y a tellement plus qui m'attend. Cela n’a pas besoin d’être limité par mon esprit/mental humain. »

 

 

 

D’ailleurs, tout cela est tout à fait naturel. Cela se produira de toute façon. Tout cela est naturel. Cela aide à comprendre ce qui se passe, cela minimise l'anxiété et la peur, mais tout cela est très naturel. En d’autres termes, en tant qu’humain, vous n’avez pas à y travailler.

 

Il s'agit simplement de le permettre.

 

Permettre, c'est dire : «Moi, en tant qu'être humain, je n'ai pas besoin de continuer à contrôler et à essayer de gérer les choses. En tant qu'humain, je n'ai plus besoin de limiter les choses. Je n’ai même pas besoin de les imaginer dans ma tête. »

 

Cela signifie : « Je suis prêt à aller au-delà /à dépasser cette identité », et je sais que vous l'avez tous dit. Mais faisons-le maintenant. Ne nous contentons pas de le dire. Faisons-le.

 

(pause)

 

 

 

 

Oh mon Dieu, n'est-ce pas tout simplement horrible, toutes ces réflexions que vous avez faites, et ces aller-retour dans votre esprit/mental et les tentatives de compréhension ? Ça ne marche pas. Lire et étudier, c'est plutôt amusant d'une certaine manière. Mais finalement, même cela ne fonctionne pas. Il s'agit simplement de dire : « Je lâche prise. Je permets.»

 

(pause)

 

Et puis – alors vous commencez à comprendre ce qu’est réellement la lumière.

Vous commencez à comprendre ce que je dis lorsque la lumière est imagination.

 

(pause)

 

Vous commencez à comprendre que toutes ces choses mentales, toutes ces choses linéaires ont été si ennuyeuses et insatisfaisantes.

 

 

 

 

Votre imagination se manifeste, chers Shaumbra. Elle vous amène aussi à devenir plus sensibles, plus conscients et, à un niveau humain, confus, déstabilisés, mis au défi certains jours. D’autres jours, vous êtes vraiment dans un état d’émerveillement avec vous-même. Mais il y a encore trop de jours difficiles et nous devons surmonter /dépasser cela.

 

Et je dois dire qu'en ce moment, là où nous en sommes, environ 15 mois après la Croix du Ciel, c'est probablement la partie la plus difficile de votre séjour ici sur la planète en tant que Maître incarné.

 

 En ce moment, c'est la partie la plus difficile, parce que c'est la transition entre le soi humain et le Soi Maître.

 

C'est la partie la plus difficile parce que vos vies antérieures arrivent également à leurs Réalisations et s'intègrent ensuite à vous. Il y a donc tout ce bruit qui vient s'ajouter à tout le reste.

 

 

 

Mais c'est à peu près le plus difficile. Je suppose que c'est la bonne nouvelle. Si vous avez réussi à aller aussi loin, cela va s'arranger.

 

Quand (Adamus rit). Les Shaumbra, toujours : « Quand ? Voudriez-vous juste ressentir ça. C’est le plus difficile, et si vous êtes arrivé jusqu’ici, le moment n'a pas d'importance.

 

Vous passez par des transformations tellement énormes en ce moment, et la chose la plus importante est cette nouvelle sensibilité. Comment y faire face ? Je veux dire, Vous avez l'habitude d'être un peu sensibles à propos de certaines choses, mais là, ça amène les choses à un nouveau niveau.

 

Lorsque vous ressentez tout et que vous l'absorbez sans même avoir conscience de ce qui vous appartient réellement, cela peut être accablant.

 

Maintenant, quand j'ai regardé notre assemblée d'aujourd'hui et que j'ai dit : « Nous devons simplement prendre une profonde respiration ensemble. Nous n'avons pas besoin d'un tas de nouvelles choses aujourd'hui. »

 

 

 

 

Oh, j'ai beaucoup de nouveautés à venir, mais arrêtons-nous un instant, faisons une grande pause de Maître ici même. Arrêtons-nous, prenons une profonde respiration et permettons.

 

Et c'est un processus naturel. C'est là toute la beauté de la chose. Vous n'avez pas à le gérer ou à le réaliser. Vous le permettez.

 

(pause)

 

Ce qui se passe réellement derrière tout cela – votre sensibilité et tout le reste – c'est parce que vous avez permis à la lumière d'entrer et de rayonner sur la planète, bien sûr, ce qui l'a bien abîmée, mais tant mieux. Rappelez-vous toujours que, lorsque nous allumions ces lumières auparavant, c'était– ugh ! – c'est ce que la planète est en train de vivre. Mais même au-delà de la sensibilité actuelle, votre véritable imagination s’ouvre.

 

Je parle d'imagination et certaines personnes pensent simplement que c'est, vous savez, que vous inventez quelque chose dans votre esprit/mental, et vous commencez à réaliser que c'est bien plus que cela. L'imagination est la conscience de nombreux autres niveaux, de nombreux autres royaumes.

 

 

 

L'imagination – c’est la chose qui ouvre également vos autres sens. Vous avez vos sens humains, mais vous en avez bien d'autres, et soudain, à mesure que vous le permettez, à mesure que la lumière entre, elle ouvre ces autres sens. Certains sont plus importants que d’autres, mais cela ouvre ces sens, et c'est l'une des raisons pour lesquelles vous vous sentez sensible.

 

Mais ce qui se passe, c'est que vous revenez à un état ou à une conscience d'imagination. Il ne s'agit pas d'une imagination linéaire, ni d'un simple jeu dans le cerveau, mais d'une véritable imagination ouverte.

 

Il y a eu beaucoup de travaux réalisés dans les années 60 et au début des années 70 avec le LSD. Certains d'entre vous le connaissent bien. Vous étiez les expérimentateurs (Adamus rit). Il y a eu beaucoup de bons travaux cliniques avec ce produit. Et lorsqu'il était utilisé correctement, avec des conseils, une supervision, il s'est avéré très efficace pour ouvrir certaines voies.

 

Timothy Leary, il n'était pas seulement un toxicomane. C'était un véritable chercheur. Il a vraiment compris l’intérêt de disposer de ce produit chimique puissant qui ouvrait des portes. Il apportait plus de sensibilité. Il a apporté beaucoup d'imagination. Mais il a aussi apporté la loi (Adamus rit).

 

 

 

 

Il aurait été intéressant de voir ce qui se serait passé si ses recherches - et celles d'autres chercheurs sur le LSD - avaient réellement abouti. Il aurait été intéressant de voir comment cela aurait pu changer la société. Je ne préconise pas – Cauldre me fait des misères ici – je ne préconise pas que vous alliez tous le faire. Il existe des moyens naturels de le faire. L’un des dangers de toute drogue ou produit chimique est que vous ouvrez les choses trop rapidement. Il est préférable d'utiliser des méthodes naturelles, comme c'est le cas aujourd'hui.

 

Mais c'est intéressant et cela revient un peu sur le devant de la scène en ce moment, d'utiliser ce qu'ils appellent le microdosage, de l'utiliser comme un moyen de ramener les gens qui sont très, très déséquilibrés ou qui ont de profonds problèmes psychologiques parce qu'ils ont des portes fermées ou des portes qui étaient en fait beaucoup trop ouvertes. Il est intéressant, avec tout ce qui se passe actuellement sur la planète en termes de mental, que cela soit en quelque sorte en train de revenir.

 

Nous n’avons pas besoin de le faire parce que nous allons simplement le permettre naturellement.

 

 

 

 

L'un des effets secondaires de ces médicaments est que vous les prenez et que vous faites votre petit voyage, mais qu'ensuite vous revenez en plein dans la réalité, dans vos anciennes habitudes et c'est un peu déprimant. Vraiment déprimant. L'idée était que si vous ouvriez suffisamment la porte, et même si elle se refermait après vos hallucinations, on se souviendrait peut-être de quelque chose et on en tirerait quelque bénéfice. Mais nous n’avons pas besoin d'aller jusque-là. Nous allons simplement prendre une grande respiration profonde et permettre d'une manière très naturelle.

 

Permettre, c’est aussi faire confiance. Faire implicitement confiance à votre Soi, au Maître, à l'âme, peu importe comment vous voulez l'appeler, mais faire confiance.

 

Et ce qui se passe vraiment, ce que j'essaie vraiment de dire ici, c'est que l'imagination revient. La lumière revient. Mais cela affecte la façon dont vous rêvez. Pas seulement vos rêves nocturnes, mais cela affecte la façon dont vous rêvez : vos désirs, vos aspirations.

 

 

 

 

Et à mesure que la véritable imagination revient, vous commencez à réaliser que vos projets, vos objectifs, ce que vous appelleriez vos rêves, sont relativement dénués de sens. Ils étaient très linéaires, très basés sur les besoins et les désirs humains. D’une certaine manière, ils étaient très psychologiques.

 

Mais vous réalisez soudain, à mesure que cette imagination revient, que, eh bien, qu'il y a tellement plus. Vous n'auriez pas pu le planifier.

 

Vous avez apporté la lumière et vous l'avez laissée rayonner, et pendant tout ce temps, ce qu'elle fait pour vous vous ramène à l'état naturel de la lumière ou  à la véritable imagination du créateur.

 

Dans la véritable imagination du créateur, elle n'est pas gaspillée pour des choses comme s'inquiéter ou essayer d'imaginer ou de créer un peu plus de richesse, même un peu plus de santé, d'être un peu plus jeune, d'être un meilleur joueur d'échecs. La véritable imagination est/va bien au-delà de cela.

 

 

 

 

Et je sais que pour l’humain, certaines de ces choses sont importantes. Mais ce qui se passe, c’est qu’à mesure que vous laissez l’imagination revenir, les petites choses de la vie, les petites choses prennent soin d’elles-mêmes. Vous n'avez pas besoin de les micro-gérer. Il y a une synchronicité qui se produit/ qui se met en place. Il existe une manière naturelle de s’occuper de toutes ces choses.

 

Prenons une profonde respiration ici, dans ce rassemblement spécial pour les Shaumbra et laissons libre cours à l'imagination.

 

(pause)

 

Cela revient très naturellement.

 

(pause)

 

En gros, c'est la lumière qui revient, et c'est le noyau /le cœur ou la source de la vraie création.

 

(pause)

 

Maintenant le Maître – le Maître, que vous êtes d’ailleurs. Je vais commencer à vous donner à tous un tas de mes conneries, si vous continuez à vous considérer comme un simple humain. Vous êtes le Maître.

 

 

 

Le Maître ne gaspillera pas sa lumière ou sa création sur les petits détails humains, parce qu'il y a tellement plus que cela.

 

Le Maître n'utilisera pas son imagination pour créer des choses basées sur le pouvoir, car cela n'est pas nécessaire. C'est une illusion, et de toute façon, toute l'énergie vous appartient.

 

Le Maître n'utilisera pas son imagination uniquement pour s'imaginer comme un humain plus heureux. Il l'utilisera en fait pour tuer l'humain – psychologiquement parlant, bien sûr. Pas physiquement.

 

Le Maître utilisera l’imagination pour dissoudre l’humain, pour libérer l’illusion de l’humain.

 

(pause)

 

Pas pour essayer de rendre l’humain un peu plus grand, un peu plus léger, un peu plus riche.

 

Le Maître utilisera l'imagination pour libérer toutes les illusions de l'humain, ou plutôt les délires de l'humain.

 

 

 

 

Prenons une profonde respiration maintenant et écartons-nous pour permettre votre état naturel d'imagination, soutenu par d'autres sens – les sens non physiques – en laissant ceux-ci revenir également. Reculez doucement, tranquillement, un instant et permettez.

 

(pause plus longue)

 

Je sais que vous avez été inquiets, stressés et anxieux, et que dans les bons jours, vous avez fait des percées et avez eu le sentiment d'être vraiment dans un endroit magnifique avec vous-même. Mais le lendemain, vous avez connu des jours difficiles. C'est pourquoi j'ai voulu concevoir cette journée autour de ce qui se passe réellement, de ce qui est vraiment important.

 

Prenez quelques instants maintenant pour permettre à ce sens naturel de l’imagination de se manifester.

 

(pause plus longue)

 

En tant qu’humain, vous avez travaillé si dur pour essayer de créer et vous avez trouvé cela très frustrant et difficile. Eh bien, vous pouvez créer certaines choses avec vos mains ou avec votre esprit/mental. Vous pouvez créer une maison si vous souhaitez en construire une. Vous pouvez créer de la richesse. Vous pouvez créer un emploi ou autre chose. Mais ce n’est pas la vraie création.

 

(pause)

 

 

 

 

Il ne s'agit en fait que de déplacer de vieilles pièces, de les assembler de différentes manières.

 

Prenons une profonde respiration maintenant dans l'imagination et le sentiment de ce qu'est la vraie création.

 

 (pause plus longue)

 

Je sais que ça n'a pas été facile, hein. Je vous rappelle que vous vouliez tous être ici en ce moment. De temps en temps, nous avons juste besoin d’une petite pause comme celle-ci pour ressentir ce qui se passe réellement. Et oui, vous êtes plus sensibles que jamais. Vos sens s'éveillent et la véritable imagination revient.

 

Prenons une profonde respiration et permettons tout cela.

 

(pause)

 

Maintenant, j'aimerais que vous ressentiez également, de manière non mentale, ce que signifie être un créateur.

 

Avec la lumière, avec l'imagination, ce que cela fait d'être un vrai créateur.

 

(pause)

 

 

 

Difficile de mettre des mots. Très difficile.

 

Mais vous réaliserez peut-être que c'est un tel gaspillage, un tel gaspillage de votre propre énergie, que de créer à petite échelle; de créer de petites choses pour satisfaire de petits besoins humains qui, autrement, seraient pris en charge par eux-mêmes.

 

Ressentez cela de la manière la plus audacieuse possible, le véritable créateur que vous êtes.

 

(pause)

 

Dans un instant, je vais vous demander de rallumer vos lumières et de rayonner sur la planète. C'est pour cela que vous êtes venus ici. Mais avant de le faire, prenons cette bonne et profonde respiration de permettre.

 

Et puis, permettez à votre imagination d’entrer, de s'exprimer.

 

 (pause)

 

Et puis, laissez entrer tout ce que vous avez et pouvez créer. Laissez entrer votre créativité.

 

(pause plus longue)

 

 

 

 

Encore une fois, tout cela se produit d'une manière très naturelle.

 

Au fur et à mesure que l'imagination– la véritable imagination – émerge, elle apporte la sensibilité, la conscience, la lumière, toutes ces choses.

 

Prenons une bonne et profonde respiration et imaginons maintenant que nous allons au-delà, sans mots. Ressentez-le. Sentez-le.

 

 (pause)

 

Alors Shaumbra, prenons une bonne et profonde respiration. Une bonne et profonde respiration ensemble.

 

Nous avions besoin de faire juste un arrêt aujourd'hui, juste une pause et, encore une fois, cette sensibilité qui vous rend presque trop conscients de tout. Et puis, lorsque vous essayez d’utiliser vos vieilles astuces pour trouver l’équilibre et que cela ne fonctionne pas, aujourd’hui vous avez atteint un nouveau niveau.

 

Respirez profondément et intégrez-le maintenant.

 

 

 

Et s’il vous plaît, n’essayez pas de comprendre tout cela. En d’autres termes, ne revenez pas en arrière de façon linéaire et ne dites pas: « Maintenant, qu’a-t-il dit ? Que devais-je faire ? »

Respirez profondément et permettez-le. Et comme vous le faites, même si cela soulève des peurs et des inquiétudes humaines, vous prenez une grande respiration profonde et vous vous souvenez que tout va bien dans toute la création.

 

Merci, chers Shaumbra.

 

Je reviendrai. Merci.

 

 

 

 

 

 

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Respiration d’Intégration de Linda

 

 

 

 

Alors, avec ceci, pas trop de mots.

 

Prenez simplement quelques bonnes respirations profondes.

 

Permettez-vous de continuer à ressentir cette expérience sans mots.

 

 

 

 

Mais plus que tout, ressentez-le.

 

Nous avons tous obtenu quelque chose de parfait pour chacun d’entre nous et nous espérons vraiment que vous avez apprécié cette expérience.

 

 

 

 

Merci d’avoir fait partie du Crimson Circle et de ce Shoud 9 de la Série Illumination.

 

Merci à tous.

 

Merci.

 

 

 

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CRIMSON CIRCLE

The Global Affiliation of New Energy Teachers

Affiliation Mondiale Des Enseignants Nouvelle Énergie

www.crimsoncircle.com

 

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Interprétation de Feolla 

feolla.ca@gmail.com    www.quatorzenouvelleenergie.com

 

 

 

 

 

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Adamus® canalisé par Geoffrey Hoppe , assisté par Linda Hoppe

 

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