Quatorze

 

 

ADAMUS SAINT GERMAIN

 

 

LES MATERIAUX DU CRIMSON CIRCLE

 

Série: ILLUMINATION

 

SHOUD 8

 

Adamus Saint Germain, canalisé par Geoffrey Hoppe, assisté par Linda Hoppe,

 

Présenté au Crimson Circle le 06 Avril 2024

 

www.crimsoncircle.com

 

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NOTE IMPORTANTE: Ces informations ne vous concernent probablement pas, à moins que vous ne preniez l'entière responsabilité de votre vie et de vos créations.

 

 

Pour profiter pleinement de toutes les énergies, Vous pouvez visionner en Anglais, la vidéo du SHOUD 8 ou simplement l’écouter, tout en lisant l’Interprétation ci-dessous.

 

 

 

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Respiration d’Introduction de Linda

 

 

 

 

Bienvenue !

 

Nous sommes ici pour le shoud de la série Illumination et nous sommes ici à la Villa Ahmyo dans le Pavillon Shaumbra.

 

Et Geoff se prépare à canaliser. Et encore une fois, c’est sur la grande île d’Hawaï, un très bel endroit.

 

Alors sur ce, Geoff se prépare. 

 

 

 

Soyons tous prêts et préparons-nous avec cette respiration consciente.

 

C’est une chose tellement importante que nous faisons de façon habituelle.

 

 

 

Nous respirons tout le temps, mais c'est un moment où vous vous asseyez confortablement, peu importe ce que cela signifie pour vous… et vous prenez cette bonne et profonde respiration de vie, cette respiration consciente.

 

Inspirez en vous, dans votre cœur.

 

 

 

 

Prenez cette bonne et profonde respiration, cette respiration du « permettre »… qui ouvre à tant de potentiels.

 

Respirez et ressentez-les couler avec votre corps, votre âme, votre divin, Tout ce que Vous Êtes.

 

Respirez le « Je Suis » ; « Je Suis, J’Existe » ; « Je Suis ce que Je Suis, J'Existe ».

 

 

 

 

Prenez ce souffle de Présence.

 

Respirez, respirez et laissez couler.

 

Respirez Tout ce que Vous Êtes, dans ce moment présent.

 

Respirez alors que nous passons à cette séance spéciale.

 

 

*****

 

 

[Le message d'Adamus a été précédé de cette vidéo ]

 

 

 

ADAMUS DE SAINT GERMAIN

 

 

 

 

 

Je Suis ce que Je Suis, Adamus de Saint-Germain.

 

Bienvenue à ce Shoud, à ce beau Shoud, à ce beau rassemblement. Pendant que la musique jouait, j’en profitais pour me sentir dans tous ceux d'entre vous qui se joignaient à nous. Il y a toujours de la musique au début, pour ceux d'entre vous qui écoutent en direct. Et pour faire écho à cette chanson, « Nothing else Matters » (Rien d'autre ne compte ) – je dois poser la question à chacun d’entre vous : « Qu’est-ce qui compte dans votre vie ? Qu'est-ce qui compte vraiment ? Maintenant, tenez-vous en à cinq points. Tenez-vous en à quelques mots par point, mais qu’est-ce qui compte vraiment dans votre vie ?

 

 

 

Qu’est-ce qui compte?

 

Prenez un moment et ressentez cela.

 

Qu'est-ce qui compte vraiment ?

 

(pause)

 

Eh bien, l'esprit/le mental humain intervient, comme vous l'avez probablement remarqué, et il s'embrouille et devient confus. Et si c’est le cas, arrêtez-vous un instant et ressentez-le à nouveau, mais en tant que Maître. En tant que Maître. Vous savez, c'est votre sagesse issue de toutes les vies que vous avez eues, et ce Maître est disponible maintenant. Il est ici.

 

Alors, demandez-vous en tant que Maître, qu'est-ce qui compte vraiment dans votre vie ? Cinq points, quelques mots.

 

(pause)

 

Notez-le si vous le souhaitez. Qu'est-ce qui compte vraiment ?

 

(pause)

 

 

Vous savez, ce qui est drôle, et vous pouvez continuer à jouer avec ça, mais ce qui est drôle, c'est que vous avez toutes ces choses qui se produisent dans votre vie chaque jour – des hauts et des bas, des rebondissements ; à un moment donné, vous êtes malades, l'instant d'après vous vous sentez bien ; à un moment donné, il y a tout un tas de drames, généralement avec d'autres personnes, et la minute suivante, ça se calme ; à un moment donné, vous sentez que vous êtes le Maître, la minute suivante, vous vous sentez/ vous avez l'impression d'être une sorte d'humain méprisable – mais si vous y réfléchissez vraiment bien, qu'est-ce qui compte vraiment en tant que Maître ? C'est assez simple.

 

C'est assez simple.

 

Maintenant, je ne vais pas passer en revue toutes les réponses potentielles, mais elles ont tendance à être du genre: « Je compte. Je compte. » Cela devrait être en tête de votre liste: « Je compte pour moi. Mon parcours, ma vie, c'est ce qui compte. »

 

 

 

L'amour compte mais l'amour pour soi. Il ne s'agit pas d'aimer tout le monde/ tous les autres. Cela entre en ligne de compte. Quand on s'aime soi-même, on commence vraiment à comprendre ce qu'est l'amour des autres.

 

Jusqu'à présent, vous n'êtes qu'un amateur qui joue au jeu de l'amour, alors que vous ne vous aimez pas vraiment.

 

Ce qui compte, c'est d'avoir la paix en soi. Il y a eu beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup de vies sans cela, des allers retours à la recherche de toute cette question : « Qui suis-je ? » Et puis, il y a eu toute cette métamorphose vers la Réalisation et rester sur la planète. Alors, un peu de paix, un peu de réconfort, un peu de joie. Cela devrait compter.

 

 

 

Au-delà de cela, il n'y a pas grand-chose qui compte. Ce n'est vraiment pas le cas. Il est si facile de s'empêtrer /de se laisser emporter par tout ce qui se passe dans la vie et de revenir toujours à ces questions lancinantes : « Est-ce que je fais qu'il faut? Pourquoi est-ce que je me sens mal ? » Ces questions-là n’ont vraiment pas d’importance. Vous gaspillez beaucoup d’énergie avec cette sorte d’auto-évaluation mentale constante. Cela n'a vraiment pas d'importance. Rien de tout cela.

 

Ce qui compte, c'est vous, c'est l'amour de vous-même, c'est la joie de rester ici sur cette planète. C'est à peu près tout. Tout ce qui va au-delà n'est que makyo (illusions, croyances etc…), beaucoup de constipation spirituelle, beaucoup de perte de temps. Et le fait est, que lorsque vous laissez toutes ces choses interférer avec votre vie, juste les problèmes quotidiens et des choses comme ça, vous perdez beaucoup de temps, mais votre énergie est dirigée vers ces choses.

 

 

 

Vous êtes comme un grand aimant pour votre propre énergie. Elle viendra. Si vous voulez vous préoccuper de chaque petit détail, si vous voulez stresser pour chaque petite chose, si vous êtes constamment dans cet esprit/ce mental qui vous harcèle, les énergies vous soutiendront. Elles sont – pfft ! – elles s'en moquent.

 

Mais si l'on y regarde de plus près/plus profondément, qu’est-ce qui compte vraiment ? Pas grand-chose. Pas grand-chose. Les énergies se réaligneront alors et soutiendront ce qui compte vraiment. Ce qui compte vraiment.

 

Un Maître commence à réaliser que des choses comme l’abondance n’ont pas vraiment d’importance. En fait, ce n'est même plus un mot de votre vocabulaire. Tout est juste là. Un Maître réalise que même des choses comme la santé n'ont pas vraiment d'importance. Je veux dire qu'elles ont de l'importance si vous n'êtes pas en bonne santé. Mais en fin de compte, elles n'ont pas vraiment d'importance, parce que vous êtes dans un état de santé maintenant, dans un état de vibration. Vous traversez beaucoup de choses, parce que vous sortez vraiment de l'ancienne biologie et entrez dans votre corps de lumière, et vous allez le ressentir. Mais cela n'a pas vraiment d'importance.

 

 

J'ai passé une vie relativement courte, oh, il y a des centaines, voire des milliers d'années, en tant que moine Zen, une partie du temps en Chine et l'autre au Japon. C'était une vie intéressante. Je voulais faire l'expérience du Zen. Le zen, c'est cette interrogation constante sur le but : « Quel est le but de la vie ? »

 

Vous entrez dans le Zen et cela vous retourne l'esprit/le mental. C’est le cas, mais en fait, de telle manière que cela vous amène à une certaine clarté, car vous réalisez que rien n’a d’importance. Rien n'a vraiment d'importance. Rien n'a vraiment d'importance, et vous réalisez que bon, comme je l'ai dit, ma vie a été courte et je n'arrêtais pas de me demander: « Quel est le but ? » Et dans le Zen, j'ai réalisé qu'il n'y avait aucun but : «Petit scarabée, il n'y a aucun but. » Et c'est ainsi que j'ai quitté cette vie. Pas par dégoût, ni par colère, ni quoi que ce soit d'autre mais parce qu'il n'y a pas de but. Alors, je suis parti et j'ai réalisé qu'en fait, il y a une beauté. Ce n’est peut-être pas ce que vous définiriez comme un but ou un objectif, mais il y a une beauté dans la vie. Et s’il y a un but, s’il y a une raison, c’est peut-être cela. Juste la beauté, la pure beauté de pouvoir vivre dans cette réalité.

 

 

 

J'ai adoré cette vie. C'était un va-et-vient constant avec les autres Maîtres Zen. C'est comme si vous jouiez constamment à ce jeu d'échecs zen, mais peu importe que vous gagniez ou perdiez. Cela n'a aucune importance. Dans le Zen, vous réalisez que vous réduisez tout à l'essentiel, et même là, cela n'a pas d'importance. Cela n'a vraiment pas d'importance, à part ce qui compte pour vous. C'est ça, le zen. Rien n'a d'importance, sauf ce qui compte a pour vous. Et c'est pourquoi j'aime le Zen. Mais au bout d’un moment, cela devient un peu frustrant. Ce qui compte, c'est ce qui compte pour vous. C'est tout.

 

Ressentez cela à nouveau. Qu’est-ce qui compte vraiment dans cette vie ? Qu’est-ce qui fait vraiment la différence ? Pas grand-chose. Vous pourriez probablement dire que, quoi, 99 pour cent de ce qui occupe votre esprit/mental, prend votre énergie, vous stresse, et n'a pas vraiment d'importance.

 

Cela soulève donc la question : « Pourquoi les gens le font-ils ? » Eh bien, en partie parce qu'ils ne savent pas faire mieux. Ils n’ont jamais été moine zen et n'ont jamais étudié comme beaucoup d'entre vous l'ont fait. Ils le font parce que cela les occupe. Cela les occupe. Cela leur donne des expériences ; cela leur donne des histoires. Cela occupe la journée. Cela leur donne quelque chose à faire. Mais on finit aussi par réaliser que cela n’a pas vraiment d’importance. Rien de tout cela. Qu’est-ce qui compte vraiment, à part le Soi, à part l’amour du Soi ? La beauté d’être ici, la beauté de soi-même, la beauté de la nature, et même parfois la beauté des autres. Et je ne dis pas que c'est la réponse, c'était ma réponse. La beauté de la vie.

 

 

 

Vous êtes ici dans cet endroit incroyable, un endroit très difficile également. Mais vous savez, dans sa dureté même, dans les défis de la vie, cela vous permet en fait, de percevoir la beauté d'une manière différente, d'une manière beaucoup plus claire, d'une manière plus poignante. Donc, ce qui comptait pour moi, c'était la beauté de la vie, et c'est pourquoi, après cette courte vie de moine zen, je suis revenu pour cette beauté. Pour la beauté de moi-même, de tout ce qui m'entoure, pour expérimenter mon énergie, pour la beauté de la façon dont la lumière – l'énergie et la lumière – se transforme en quelque chose comme ça. C'est assez étonnant. Cela devient/cela se transforme en cette réalité. Cela donne vie à votre biologie, à votre esprit/mental, à tout ce qui vous entoure, à vos expériences. Même les pires expériences ont une certaine beauté.

 

Donc, alors que nous ouvrons ce Shoud, je dois dire qu'il sera un peu différent de la normale. Nous allons avoir un très long merabh. Alors installez-vous confortablement, détendez-vous. Et si vous vous endormez pendant le merabh – oh, certains d'entre vous dorment déjà – mais si vous vous endormez pendant le merabh, c'est très bien.

 

 

 

 

 

Qu'est-ce qui vient après l'achèvement ?

 

Question zen du jour : Qu'est-ce qui vient après l'achèvement ?

 

Qu'est-ce qui vient après l'achèvement ? Ressentez-le pendant un moment et ressentez-le en tant que Maître.

 

Qu'est-ce qui vient après l'achèvement ? Hmm. Je vous laisse un moment pour y réfléchir.

 

(pause)

 

Pendant que je discute avec Linda. Linda d'Eesa, comment allez-vous aujourd'hui ? Ils réfléchissent. Nous ne faisons que parler.

 

LINDA : Euh, bizarre.

 

ADAMUS : Comme toujours ?

 

LINDA : Plus bizarre.

 

 

ADAMUS : Encore plus bizarre. Encore plus bizarre que d'habitude. Pourquoi cela?

 

LINDA : (elle fait une pause) J'essaie toujours de comprendre.

 

ADAMUS : De comprendre quoi ?

 

LINDA : Pourquoi je me sens si bizarre.

 

ADAMUS : Oh. Pourquoi essayer de comprendre? Je veux dire, cela ne vous mènera absolument nulle part.

 

LINDA : Eh bien, c'est ennuyeux de se sentir si bizarre.

 

ADAMUS : Pourquoi ? Pourquoi? Je veux dire, en quoi vous sentez-vous bizarre ? De quelle façon ?

 

LINDA : Mal à l'aise.

 

ADAMUS : (aux Shaumbra) Eh, continuez à penser à ce qui viendra après l'achèvement. Nous sommes simplement en train de discuter ici.

 

LINDA : Mal à l'aise.

 

ADAMUS : Mal à l'aise, parce que je suis ici ?

 

 

 

LINDA : Non. Pas à cause de vous.

 

ADAMUS : Non, non, non, non, non.

 

LINDA : Non, non, non.

 

ADAMUS : Mal à l'aise parce que… ? Est-ce qu’il se passe quelque chose d’important dans votre vie ? Il se passe quelque chose?

 

LINDA : Je n'en suis pas tout à fait sûre, mais je me suis beaucoup amusée avec Geoff et Belle, et je me lamente, je pense, en anticipant, vous savez, à devoir faire quelque chose d'autre.

 

ADAMUS : Ouais. Je ne pense pas que ce soit la vraie raison, mais ce n'est pas grave, vous savez, parce que vous allez devoir laisser Belle derrière vous pendant un petit moment. Elle ira bien. Mais non, il y a autre chose. Qu'est-ce que c'est?

 

(elle fait une pause)

 

Je vais vous mettre des mots dans la bouche, si vous voulez bien. C'est le Shoud d'aujourd'hui…

 

LINDA : Ohh.

 

 

 

 

ADAMUS : … et ce qui vient après. Bien sûr. Vous le comprenez. Vous captez tous les Shaumbra qui sont là. Et vous vous rendez compte que vous êtes en quelque sorte - mmm - en train de traverser quelque chose de nouveau, et il y a toujours de l'anxiété et de l'inquiétude. Vous devriez être enthousiastes ! Vous devriez être excités.

 

Nous allons faire quelque chose de nouveau aujourd'hui.

 

LINDA : Mais cela n'arrive pas si souvent. Pourquoi ceci est-il si anxieux, anxieux… ?

 

ADAMUS : Nous nous y préparons depuis un certain temps. Beaucoup de Shaumbra sont prêts. Beaucoup de Shaumbra sont vraiment fatigués maintenant de la façon dont ils vivaient et ils disent vraiment: « Ça suffit, pas plus, pas plus », parce qu'il est temps de passer à autre chose. Vous savez, vous pouvez traîner des choses – votre famille, votre travail, vous savez, peut-être que vous n'êtes pas satisfaits/heureux de l'état de votre vie en ce moment, de vos relations ou de l'endroit où vous vivez ou de choses comme ça – mais pourtant, les gens continuent à vivre cela, et cela n'a pas beaucoup de sens. Et au fur et à mesure que nous nous remplissons de lumière et que nous devenons plus personnellement, pour ainsi dire, autonomes, nous réalisons soudain que nous pouvons changer cela. Et c'est ce que nous faisons. Non pas parce que vous y réfléchissez ou que vous vous frayez un chemin à travers votre esprit/mental ; parce que soudain vous êtes prêts pour un changement, et alors le changement se produit.

 

 

 

LINDA : Mais si c'est censé être, vous savez, quelque chose qui me fait me sentir mieux, pourquoi est-ce que je me sens si mal à l'aise ?

 

ADAMUS : Question zen. Pourquoi vous sentez-vous si mal à l’aise ?

 

LINDA : Parce que je le peux.

 

ADAMUS: Oui, parce que vous le pouvez, parce que vous n'avez peut-être rien de mieux à faire, ou parce que c'est un départ. C’est laisser le moi humain derrière soi. C'est en quelque sorte la mort d'une identité, et c'est effrayant, parce que qu'est-ce qui vient après ? Et l’esprit/le mental humain ne peut pas imaginer ce qui vient après. Lorsqu’il le fait, il limite ce « qui suit » à ses limites humaines.

 

Donc, vous savez, vous arrivez à ce point d’achèvement ; que se passe-t-il ensuite ?

Eh bien, On pourrait dire qu'il ne se passe rien après l'achèvement. C'est complet. Vous avez terminé. C'est tout. Peut-être que vous disparaitrez, ce qui n’arrivera pas. Peut-être que vous existerez simplement. Vous dites simplement… (en regardant vers le haut, mains tendues, paumes vers le haut)… toute la journée, toute la nuit, toute l’éternité, « J’Existe ». Vous existez simplement, ce qui n’est en fait pas si mal. Mais pour les humains, cela semble ennuyeux.

 

 

 

LINDA : Oui, c'est le cas.

 

ADAMUS : Cela semble très ennuyeux. L'être humain doit avoir quelque chose à faire. L'être humain aime ronger les problèmes, être obsédé par les problèmes. L’humain aime vraiment « se donner quelque chose sur quoi travailler », et il le fait de manière obsessionnelle, encore et encore, jusqu’à ce que vous en ayez absolument marre. Et beaucoup d’entre vous l’ont fait et se disent: Eh bien, « Je suis vraiment fatigué de tout ça ».

 Eh, vous n'êtes pas assez fatigués, parce que vous allez vous y remettre tout de suite.

Alors, à un moment donné, vous vous dites : « Non, non. Vraiment, j'en ai fini. Je suis fatigué. Il n'y a plus rien à faire. Quel est le but ?

 

Nous sommes donc en train de parler de cette question, et pour vous qui nous écoutez, qu'est-ce qui vient après l'achèvement ? Peut-être rien. Ou peut-être quelque chose qui n'aurait pas pu être imaginé par l'esprit/le mental.

 

Alors, prenons une bonne et profonde respiration. Ressentez cela pendant un moment.

 

(pause)

 

Qu'est-ce qui vient ensuite ? Qu'est-ce qui vient ensuite ?

 

 (pause)

 

 

 

Et pendant que vous faites cela, nous allons résoudre quelques problèmes techniques que nous rencontrons ici.

 

Respirez profondément. Rien d'autre ne compte.

 

(pause)

 

Bien. Ok.

 

Ainsi, chers Shaumbra, vous arrivez au point d'achèvement. Que se passe-t-il après l'achèvement ?

 

Est-ce qu'on recommence un autre cycle ? Non. Non, non. Vous allez vers quelque chose de totalement nouveau et différent, inimaginable, pour la plupart, pour l'humain – pour la plupart – parce que dans l'esprit/le mental humain, vous ne pouvez pas réellement imaginer pleinement ce qui se trouve au-delà, parce que vous l'humanisez. Vous le mettez/ l’exprimez en termes humains et dans une perspective humaine. Mais il y a quelque chose.

 

 

 

Ainsi, lorsque vous vous sentez dans cette question Zen : « Qu'est-ce qui vient après l'achèvement ? » vous réalisez qu'il y a quelque chose. Quelque chose. Quelque chose. Et peut-être pas immédiatement dans votre perception, mais quelque chose. Cela vous attend. C'est déjà là. Vous, en tant qu'humain, n'avez pas besoin de le faire, de le créer, de le construire, de l'architecturer, de le façonner, ou quoi que ce soit d'autre. Il est là, il vous attend. Et cela suscite une certaine anxiété, car : «Qu'est-ce que c'est? Est-ce que c'est bon pour moi ? Est-ce que cela va me tuer ? Est-ce que cela va me faire du mal ? Est-ce que cela va me causer du stress, de la consternation et tout le reste? »  Je ne sais pas. C'est juste quelque chose.

 

Donc, vous ressentez ce « quelque chose » et c'est exactement ce que nous allons faire aujourd'hui. Vous vous sentez dans ce quelque chose.

 

Vous arrivez au point d’achèvement et dans le Zen nous l’appelons Samsara. Samsara. Samsara signifie exactement cela. Vous arrivez à la fin des cycles, en particulier lorsque vous pensez aux cycles d'incarnation humaine de la mort et de la naissance. Vous arrivez à la fin de tout cela. C'est le Samsara, et rien n'est devant nous /rien n'est à venir. Quand vous regardez les choses avec vos yeux humains, rien n’est devant vous, et c’est vraiment effrayant.

 

 

 

L'humain aime sentir ce qui vient ensuite, même si ce n'est pas nécessairement tangible ou clair. C'est comme si on se disait: « Ok, nous allons passer à la prochaine étape.» Il y a une sorte de néant là. Mais dans ce néant, comme dans le Zen, il y a quelque chose. Rien n'est rien (Adamus rit). Nous pourrions continuer ainsi toute la journée, mais il n'y a rien dans rien, sauf tout. Mais c'est toujours rien. Alors, qu'est-ce que c'est ? Vous arrivez au Samsara. Vous arrivez au bout d'un chemin, d'une époque. Vous arrivez à la fin de votre vie. La plupart des Shaumbra ont reconnu en eux-mêmes : « Plus de vies. Finissons-en ici. Samsara. Et où allons-nous à partir de là ? Qu’est-ce qui se produit?

 

Eh bien, le Maître vous dira : « Ne vous inquiétez pas à ce sujet et n'y pensez pas. Cela ne fera que vous déprimer, vous attrister et vous rendre anxieux. N'y pensez même pas. » Mais l'être humain, lui, se dit: « Oh, non, je dois savoir ce qui se passe. Qu'en est-il de ceci ? Que dire de cela? »Et le Maître dit : « Cet humain va-t-il se taire ? Va-t-il simplement se contenter de prendre une profonde respiration ? Rien ne compte, sauf ce qui compte/ ce qui a de l'importance pour vous. »

 

 

 

Tout le reste – tout le bruit de la vie, toute l'agitation, toute la circulation, tous les gens, tous les membres de la famille, tous les drames, toutes vos vies antérieures – n'a pas d'importance. Cela n'a vraiment pas d'importance, à moins que vous ne le vouliez, et alors ils se manifesteront. Ils seront là avec vos problèmes et vos maladies, votre dépression, votre tristesse, tous les défis de votre vie, le fait d'être une victime et tout le reste. C'est alors que ça compte vraiment. Ensuite, vous avez beaucoup d'énergie et beaucoup de lumière qui se déversent sur vous, jusqu'à ce que vous preniez cette profonde respiration dans le Samsara. La fin. La fin des vieux cycles.

 

Et, à mesure que nous avançons dans la journée, vous réalisez que vous ne vous lancez pas dans un nouveau cycle. Vous ne vous lancez pas dans ce vieux schéma et ce vieux piège, peut-être simplement en ayant l'air un peu meilleur ou en étant un peu plus intelligent. Pas du tout.

 

Nous quittons la circulaire, cette continuation à laquelle vous avez participé, et nous entrons dans quelque chose de différent. « Et qu'est-ce que c'est ? Eh bien, c'est à vous de le découvrir. Mais je vous le dis tout de suite, ce n'est pas nécessairement linéaire. Il ne s'agit pas simplement d'un cercle plus grand. Il ne s’agit pas simplement d’être un être humain heureux et de ne rien faire. C'est bien plus que cela. C'est la maturité. C'est la maturité. J'en ai beaucoup parlé récemment lors de certains rassemblements ici, comme vous le savez. C'est la maturité. Et la maturité – la maturité vient avec l’expérience.

 

 

 

 

La Maturité

 

On ne peut pas avoir de maturité sans avoir vécu des expériences, et les expériences, ce n'est même pas qu'elles vous apprennent quelque chose. Il ne s'agit pas de leçons de vie. Je n'ai jamais aimé cette idée que la vie soit une leçon. Ça ne l'est pas. C'est une expérience.

 

Mais vous vivez des choses et vous apprenez d’elles. La plupart du temps. Parfois, pas tant que ça. Vous entrez dans ces expériences et les expériences sont faites pour la joie, pour la lumière, pour être simplement là et le faire sans aucun but particulier, si ce n'est d'être là, parce que vous le pouvez. Et au fur et à mesure que vous vivez les expériences de très nombreuses vies, à un moment donné, vous devenez plus mature. Vous réalisez qu’il existe certaines façons de faire les choses pour votre bonheur et votre joie, et certaines façons de ne pas faire les choses, parce qu’elles vous rendent malheureux et rendent les gens autour de vous malheureux également. Vous réalisez qu’il y a des choses qui comptent/ qui ont de l'importance et beaucoup d'autres qui n'en ont pas. Il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses qui n’ont pas d’importance, et vous les laissez tomber. C'est la maturité.

 

 

 

La maturité n'a rien à voir avec l'intelligence. Même si je dois dire que plus une personne devient mature, plus elle devient intelligente en tant qu'humain. La maturité n’est pas quelque chose sur laquelle on peut travailler. C'est quelque chose que vous recevez et permettez. Et ce qui se passe après de très nombreuses vies, c'est que vous arrivez à un point de maturité; vous arrivez à un point où vous êtes aguerri, où vous comprenez de mieux en mieux ce qui est vraiment important, ce qui compte pour vous, et cette maturité est alors précisément la chose même qui vous permet d'atteindre l’état de Nirvana.

 

Maintenant, Nirvana, c'est un grand mot. Beaucoup d’entre vous pensent que le Nirvana c'est être un nigaud de la béatitude, courir autour de la planète dans un bonheur total. C'est une sorte de vision occidentale des choses. Le Samsara est ce point, eh bien, c'est un point de mort. C'est un point de non-retour. C'est un point où il n'y a plus de cycles. Quand je parle de mort, je ne parle pas uniquement de votre corps physique. Je parle de votre être. C'est le moment de mourir. C'est le but, s'il ne meurt pas, il faut le tuer parce qu'il ne vous sert plus. Et ce sont toutes des pensées effrayantes.

 

Vous savez, ce que beaucoup de Shaumbra veulent, c'est laisser tomber certaines choses et simplement continuer un peu plus léger, tout en s'accrochant encore à beaucoup de vieilles choses. Et c'est très difficile à faire, parce que si vous vous accrochez toujours à des choses qui n'ont pas d'importance, qui en fin de compte n'ont pas d'importance, vous allez être immédiatement ramené à toutes ces vieilles choses. Il s'agit de – Cauldre allait utiliser le mot « concéder », qui pourrait éventuellement être utilisé, mais– de se libérer.

 

 

 

C'est une question de libération. Et oui, cela demande une énorme dose de courage, mais il n'en faut pas moins. Cela demande une énorme confiance en soi, mais la confiance est inhérente, il n'est donc pas nécessaire d'y travailler. Elle est déjà là.

 

Nous partons donc de ce point de Samsara, en particulier avec l'Apocalypse, là où c'est la fin.

 

Et il ne s'agit pas seulement de prendre un nouveau départ, comme l'ancien, mais un peu mieux. Ce n'est pas comme simplement mettre des pneus neufs sur votre voiture. C'est ce que beaucoup de Shaumbra pensent que la Réalisation est.

 

Vous savez, vous avez de très vieux pneus usés qui ont traversé beaucoup, beaucoup, beaucoup de vies, et maintenant vous allez mettre de nouveaux pneus sur votre voiture et appeler cela la Réalisation. C'est bien plus que cela. C'est bien plus, et c'est le point où nous en sommes en général avec les Shaumbra. C'est aussi le point sur lequel j'insiste.

 

Aujourd'hui, il s'agit de le faire. Faisons-le tout simplement.

 

 

 

Le Nirvana signifie une renaissance – une renaissance du Soi, sans que l’humain n’y travaille. Je dois insister sur ce point. Sans que l’humain n’y travaille. Dégagez-vous de votre chemin. Ce qui se passe en ce moment en vous est naturel, peut-être effrayant pour l'humain qui ne réalise pas : « Que se passe-t-il ? Pourquoi est-ce que je me sens comme ça? » Eh bien, pour l'être humain, il suffit de ressentir cela. Je veux dire, plongez-vous simplement dans ce sentiment en toute confiance. Plongez dans ce sentiment et arrêtez d’essayer de le perturber.

 

Dans le Nirvana, il ne s’agit pas seulement de la félicité. Il s'agit de se recréer soi-même, mais pas au niveau humain. La recréation se produit au niveau du Maître. Et ce Maître remet alors ces dons/ ces cadeaux à l'être humain et lui dit: « Maintenant, vis-les. Vis de cette nouvelle manière. Expérimente de cette nouvelle manière. Sois avec cette Nouvelle Lumière. » Et c'est ce qui se passe.

 

C'est le temps de l'Apocalypse. Nous avons commencé par cela l'année dernière, le 22 mars, vous savez, d'un point de vue global. Mais maintenant, nous y pénétrons de plus en plus profondément, dans votre Apocalypse personnelle. C'est ce qui se passe actuellement. Nous entrons dans les profondeurs de notre Apocalypse personnelle. Et que signifie l’Apocalypse ? Ce n'est pas un désastre, ce n'est pas le monde qui explose ou qui s'écroule. Apocalypse signifie simplement révélation ou dévoilement.

 

 

 

Vous entrez en ce moment dans votre Apocalypse personnelle, une révélation attendue depuis longtemps et que vous avez bien méritée. Bien mérité. Cela peut être un peu effrayant pour les humains, parce qu'ils ne sont pas sûrs de ce qui leur arrive. Mais, pour en revenir à la vieille, vieille métaphore, la chenille ne savait pas non plus ce qui lui arrivait. Mais en le permettant – dans le cocon en fait et en se faisant briser en morceaux ; J'appelle cela permettre – en permettant, elle s'est transformée, et elle s'est transformée en quelque chose dans ce moment du Samsara, quelque chose qu'elle n'aurait pas pu imaginer auparavant, en le Nirvana du papillon.

 

Cela se produit avec la maturité de l’humain, et finalement cette maturité devient une partie intégrante du Maître. Et désormais, à partir de maintenant, vous serez de plus en plus appelés à reconnaître le Maître en vous, à cesser de vous fier /de vous appuyer sur les anciennes méthodes humaines.

 

Or, la beauté de ceci, c’est que le Maître est venu de l’humain. Ce n'est pas comme s'il venait d'un lieu céleste ou d'une autre planète. Non, il comprend l'humain. Il vient de la maturité de l’humain, et il est un lien direct avec le divin. Le Maître est la chose la plus proche que vous ayez de Dieu, la chose la plus proche, parce qu'il travaille à un niveau de maturité, de sagesse, mais pourtant il comprend l'humain.

 

 

 

Alors, humains, commencez à reculer. Mieux encore, commencez à faire vos bagages, et préparez-vous à partir – pour où ? Cela n'a pas d'importance, n'est-ce pas – et ce Maître arrive maintenant. Le Maître est rempli de sagesse, et il est rempli de la sagesse de l'amour que vous avez appris au cours de vos vies. Le Maître n’a pas besoin de s’en remettre au cerveau pour ses décisions, pour ses choix, pour ce qui compte. Il sait à un niveau très différent.

 

L’humain joue toujours un rôle important dans certaines des logistiques les plus fonctionnelles liées au séjour sur cette planète en tant qu’être biologique, mais même cela est en train de changer. L’humain est particulièrement important en ce moment dans l’expérience d’accéder à la maîtrise et de rester sur la planète.

 

Bon nombre de ces questions, celles du Samsara par exemple, n'étaient pas très importantes pour les Maîtres précédents. Quand ils sont arrivés au Samsara, ils sont allés au Nirvana ; ils ont traversé. Ils sont partis. Pour la plupart, ils ne sont pas restés. Les discussions que nous avons actuellement sont donc très différentes de celles qu'ils ont vécues.

 

Les discussions que nous avons en ce moment ont trait au fait de rester ici sur la planète et, d'une certaine manière, c'est un défi. Mais je vous demande de changer de perspective. Ce n'est pas vraiment un défi. C'est tout simplement étrange et étranger pour l'humain, mais ce n'est en réalité pas vraiment un défi. C'est une opportunité. C'est une nouvelle façon de vivre et d'expérimenter sur la planète. C'est une nouvelle façon de vous permettre de faire briller votre lumière.

 

 

 

Dans le passé, quand j'étais moine Zen, nous parlions du Samsara, et ils disaient que c'était tout. C'était fini. Vous en aviez fini avec votre vie sur la planète. Adios. Au revoir. Faites vos valises. Maintenant, c'est très différent.

 

Maintenant, il s'agit de savoir comment passer gracieusement au niveau suivant, celui du véritable Maître, où la facette humaine du Maître est toujours présente, mais où l'humain n'a plus - Cauldre me vérifie deux fois à ce sujet - mais non, l'humain n'a plus à se battre pour se frayer un chemin à travers la vie.

 

L’humain n’a plus à prendre de décisions difficiles. Pas du tout. Et certains humains n'aimeront pas ça. Ils veulent être ceux qui contrôlent les choses. Mais essayez de permettre au Maître d'entrer, et à l'être humain de profiter de la balade/ du voyage. Laissez le Maître conduire la voiture, faire l'entretien, s'occuper des choses, déterminer ce qui va suivre, et l'être humain se contenter d'être sur le siège du passager et d'en profiter. Je sais que beaucoup d’humains crient : « Non, non ! J'insiste. Je dois conduire. Je dois tout faire. » C'est très bien, mais vous êtes toujours dans les mêmes vieux cycles. Vous essayez juste d'améliorer un peu les choses.

 

 

 

 

Laissez l'humain s'asseoir maintenant sur le siège passager. Laissez le Maître entrer. C'est une toute autre façon de vivre. C'est une toute autre façon de faire l'expérience de votre Réalisation pendant que vous restez ici sur la planète.

 

Mais pour l'instant, prenons une profonde respiration. C'est votre Apocalypse personnelle. C'est la révélation.

 

La révélation de qui vous êtes vraiment et, en fin de compte, la révélation et la compréhension de la façon dont l'énergie et la conscience fonctionnent ensemble. C'est ce que le Maître veut faire. Vous dites : « Qu'est-ce qui compte pour le Maître ? » C'est une autre question. Comment travaillent-elles efficacement ensemble, la conscience et l'énergie?

 

J'ai dit au groupe qui était ici récemment que lorsque je partirai à moitié et que je me retirerai/ que je prendrai ma retraite du Crimson Circle, oh, j'aurai d'autres projets. Pas des choses que je dois faire, mais des désirs. J'ai mes véritables désirs d'âme, et le niveau suivant consiste à travailler à rassembler l'énergie et la conscience dans la singularité, dans l'unité. En ce moment, vous faites l'expérience de ce que c'est que de jouer avec l'énergie et la conscience, mais ce sont, d'une certaine manière, des éléments distincts/séparés. Mais la prochaine étape pour moi est de travailler avec plusieurs d’entre vous et d’autres êtres angéliques pour finalement réunir la conscience et l’énergie.

 

 

 

C'est donc mon désir. C'est ma passion. Mais j'en reviens à la chose. En ce moment, c'est votre Apocalypse personnelle, et ce qui se passe, c'est que l'humain disparaît / s'efface lentement. Même si vous résistez, il disparaîtra lentement. Et ce qui vient après cela, c'est le vrai Maître, pour rester incarné ici sur la planète, pour passer par tout le processus d'intégration du corps de lumière et pour être ici pour rayonner, pour faire briller sa lumière sur la planète.

 

 

 

La Nouvelle Lumière

 

Parlons un instant de la Nouvelle Lumière. Nous en avons parlé dans Keahak, dans une certaine mesure dans les Shouds, mais la Nouvelle Lumière est très différente de ce que j'appelle la lumière classique, la lumière typique. La lumière est le résultat d’une énergie mise en service, que ce soit par l’âme, par le Maître, par l’être humain. Mais particulièrement dans ce cas, disons que l'humain veut ou désire quelque chose, croit de certaines manières, veut expérimenter selon ses croyances, qu'il en soit conscient ou non.

 

Ce qui se passe, c'est qu'au moment où il y a ce désir de l'être humain – pas tellement la pensée, mais le désir– et le désir peut aller de la peur au bonheur, de l'abondance à la maladie. Et vous vous dites : « Eh bien, ce n'est pas le désir de l'être humain. » Mais en réalité, si vous y regardez bien, c’est parfois le cas. Et pas consciemment. L'être humain ne veut pas consciemment tomber malade, la plupart du temps. Mais il y a quelque chose que l’on veut expérimenter ou que l'on veut voir se produire, en fonction de la perspective de l'être humain sur lui-même. Cela appelle la lumière. Boom! L’énergie entre et s'écoule maintenant sous forme de lumière.

 

 

 

Cette lumière crée désormais la gravité. Oui, la lumière crée la gravité. Cette gravité crée le temps et l’espace, et tout cela mis ensemble commence à créer le monde matériel – formes d’onde, particules, atomes, molécules, cellules, organes, cerveaux et tout le reste. Mais ce qui se passe, c'est que la lumière existe maintenant – elle ne bouge même pas en réalité– ​​mais la lumière brille sur quelque chose, et par conséquent, elle devient.

 

Donc, ce qui se passe en ce moment, c'est que cette lumière avec laquelle vous travaillez depuis toujours, cette lumière qui crée la réalité, la réalité qui vous donne ensuite un terrain de jeu pour des expériences, cette lumière est en train de changer, et c'est ce que j'appelle la Nouvelle Lumière. Et c'est littéralement ce qui se passe. Vous voyez, toutes les expériences que vous avez vécues dans cette vie ou dans n'importe quelle autre, elles sont en quelque sorte stockées dans cet endroit appelé Akasha, et c'est personnel. Ce n'est pas à un endroit précis, mais c'est une sorte de mémoire. Tout ce que vous avez vécu ou fait est toujours là et vous appartient. Vous ne le partagez pas. Ce n'est pas comme louer une unité de stockage dans un très grand centre de stockage où vous avez vos affaires, et tout le monde a les siennes et tout est là-dedans. Ce n'est pas comme ça. Ce sont seulement les vôtres. Et avec chaque expérience que vous avez, cela se remplit un peu plus, un peu plus et un peu plus, jusqu'à ce que vous arriviez au point de maturité. Et vous réalisez alors, que vous n’avez pas besoin de continuer à ajouter des expériences comme vous le faisiez auparavant. En d’autres termes, il est maintenant temps de changer radicalement/ de procéder à un changement quantique de votre façon de vivre.

 

 

 

Ainsi, lorsque cette maturité arrive, lorsque vous, en tant qu'humain, dites : « Il est temps de faire quelque chose de différent », et lorsque le Maître dit définitivement : «Ok, nous allons changer la donne ici », alors l'Akasha commence à libérer des histoires, des souvenirs, des expériences. Vous savez, il s'est gonflé. Il est devenu énorme et gonflé par toutes ces expériences. Il est bourré de choses dont vous n'avez plus besoin, qui n'ont plus d'importance. Et maintenant, l’Akasha s’ouvre et commence à se libérer lentement, libérant lentement des expériences, des histoires, des événements, des vies dans l’âme.

 

Eh bien, l’âme jette un œil à toutes ces choses et se dit : « Oh, mon Dieu ! Toutes ces ordures qui arrivent, toutes ces expériences et ces détails », et l'âme dit : « Attendez une seconde. Nous devons nettoyer ça. Et l'âme l'amène alors à la sagesse et dit : « Nous n'avons pas besoin de tous les détails. Nous n'avons pas besoin de savoir à quelle date quelque chose s'est produit ou chaque petite émotion ou sentiment que vous avez éprouvé. Nous n’avons même pas besoin de connaître les mathématiques, les sciences ou quoi que ce soit d'autre. L'âme s'en moque, alors elle  l'amène à la sagesse.

 

 

 

Or, dans la pureté de la sagesse se trouve tout ce que vous voudriez savoir, tout ce dont vous voudriez vous souvenir au bon moment, lorsque vous avez besoin de le savoir ou de vous en souvenir. Mais ce n’est pas comme si tout était stocké là. Cela réapparaît simplement si vous en avez besoin à un moment donné.

 

Mais maintenant, ce que l'âme fait, c’est nettoyer toutes ces choses, et elle les nettoie jusqu’à la sagesse. Et l’âme inspire profondément : « Ah ! La sagesse. J’aime la sagesse », et elle s’illumine. L’âme s’illumine, et quand elle s’illumine, elle partage cette sagesse avec le Je Suis, la beauté de tout ce que vous avez jamais fait. Ensuite, l’âme prend cette sagesse, la rend disponible au Maître et à vous.

 

C'est la Nouvelle Lumière. Elle fonctionne à peu près comme l'ancienne lumière, sauf qu'elle possède de la sagesse. Elle a de la maturité. Elle a de la profondeur. Et elle ne fera pas les choses que vous auriez pu faire avec l'ancienne lumière. Elle ne répétera pas les choses encore et encore, en pensant que le résultat va changer. Elle saura intuitivement et instantanément, et avec cette sagesse, pour l'humain.

 

 

 

L'être humain a beaucoup de besoins et de désirs. Beaucoup d'entre eux. En réalité, la plupart d’entre eux n’ont pas d’importance. Mais ce qui se passe maintenant, c'est que l'humain réalise qu'il n'a pas à se préoccuper/ à s'inquiéter de ses besoins et désirs quotidiens, car l'un des attributs de la Nouvelle Lumière est que les choses viennent simplement à vous, parfois avant même que vous ne sachiez que vous en avez besoin.

 

J'en ai beaucoup parlé dans le passé – « Cela vient à vous » – mais maintenant, au lieu d'être une théorie, au lieu d'être une chose à laquelle il est agréable de penser, cela se produit réellement. Cela commence juste à venir à vous. L’humain est déconcerté. Il se dit: « C'est juste là. Comment est-ce arrivé? » Humain, ne t'inquiète pas pour ça. C'est ainsi que fonctionne la Nouvelle Lumière. Parfois, l'humain pense : « Eh bien, je n'ai plus de travail parce que maintenant, cela ne fait qu'apparaître. Je n'ai pas besoin de travailler pour cela. Je n'ai pas à stresser pour cela. Je n'ai pas à m'en préoccuper. Et je pense : « Je n'ai plus de travail ». C'est ce que j'ai vraiment réussi à faire en tant qu'humain. J'ai travaillé dur et j'ai stressé, j'ai eu mal, et j'ai souffert, et maintenant je n'ai plus besoin de faire tout cela Quel est le but ? Pourquoi être ici ? » Encore une fois, je réponds tout simplement: « Pour profiter de la beauté ». C'est tout. Pour profiter de la beauté.

 

 

 

L’un des attributs de la Nouvelle Lumière, et il y en a beaucoup, mais l’un d'entre eux, est qu’elle ne vient pas de l’humain. Vous ne pouvez pas la fabriquer. Vous ne pouvez pas en augmenter la taille ou le volume. Vous ne pouvez qu’en faire l’expérience. Vous ne pouvez pas la fabriquer/ l’inventer dans votre esprit/mental. Vous ne pouvez même pas vraiment y penser. Vous pouvez en faire l'expérience.

 

La nouvelle lumière ne va pas venir à vous dans une grande explosion, un feu d'artifice, un énorme changement cathartique dans votre vie. C'est ce qui est arrivé à l’humain immature, lorsque vous avez vécu ces grandes expériences que vous souhaitez revivre maintenant. C'est l'humain immature qui en a fait l'expérience. Avec la Nouvelle Lumière, avec votre maturité, cela ne se passe pas ainsi. C'est extrêmement subtil. La Nouvelle Lumière est si subtile que vous ne réalisez peut-être même pas qu’elle est là. Elle est juste là. Vous cherchez quelque chose de grand là-dehors. C'est subtil ici (la région du cœur) mais pourtant dans sa subtilité, c'est très profond.

 

Il n'y a pas de conflit. L’humain a tendance à être en conflit avec beaucoup de choses, surtout lorsqu’il travaille avec la lumière, la lumière classique. Mais dans la Nouvelle Lumière, il n'y a pas ce conflit et par conséquent, peut-être que vous ne le ressentez pas parce que vous êtes habitué à ressentir le conflit, la dualité, la séparation, le défi et les combats. Ce n'est pas là. C’est si magnifiquement subtil.

 

 

 

Subtil ne veut pas dire faible. Cela ne veut pas dire que ce n'est pas efficace. Cela signifie que vous avez maintenant la maturité, que vous avez maintenant l'équilibre, et que vous n'allez pas aller de haut en bas et de bas en haut comme ça. Oh, ce n'est pas que vous soyez plat, mais que vous ouvrez et vous développez.

 

Ainsi, lorsque la Nouvelle Lumière entre dans votre vie, ce qui sera le cas, je veux dire, c'est une chose naturelle. La Nouvelle Lumière entre. Vous pouvez prier pour elle toute la journée, elle entrera au bon moment et au bon endroit, et vous ne pouvez pas faire en sorte qu'elle essaie d'entrer davantage. Vous la permettez. C'est tout.

 

La nouvelle vie – la Nouvelle Lumière, heh, c’est comme la nouvelle vie, c’est comme le Nirvana, et vous traversez un processus de changement, passant de l'humain essayant de tout faire, de tout contrôler, de tout penser, et soudain vous réalisez que vous n'avez pas à le faire. Vous n’en avez pas besoin. Et vraiment, l’humain commence à céder la place au Maître, et c’est exactement ce qui se passe en ce moment. C'est l'Apocalypse personnelle.

 

Prenons une profonde respiration avec ça.

 

Alors, qu’est-ce qui compte vraiment ou qu’est-ce qui vient après l’achèvement ? Découvrons-le, sans chercher à y réfléchir ni à le gérer. Permettons simplement que cela se produise.

 

 

 

 

Merabh du Souvenir

 

Maintenant, Il est temps de passer à notre merabh. Mettons la musique.

 

Chers Shaumbra, prenez une bonne et profonde respiration. Détendez-vous. Respirez profondément, détendez-vous et appréciez.

 

Rappelez-vous qu'un merabh n'est pas le moment d'essayer d'y penser.

 

 (la musique commence)

 

N'est-ce pas douloureux d'essayer de penser à tout ? Quand vous réalisez que vous n’êtes pas obligé de le faire, un processus naturel se met en place où l'humain évolue vers le Maître. Le Maître évolue vers l’humain. Tant de choses commencent maintenant à prendre soin d’elles-mêmes.

 

C'est un merabh pour se souvenir ; mais se souvenir de quelque chose dont il aurait été difficile de se souvenir auparavant.

 

 

 

En vous souvenant que vous avez choisi d'être ici. Et peut-être pas à un niveau tel que vous puissiez vous en souvenir avec l’esprit/le mental humain, mais je vous demande de vous souvenir de qui vous êtes vraiment.

 

Prenons une profonde respiration, alors que nous entrons dans ce merabh du souvenir.

 

(pause)

 

Il s'agit de se souvenir que vous êtes entrés dans cette vie en sachant qu'elle serait très différente. Il y aurait de nombreux défis et transformations. Et puis vous arrivez à ce point, ce que j'appelle le Samsara, où tout se termine.

 

(pause)

 

Mais fin ne veut pas dire définitif. Cela ne veut pas dire complet. C’est tout simplement la fin d’une ancienne façon de faire les choses.

 

(pause)

 

Il aurait été difficile d’imaginer la suite.

 

 

 

Cela aurait été difficile de faire cela il y a quelque temps, parce que, voyez-vous, si nous étions allés là-bas – même en imagination, nous y serions allés – et aurions dit: « Qu'est-ce qui vient après? » Vous auriez probablement obtenu un grand vide, un grand rien.

 

C'est une sorte de point personnel de singularité, ce qui signifie que les choses changent tellement qu'elles ne seraient pas reconnues par, eh bien, l'ancien moi. Il n'avait pas la capacité d'imaginer cela.

 

Mais maintenant, avec la maturité, la sagesse et la Nouvelle Lumière, nous pouvons désormais nous souvenir. Nous pouvons maintenant imaginer ce qui va suivre.

 

(pause)

 

Et il ne s’agit pas simplement d’être un peu un meilleur humain. C'est quelque chose qui va bien au-delà de cela. Alors, je vous demande de prendre une profonde respiration et de vous souvenir de ce qui vient ensuite.

 

 (pause)

 

 

 

Votre point de mémoire ne concerne même pas nécessairement cette vie d'humain, parce que la plupart d'entre vous ne le savaient pas vraiment. Vous ne pouviez pas l'imaginer. Le souvenir vient du niveau de l’âme – le désir de l’âme de mettre fin aux cycles de la vie humaine tout en restant ici sur la planète pendant un certain temps.

 

(pause)

 

Cela a toujours été là présent dans vos potentiels. Cela a toujours été là, mais très loin, très loin de la conscience, pour la plupart. Mais aujourd’hui, nous pouvons visiter ce souvenir de l’âme, au-delà du Samsara, dans le divin.

 

(pause)

 

Les détails n’ont jamais été connus de l’âme. Pas du tout. Il n'est pas dit: « À certaines dates, certaines choses vont se produire. » Pas du tout. L’âme savait simplement que quelque chose de nouveau arrivait maintenant.

 

Quelque chose qui dépasse largement la condition humaine.

 

(pause)

 

 

 

Quelque chose qui défie la logique.

 

(pause)

 

Respirez profondément et maintenant, en tant que Maître, souvenez-vous.

 

(pause)

 

Souvenez-vous de ce qui va suivre.

 

(pause)

 

Dans le Zen, ils disaient : « Rien ne vient après. Rien. » Mais nous allons sauter par-dessus cela. Nous allons aller au-delà de cela.

 

Ce qui vient ensuite, ce n'est pas rien. C'est totalement nouveau. C'est bien au-delà.

 

(pause)

 

Laissez-vous ressentir cela /pénétrer par ce sentiment et souvenez-vous de l’appel supérieur entre l’humain et l’âme.

 

(pause plus longue)

 

 

 

Et cet humain s'estompe lentement, au fur et à mesure que la lumière du Maître entre en jeu. Il n'est plus nécessaire de faire ce qu'il faisait auparavant.

 

(pause)

 

Laissez ce désir de l’âme vous accompagner maintenant pour vous en souvenir. C'est un sentiment. C'est un Sens. Ce ne sont pas des détails.

 

(pause)

 

Il est là. Il est là. Laissez-le venir à vous. Certains d’entre vous essaient de sortir et de le chercher. Non, laissez-le venir à vous en tant que Maître, le souvenir et la connaissance de l'au-delà du Samsara.

 

(pause plus longue)

 

Le Maître et l’âme ont toujours su, ont toujours ressenti, ont toujours compris que ce potentiel pouvait venir. Ils ne savaient pas exactement quand ni comment, mais ils ne se sont jamais préoccupés de ces détails. Jamais. Car ils savaient. Ils ont toujours su.

Respirez profondément maintenant en tant que Maître et souvenez-vous.

 

(pause)

 

 

 

Souvenez-vous du désir de l'âme de transformer les expériences en sagesse et de les offrir en retour, en tant que Maître incarné sur Terre, d'offrir cela en retour au Maître.

 

(pause)

 

En se rappelant comment l'humain arrive à son terme.

 

(pause)

 

Il s’écarte pour permettre au Maître de lui-même – le Maître, le vrai Maître maintenant – d’être ici et présent.

 

(pause plus longue)

 

Beaucoup d’entre vous ont pensé et rêvé de la vie humaine, de faire des choses, d’accomplir des choses, et tout cela est merveilleux, parce que cela vous a donné beaucoup d’expériences.

 

Beaucoup d’entre vous ont pensé à des choses comme la Réalisation, l’illumination. Parfois, cela vous a semblé très proche, d'autres fois très insaisissable, très lointain. Et si vous vous en souvenez maintenant, cela a toujours là.

 

Maintenant, qu’est-ce ce qui vient après ?

 

 

 

Permettez-vous de vous souvenir. Oh, et s'il vous plaît, encore une fois, en tant que Maître. Et le Maître comprend déjà que vous n'avez pas besoin de détails. Vous n'avez pas besoin de détails. C'est un Sens. C'est une connaissance de ce qui vient ensuite.

 

Maintenant, laissez cela venir à vous, en vous souvenant.

 

(pause)

 

Et chers humains, maintenant, calmez-vous, taisez-vous. Lâchez. Écartez-vous pour que le Maître puisse être ici. Une autre façon de le dire est de vous rappeler que vous êtes le Maître.

 

(pause)

 

Souvenez-vous de votre rêve d'être ici– d’être ici dans votre propre liberté, libéré de toutes ces limitations profondes- d'être ici et de vivre la Nouvelle Lumière.

 

(pause)

 

C'est un désir de l'âme, un désir du Maître, et en vous en souvenant maintenant, vous l'amenez ici.

 

(pause)

 

 

 

La disparition de l’humain n’est pas une chose triste. Des parties de cette humanité seront toujours là pour répondre aux besoins humains très spécifiques. Mais l’humain n’aura plus à tout gérer, et à s'occuper de tout et à prendre toutes les décisions.

 

L’humain – cette facette de vous – peut désormais se calmer, s’installer, tandis que vous vous souvenez de vous-même en tant que Maître.

 

(pause plus longue)

 

Une autre façon de le dire est que l'intense concentration sur la facette humaine peut maintenant céder, s'ouvrir, tandis que vous vous souvenez de vous-même maintenant en tant que Maître/ que vous vous rappelez que vous êtes le Maître. Alors que vous vous souvenez du désir de l’âme d’être ici dans la Lumière et dans la Nouvelle Lumière.

 

Respirez et souvenez-vous. Tout est là. Tout est à vous.

 

Respirez et souvenez-vous.

 

(pause)

 

 

 

Laissez-le venir à vous.

 

(pause plus longue)

 

Se souvenir, c'est s'ouvrir à son Soi.

 

C'est s'ouvrir à ce qui a toujours été là, aux désirs qui sont là depuis très longtemps. Et la beauté, c’est qu’il ne s’agit pas, encore une fois, de quelque chose de nouveau, pour ainsi dire. Rien n'est nouveau. Tout a toujours été là.

 

Il y a toujours eu le potentiel pour vous, le Maître, d'être ici sur cette planète dans la Nouvelle Lumière. Et maintenant, il s’agit simplement de se souvenir de cela, et alors c’est là.

 

En fait, il ne s’agit même pas d’y croire. Il s'agit simplement de s'en souvenir, et alors cela viendra à vous.

 

Vous n’avez pas besoin de vous forcer à y croire ou à y travailler. Il s'agit simplement de prendre une profonde respiration, de s'ouvrir et de se souvenir.

 

(pause)

 

 

 

Au fur et à mesure que vous vous en souvenez, vous commencez à avoir le sentiment que cela a toujours été là.

 

Cela a toujours été là. Vous n’en étiez tout simplement pas conscients.

 

Le Maître incarné a toujours été là, mais il y a eu une telle concentration sur cette facette humaine, sur les besoins et les désirs humains, sur la constante « Quel est le but ? » de l'humain.

 

Maintenant, vous pouvez prendre une profonde respiration et vous souvenir.

 

Et comme vous le faites maintenant, les énergies fonctionnent différemment. Les expériences viennent à vous différemment. Vous avez beaucoup moins besoin de travailler dans la vie.

 

Lorsque vous vous ouvrez et que vous vous souvenez que vous êtes le Maître, que vous avez toujours été ici, vous vous souvenez aussi que les choses viennent à vous.

 

Oh, ce n'était pas l'expérience humaine. L’humain devait gratter et ramper pour à peu près tout ce qu'il voulait. Mais lorsque vous vous souvenez du Maître, c'est très, très différent.

 

(pause)

 

 

 

Prenons une profonde respiration dans le souvenir, ce qui était un rêve et qui devient maintenant très réel.

 

Respirez profondément et laissez-le entrer.

 

Laissez l’humain évoluer vers le Maître maintenant.

 

(pause)

 

Le Samsara est la fin des cycles, et c'est exactement ce qui se passe actuellement. Mais la fin ne signifie pas la mort, elle signifie simplement une nouvelle voie.

 

Prenons une profonde respiration pour nous souvenir.

 

Une bonne respiration profonde.

 

Je vais vous dire quelque chose : lorsque vous vous souviendrez, vous n'oublierez pas .

 

 

 

Vous n'oublierez pas.

 

(la musique se termine)

 

Cela fait simplement partie de votre empreinte, de votre identité, de votre conscience. Vous n'oublierez pas. Et s'il vous plaît, ne travaillez pas/ ne vous efforcez pas à vous souvenir. Se souvenir n'est qu'une autre façon de dire « permettre. » Heh !

 

Prenez une grande respiration profonde en vous-même, car le Maître, l'humain, arrive à la fin de ses cycles.

 

La facette humaine a fait ce qu’elle était censée faire. Mais maintenant que cela touche à sa fin, le Maître émerge et vit tout à fait différemment ; il vit et joue avec cette Nouvelle Lumière tout à fait différemment.

 

 

 

Prenons tous ensemble,  une bonne respiration profonde en cette belle journée.

 

Et pour en revenir au zen, ce qui se passe après l’achèvement est ce dont vous vous permettez de vous souvenir.

 

Une bonne respiration profonde.

 

Sur ce, chers amis, j’ai hâte et je me réjouis de retrouver mon public le mois prochain, heh ! Quand je viens ici à Kona, j'aime faire les Shouds avec vous. Mais ahh, j'adore le public. J'aime l'interaction, le jeu, l'humour, l'embarras, tout cela.

 

 Donc, jusqu'à ce que nous nous retrouvions, le mois prochain au Centre de Connexion dans le Colorado, je suis Adamus de Saint-Germain. Merci.

 

 

 

 

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Respiration d’Intégration de Linda

 

 

 

 

 

Et il en est ainsi.

 

Encore une fois : prenez cette bonne et profonde respiration, ce souffle de vie, permettant cette expérience… soyez là avec vous pour simplement la permettre, couler avec elle.

 

 

 

Soyez ce bon et profond souffle de vie.

 

Permettez encore une fois ces potentiels les plus élevés, ils sont là pour chacun de nous.

 

 

 

 

Prenez une bonne et profonde respiration et ressentez les énergies d’Adamus, qui est là pour nous servir.

 

Respirez avec, coulez avec.

 

 

 

Et plus que tout, merci de faire partie de ce Shoud.

 

Merci encore et nous reviendrons pour le Shoud de juin.

 

Merci!

 

 

 

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CRIMSON CIRCLE

The Global Affiliation of New Energy Teachers

Affiliation Mondiale Des Enseignants Nouvelle Énergie

www.crimsoncircle.com

 

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Interprétation de Feolla 

feolla.ca@gmail.com    www.quatorzenouvelleenergie.com

 

Avec l’aimable participation d’Elyo pour les parties Respiration d’Introduction  et d'Intégration de Linda.

 

 

 

______________________© Copyright Geoffrey Hoppe 2024_______________________

 

Adamus® canalisé par Geoffrey Hoppe , assisté par Linda Hoppe

 

Vous pouvez distribuer librement ce texte, dans son entièreté, sur une base non commerciale et gratuite, y compris ces notes. Toutes autres utilisations doivent être approuvées par écrit par Geoffrey Hoppe, Golden, Colorado.

Voir la page des contacts sur le site Web : www.crimsoncircle.com Golden, Colorado USA 80403

Toutes les photos sont de Dave Schemel

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