Quatorze

 

 

ADAMUS SAINTGERMAIN

 

LES MATERIAUX DU CRIMSON CIRCLE

 

Série: JE SUIS MERLIN

 

SHOUD 8

 

Adamus Saint Germain, canalisé par Geoffrey Hoppe, assisté par Linda Hoppe,

 

Présenté au Crimson Circle le 01 Mai 2021

 

www.crimsoncircle.com

 

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NOTE IMPORTANTE: Ces informations ne vous concernent probablement pas, à moins que vous ne preniez l'entière responsabilité de votre vie et de vos créations.

 

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Pour profiter pleinement de toutes les énergies, Vous pouvez visionner la vidéo du  SHOUD 8 sur le Site du Crimson Circle en Anglais, où sur  la vidéo You Tube ci-après, ou simplement l’écouter tout en lisant l’Interprétation ci-dessous.

 

 

 

 

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Respiration d’Introduction de Linda

 

 

Bienvenue, bienvenue au Shoud 8 de Je Suis Merlin.

 

Le Crimson Circle, nous sommes au pavillon Shaumbra à Kona, enthousiastes de nous préparer pour cela, car comme vous pouvez probablement sentir les énergies, Geoff invite Adamus dans une relation assez importante pour eux deux.

 

 

Alors avec ceci, retrouvons-nous dans les énergies et vraiment prêts pour Adamus.

 

Alors avec ceci, prenons quelques bonnes respirations profondes, cette respiration profonde et consciente, la respiration du Je Suis, J’Existe.

 

Prenez une bonne respiration profonde et permettez-vous vraiment de vous ouvrir à ce Je Suis Merlin, cette Session 8, nous sommes tous ici, chacun de nous.

 

 

Tout est notre énergie, simplement.

 

Alors prenez cette bonne respiration profonde, et soyez avec cette bonne respiration profonde tandis que nous entrons dans cette Session.

 

 

 

 

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ADAMUS SAINT GERMAIN

 

 

 Aloha! Chers Shaumbra, Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Souverain.

 

Ah! Je sens simplement que vous vous rassemblez de partout dans le monde. Que vous le fassiez ici en direct maintenant ou que vous le fassiez à un moment donné dans ce que vous appelleriez le futur, nous sommes en fait toujours tous dans le moment présent. Vous pourriez être à l'écoute dans une semaine, voire dans un an, une décennie à partir de maintenant et nous serons toujours dans le moment présent. Et c'est l'une des beautés d'æterna, d'être hors du temps et d'être dans le temps, vous pouvez faire tout cela ensemble.

 

Je prends une profonde respiration, je sens en chacun de vous ce que vous vivez, ce que vous rencontrez dans votre vie. Et, vous savez, je sais que c'est parfois difficile, mais je souris.  Heh ! Je souris. Non pas que je m'en moque, non pas que je sois indifférent. Je sais que c'est difficile, que c'est un défi, mais je sais aussi que ça va être pour vous, le moment le plus mémorable de votre vie, le plus mémorable. Et je sais que vous le faites, je sais que vous y arriverez, je sais que vous arriverez à permettre votre Réalisation, je sais que vous resterez sur la planète ici pendant de très nombreuses années à venir à profiter de la vie, je peux sourire. Je peux en être heureux.

 

 

Je vous implore tous d'essayer de savourer les moments que vous vivez en ce moment. Même les jours sombres, même avec les choses difficiles, même quand vous vous ennuyez à mourir, même quand vous êtes impatients, je vous implore d'en profiter au maximum. Je ne veux pas que vous veniez me voir plus tard et que vous me disiez: «Oh, Adamus, j'aurais aimé que vous me disiez d'apprécier ce que je traverse», parce que c'est doux-amer, vous savez, et le doux-amer peut parfois avoir bon goût.

 

Parfois, il y a une tendance à se concentrer uniquement sur les choses difficiles, et à entrer dans l'inquiétude et le doute et tout le reste, mais - eh bien, j'en parlerai plus tard - vous n'avez plus le luxe de faire ça. Vous pourriez donc aussi bien profiter de chaque moment que vous traversez. Oui, les moments difficiles, le fait de devoir faire face - j'écoutais tout à l'heure quand Cauldre et Linda parlaient - d'avoir à traiter avec des personnes supposées du service clientèle, d'avoir à traiter avec les gouvernements et les impôts. Je sais que parfois, c'est juste très difficile et stimulant, mais profitez vraiment de ce temps. Permettez-vous vraiment d'en profiter, prenez cet engagement envers vous-même de le faire.

 

Je conseille vivement à chacun d'entre vous de tenir une sorte de journal ou de registre. Juste des notes rapides pour vous-même. Cela n'a pas à être fastidieux, mais juste de petites notes pour vous-même, quelques fois par semaine même, et vous y retournerez plus tard et vous sourirez. Vous savez, quand vous regardez des photos et qu'au moment où la photo a été prise, vous n'étiez peut-être pas de bonne humeur. Vous aviez peut-être l'air d'une merde, ou du moins vous le pensiez. Vous étiez peut-être irrité par quelque chose. Vous pouviez être en train de vous effondrer au niveau des coutures. Mais vous regardez cette photo des années plus tard et un grand sourire s'affiche sur votre visage. Et vous regardez, tout d'abord, le chemin parcouru. Vous regardez la beauté de ce moment, même avec ses défis; vous regardez la beauté de ce moment et cela vous réchauffe le cœur. C'est comme si vous gardiez un souvenir de votre voyage, que vous écriviez des notes ou que vous dessiniez des petits dessins. C'est bien aussi. Mais vous allez regarder en arrière et réaliser que c'était le moment le plus précieux - et peut-être le plus difficile mais le plus précieux - de toutes vos vies.

 

 

 

Vies Antérieures et Sagesse

 

Vous ne portez pas seulement votre poids dans cette vie. Ce que je veux dire par là, c'est que lorsque vous parvenez à votre Réalisation dans cette vie, vous ramenez tous les aspects à la maison. Et parfois, les aspects sont ennuyeux, parfois ils sont carrément en colère, parfois on a l'impression qu'ils travaillent contre vous, mais vous les ramenez à la maison en ce moment. Vous avez donc ce poids aussi.

 

Vous avez le poids des vies passées, qui sont vraiment, d'une certaine manière, des aspects. Vous savez, ce n'est pas comme si leur histoire était écrite et que tout était terminé. Non, Ils sont en train de changer en ce moment même. Ils traversent une métamorphose au cours de cette vie, parce que vous avez choisi votre Réalisation dans cette vie. Donc, ces vies sont en train de changer. Et ce qui semblait être un navire allant dans une direction, et qui était comme dirigé dans cette direction, est en train de changer de cap dans cette vie.

 

 

Une meilleure façon de le dire, c'est de dire que cette vie était un bateau qui suivait son cours, traversait toutes ses expériences et finissait à un certain endroit à sa mort. Mais maintenant, il y a un deuxième navire et il suit un cap différent, et ce cap est la Réalisation de cette vie, qui peut être ressentie par l'être même de cette vie. Il sent soudain que quelque chose se déplace et change et il ne sait pas quoi. Il ne le comprend pas vraiment, mais il a soudain l'impression d'être sur un tout nouveau chemin.

 

D'une certaine manière, il fait l'expérience des choses de différentes manières. Cette vie du passé a son chemin qu'elle a emprunté, mais maintenant elle emprunte des chemins multiples. Elle fait l'expérience des choses de plusieurs façons différentes en même temps - plus seulement linéaires, mais en fait maintenant multiples, une variété de façons différentes - et cette vie peut sentir que quelque chose se passe. Cette vie sait que, eh bien, elle pense peut-être qu'il s'agit de l'influence d'êtres angéliques, ou de Dieu ou de quelque chose d'autre, mais elle a soudain l'impression de se réveiller, de changer son propre cours.

 

 

Cette vie, parfois, est effrayée et elle fait des rêves très étranges sur ce qui lui arrive. Cette vie est confuse et il n'y a personne à qui parler dans cette vie. Mais elle sait aussi que quelque chose de monumental se passe actuellement au niveau de l'âme, changeant le cours même de son existence. Voilà ce qui se passe. Et vous portez ce poids, mais c'est aussi une beauté.

 

Arrêtez-vous et considérez un instant à quel point il est beau que vous puissiez traverser votre éveil vers votre maîtrise incarnée, vers votre Réalisation, alors que toutes les vies passées sont en train de changer le cours même de leur vie. Oh, oui, parfois tout ce que vous traversez vous semble très lent, comme si vous traversiez de la boue ou quelque chose comme ça, mais vous avez toutes ces autres vies passées. Vous vous sentez à l'intérieur de celles-ci pendant un moment, et vous ressentez la nature épique de ce qu'elles traversent, puis vous réalisez qu'en tant qu'ascendant désigné pour toutes vos vies, vous réalisez la beauté de ce moment. Il ne s'agit pas seulement de vous, dans cette vie, en train de vous battre et d'essayer d'atteindre la Réalisation. Il ne s'agit pas du tout de cela. Il s'agit de l'évolution de toutes les vies. Il s'agit de la transformation au niveau de l'âme, la transformation de votre sagesse, apportant la sagesse maintenant. La sagesse coule simplement dans l'âme et cette sagesse vous est accessible dès maintenant.

 

 

Cela ouvre des potentiels qui n'ont jamais été vus auparavant, ouvre des potentiels sur lesquels vous aviez des œillères et sur lesquels les vies passées avaient des œillères, et maintenant c'est comme un nouveau soleil brillant qui illumine cette forêt de potentiels, tout ce que vous pourriez choisir. C'est ce qui se passe en ce moment. Et c'est comme si votre énergie maintenant, au lieu d'être quelque chose d'étranger, quelque chose de lointain, quelque chose d'inconnu, cette énergie se réaligne maintenant pour vous servir.

 

C'est ce qui se passe, et c'est pourquoi je dis s'il vous plaît, s'il vous plaît, pour mon bien et le bien de vos histoires quand vous arriverez au Club des Maîtres Ascensionnés, profitez de chaque instant de cela. Savourez ce que vous appelez les bons ou les mauvais moments, parce que finalement, vous réaliserez que ce n'était pas des mauvais moments. Ce n'était pas du tout des mauvais moments. C'était juste traverser des changements parfois cahoteux dans votre vie. Et, comme vous le savez, tout cela est possible grâce à cette chose merveilleuse que j'appelle "permettre". Je sais que vous êtes fatigués d'entendre le mot «permettre», mais je vais continuer à en parler jusqu'à ce que vous le fassiez vraiment.

 

 

 

Permettre

 

Tout ce qui se passe en vous en ce moment est naturel. Ce n'est pas l'humain qui peut faire la Réalisation. L'humain peut choisir d'expérimenter ce que c'est d'y entrer et de le traverser, mais l'humain ne le fait pas. Tout, y compris apporter de la sagesse dans votre vie maintenant, tout ce que vous faites est vraiment une question de permettre. Permettre.

Vous ne travaillez pas sur le fait de permettre. Vous le permettez simplement. C'est naturel. Tout ce que vous traversez est naturel. Vous y arriverez de toute façon, tôt ou tard.

 

En permettant, vous vous connectez vraiment à votre âme et vous permettez les transformations qui se produisent déjà, et pas parce que vous y avez beaucoup pensé ou que vous avez beaucoup médité. C'est simplement parce que vous le permettez. Et juste pour démontrer, quelque chose que j'ai fait lors d'un récent rassemblement de Shaumbra - c'est si bon d'être de retour avec les Shaumbra - quelque chose que j'ai fait lors d'un rassemblement récent pour vous aider à comprendre le fait de permettre un peu plus. J'ai demandé un accessoire ici (Adamus sort un parapluie).

 

C'est aussi simple (Adamus ouvre le parapluie) : ne pas permettre. Ne pas permettre. (Puis Adamus ferme le parapluie.) Permettre. Permettre.

 

 

Vous n'avez plus besoin de ce parapluie au-dessus de votre tête. Vous n'avez pas besoin de vous protéger de vous-même. Vous avez tenu ce parapluie (il ouvre le parapluie) pendant très, très longtemps en vous protégeant de Dieu sait quoi, vous protégeant de l'énergie que vous pensiez être ailleurs, appartenir à quelque chose d'autre, vous protégeant même de votre âme, vous protégeant de la conscience humaine, vous protégeant pour ne pas être vu.

 

Permettre, c'est comme ça (il ferme le parapluie). Plus besoin de ce parapluie (il jette le parapluie), vous permettez simplemen. Ah, oui, vous allez vous sentir vulnérables. Vulnérables à quoi? Seulement à vous-même, seulement à votre âme, seulement à votre propre énergie. Vous jetez le parapluie et vous pensez: «Eh bien, maintenant il va pleuvoir sur moi. Regardez ce pour quoi Adamus m'a préparé. Il va pleuvoir, il va y avoir du tonnerre et des éclairs." Cette pluie n'est pas vraiment de la pluie. C'est juste votre point de vue. Cette pluie est en fait la sagesse qui vient du nuage de votre âme jusqu'à vous. La pluie est en fait l'énergie qui vous appartient au départ et qui descend maintenant. Mais quand elle vous frappe, ce n'est ni froid ni humide.  C'est chaud et c'est comme une belle couverture qui vous étreint et vous rassure.

 

Cette pluie qui tombe, ce que vous pensiez être de la pluie, vous en venez à comprendre: «Chaque goutte est juste un potentiel de ce que je peux choisir d'expérimenter dans ma vie.» Ensuite, vous réalisez que ce n'est pas du tout de la pluie. C'est votre âme, votre divinité qui vient à vous dans cette réalité humaine 3D. C'est votre sagesse et votre énergie et vos potentiels. C'est le Maître qui vient ici et vous réalisez soudain: «Ce n'est pas de la pluie, ce sont en fait des rayons de lumière de moi à moi-même. C'est en fait mon passé et mon futur qui viennent maintenant à moi, et tout se rassemble ici en ce moment. » Et vous commencez à réaliser que pendant si longtemps, vous avez cru que c'était de la pluie et vous avez cherché à vous protéger, à vous abriter. Vous avez mis un voile pour vous protéger, et maintenant vous prenez une profonde respiration et vous jetez ce parapluie et vous permettez. Et comme vous permettez, la perspective change.

 

La perception de ce qui était un mauvais nuage d'orage, vous réalisez maintenant que c'est la chaleur, le confort et la compassion de votre propre âme. Ce que vous pensiez être des gouttes de pluie, froides et poussées par le vent contre votre corps, ne sont que des rayons de votre propre lumière qui viennent tous ici maintenant pour être avec vous. C'est ça, permettre. Rangez ce parapluie. C'est permettre, prendre une profonde respiration et s'ouvrir à soi-même. C'est permettre.

 

Vous n'avez pas à tracer le chemin. Vous n'avez pas à comprendre la logique. Vous n'avez pas à raisonner sur la façon dont tout cela se passe. Cela va arriver. Il vous appartient totalement d'en expérimenter la beauté. Ouais, et parfois les difficultés, mais c'est beau aussi. Il vous appartient de permettre et d'expérimenter. Ah! Cela remplit l'âme de joie de pouvoir faire cela, d'être consciemment consciente de ce que vous êtes en train d'expérimenter en ce moment. C'est profond. C'est être un Maître. Hm.

 

Sentons-nous en cela pendant un moment.

 

Oui, je suis très, très passionné par ce sujet. Je suis passionné parce que je vous observe. Je regarde comment vos vies passées se transforment. Elles ne seront plus jamais les mêmes. J'observe comment même, ce que vous pourriez appeler une vie future, qui n'est pas vraiment dans le futur, se transforme. Tout converge autour de vous dans cette vie en ce moment et parfois, vous n'en êtes pas conscients. Vous n'en êtes pas conscients. Vous doutez de vous. Vous vous demandez ce que vous devriez faire. Vous êtes durs avec vous-mêmes. Vous vous demandez où est votre passion, pourquoi les choses ne fonctionnent pas, parce que vous n'êtes pas dans ce beau moment d'expérience divine alors que tout cela se passe autour de vous.

 

Ne faites pas de votre histoire, celle que vous allez raconter au Club des Maîtres Ascensionnés, une histoire du genre: «Je n'avais aucune idée de ce qui se passait. J'étais tellement perdu que je ne savais même pas ce qui se passait et puis c'est arrivé et puis j'ai été réalisé. »

 

 

Faites de votre histoire: «J'étais conscient de chaque instant de ma Réalisation, de ma maîtrise, de rester sur la planète en tant que Maître incarné. J'étais totalement conscient de mon énergie, de mes potentiels et de ma sagesse. »

 

Prenons une bonne respiration profonde avec ceci.

 

 

Je suis très passionné. J'ai hâte de me retrouver avec mon public pour pouvoir vous le dire en face. Je veux dire, en ce moment, je peux en quelque sorte être face à votre visage (en se rapprochant de la caméra), mais je veux être face à un visage physique. Ah! Bien.

Alors, bonjour, chère Linda d'Eesa.

 

LINDA: Eh bien, bonjour, monsieur?

 

ADAMUS: Comment allez-vous?

 

 

LINDA: Plutôt bien.

 

ADAMUS: Ohh !! (Linda rit) Gah, bon sang! Eh, qu'avez-vous dit?!

 

LINDA: Excellent. Ça ne pourrait pas être mieux.

 

ADAMUS: Bien. Eh bien, vous n'avez pas à vous en soucier. Mais «plutôt bien». Je n'aime pas «plutôt bien», j'aime «grandiose». Pourquoi pas? Pouvez-vous dire cela?

 

LINDA: Grandiose!

 

ADAMUS : Merci. Ouais. Bon sang, vous m'avez regardé genre : "Quoi ? On n'en attend pas moins de moi." Merci d'être grandiose.

 

 

 

 Ensync – La Physique du Flux

 

Donc, avant d'aller plus loin dans notre discussion d'aujourd'hui, parlons un peu de ce que nous avons fait lors de notre dernier Shoud. Nous avons parlé d'être ensync -- e-n-s-y-n-c - ensync avec vous-même. Cela signifie être synchrone avec votre énergie. Il arrive un moment où l'énergie n'est plus là. Tout est là (il montre la poitrine). Au début, cela ne semble pas familier. Et puis vous réalisez: «Non, bon sang, c'est à moi, et je vais le permettre. Je vais poser ce parapluie, et »- vous savez de quoi nous avons besoin, chère Linda?

 

LINDA: Quoi, monsieur?

 

ADAMUS: Nous avons besoin de parapluies Shaumbra, comme celui-ci mais de couleur cramoisie.

 

LINDA: Bien sûr. Et?

 

ADAMUS: De couleur cramoisie brillante, et «Shaumbra», peut-être que le mot sera écrit dessus, pour que les Shaumbra puissent s'entraîner à la maison…

 

LINDA: Ok.

 

 

ADAMUS:… avec leurs parapluies.

 

LINDA: Bien sûr.

 

ADAMUS: Ouais. Ok.

 

LINDA: Ouais.

 

ADAMUS: Je sais que cela vous enthousiasme.

 

LINDA: Ouais, je suis en train de l'écrire.

 

ADAMUS: Bien. Vous n'avez pas écrit- vous avez fait semblant d'écrire. Vous n'avez pas vraiment écrit ça. Les parapluies Shaumbra, quelle idée géniale. J'aurais aimé y avoir pensé plus tôt. Donc …

 

LINDA: Comment allons-nous les distribuer?

 

 

ADAMUS: Je ne - ce n'est pas mon problème.  C'est, vous savez, trouvez un moyen. Permettez (Adamus rit). Je ne sais pas. Ooh! Je n'aurais pas dû dire ça. Alors avançons avant que je ne me fasse prendre sur ce coup-là. Les Parapluies Shaumbra. Où est le chapeau «Je ne sais pas»? Dans le Colorado, je suppose. Allons de l'avant.

 

LINDA: Je n'ai pas dit «je ne sais pas».

 

ADAMUS: Non, j'ai dit "Je ne sais pas."

 

LINDA: Oh.

 

ADAMUS: Et vous ne m'avez pas attrapé. Mais l'équipe ici l'a fait. Ils sont tous haletants. Deux d'entre eux se sont évanouis en fait, en haletant.

 

LINDA: J'essaye d'être tolérante avec vous.

 

ADAMUS: (rire) Vous essayez d'être tolérante. Est-ce difficile?

 

LINDA: Il y a des moments.

 

ADAMUS: Vraiment?

 

 

LINDA: De temps en temps. Vous vous êtes beaucoup amélioré.

 

ADAMUS: Parlez-vous de Cauldre ou d'Adamus?

 

LINDA: Oh, est-ce que je dois faire la différence ?

 

ADAMUS: Peut-être les deux (Linda rit). Peut-être Et (ils rient).

Très bien, continuons, être en synchronicité avec votre propre énergie. Il s'agit d'être en harmonie avec elle. Il s'agit d'être dans la grâce avec votre énergie.

 

Jusqu'à présent, on avait souvent l'impression qu'elle était très cahoteuse, dissociée, qu'elle ne faisait peut-être pas vraiment partie de vous. Une fois que vous revenez dans la physique du flux de votre propre énergie, tout s'arrange. La physique du flux.

 

Il y a un rythme ou un flux naturel à votre énergie, et tout est à vous. Je veux dire, il n'y a pas de rythme ou de son particulier, mais c'est un sentiment. Vous savez ces jours où vous êtes juste dans le flux. Tout fonctionne et vous n’avez même pas besoin d’y travailler. Je veux dire que ça se passe simplement. C’est comme si quelqu'un déroulait un tapis rouge devant vous et que tout fonctionnait bien. Vous en avez de temps en temps. Mais il y a aussi les jours, les mauvais jours, où rien ne fonctionne. Tout est désynchronisé. Plus vous essayez, plus cela empire. C’est juste un problème, un désastre après l’autre. Vous ne pouvez tout simplement pas attendre que cette journée se termine.

 

 

Une partie de ce que vous vivez en ce moment est une sorte de changement, une sorte de transition de l'ancienne relation avec l'énergie, là où elle était ailleurs, maintenant vers la vôtre, et il y a des moments où vous avez l'impression qu'elle n'est pas en résonance. C'est  bosselé et cahoteux. Cela disparaîtra très bientôt et il commencera à y avoir ce nouveau flux physique dans votre énergie, où elle coule tout simplement. Et vous pourriez vous lever le matin et avoir l'impression d'avoir peut-être fait des rêves fous, ce qui est normal en ce moment, et de ne pas être en forme.

 

Puis, vous prenez une profonde respiration et vous vous sentez de retour dans le flux physique. Il y a un flux dans votre énergie. Il y a de la grâce dans votre énergie. Vous prenez une profonde respiration et vous permettez cela. Vous enlevez le parapluie et vous le permettez. Vous n'y pensez pas. Vous n'insistez /ne stressez pas là-dessus. Vous permettez simplement.

 

Vous savez, penser est l'antithèse de permettre, d'une certaine manière. Penser et permettre, c'est presque comme l'huile et le vinaigre. Ils ne vont pas très bien ensemble. Donc, vous vous permettez simplement de revenir dans votre flux physique, dans la grâce, ce tapis rouge qui vient d'être déroulé par vous juste devant vous. Et puis vous arrivez enfin au point où vous êtes si familier avec cette physique du flux, votre propre physique, que vous n'avez pas besoin de vous en inquiéter. C'est toujours là, simplement. De temps en temps, si vous êtes distraits, vous prenez une profonde respiration pour revenir à votre propre physique du flux, puis les choses s'arrangent beaucoup, beaucoup plus facilement.

 

 

 

Super Sensoriels

 

Comme je l'ai dit lors de notre dernière réunion, il y a aussi une sorte de contrepartie - la super sensorialité. Lorsque vous enlevez ce parapluie et que vous revenez dans votre flux, vous devenez plus sensibles, plus conscients à tous les niveaux. Et nous parlons du flux et de sa beauté, mais une partie du défi réside dans la sensibilité que vous développez, vous devenez plus sensibles à tout. Et au début, par exemple, vous pouvez développer des allergies que vous n'avez jamais eues auparavant parce que vous êtes maintenant très sensibles aux particules dans l'air, peut-être même aux plantes et aux fleurs. Mais souvent, il s'agit simplement de la pollution de l'air et bien souvent, c'est ce que j'appelle l'allergie humaine. Vous êtes allergique aux autres humains et à leur énergie (Linda rit). Non sérieusement. Cela entraîne plus de réactions allergiques là où vous êtes maintenant que les fleurs et les mauvaises herbes et les choses comme ça.

 

LINDA: Wow.

 

ADAMUS: Mais parce que vous ressentez les énergies et que vous devenez plus conscients d'elles et qu'il y a une partie de vous qui veut les rejeter et dire: «Jetez-les dehors. Elles ne s'intègrent pas tout à fait. Mais plus vous entrez dans votre physique du flux, plus vous réalisez que vous n'avez vraiment pas à rejeter quoi que ce soit. En fin de compte, tout est en fait votre énergie. Vous n'avez pas besoin de l'éternuer ou d'avoir les yeux larmoyants. Il y a un merveilleux niveau d'acceptation.

 

Vous devenez de plus en plus sensibles aux pensées. Les pensées flottent dans l'air, comme des ondes radio. Vous devenez de plus en plus sensibles aux pensées. Et lorsque cette sensibilité se manifeste, elle est d'abord orientée vers le drame, parce que le drame est plus dynamique qu'une simple course à l'épicerie. Donc, vous allez capter la peur, vous allez capter les drames des autres, leurs colères, leur haine et des choses comme ça. Vous devenez plus sensibles, vous allez ressentir davantage le poids du monde, parce que vous êtes maintenant plus sensibles à la conscience de masse.

 

Mais alors vous réalisez: «Maintenant, ceci n'est vraiment pas à moi. Je suis conscient de ce qui n'est pas moi. Je suis conscient des énergies qui sont là et qui ne sont pas les miennes, mais elles n'ont pas à m'influencer.  Elles n'ont pas à changer le flux physique naturel de mon énergie. Je peux être conscient, mais cela n'a pas à me perturber. »

 

Et puis, à un certain moment, il y a quelque chose d'assez beau à être aussi conscient de tout. Bien sûr, votre propre énergie, mais aussi celle des autres, leur énergie, leur âme, et vous ne vous inquiétez plus de savoir si cela va vous perturber totalement ou vous déformer d'une certaine manière. Et puis c'est plutôt amusant. Vous pouvez ressentir les énergies des gens de manière très ouverte et sans jugement. Juste en observant, vous pouvez ressentir les autres énergies et vous devenez très profondément conscients de qui ils sont vraiment, pas seulement des mots qu'ils disent ou du visage qu'ils ont, mais vous devenez extrêmement conscients. C'est là que ça devient amusant, d'être tellement conscients et de réaliser que ce n'est vraiment pas dans votre énergie, mais vous y êtes sensibles, hypersensibles/ super sensibles.

 

Vous devenez hypersensibles /super sensibles à ce que vous appelez les autres royaumes. Les autres royaumes sont tout autour. Ils ne sont pas ailleurs, mais vous prenez conscience des fantômes et des revenants. Mais vous ne vous inquiétez jamais d’eux. Ils ne peuvent rien vous faire, sauf s'ils arrivent à vous faire douter de vous-même. Ils ne peuvent pas vous dévorer. Ils ne peuvent pas vous mordre les jambes. Ils ne peuvent pas vous emmener dans une sorte d'enfer démoniaque. Vous êtes conscients, « Wow, il y a beaucoup d'êtres désincarnés qui errent sur la planète Terre en ce moment. »  Il y a beaucoup d'énergies, même - vous entrez dans une vieille maison, il y a beaucoup d'énergie qui est encore là de quelqu'un qui pourrait avoir vécu là il y a 50 ans, 200 ans.

 

C'est assez excitant, plutôt amusant de commencer à être hypersensible/ super sensible. Vous devez juste vous rappeler que vous pouvez le contrôler ou - je n'aime pas ce mot, Cauldre - vous pouvez l'éteindre. Vous pouvez le mettre de côté à tout moment et revenir à vous, à la douceur de qui vous êtes.

 

 

 

Ensync et Super Sensitivité - Tout permettre

 

Prenons une respiration profonde avant d'entamer la discussion d'aujourd'hui. Mettons un peu de musique et sentons-nous en phase /en harmonie avec notre propre énergie et en étant hypersensibles/ super sensibles.

 

(la musique commence)

 

J'évoque ces choses parce que je sais que c'est là où vous en êtes actuellement ou du moins vers où vous vous dirigez très prochainement. Je sais que votre énergie a été un peu chaotique.

 

Vous faites un grand changement après des éternités à ne pas savoir ce qu'est l'énergie. C'est ce que les anges essayaient de découvrir avant la Terre : "Qu'est-ce que l'énergie?" Des éternités à chercher : "Qu'est-ce que cette chose appelée énergie?"

Et vous êtes en train de changer cette dynamique en ce moment même dans cette vie. Je veux dire, c'est la grande vie.

 

Alors oui, ça va être un peu cahoteux par moments, parce que vous êtes vraiment en train de retourner, d'inverser tout ça avec votre énergie.

 

Votre orientation, votre compréhension, votre flux physique avec votre propre énergie, vous changez tout cela en ce moment.

 

C'est monumental. Hm. C'est pourquoi, je dis : s'il vous plaît, s'il vous plaît, profitez de l'expérience chaque jour. Arrêtez de vous en plaindre.

 

Appréciez ce que vous vivez, parce que c'est vraiment grand – de développer une nouvelle relation avec l'énergie - et bientôt vous arriverez à comprendre consciemment comment la faire fonctionner pour vous.

 

Ce n'est pas par la pensée. Ce n'est pas en ayant une belle affirmation positive - crachez! - sur ça. Vous comprendrez vraiment comment l'énergie peut servir vos désirs et votre passion.

 

Pas pour des petites choses. Ne perdez pas votre temps sur les petites choses, mais sur vos vrais désirs et vos vraies passions. Tout le reste se met en place.

 

Honte à ceux qui gaspilleraient leur énergie et leur temps en essayant simplement d'obtenir de l'énergie pour leur donner quelques dollars de plus. Ce serait un véritable gâchis, car tout cela se produit naturellement.

 

 

Comme je l'ai dit dans l'une des nombreuses choses que nous avons faites récemment, l'humain désire une pièce de monnaie, le Maître permet un trésor. L'humain gaspille son énergie à s'inquiéter d'un dollar ou d'un euro, d'un peso ou d'un yen, supplémentaire. Quel gaspillage d'énergie et de temps. Tellement limité.

 

Le Maître permet juste le trésor entier, il permet tout. Il ne s'inquiète pas des petites choses, car cela fait partie de la physique du flux. C'est juste là. Cela doit être là.

 

Le Maître permet tout le trésor et l'ensemble du trésor - ce sont des choses matérielles, bien sûr. C'est l'abondance matérielle. C'est la santé. C'est aussi simplement la sagesse et la joie. Le Maître permet tout, le trésor entier. Il ne se contente pas de le limiter.

 

Donc, vous voilà maintenant en cette période de grand changement, de retournement, de rotation, de retournement, de détournement, quel que soit le nom que vous vouliez lui donner. C'est une énorme transformation en ce moment. Vous êtes en plein dedans.

 

Et en plus de cela, vous devenez très hypersensibles/ super sensibles. Ils se produisent en tandem, mais parfois il semble qu'ils travaillent l'un contre l'autre et ils ne le font pas. Ce n'est pas le cas. Vous devenez simplement plus sensibles, plus conscients, car vous êtes vraiment en phase avec votre propre énergie.

 

 

Prenons une profonde respiration avec cela et sentons où vous en êtes actuellement dans votre vie, la nature épique de ce que vous traversez.

Ok, prenons une bonne respiration profonde. Nous avons des choses à discuter ici.

 

(fin de la musique)

 

Bien.

 

 

L'Heure du Conte

 

Mes Shaumbra me manquent. Vous me manquez. Le public du Shoud me manque. J'ai même proposé que l'on mette des silhouettes en carton de vous aux Shouds juste pour donner l'impression que la salle est pleine.  Les interactions que j'ai avec vous me manquent. Les cajoleries me manquent. La provocation me manque. L'humour me manque. Oh, l'humour me manque tellement. Il est difficile de faire de l'humour quand vous n'êtes pas là, parce que l'humour est généralement à vos dépens. Alors, comment faire de l'humour? À mes dépends? Je ne pense pas. Pas tellement.

 

J'apprécie l'énergie, et vous savez quand vous êtes 50 ou 60 à vous asseoir au studio pour un Shoud, c'est presque comme un aimant qui attire tous les autres qui sont chez eux, assis devant leur ordinateur. C'est comme si vous deveniez  un point d'ancrage pour eux et ensuite ils se rassemblent, quand nous faisons un Shoud, et cela fait combien de temps maintenant ? Un an ou un peu plus maintenant qu'il n'y a plus de public. Les ateliers maintenant ces derniers temps, oui, et j'avais tellement de passion et de désir pour Shaumbra, que je pense que j'en ai trop fait avec certains des derniers groupes. Je pense que j'ai peut-être été un peu intense avec eux?

 

LINDA: Peut-être.

 

ADAMUS: Peut-être. Ouais. Mais c'est juste ce profond désir d'être de retour avec les Shaumbra. Nous voilà donc une fois de plus sans public. Que faire? Que faire? Alors ... …

 

LINDA: Allez-y, choisissez-moi (Adamus rit).

 

ADAMUS: Je ne veux pas en faire trop, Linda. Je ne veux pas vous causer de dommages permanents. Alors, non, je ne veux pas en faire trop. Donc, ce que j'aimerais faire, c'est créer un dispositif théâtral.

 

LINDA: Mm hmm.

 

ADAMUS: D'ailleurs, chacun d'entre vous possède beaucoup de dispositifs théâtraux que vous pouvez utiliser à tout moment. Il vous suffit de les sortir de votre poche arrière et de les utiliser de temps en temps.  Les dispositifs théâtraux sont excellents et ils aident vraiment à la dynamique du flux d'énergie, parce que vous sortez de votre tête. Maintenant, vous jouez simplement. Donc, oui, j'ai un petit dispositif théâtral. Je vais raconter une histoire.

 

LINDA: Ok.

 

ADAMUS: Et ce sera une histoire de Maître.

 

LINDA: Bien sûr.

 

ADAMUS: Que vous connaissez bien - «Le Maître et…» - dans ce cas, eh bien, «Le Maître et les Étudiants Interrogatifs». Et voudriez-vous jouer le rôle de tous les étudiants qui sont rassemblés pour écouter le Maître ?

 

LINDA: (avec enthousiasme) Oh! J'adorerais. J'ai l'habitude d'être un très bon étudiant.

 

ADAMUS: Bien, bien. Vous allez donc les représenter tous.

 

LINDA: Bien sûr.

 

ADAMUS: Je vais jouer le rôle du Maître.

 

LINDA: C'est choquant.

 

ADAMUS: Ce qui est très facile à faire pour moi, je n'ai vraiment pas besoin d'y travailler.

 

 LINDA: Ok.

 

ADAMUS: Je vais jouer le rôle du Maître et nous raconterons cette histoire avec les questions que vous avez…

 

LINDA : Ok.

 

ADAMUS:… des étudiants comme moyen de ramener un public.

 

LINDA: Oh, d’accord.

 

ADAMUS: Ok. Alors, prenons une bonne respiration profonde ensemble avant de commencer.

 

LINDA: (elle expire de manière audible) Oui. Ok.

 

ADAMUS: Une histoire de Maître. Et, encore une fois, je joue le rôle du Maître. Linda joue le rôle de plusieurs étudiants.

 

LINDA : Ok.

 

 

« Le Maître et les Étudiants Interrogateurs »

 

ADAMUS: Le Maître a tiré une chaise sous le grand chêne en ce bel après-midi d'été. Une vingtaine d'étudiants y étaient rassemblés. Ce n'était pas une classe formelle. C'était juste un rassemblement informel qu'ils faisaient de temps en temps, le Maître et certains des étudiants. Les étudiants l'attendaient avec impatience, parce que c'était en dehors de la salle de classe. C'était un peu plus facile, peut-être un peu moins intense.

 

Certains étudiants l'appelaient en plaisantant le rassemblement Zen / Non-Zen, car ils se posaient souvent de grandes questions de type Zen et réalisaient alors que c’ était un temps de non-Zen.

 

Ainsi, le Maître s'est assis sur sa chaise, a pris un verre de son café, qui en fait, n'est pas du café. Juste pour que vous le sachiez, je suis un peu déçu.

 

LINDA: Ce n'est pas ma faute!

 

ADAMUS: Je suis quand même déçu. Le Maître prit une gorgée de son café.

 

LINDA: Devrions-nous vous offrir du café?  Nous pourrions faire ça, vous savez.

 

ADAMUS: Non, je vais bien. Ne vous inquiétez pas...

 

LINDA : Vous n'en avez pas l'air.

 

 

ADAMUS: Ne vous inquiétez pas pour moi. Non, non, s'il vous plaît.

Le Maître s'est assis, a pris une gorgée de son café, qu'un des étudiants avait si gentiment obtenu pour lui et l'avait apporté là, même s'il ne l'avait pas demandé, parce que les étudiants anticipaient toujours les désirs du Maître. Cela pourrait être un petit indice, mais peut-être pas.

 

LINDA: J'y travaille.

 

ADAMUS: Le Maître a pris une profonde respiration avec les étudiants et a dit: «Aujourd'hui, nous allons parler de l'un des plus anciens débats philosophiques qui a été presque débattu à mort, mais aujourd'hui nous allons en parler en relation avec ce que vous traversez dans votre voyage. Aujourd'hui, nous allons parler du bonheur.

 

LINDA: Oh.

 

ADAMUS: Le bonheur. «Je vous demande maintenant,» a dit le Maître : «je vous demande de vous sentir dans le bonheur, votre propre niveau de bonheur. Qu'est-ce que le bonheur? Est-ce quelque chose qui peut être atteint ? Est-ce quelque chose à désirer? S'agit-il simplement d'un débat philosophique dénué de sens? Sentez-vous dans le bonheur pendant un moment, chacun de vous ici aujourd'hui. Êtes-vous heureux ? Est-il même important d'être heureux ? »

 

(pause)

 

Après quelques minutes, un des étudiants s'est rendu compte que la tasse de café du Maître était vide et lui a apporté une nouvelle tasse de café (Adamus rit), au bon moment bien sûr. Il a apporté une nouvelle tasse de café - ahem - ah, nous y voilà (quelqu'un apporte une tasse de café).

 

LINDA : Oh, de la magie ! Qui l'aurait cru ?

 

ADAMUS: Merci.

 

LINDA : Qui l'aurait cru ?

 

ADAMUS: Merci d'avoir anticipé mes besoins. D’avoir apporté une nouvelle tasse de café - bien, et je vais vous demander, Lindade,  s'il vous plaît (elle ajoute le sucre), ouais - et le Maître a ensuite dit: «Maintenant, à ce stade, j'aimerais prendre toutes les questions que vous vous posez sur le bonheur. » Ahem. Ahem.

 

LINDA: Ouais, ouais! «Maître, devrions-nous nous efforcer d'être heureux?» Whoa, encore un peu de crème, ma chère.

 

 

ADAMUS: «Devrions-nous lutter pour le bonheur?» dit le Maître, en prenant une gorgée de son café et en racontant ce que Nietzsche a dit un jour, que «Les humains ne devraient pas lutter pour le bonheur. Aucun humain ne cherche réellement le bonheur, à part les Anglais qui le font tout le temps. »

 

Je ne suis pas vraiment sûr de ce que Nietzsche voulait dire par là, mais fondamentalement, non, les humains ne recherchent pas vraiment le bonheur. Ils pensent au bonheur. Ils aimeraient le bonheur, mais ils sont tellement occupés dans leur vie quotidienne qu'ils ne le mettent tout simplement pas comme une priorité. Ils sont tellement occupés par des choses comme gagner de l'argent, prendre soin de leurs enfants, essayer de résoudre des problèmes au travail, ces choses-là. "Non, en fait, les humains ne cherchent pas vraiment le bonheur," dit le Maître, cherchant maintenant la question suivante.

 

LINDA: "Maître, la gloire et la fortune apporteront-elles le bonheur?"

 

 

ADAMUS: Hum. " La gloire et la fortune. La renommée et la fortune se produisent dans la poursuite du bonheur. On essaie d'acquérir plus d'argent par exemple, en pensant que cela apportera le bonheur. On pense que la célébrité, même la reconnaissance, est le chemin du bonheur. Mais en fin de compte, le bonheur est en soi. Cela n'exige ni gloire ni fortune. Vous voyez, ce ne sont que des poursuites du bonheur, mais elles n'aboutissent pas nécessairement au bonheur lui-même.

 

"Non. Non, il ne s'agit pas de devoir interjeter ces autres choses. Le bonheur est autonome.

«Comme on le dit si souvent, le bonheur n'est pas un but, ni une destination, et quand on le définit ainsi, il devient presque insaisissable. Mais le bonheur est dans chaque moment et c'est pourquoi je vous dis à tous, mes étudiants, qu'il s'agit de chaque jour que vous passez ici à l'école. Il y a des jours difficiles et il y a des jours faciles, mais chaque jour peut être tissé de bonheur, même dans les moments les plus difficiles. Et c'est l'une des raisons pour lesquelles vous êtes ici pour comprendre cela, pour comprendre qu'il ne s'agit pas de juger où vous êtes ou comment vous êtes, mais de vivre l'expérience et de ressentir ensuite le bonheur inhérent à cela. »

 

 

Le Maître s'arrêta un moment pour que chacun puisse réfléchir à ses grandes, grandes paroles de sagesse. Il remarqua cependant, du coin de l'œil, que plusieurs étudiants dormaient profondément. Hm. C'est ce que ça fait d'être un Maître.

 

Il a ensuite pris la question suivante.

 

LINDA: "Maître, puis-je atteindre le bonheur par le raisonnement?"

 

ADAMUS: Si les yeux du Maître avaient été ouverts, vous auriez vu ses globes oculaires rouler avec cette question (Linda rit). «Puis-je atteindre le bonheur par le raisonnement?»

Le Maître prit une profonde inspiration comme pour éviter le son ennuyeux qui autrement aurait pu être dans sa voix et a dit: «Temporairement, oui. Temporairement, vous pouvez utiliser des pensées et même des raisonnements pour créer l'illusion du bonheur. Vous pouvez vous dire que vous avez de l'argent à la banque. Vous pouvez vous dire que vos enfants vous aiment. Vous pouvez vous dire que vous réussissez mieux que beaucoup d'autres personnes.

 

Vous pouvez vous dire que vous êtes en avance sur les objectifs de vie que vous vous étiez fixés et cela apporte une certaine quantité de ce que j'appellerais un faux bonheur, un bonheur en sucre. Mais, non, en fin de compte, en fin de compte, le vrai bonheur, le vrai bonheur qui vient dans votre vie, ne vient pas de ces autres choses, mais il vient de l'âme, de l'âme. Et le vrai bonheur, c'est de savoir que vous êtes dans votre passion, que vous suivez votre passion, de savoir que vous arrivez enfin à permettre et à vous accepter. Ce sont les choses importantes. »

 

Le Maître ferma les yeux une fois de plus, attendant la prochaine question de l'auditoire.

 

LINDA: «Maître, je viens d'une famille malheureuse. Est-ce mon destin?

 

ADAMUS: Ah, c'était un gros problème pour beaucoup d'étudiants, venir d'une famille malheureuse. «Il y a un vieux dicton » dit le Maître,  qui dit: « Des parents heureux, des enfants heureux. Des parents malheureux, une famille très malheureuse. »

 

«Environ 50% de bonheur est littéralement inscrit dans vos gènes dès votre naissance. Il s'agit d'un transfert de la génétique ancestrale qui détermine, dans une très large mesure, votre capacité à être heureux ou du moins votre conscience du bonheur au cours de votre vie.

 

Si vos parents sont malheureux, il y a de fortes chances que vous le soyez aussi. Vous héritez de leurs énergies. Vous êtes maintenant dans ce cycle malheureux de cette vie. Donc, en général, oui, environ 50% de vos gènes portent le bonheur avec eux.

«Environ dix pour cent viennent simplement, diriez-vous, de la bonne fortune, des choses qui s'alignent ou de ce que je dirais être votre énergie qui vous sert, si vous le permettez, et encore environ 40 autres pour cent viennent simplement de la conscience de masse, de votre environnement, de votre réalité et de votre perception de la réalité.

 

«Alors, en réponse à votre question : « Était-ce votre destin si vous avez eu des parents malheureux? " et les chances pour la plupart des gens sont oui. Mais une fois que vous vous arrêtez un instant et que vous réalisez que vous n'êtes plus dépendant d'eux; vous pouvez les aimer tendrement ou les détester, peu importe, mais vous n'êtes plus dépendant d'eux et le bonheur ne se trouve pas dans vos gènes ou dans votre ADN; ce malheur n'est pas forcément le résultat du karma.

 

«Vous êtes libre, dans tous les aspects de votre vie, vous êtes libre d'être heureux. C'est un droit inhérent.  C'est la voie de l'âme, ce que vous appelleriez le bonheur ou, dans le cas de l'âme, le contentement. L'humain est heureux, l'âme est contente, et c'est votre droit, et une fois que vous reprenez ce droit, ne laissez plus la société ou même la chance ou votre famille dicter votre niveau de bonheur, alors vous réaliserez qu'il a toujours été là, mais qu'il était étouffé et coloré en noir par votre propre famille.

 

«C'est pourquoi il est si important de réaliser que vous êtes un être souverain, non redevable à une famille, à des ancêtres ou à une lignée. Bien que vous puissiez les aimer profondément en tant qu'êtres dotés d'une âme à part entière, il n'est plus approprié de transmettre le karma et le malheur et des choses comme la maladie, l'alcoolisme, la dépression et toutes ces choses à travers les lignées familiales. Alors maintenant, »dit le Maître aux étudiants, « cela dépend entièrement de vous. Acceptez-vous votre propre bonheur? Ou bien continuez-vous à compter sur le quotient familial? »

 

Il a pris une profonde inspiration et s'est souvenu alors de sa propre famille, des difficultés et des défis, des perturbations et du chaos lorsqu'il grandissait, réalisant depuis si longtemps - longtemps, bien avant de devenir un Maître - qu'il suivait les pas d'une famille malheureuse. Ce n'est que lorsqu'il a connu ses moments de désespoir les plus sombres et qu'il a dit: «C’est terminé» qu'il a quitté tout cela et qu'il est parti à la recherche de son propre Soi et, finalement, de son propre bonheur.

 

Il prit une profonde inspiration et fit une pause en attendant la prochaine question.

 

 

LINDA: «  Maître, diriez-vous que le bonheur est un choix? »

 

ADAMUS: «Le bonheur est une perspective. Le bonheur est un choix absolu, mais il ne peut pas être forcé par un grand nombre de raisonnements. Il ne peut pas être forcé en essayant de penser votre chemin vers lui. Ce que vous devez faire, c'est de réaliser que le bonheur est le don /le cadeau de l'âme à l'humain, et c'est votre droit. C'est votre droit depuis le début, et maintenant la question est de savoir si vous allez le permettre. Et la meilleure question est de savoir pourquoi ne le permettez-vous pas? »

 

LINDA: Hum.

 

ADAMUS: «Et généralement, la raison en est que vous dépendez toujours de choses extérieures – des personnes et des événements - et que vous comptez toujours sur vos anciens objectifs et aspirations humains, les anciens, pour déterminer votre niveau de bonheur et , par conséquent, il va être insaisissable. Il sera presque impossible.

«Une fois que vous réalisez que le bonheur est le cadeau/ le don de l'âme à l'humain - l'âme savait que l'humain allait traverser des expériences difficiles, et l'âme a dit: « Et voici le cadeau de cette chose que nous appelons le bonheur. » Pas le plaisir. C'est une chose différente. Le plaisir est un sentiment et une émotion créés par l'homme. Le bonheur est le don/ le cadeau de l'âme, et il est là pour chacun d'entre vous lorsque vous êtes prêts et dignes à le recevoir. »

 

Et le Maître prit une pause profonde et un peu de café, attendant la question suivante.

 

LINDA: «Maître, j'ai des souvenirs heureux, mais globalement, je ne suis pas heureuse. Est-ce tout ce que le bonheur est, des souvenirs?

 

ADAMUS: «Pour beaucoup de gens, oui. Pour beaucoup de gens, ils peuvent trouver le bonheur lorsqu'ils retournent dans leurs souvenirs. Quand ils pensent à leur enfance, qu’ils regardent une photo de quelque chose et même si au moment où la photo a été prise, ils n'étaient peut-être pas heureux, mais ils se remémorent maintenant les souvenirs heureux de cette photo. En effet, il y avait aussi de mauvais souvenirs, des souvenirs horribles, terribles, mais, oui, des souvenirs heureux.

 

«Il y a des rêves de bonheur. Lorsque vous pensez à l'avenir, à ce que sera votre vie dans cinq ou dix ans, cela peut vous faire sourire en réalisant que vous en avez terminé avec toute cette transformation difficile. Vous en avez fini de dépendre des autres. Vous souriez quand vous réalisez que l'énergie est juste là, qu'elle vous sert simplement, et c'est tellement simple et tellement artistique et créatif à la fois. Vous souriez, mais cela ne vous rend pas nécessairement heureux sur le moment.

 

«En fait, pour la plupart des gens, le bonheur est dans le passé ou dans le futur.  Il n’est pas dans le moment présent. Ils ne se permettent pas d'être simplement heureux dans l'instant présent. Beaucoup de gens se sentent coupables d'être heureux, parce qu'ils se comparent aux autres et se disent: «Tant que nous ne serons pas tous heureux, je ne pourrai pas être heureux». D'autres sont tellement occupés par le traitement mental, à s'inquiéter des choses et à douter d'eux-mêmes sur le moment, dans le moment présent, qu'ils ne sont tout simplement pas conscients de ce don naturel du bonheur qui est juste là. Le bonheur peut coexister avec des choses comme l'inquiétude. Le bonheur peut coexister avec une mauvaise journée. Tout est là. C'est simplement une question de perspective, comment vous choisissez de le regarder.»

 

Le Maître prit une profonde inspiration et attendit la question suivante, mais il y eut une sacrée pause pendant que ses élèves réfléchissaient à tous les mots qu'ils avaient à dire. Il sourit en lui-même joyeusement en pensant: «Aujourd'hui, je ressemble un peu à Kahlil Gibran. Toutes ces merveilleuses questions. »

 

Il attendit un moment et la question suivante arriva.

 

LINDA: «Maître, quelle est la différence entre la paix et le bonheur?

 

ADAMUS: «Oui.»

 

(pause)

 

Puis le Maître sourit en lui-même: «Oui. D'une certaine manière, ils sont tous les deux identiques parce qu'ils sont tous les deux sans conflit. La paix, c'est quand on arrive à s'accepter soi-même. La paix, c'est quand vous réalisez qu'il n'y a plus de batailles intérieures ou extérieures. La paix, c'est quand vous reconnaissez que toutes choses sont comme elles doivent être, même si elles n'en ont pas l'air. Mais toutes les choses sont comme elles doivent être. Cela crée un sentiment de paix, et dans cette paix, on peut se souvenir de ce cadeau / de ce don naturel qu'est le bonheur dans sa vie.

 

«Il est difficile de reconnaître ce don/ ce cadeau. Il est difficile d'être heureux quand on n'est pas en paix avec soi-même. Mais quand toutes choses sont acceptées, quand il n'y a plus de combats et de batailles, quand le dragon n'est plus l'énergie antagoniste /adverse qu'il était auparavant, quand le dragon est maintenant votre animal de compagnie, alors il est beaucoup plus facile de ressentir ce bonheur, ce don qui est déjà là. »

 

Et la question suivante est apparue soudainement.

 

 

LINDA: «Maître! Quelle est la relation entre l'estime de soi et le bonheur? »

 

ADAMUS: «Oui,» dit le Maître, une fois de plus. « Oui. Ils sont très étroitement associés, l'estime de soi et le bonheur. »

 

«L'estime de soi est la perception que vous avez de vous-même. Êtes-vous digne? L'estime de soi est la façon dont vous voyez qui vous êtes. Vous voyez-vous à travers un miroir pur et clair? Ou vous voyez-vous à travers des miroirs fissurés? Vous voyez-vous comme vous voyez les autres vous voir?  Ou vous voyez-vous du point de vue de votre âme?

 

«Cela crée un niveau d'estime de soi où le bonheur est un peu différent. Il ne s'agit pas d'une perspective, mais simplement d'un état de bien-être, d'un état d'acceptation et de grâce, d'un état de Réalisation que vous avez le droit d'être heureux.

 

«Depuis que les humains vivent sur cette planète, les humains ont été malheureux à des degrés divers. Tant que les humains se sont battus avec les autres et, en fin de compte, avec eux-mêmes, en exigeant beaucoup d'eux-mêmes de tant de façons différentes, ce bonheur, cet état de bien-être n'a pas été là.

 

«Les humains sont pleins de stress en ce moment. Ils sont occupés, occupés, occupés dans leur vie. Ils essaient toujours de réaliser/ d'accomplir quelque chose. Ils assimilent leur réussite à des choses comme l'argent, les amis et même la santé, et en fin de compte, cela n'apporte pas vraiment le bonheur. De toute évidence, cela n'apporte pas le bonheur. Il est difficile d'être dans cet état d'être.

 

«Mais quand vous réalisez que vous êtes dignes, quand vous réalisez qu'il n'y a plus besoin de ressentir de la culpabilité et de la honte à propos de quoi que ce soit- vous êtes dignes - alors il est tellement plus facile d'être dans cet état de bonheur. »

 

Le Maître prit une profonde inspiration et huma l'air. Une légère brise s'était levée et il pouvait sentir l'énergie changer avec le groupe. Vous savez, l'énergie est si facile à sentir en termes de perception, et il pouvait sentir que quelque chose était en train de changer, et parfois quand il y a de grands changements en cours, ce n'est pas toujours une odeur agréable. Mais au fur et à mesure que cette odeur passe, l'odeur désagréable du changement profond qui se produit, alors elle ouvre la voie à une odeur douce, une odeur de nectar, une odeur de miel, une odeur de biscuits fraîchement cuits au four.

 

La question suivante a été posée par les étudiants.

 

LINDA: "Maître, puis-je avoir des défis et des aventures et être heureux?"

 

ADAMUS: «Absolument. Les défis et les aventures de votre vie - certains que vous choisissez spécifiquement et consciemment, d'autres qui se produisent simplement - peuvent obscurcir cette chose entière appelée bonheur. Ils peuvent le faire paraître distant ou même pas du tout présent. Mais en fin de compte, oui, dans chaque aventure et chaque défi, même si vous traversez des difficultés, il y a du bonheur lorsque vous réalisez une chose très simple: que c'est vous qui mettez en place tous les défis et toutes les aventures dans votre vie. Vous êtes celui qui veut plonger profondément dans l'expérience, que ce soit en tant que toxicomane ou en escaladant les montagnes himalayennes. C'est vous qui organisez tout cela.

 

«Lorsque vous réalisez cela, vous pouvez trouver le bonheur même lorsque vous êtes mis au défi, même lorsque vous êtes dans une sorte d'aventure qui pourrait même être effrayante. Il se peut que vous décidiez simplement de quitter le poste que vous occupez. Vous allez ouvrir votre propre entreprise. C'est effrayant. C'est une grande aventure. Mais quand vous réalisez que vous installez tout cela et que vous vous rendez compte que c'est une excellente occasion de vraiment marcher et parler, c'est une grande opportunité de laisser votre énergie vous servir, oui, il peut y avoir du bonheur même en période de stress, d'aventure et de défi. »

 

Le Maître attendit la question suivante.

 

LINDA: "Maître, le bonheur est-il une pensée ou un sentiment?"

 

ADAMUS: «Oui! Le bonheur peut être une pensée. Vous pouvez penser à des pensées heureuses pour vous-même, et beaucoup d'entre vous essayent de le faire. Beaucoup d'entre vous essaient de se pacifier avec des pensées heureuses. Mais finalement vous réalisez qu'elles sont transparentes. Elles sont presque fausses.  Elles ne durent pas très longtemps, et malheureusement, après avoir eu des pensées heureuses pendant un certain temps, vous vous retrouvez à vous écraser au sol, encore plus déçus de vous-mêmes que jamais. Cela ne veut pas dire que le bonheur n'est pas dans les pensées, mais en général, les gens essaient de penser leur chemin vers le bonheur.

 

«Le bonheur est finalement un sentiment. C'est un sentiment qui n'est pas ici (il montre la tête), c'est un sentiment qui commence ici (il montre le cœur). Comme je l'ai dit, l'âme se sent contente, on pourrait dire satisfaite; l'humain ressent souvent le besoin de faire plus, d'avoir plus, de poursuivre plus, de changer davantage. L'humain est toujours en train de vouloir la perfection, de vouloir quelque chose de différent et de se sentir souvent incapable de faire quoi que ce soit à ce sujet. Il est donc très, très rare que les humains aient vraiment le sentiment d'être heureux au moment présent, mais c'est absolument possible.

 

 

«C'est le cadeau/ le don de l'Esprit et il est temps d'ouvrir ce cadeau maintenant. Pas seulement en pensant aux souvenirs heureux du passé, pas seulement en rêvant aux souvenirs heureux du futur, mais en ouvrant ce cadeau maintenant. « Le Maître commençait à s'impatienter car il voulait aller faire un tour. Alors il a dit à la classe: «Je vais prendre quelques questions supplémentaires. Quelle est la prochaine?"

 

LINDA: Oh, eh bien, "Si j'ai des problèmes de santé et de finances, est-il encore possible d'être heureux?"

 

ADAMUS: «Cela rend particulièrement difficile, en particulier les problèmes de santé, d'être heureux, et bien sûr, tous ceux d'entre vous qui ont eu des problèmes financiers comprennent que c'est très distrayant pour le bonheur. Toute votre attention se concentre sur des choses comme votre santé ou votre richesse, puis une fois de plus, vous oubliez la nature inhérente du bonheur qui est avec vous.

 

«C'est le cadeau que l'Esprit, votre âme, vous a fait, en sachant que vous alliez vivre beaucoup d'expériences intéressantes et en disant: « Et voici cette chose du bonheur à laquelle tu peux revenir à tout moment. Il est toujours là. Même dans les pires tempêtes, ce bonheur est toujours là. Même s'il y a une maladie dans ton corps et même si ton abondance financière ne coule pas comme tu le souhaites, j'aimerais que tu trouves ce bonheur. Il est toujours là. J'aimerais que tu y reviennes, même si tout te dit qu'il n'y a aucune raison d'être heureux en ce moment. Et ne le cherches pas à travers l'esprit/le mental. Reviens-y par le cœur. Tu reviens à cet endroit où le don du bonheur est inhérent à ta personne et cela change la direction des énergies. Cela transforme la tempête en une belle brise océane. »

 

Suivante.

 

LINDA: «Maître, j'ai deux chiens. Woof ! Woof ! Les animaux sont-ils heureux? »

 

ADAMUS: Hum. «Si l'humain est heureux.»

 

LINDA: Ooh.

 

ADAMUS: «Si l'humain est heureux, parce que, voyez-vous, les animaux de compagnie sont un reflet. Les animaux domestiques sont un miroir. Les animaux domestiques sont un moyen de se nourrir en retour, que ce soit un chien, un chat ou l'un de vos autres animaux de compagnie. Un humain heureux, un animal heureux. Un animal de compagnie captera tous les sentiments que vous éprouvez, puis les éprouvera lui-même. Maintenant, parfois, un animal de compagnie va détecter vos déséquilibres, votre malheur et les absorber pour lui-même. Parfois, un animal de compagnie ira même jusqu'à contracter une maladie que vous auriez pu peut-être contracter autrement. Mais finalement, un animal de compagnie est-il heureux? En fin de compte, philosophiquement, absolument, parce que l'animal est là pour vous servir, peu importe ce que vous lui faites subir. Merci."

 

LINDA: Hum. «Maître, quelle est la corrélation entre le bonheur et le fait de permettre?

 

ADAMUS: Hum. «Je dirais qu'il existe une corrélation directe entre le bonheur et permettre. Pour avoir le vrai bonheur, il est important de permettre. Et une fois que vous permettez, vous aurez le vrai bonheur. Donc, je dirais qu'ils vont de pair. Ils sont comme…» Quelles sont les deux choses au niveau humain qui vont de pair? Le chocolat et les cookies. « Mais, oui, ils font vraiment partie de la même chose - permettre, absolument, et le bonheur. »

 

Le Maître prit une profonde inspiration. Il commençait à s'impatienter un peu maintenant. Il avait des choses à faire, des endroits à visiter, des gens à voir, et il arrive un moment où les questions deviennent tout simplement, eh bien, boiteuses ou qu’elles tournent en boucle les unes sur les autres. Alors le Maître prit une profonde respiration et demanda la dernière question.

 

LINDA: "Maître, êtes-vous heureux?"

 

ADAMUS: Le Maître a levé les yeux, s'adressant à l'étudiant qui venait de poser la question comme pour poser cette question une fois de plus. Il faisait cela pour l’effet théâtral, pour que tout le monde dans la salle l'entende, et il haussa les sourcils comme pour dire: «Répétez cette question.»

 

LINDA: "Maître, êtes-vous heureux?"

 

ADAMUS: À ce moment-là, le Maître se leva,  prit une profonde respiration et  dit: «Sans aucun doute. Sans aucun doute."

 

Et sur ce, il partit, il monta dans sa Porsche 911 vintage  et partit joyeusement vers coucher du soleil, appréciant l'occasion de sortir pour une promenade dans l'une de ses nombreuses voitures. Il aimait la voiture parce que c'était un symbole de l'aventure, de la route, du voyage, mais maintenant au lieu de lutter contre la route, au lieu de se battre le long de la route, il avait beaucoup de voitures, beaucoup de vieilles voitures sur lesquelles il aimait travailler, simplement pour profiter de la balade. Il n'avait pas besoin d'aller où que ce soit, à part simplement permettre le bonheur.

 

Et ainsi se termine l'histoire du Maître et des Étudiants. Bonnes questions, chère Linda. Et la morale de tout cela est très simple.

 

 

Plus de Doute

 

Le Maître a terminé la dernière question quand quelqu'un a dit: «Maître, êtes-vous heureux?  Êtes-vous heureux?" et il a répondu: «Sans aucun doute. Je le suis sans aucun doute. Et c'est la morale de toute l'histoire.

 

Les doutes sont la seule chose qui va vous éloigner du bonheur. Les doutes. Douter de qui vous êtes, douter de la raison de votre présence ici, douter de la direction que prend la planète en ce moment, douter de vos propres capacités, douter de votre âme, douter de votre esprit/mental et définitivement douter de votre corps. Tout cela enlèvera le bonheur qui est juste là (il pointe vers le cœur). Cela fait partie de vous. Il est construit, pourrait-on dire, au niveau de l'âme de l'être humain. Mais les doutes feront que vous ne le verrez jamais. Vous ne le sentirez jamais. Vous en faites rarement, rarement l'expérience.

 

Le Maître a dit: «Je le suis sans aucun doute», parce que, voyez-vous, il avait appris depuis longtemps à laisser tomber les doutes. Et quand il l'a fait, alors le sentiment de bien-être, de bonheur lui est revenu et il s'est rendu compte que c'était son état naturel.

 

 

En cours de route, le Maître a eu beaucoup de difficultés dans sa propre vie. C'était un adolescent turbulent, il a eu beaucoup de problèmes, il a pris le mauvais chemin à plusieurs reprises. Ce n'était pas comme s'il était un prodige ou quoi que ce soit. Non. Il était comme beaucoup d'entre vous. Il avait ses conflits et ses défis et il avait des cicatrices - émotionnelles et physiques - pour le prouver. Mais une fois qu'il est entré sur la voie et une fois arrivé au point où vous en êtes actuellement, son professeur lui a dit: «Il s'agit de ne plus douter, de ne plus avoir de doutes.

 

Et le Maître s'est dit à ce moment-là: «Eh bien, cela sonne bien, ne plus avoir de doutes, mais il est difficile pour un humain de simplement prendre une profonde respiration et de laisser partir tous ses doutes. L'humain est infesté de doutes à tous les niveaux.

Et quand l'humain a interrogé le Maître et a dit: «Eh bien, comment surmonter les doutes? Comment gérer ce doute, ce doute et ce doute? » Son Maître l'a regardé très sévèrement et lui a dit: «Tu n'as plus le luxe de douter. Tu n'as plus ce luxe. »

 

Cela a frappé durement le Maître - ne plus avoir le luxe - et au début, il voulait crier à son Maître et dire: «Que voulez-vous dire par luxe? Je n'aime pas ça du tout. Mais il a soudain su, il a su ce que cela signifiait. Il s'offrait ce luxe du doute.

C'est un jeu auquel il jouait avec lui-même. C'était un vieux jeu de doute. Et le doute n'est pas une de ces choses que l'on combat, que l'on combat et dont on essaie de trouver chaque petite zone de doute en soi. Vous réalisez simplement que vous n'avez plus ce luxe. Cela vous a bien servi, jusqu'à un certain point. Le doute vous a fait remettre les choses en question, surtout vous-même. Le doute a aidé à aiguiser votre épée, jusqu'à un certain point, jusqu'à ce que vous vous coupiez vraiment avec. Le doute vous a donné un miroir, mais c'était un miroir très fêlé dans lequel vous pouviez vous regarder.

 

Vous n'avez plus le luxe de douter de vous-même. Il est temps de passer à autre chose.

Il est temps d'arrêter de douter que vous êtes vraiment ici pour la Réalisation. Faites-le ou ne le faites pas.

 

Il est temps d'arrêter de douter que vous soyez intelligent ou stupide.

Il est temps d'arrêter de douter que vous êtes aussi bon et digne que n'importe qui d'autre.

 

Il est temps d'arrêter de douter que c'est votre heure pour la Réalisation.

 

Vous n'avez plus ce luxe. Il s'agit maintenant soit de le laisser aller et d'arrêter de jouer au jeu du doute, de le laisser aller, ou de sortir du chemin, d’aller ailleurs.

 

Prenons une bonne respiration profonde, ici en ce jour de, eh bien,  bonheur. Vous voyez, le doute va détruire le bonheur. Absolument le détruire. Et vous avez le droit d'être heureux dans votre vie. Ce n'est pas du tout une discussion philosophique. Vous avez le droit au bonheur et vous avez besoin de ce bonheur pour rester ici sur la planète en tant que Maître incarné.

 

 

Merabh du Bonheur

 

Prenons une profonde respiration alors que nous entrons dans notre merabh du bonheur en ce jour.

 

Une bonne respiration profonde.

 

 (la musique commence)

 

Les humains sont remplis de toutes sortes de doutes dès le moment où ils se réveillent le matin, tout au long de la journée et ensuite jusque dans leur état de rêve. C'est doute après doute après doute.

 

Jusqu'à un certain point, cela sert un certain but, vous aider à mieux vous connaître, vous aider à mieux comprendre qui vous êtes vraiment. Mais à un moment donné, cela ne vous va plus, et vous devez simplement le laisser tomber.

 

Plus de doute. C'est peut-être plus facile à dire qu'à faire, mais vous n'avez même pas le luxe d'y penser/de le contempler. Pas en ce moment, pas là où vous êtes.

 

Le doute vous déchire. Le doute vous empêche de comprendre qui vous êtes vraiment ou de vous rappeler pourquoi vous êtes ici.

 

Le doute étouffe votre passion (quelqu'un éternue). Gesundheit (santé) et bénédiction.

Le doute vous épuisera et rendra votre corps malade. Il ralentira votre esprit/mental et il ralentira certainement votre conscience.

 

Vous ne pouvez pas combattre le doute. Cela ne fera qu'engendrer plus de doute et vous douterez alors que la lutte contre le doute produise le moindre résultat. Vous ne pouvez pas combattre le doute.

 

Vous ne pouvez pas vraiment charmer le doute non plus. En d'autres termes, charmez-le, en disant: «Cher doute, soyons simplement gentils l'un envers l'autre. Je suis vraiment une personne sympa. Je doute beaucoup de moi, mais je suis vraiment quelqu'un de bien. »Vous ne pouvez pas le charmer.

 

Vraiment, je ne pense pas que le doute soit quelque chose que vous pouvez même conseiller même en allant voir un conseiller. Le simple fait d'être sur la chaise ou le canapé d'un conseiller va vous faire douter de vous-même. Je veux dire, vous ne seriez pas là sans doute et cela renforce tout le doute que vous avez. Je ne pense pas que vous puissiez dissiper le doute en revenant en arrière et en revivant des moments traumatisants de votre vie. En fait, je crois que cela vous fera douter encore plus de vous-même.

 

Le doute est un jeu. C'est le jeu du diable, en fin de compte.

 

Le doute est très, très profond.  Il entre dans votre esprit/mental et dans votre cœur. Il s'infiltre dans vos relations, dans tout. Il s'infiltre dans votre vie financière, dans votre vie professionnelle.

 

Et le doute - en arrivant à cet endroit de votre voyage, en restant ici en tant que Maître incarné, je vais juste vous le dire directement - vous n'avez plus le luxe de douter de vous-même. C'est tout. C'est aussi simple que cela. C'est aussi simple que cela. Vous n'avez pas le luxe de douter de vous-même.

 

Vous allez essayer. Je sais que vous allez essayer et, oh, le mois prochain va être un mois intéressant. Vous allez vous fâcher/ vous énerver beaucoup contre moi, et vous allez essayer de philosopher sur le doute et le bonheur ad nauseam jusqu'à ce que cela me donne envie de cracher.

 

Vous allez en fait jouer un jeu de doute plus intense le mois prochain, parce que vous n'êtes pas sûr que - eh bien, vous doutez de ce que je dis ici, et à un moment donné, vous allez réaliser : «Bon sang, Adamus avait raison. Je n'ai plus le luxe de douter. »

 

Le doute est un jeu émotionnel et mental auquel vous jouez avec vous-même. Il vous garde humain. Il vous garde petit. Il vous garde perdu. Et vous vous demandez: «Puis-je simplement abandonner le jeu? Puis-je vraiment faire ça? »

 

Ne posez pas cette question en doutant comme ça. Oui, vous pouvez simplement aller au-delà. Plus de doute.

 

Maintenant, voici ce à quoi vous allez être confrontés. Vous avez toujours utilisé le doute comme un outil pour vous auto-évaluer, pour éviter les risques et pour vous assurer que les choses ne vous explosent pas à la figure. Vous avez douté de vous-même lorsque vous avez même ressenti de grandes périodes de passion. Vous avez douté, de peur de vous démarquer des autres, de peur d'être différent, de peur que ce soit peut-être faux.

 

Vous avez douté de vous-même et vous êtes donc restés petits, vraiment petits. C'est fini. C'est terminé.

 

Et tout comme nous avons parlé, il y a quelque temps du makyo, des sottises spirituelles, de la distraction spirituelle, nous parlerons davantage du doute lors de notre prochaine réunion, mais - et il y a un mot pour cela que j'utiliserai plus tard - pas de doute. Pas de doute. Il n'a plus sa place ici. Ni pour vous, ni pour les autres Shaumbra.

 

Vous n'avez plus besoin de ce filet de sécurité. Vous n'avez pas besoin de cette double vérification sur vous-même. Vous n'avez plus besoin du confinement dans lequel le doute vous met. Vous n'avez plus besoin de revérifier votre esprit/mental, vos pensées ou vos actions, et je sais que vous allez le rencontrer en réfléchissant à l'absence de doute: Qu'est-ce qui va me maintenir en place? Qu'est-ce qui va me garder en ligne? Qu'est-ce qui va m'empêcher de devenir fou? Si je ne doute pas de ce que je fais, que se passera-t-il si je pars et si je fais des choses folles?

 

Non non. Vous faites des choses folles en ce moment en doutant de vous-même, en vivant petit, en n'étant pas heureux à chaque instant. C'est de la folie.

 

Prenons une bonne respiration profonde en ce jour.

 

Lorsque l'étudiant a demandé au Maître: «Maître, êtes-vous heureux?» le Maître a simplement répondu: « Sans aucun doute. »

 

Sa façon de dire: «Oui, je suis heureux parce que je ne doute pas de moi. Je suis tout ce que je suis. Je suis heureux parce que j'ai abandonné ce jeu il y a quelque temps, et maintenant je peux être heureux. Le doute est un meurtrier. Le doute est un violeur. Le doute est un voleur. Je lui ai simplement dit de sortir de ma vie. »

 

Le Maître était maintenant dans sa Porsche 911 rouge antique, conduisant sur la route ouverte. Il se souriait à lui-même à propos de la beauté de ce rassemblement, de la façon dont il avait laissé tous les étudiants réfléchir jusqu'au prochain rassemblement.

 

Il roulait sur cette route dégagée, sans aucune autre circulation, le soleil commençait à se coucher, et il prit une profonde inspiration et dit: «Tout est bien dans toute la création. Je suis tellement heureux. »

 

Sur ce, chers Shaumbra, je n'ai pas besoin d'un public, mais (Adamus rit) Vous me manquez tous, vraiment.

 

Je suis Adamus du Domaine Souverain.

 

 

 

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Respiration d’Intégration de Linda

 

 

 

Et donc, respirez dans la beauté, la beauté ultime de ce message.

 

Ressentez vraiment ce qu'Adamus a partagé avec nous, tant de beauté et de grâce, ressentez-le vraiment et pour vous seul.

 

 

C'est une bonne respiration profonde, soyez avec, une bonne respiration profonde.

 

Permettez aux énergies de circuler, respirez.

 

Respirez pour vous et permettez sans aucun doute, permettez simplement.

 

 

Et avec cela, merci beaucoup d'avoir fait partie de ce Shoud, ce Je Suis Merlin numéro 8 et réalisez que nous reviendrons.

 

Et encore un merci spécial à cette équipe incroyable que nous avons ici avec nous à Hawaï.

 

 

Vous pouvez entendre les oiseaux gazouiller en arrière-plan et la beauté tout autour de nous.

 

Merci à tous et bien qu'Adamus ait dit qu'il n'y avait pas d'audience en direct, nous étions tellement nombreux partout dans le monde à ressentir la beauté de ce message.

 

Merci à tous de faire partie de cette aventure.

 

Merci

 

 

 

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CRIMSON CIRCLE

The Global Affiliation of New Energy Teachers

Affiliation Mondiale Des Enseignants Nouvelle Énergie

www.crimsoncircle.com

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Interprétation de Feolla 

feolla.ca@gmail.com    www.quatorzenouvelleenergie.com

 

 

 

 

 

 

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Adamus® canalisé par Geoffrey Hoppe , assisté par Linda Hoppe

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