Quatorze

ADAMUS SAINT-GERMAIN

 

série Émergence

 

SHOUD 8

 

Avec ADAMUS SAINT-GERMAIN

 

canalisé par Geoffrey Hoppe assisté par Linda Hoppe
Présenté au Crimson Circle le 06 Avril 2019

 
www.crimsoncircle.com

 

Vous pouvez écouter ou regarder directement en ligne et en version originale:SHOUD 8

 

 

NOTE IMPORTANTE:

 

 Cette information n’est probablement pas pour vous,

 sauf si vous prenez l'entière responsabilité de votre vie et de vos créations

 

* * *

 

 

Je suis Adamus du domaine souverain.

Vous me regardez comme si vous ne m'aviez jamais vu auparavant (quelques rires). Il y a peut-être quelque chose d'un peu différent.

 

Ah! Quelques notes avant de commencer. Cauldre pensait que j'essayais de m’immiscer dans la conversation (quelques rires). Pas du tout. J'étais tellement enthousiaste à l'idée de venir aujourd'hui, parce que nous avons beaucoup à faire, beaucoup à couvrir.

 

Ce sera une canalisation à plusieurs niveaux, ce qui signifie qu’il se passe beaucoup de choses. Pas seulement les mots qui sont dits, mais il y a beaucoup de choses qui se passent dans ce message. Vous voudrez peut-être y revenir et l'écouter, le regarder plusieurs fois. Nous faisons beaucoup de choses en ce moment. Nous sommes un peu en train de mixer les choses.

 

Parfois, le mental humain dira: «Où diable Adamus va-t-il avec ça? De quoi parle-t-il? Comment se fait-il qu'il ne reste pas sur un sujet? ”Parce que je ne vais plus rester sur un sujet. Il s’agit du Et.

 

Prenons une bonne respiration profonde avec ceci.

Deuxièmement, l'extrait du film que vous avez regardé auparavant, Time of the Sixth Sun (Le Temps du Sixième Soleil) , Tobias est effectivement dans ce film. Sa narration est dans ce film, mais pas seulement sa narration. Vous voyez, il a fait quelque chose de sournois. Il y a implanté son énergie vivante. Ouais. Et Cauldre reçoit ces choses amusantes sur sa peau - comment les appelez- vous – (quelqu'un dit «la chair de poule»).

 

Quand cette canalisation de Tobias a été enregistrée, oh, c'était bien plus qu'un simple enregistrement sur le moment et pas vraiment planifié ou préparé. C'était une simple demande du producteur d'envoyer un message, et Cauldre n'y a jamais vraiment pensé. C'était juste un message simple. Eh bien, cela devient le courant de la rivière, transportant ce film, transportant toutes les énergies de ce film, mais aussi son Énergie Vivante. Donc, ce ne sont pas que des mots enregistrés, c’est vraiment de l’Énergie Vivante. C’est vraiment génial de sa part. Il en est très conscient. D'une certaine façon, c'est comme s'il était revenu. Il est présent dans le film, vivant, et se connectant avec tous ceux qui le regardent, communiquant avec tous ceux qui se réveillent, les regardant dans les yeux tout en regardant l’écran et disant: «Êtes-vous prêts? Êtes-vous prêts pour cela? "Un peu comme ce qu'il a dit à chacun d'entre vous:" Êtes-vous prêts pour ce qui va suivre? "Et ensuite, lui et beaucoup d'autres vont guider, et vous allez être un de ces guides aussi.

 

Regardez ce que vous avez vécu au cours de ces années. Pas seulement dans les dix ans en arrière, mais pendant toute une vie. Regardez ce que vous avez vécu/traversé en préparant la voie pour tant d’autres. Et cela va être tellement différent du type d'éveil et de réalisation tels que les Maîtres Ascensionnés actuels l'ont vécu. Ils l'ont fait à peu près tout seuls. Ils l'ont fait sans la compagnie et la camaraderie des autres. Ils l'ont fait en luttant de manière très difficile. Mais maintenant, ceci est prêt à passer au niveau suivant où de nombreux humains se réveillent en même temps.

 

Et, bien sûr, votre voyage, tout votre cheminement vers la Réalisation est très personnel. Nous ne faisons pas cela en tant que groupe Kumbaya. Il n’y a pas de formule. Il ne peut y avoir aucun livre qui mette tout dans un ordre spécifique. C’est impossible, car tout le monde est individuel. Cependant, il y a des énergies qui peuvent être avec, qui peuvent embrasser ceux qui entrent dans l'éveil.

 

Donc, avec Tobias, d’une certaine manière, au premier plan et avec vous qui êtes là avec lui, vos énergies, vos Énergies Vivantes liées à ce film, je demande vraiment, vraiment à chacun d’entre vous de voir ceci, parce que cela va, en quelque sorte, activer, connecter votre énergie, votre Énergie Vivante profondément dans ce film, avec celle de Tobias, afin que tous ceux qui le regardent, qui passent par leur éveil sentent cela. Qu’ils ne sont pas seuls. Qu’ils y en a d’autres qui sont passés par là.

 

C'est un chemin difficile et ardu, car tout est chamboulé. Mais quand ils se rendront compte que d’autres sont passés par là et qu’ils ont réussi, cela fera toute la différence.

 

Ainsi, alors que vous entrez dans votre Réalisation, que vous entrez dans cette dernière étape finale - je veux dire, elle est déjà là, mais vous vous en rendez compte - imprimez votre énergie dans ce film et dans les autres qui vont venir.

 

L’autre chose que je veux certainement mentionner aujourd’hui est l’équipe de Rude Awakening, votre réveil, votre réveil brutal. Même chose, mais à un niveau légèrement différent. Votre énergie est investie là-dedans. Vous savez, quand j'ai dit que vous alliez être des professeurs? Cela ne signifie pas nécessairement se tenir debout dans une salle de classe. Cela pourrait être dans un film. Cela pourrait être dans un livre que vous écrivez. Cela pourrait être dans n'importe quoi. C'est en train de se produire. Le Rêve Atlante est réellement ici.

Et je sais que - oh, je sais - à quel point vous êtes épuisés. Je sais que parfois, il y a tout ce doute, cette perte d’espoir, cette perte de passion, tout le reste. Mais au fur et à mesure que vous en sortez, oh, vous allez chanter avec une grande joie en réalisant: «Ce n’était pas si mal!» (Rires) «C’était assez facile, mais je ne le referai plus jamais! Ne choisissez plus jamais de le refaire.

 

En parlant de rudesse, le service des plaintes du club des Maîtres Ascensionnés (Adamus rit) a dit que ce fut un mois difficile pour vous, le mois dernier? (Quelqu'un dit "Oh, oui") Non vraiment, un mois difficile? Pourquoi pensez-vous que c'était comme ça? Pourquoi pensez-vous que c'était difficile? Je n’ai pas besoin du micro, juste que vous criiez. Pourquoi pensez-vous que c'était si difficile? (Le public crie «Aspects!») Le mois des aspects. Ouais. Et je ne sais pas - nous allons en parler ici - il y avait un gros problème de gros cul-pect qui… (le public dit «Ohh!») Un très grand. Je ne sais même pas si vous reconnaissez ce que c'était. Nous allons entrer dans cela aujourd'hui. C’était le mois des aspects, parce que, eh bien, c’est un peu le dernier appel des aspects. Mais il y en avait un très gros. Il était en fait au milieu de la pièce, pour ainsi dire. Il était juste là tout le temps. C’était si évident, si grand et si familier, que vous ne l’avez probablement même pas reconnu. Je ne l’ai probablement pas reconnu. Nous allons en parler aujourd'hui.

 

Un mois difficile, certes, mais (a) vous l’avez demandé, (b) vous le méritez (rire). C'est ce que vous faites ! (Adamus rit) Certains d'entre vous en ligne font ça (le majeur) sur votre écran (plus de rires) pour moi. Je ne sais pas ce que cela signifie. Non, c'est vous qui l'avez fait. Vous l’avez demandé, et nous en parlerons aujourd’hui, de la façon dont vous l’avez demandé. Je veux dire, vous ne vous êtes pas assis avec un bout de papier et vous n’avez pas dit : «Rendez le mois vraiment difficile», mais vous avez fait d’autres choses qui ont rendu le mois difficile. Et vous le méritez. Je veux dire que vous le méritez vraiment (Adamus rit), parce que c’est comme un grand nettoyage, un grand - Cauldre me donne une image ici – un «Roto-Rooter», dit-il, ouais - errrr! - en passant par les tuyaux, vous savez, en nettoyant les tuyaux

 

Alors vous l'avez mérité! Vous méritiez de vous débarrasser de la crasse, de la merde, de la graisse, de la saleté, de tous ces déchets accumulés dans ces tuyaux. Vous avez vraiment essayé de vous en débarrasser, et je vous le dis tout de suite, vous ne pouvez pas le faire vous-même. Eh, nous allons en reparler, entrer dans cela aujourd'hui.

 

Mais avant d’aller plus loin, prenons une bonne respiration profonde. Je suis vraiment ravi d’être ici. Je suis tellement ravi.

 

Vous savez, il y a eu un moment où j’ai pensé que cela allait être juste - à un moment donné, j'ai dit que cinq personnes allaient réussir, cinq Shaumbra et j'exagérais un peu. J’ai pensé que ce serait huit (rire). Mais je suis tellement ravi. Je veux dire, nous avons des milliers et des milliers et des milliers de personnes dans le monde entier qui sont, eh bien, en fait, Cauldre me rappelle qu’il vient d’écrire un article à ce sujet. La Réalisation est une évidence. C'est une évidence. Ce n’est pas une question. Certains d’entre vous la remettent encore en question, mais je vous le rappelle. C'est une évidence. Vous n'avez rien à faire. C’est - maintenant que vous allez rester dans le corps sur cette planète - comment allez-vous gérer l’énergie? Telle est la question.

 

 

 

La Sagesse De Shaumbra

 
Avant d’aller plus loin, faisons un peu de Sagesse Shaumbra. J'aime entendre votre sagesse. Oui. Alors, Linda, au micro. J'ai deux questions aujourd'hui.

 

 Tout d’abord, nous avons parlé de dignité le mois dernier, et beaucoup d'entre vous ont été très touchés. Qu'est-il arrivé à la dignité, à la dignité de l'âme, de vous en tant qu'être angélique ? Même quand je dis, vous savez, que vous étiez ce que vous appelleriez un leader dans votre famille spirituelle angélique depuis très longtemps. Vous avez été un grand leader dans cette famille. Vous et vous et vous et vous et vous et vous et vous - oh, nous n’avons pas assez de temps pour passer à travers vous tous; vous étiez tous - ce n’est pas un bon mot humain pour cela - mais un leader dans vos familles spirituelles. Vous êtes venus dans cet endroit, la Terre, pour apprendre beaucoup de choses, mais vous êtes venus dans cet endroit et où est la dignité maintenant? Vous vous dites- je vous le dis, vous étiez un leader et vous vous dites : « Ouais. Vous devez vous tromper de personne. Non, non. Qui? Moi? Des centaines de milliers d’êtres angéliques, ils me regardent! »C’est comme : ouais, Vous. Vous. Je veux dire, vous, vous. Vous étiez un leader. Mais où est la dignité? Où est la dignité? Vous êtes-vous posé la question depuis notre dernier rassemblement? Je ne cherche pas à vous prendre au dépourvu, mais je le fais certainement! (rires) Qu'est-il arrivé à la dignité?

 

 

~ Question 1

Donc, la première question qui se pose aujourd’hui est de savoir où se trouve la plus grande perte de dignité. Dans votre personnalité humaine, qu'est-ce qui vous fait dire que c'est la plus grande perte de dignité? Quelle zone? La plus grande perte de dignité. Linda - oh, on y va. La plus grande perte de dignité.

 

DAVID: Manque de… ne pas me faire confiance, douter de moi-même.

ADAMUS: Où cela frappe-t-il dans votre vie, dans votre portefeuille?

DAVID: Non, mon estomac.

ADAMUS: Votre estomac. Ok. C'en est une bonne. Manque de dignité. Je veux dire, bon sang! Quel ange qui se respecte aurait jamais fait un boyau qui est attaché au derrière, qui fait toutes sortes de… Je veux dire, c’est juste, “Quoi?!” Ouais, une perte de dignité.

DAVID: Un grand moment.

ADAMUS: Un grand moment. Et vous essayez d'avoir un peu de fierté. Vous essayez de sourire. Vous essayez de vous connecter vraiment au Je Suis, et c’est comme: «Ouais, mais mon estomac se révulse maintenant, et Dieu sait ce qui va se passer à la suite de ça, alors."

DAVID: C'est vrai.

 

ADAMUS: Oui, une perte de dignité. Ouais. Est-ce que cela vous affecte ? Pouvez-vous sentir cela?

 

DAVID: Eh bien, cela m'a affecté.

ADAMUS: Oh oui. D'accord.

DAVID: Je veux dire, un grand moment.

ADAMUS: Un grand moment.

DAVID: Et j'ai fini par… j'ai choisi d'aller à l'hôpital pour faire ce truc Roto-Rooter.

ADAMUS: Oh! (Adamus rit)

DAVID: Ouais.

ADAMUS: Intéressant.

DAVID: Et c'était un choix conscient que j'ai fait.

ADAMUS: Et vous vous  êtes allongé sur la table en disant: «Où est la dignité?» Alors que vous baviez sur vous-même.

DAVID: Ouais.

ADAMUS: Ou autre…

DAVID: D'autres choses.

ADAMUS: D'autres choses. Ouais, ouais, ouais.

 

DAVID: C'était donc un…

ADAMUS: Oui, c'est une émission familiale, alors.

DAVID: Je comprends (quelques rires).

ADAMUS: Et, vous savez, comment pouvez-vous imaginer que vous êtes un être angélique et que ce corps ne vous appartient même pas, qu’en est-il de cela? Ouais. D'accord, bien. Bon début. La perte de dignité. Où d'autre cela frappe-t-il? Quels autres aspects de votre vie? La perte de dignité.

Oh, vous venez de remercier Linda pour le micro. C'était si gentil.

CLAUDIA: Ouais. Je vous remercie. Mon cœur.

ADAMUS: Votre cœur. Qu'y a-t-il  avec votre cœur?

CLAUDIA: J'ai choisi de quitter un mari, il y a longtemps, et j'ai dû quitter le pays pour travailler dur afin de retrouver ma dignité.

ADAMUS: Ouais. Ouais. Et comment est-ce que cela frappe votre cœur ?

CLAUDIA: Un serrement.

ADAMUS: Votre cœur a-t-il été physiquement affecté?

CLAUDIA: Heureusement, non.

ADAMUS: Oh, bien.

CLAUDIA: Beaucoup d'anxiété cependant.

ADAMUS: Beaucoup d'anxiété. Et, vous savez, quand vous y réfléchissez littéralement, le cœur, vous savez, c’est - boum, ba doom, il pompe le sang - vous dépendez de cette chose qui peut s'éteindre à tout moment? Et, vous savez, cela dépend de cela. Vous êtes un ange. Pourquoi devriez-vous compter sur votre cœur, qui pourrait soudain - ooh! - comme ça. Non, cela n'arrivera pas.

CLAUDIA: Non, non!

ADAMUS: Non, non, non, non, non. Non, mais vous savez, ce qui est drôle, c’est que j’ai dit ça et vous vous dites: «Non, non, non. Je ne permettrai pas que cela se produise. »Vous réfléchissez à votre manière de vous en sortir. Penser ne va rien faire du tout. Le cœur ne répond pas au mental. Ce n’est pas le cas.

 

CLAUDIA: Ok.

 

ADAMUS: Ouais. Bien, merci. Nous avons donc l'instinct et le cœur. Qu'est-ce qu'on va faire? La perte de dignité.

ANDY: Un Job (un emploi)!

ADAMUS: Un Job, oui!

ANDY: Oui, je dois travailler pour gagner ma vie pour…

ADAMUS: Pourquoi?

ANDY:… recevoir de l'argent pour pouvoir payer l'hypothèque et les impôts. C'est un tas de conneries.

ADAMUS: C’est un tas de conneries (quelques rires). Avez-vous un emploi?

ANDY: Ouais.

ADAMUS: Ouais. Est-ce qu'ils vous paient bien?

ANDY: Eh bien, je travaille pour moi-même.

ADAMUS: Oh, eh bien (rires).

ANDY: Ouais, en fait, je me paie plutôt bien!

ADAMUS: Vous vous payez, joli…

ANDY: Ouais.

ADAMUS: Aimez-vous ce que vous faites?

ANDY: Vous savez, je l'ai fait. Je le fais depuis 34 ans, mais je vais prendre ma retraite cette année. J'en ai eu assez.

ADAMUS: Ouais. Qu'allez-vous faire quand vous prendrez votre retraite?

ANDY: Je pense que je vais acheter un permis de pêche (quelques rires).

ADAMUS: C’est un gros problème. C'était aussi en haut de ma liste (plus de rires). Ouais. Ouais.

ANDY: Je veux juste…

ADAMUS: Ouais. N’en faites pas tout un plat (rires). Je veux dire, n’en faites pas trop! Je veux dire, il y a des extrêmes, vous savez. Vous allez acheter un permis de pêche. Allez-vous sortir pêcher?

ANDY: J’ai hâte de passer plus de temps à l’extérieur.

ADAMUS: À l'extérieur.

ANDY: Ouais.

 

ADAMUS: D'accord. Bien. Oui, la perte de dignité. Maintenant, vous travaillez pour vous-même, il y a donc une certaine dignité à cela. Vous pouvez théoriquement gagner autant d'argent que vous le souhaitez.

 

ANDY: Oui.

 

ADAMUS: Ouais. Quel genre de travail faites-vous pour vous-même?

 

ANDY: L'électronique. Je conçois des prototypes électroniques.

 

ADAMUS: Oh oui. Ouais. Bien. Et y a-t-il une passion pour cela?

 

ANDY: Il y en avait une.

 

ADAMUS: Ouais. Qu'est-il arrivé?

 

ANDY: Je la perds.

 

ADAMUS: Pourquoi?

ANDY: Je suis épuisé.

 

ADAMUS: Ouais. Qu'est-ce qui vous a séduit à l'origine lorsque vous avez commencé à le faire ?

 

ANDY: L'inconnu.

 

ADAMUS: L'inconnu.

 

ANDY: Vous savez, parce que vous regardez les fils et vous vous dites: "Comment un signal peut-il passer par là?"

 

ADAMUS: Oh! Moi, tous les soirs, oui, je pense ça! (rires) Ouais. «Comment ça fonctionne?! Oh! » Vous savez ce que je me dis alors? «  Je m'en fous! Ça fonctionne. C’est tout ce qui compte. »Ouais. Cela a plu à votre mental. Le mental a vraiment aimé. Cela occupait le mental. Donc, j'extrapolerais en disant qu'il y a une perte de dignité dans la façon dont le mental fonctionne et qu'il faut le garder occupé.

 

ANDY: Devoir le garder…

 

ADAMUS: Non, vraiment, le mental est vraiment - je ne veux pas donner les réponses - mais il est indigne dans sa façon de comprendre les choses, et il doit dire: «Ok, il y a des électrons qui se déplacent à travers un fil à une certaine distance et à une certaine vitesse. " Cela n'a pas d'importance, parce que vous savez ce que c'est? Tout cela est un flux d'énergie!

 

ANDY: De l'énergie !

 

ADAMUS: C’est tout. C'est tout. Maintenant, ok, vous voulez peut-être savoir comment cela fonctionne, mais l'erreur est la suivante: pour un ingénieur, comprendre comment l'électricité circule dans le réseau et tout le reste, ce n'est que l'une des 8 000 façons dont cela fonctionne réellement. Mais ensuite, vous êtes bloqué et vous dites: «Oh, c’est une science exacte, la façon dont cela fonctionne.» Non, ça ne l'est pas. C’est l’une des nombreuses, nombreuses, nombreuses choses. Alors, le mental dit: "Oh, maintenant je comprends comment cela fonctionne, et donc tôt ou tard, je vais comprendre comment fonctionne la réalité." Non, pas du tout.

 

ANDY: Oui, j'ai découvert ça.

 

ADAMUS: Ouais, alors allez à la pêche (plus de rire).

 

ANDY: Ouais.

 

ADAMUS: Bon sang. Bien, merci. Encore deux ou trois. Le plus grand domaine de manque de dignité en tant qu'être humain. Le manque de dignité.

 

ELIZABETH: Bonjour.

 

ADAMUS: Bonjour.

 

ELIZABETH: Vous savez, récemment, je pensais à ce que vous avez dit à propos du Je nous pardonne.

 

ADAMUS: Ouais. Ouais.

ELIZABETH: Que nous ne pouvons pas nous pardonner.

 

ADAMUS: Non, non. Vous ne pouvez pas.

 

ELIZABETH: Bien que nous y travaillions…

 

ADAMUS: Je vais m'arrêter là, si cela ne vous dérange pas.

 

ELIZABETH: Oui, monsieur. Bien sûr.

 

ADAMUS: Je dois souligner et insister sur cela, et certains d’entre vous, vous savez, veulent en discuter avec moi. Je vais gagner, parce que j'ai déjà fait ça. L’humain dit tout d'abord: «Oh, il n’y a rien à pardonner» (Adamus renifle). Vous ne vous en êtes pas encore rendu compte!

 

Deuxièmement, l'humain dit: «Eh bien, je me pardonne.» Vous ne pouvez pas. Vous ne pouvez pas. Cela a été essayé. Beaucoup, beaucoup l'ont essayé. Vous vous retrouvez sur une voie très sombre et sans issue, parce que l’être humain ne le croit pas. Je veux dire, ici vous êtes indigne; allez-vous croire que vous allez vraiment vous pardonner? Non, vous ne le ferez pas. Et le pire, c’est que vous ne savez même pas pourquoi vous vous pardonnez.

 

ELIZABETH: Exactement.

 

ADAMUS: Il y a de grandes choses. Alors je vous ai interrompue. Allez-y, allez-y.

 

ELIZABETH: Non, mais c'était vraiment le but. Je suis arrivée à un point, après avoir passé des années à examiner et à déterminer que je devais me pardonner pour A, B ou C.

 

ADAMUS: Je ne peux pas.

 

ELIZABETH: Je ne peux pas le faire, j’ai compris ça, alors j’ai demandé (ils rient) - j’ai demandé au Je Suis de me pardonner.

 

ADAMUS: Ouais.

 

ELIZABETH: Et c’est intéressant parce que je ne suis pas spécifique. Parfois, je ne le sais pas, mais je ressens ces sentiments, ces aspects sont soulevés, je me sens moins que l'intégrité de ce que je suis. C’est la seule façon pour moi de le décrire.

 

ADAMUS: Ouais, ouais, ouais.

 

ELIZABETH: Je vais prendre un moment et je vais y aller: «Pour l’amour de Dieu! Tu n’es pas si petite.

 

ADAMUS: Ok.

 

ELIZABETH: «Reviens. Remplis-toi de toi.

 

ADAMUS: Ouais.

 

ELIZABETH: Vous le savez ?

 

ADAMUS: Vous savez, j’aime ces batailles intérieures avec soi-même.

 

ELIZABETH: Oui! Oui!

 

ADAMUS: Oh! Vous savez, vous allez réaliser combien de temps vous avez perdu dans votre vie avec des batailles intérieures et que vous ne gagnerez pas. Vous ne le ferez jamais. Et aussi, pour vraiment corriger ce que vous avez dit, le Je Suis n'a pas à vous pardonner quoi que ce soit.

 

ELIZABETH: Ok.

ADAMUS: Il s'en fout complètement. Vous êtes ici en tant que partie expérientielle de lui-même. Il s'en fiche ! Ce n’est vraiment pas le cas. Vous pouvez tout faire.

 

ELIZABETH: Mais vous avez dit…

 

ADAMUS: Non, je ne l’ai pas fait.

 

ELIZABETH: Ok (rires). Étiez-vous là? (à sa voisine)

 

ADAMUS: Oh non, je ne l’ai pas fait!

 

ELIZABETH: Vous vous souvenez?

 

ADAMUS: Oh non. Oh non. Oh non. Je suis très prudent avec les mots avec Shaumbra. Vous savez, Shaumbra a une drôle de façon de tout tordre.

 

ELIZABETH: Non, je pensais que c'était très chrétien de remonter le temps, mais j'essayais de… (ils rient). Non, mais demander à quelque chose en dehors de vous de vous pardonner. Alors, mon Je Suis, je pense au Je Suis, Le Soi Maître. Je suis…

 

ADAMUS: Je vais retourner à la cuisine.

 

ELIZABETH: S'il vous plaît, aidez-nous.

 

ADAMUS: Puis-je avoir une sorte de plateau dans la cuisine?

 

ELIZABETH: Du vin.

 

ADAMUS: Genre, un plateau de service.

 

ELIZABETH: Oh.

 

ADAMUS: Juste pour marquer un point.

 

ELIZABETH: Oh, vraiment?

ADAMUS: Ouais, ouais. Ouais. Et vous pouvez aussi y mettre quelques friandises pendant que vous y êtes.

 

ELIZABETH: Vous ne pouvez  pas vous pardonner.

 

ADAMUS: Non, vous ne pouvez pas.

 

ELIZABETH: Ce n’est pas possible.

 

ADAMUS: Non, vous ne pouvez pas.

 

ELIZABETH: Donc…

 

ADAMUS: Vous pouvez faire semblant. Vous pouvez jouer le jeu. Vous pouvez prétendre vous pardonner. Ça ne marche pas. Et certains d’entre vous disent: «Eh bien, je me suis pardonné.» Eh, bonne chance avec ça. Vous allez vous retrouver dans votre propre trou, dans votre propre fosse. Vous ne pourrez pas sortir. Vous ne pouvez pas. C'est tout

 

ELIZABETH: Par conséquent, il s'agit simplement d'intégrer des aspects. Était-ce votre solution? J'ai été tr…… (il fait une grimace) vous l’avez dit, Adamus! Je vous ai entendue! (rires) Montrez-le du doigt ! (rires) Moquez-vous de lui !

 

ADAMUS: Vous savez, ce qu'il y a de bien à notre époque, c'est que tout est enregistré (plus de rires). Et on peut dire : "Adamus, vous avez dit…" et je vous répondrai: "Mais vous vous faites des illusions, et c'est enregistré." Maintenant, je n'ai jamais dit ça. J'attends mon accessoire ici avant de faire valoir mon point de vue. C’est un peu lent aujourd’hui. Je pense qu’ils sont… (Adamus fait semblant de boire) un peu en train de faire la fête (quelques rires). Combien de temps faut-il pour apporter un plateau à un Maître Ascensionné?

 

ELIZABETH: Je ne sais pas.

 

ADAMUS: Oui (Adamus rit, Linda se précipite dans la pièce voisine pour prendre le plateau et quelqu'un dit : «Uh-oh»). Et voilà, c'est parti. Alors, où en étions-nous?

 

ELIZABETH: Vous disiez que le Je Suis vous pardonne. Qu’il n’y a rien à pardonner.

 

ADAMUS: Je veux revenir à la dignité, à la perte de dignité.

 

ELIZABETH: Bien, c’est là où se trouve ma perte de dignité. Quand je traverse une journée et que je me trouve petite et indigne de cette façon, je ne me respecte pas.

 

ADAMUS: Bien, bien.

 

ELIZABETH: Et alors… (Linda sort avec le plateau avec des petits bonbons Peeps dessus et le tend à Adamus) Oh, bien! (quelques rires)

 

ADAMUS: S'il vous plaît.

 

TAD: Des Peeps!

ELIZABETH: Des Peeps! Des Peeps! Des Peeps! (quelques applaudissements)

 

ADAMUS: Maintenant, je dois m'arrêter un instant. Cela fait longtemps que je n'ai pas été sur la planète (plus de rires et quelqu'un dit: «Vous ne manquez rien»). Et j'adore les flocons d'avoine, le miel et les noix. C’est la nourriture d’un Maître Ascensionné. Qu'est-ce que c'est que ça?! (rires)

 

ELIZABETH: C’est un Peep.

 

ADAMUS: J'ai demandé une friandise.

 

ELIZABETH: C’est un Peep, un régal.

 

ADAMUS: Ils doivent avoir mal compris. Je n’ai pas dit un Peep, j’ai dit une friandise. C'est… c'est fondamentalement… ok.

 

TAD: Linda les aime.

 

ADAMUS: Sentez-vous dans l'énergie de ceci (plus de rires). C'est essentiellement du sucre moelleux.

 

ELIZABETH: Ouaip.

ADAMUS: Ouais, ouais. Est-ce que vous les mangez?

 

ELIZABETH: Non.

 

ADAMUS: Quelqu'un?

 

ELIZABETH: Linda les aime.

 

ADAMUS: Ok. Imaginons que c'est quelque chose de bien.

 

ELIZABETH: Ok.

 

ADAMUS: (Edith tend à Adamus un petit muffin au chocolat) Oh, est-ce que vous l'avez sorti de votre sac? Est-ce que vous alliez voler ça? (rires) Pour l'amour de Dieu! Elle vient ici pour faire le plein de nourriture. Pas étonnant que certains d'entre vous aient faim. Edith prend la nourriture. Vous avez quoi d'autre dans ce sac? (plus de rires) Il y a un morceau de pizza là-dedans!

 

EDITH: Je permets le meilleur de tout. Ceci est au Crimson Circle.

 

ADAMUS: Bon. Oui, ça l'est. Ok. Maintenant, ok, maintenant de manière théâtrale. Ok. Donc, vous êtes assis chez vous à essayer de vous imaginer: «Je me pardonne».

 

ELIZABETH: Non, probablement au travail ou dans certaines scènes…

 

ADAMUS: En conduisant ou…

 

ELIZABETH:… là où j'ai besoin d'être…

 

ADAMUS: Bien, bien.

 

ELIZABETH:… la plénitude de moi-même et je ne suis pas à la hauteur.

 

ADAMUS: Ok. Et puis ça ne marche pas et ça vous trotte dans la tête et vous avez un mois d’aspectologie comme celui que vous venez d'avoir.

 

ELIZABETH: Oui.

 

ADAMUS: Et, "Qu'est-ce que je fais mal?" Yada-da. Alors, vous dites: «Oh ! C'est ça. C'est ça, c'est ça ! Je me souviens qu'Adamus a dit... - totalement faux en citant Adamus -“… que votre Je Suis va vous pardonner. ”Je n'ai jamais dit cela. Ce que j'ai dit, c'est: " Pouvez-vous recevoir le pardon..."

 

ELIZABETH: Le pardon du Je Suis.

 

ADAMUS: "... que le Je Suis a déjà." Le Je Suis ...

 

ELIZABETH: D'accord. Je reçois cela du dragon, de Threshold (Seuil).

 

ADAMUS: Oui, oui, oui. Mais vous ne l’avez pas fait … ouais.

 

ELIZABETH: Je ne l’ai juste pas dit correctement, ok?

 

ADAMUS: Vous ne l’avez juste pas dit correctement. Mais ici… (rires) bon sang, elle a un sacré tempérament aujourd'hui! (plus de rires) Wow! Wow ! Parlons de certains aspects négatifs! (rires) Wow. Wow.

 

ELIZABETH: Non, mais c'est vraiment venu de Threshold. La façon dont vous avez dit cela, je savais que j'étais déjà pardonnée (Adamus lui tend le plateau). Je suis censée prendre quelque chose dont je n'ai pas particulièrement envie ? (plus de rires) Oh!

 

ADAMUS: Ok. Cela doit aller dans cette vidéo que vous préparez pour Santa Fe. Ok, ok. Ok. Jouez le jeu avec moi.

 

ELIZABETH: Je prends le pardon.

 

ADAMUS: Jouez avec moi.

 

ELIZABETH: C’est déjà là.

 

ADAMUS: Je suis le Je Suis.

 

ELIZABETH: Ok.

 

ADAMUS: Je suis juste assis dans le pays du Je Suis. Je suis juste en train de rire (rires) et je fais juste … (faisant des grimaces drôles) Oh!

 

LINDA: C’est un peu effrayant! C'est flippant ! (plus de rires)

 

ADAMUS: Soudain, j’entends un appel de détresse et c’est comme: «Oh, merde!

 

L'humain encore. Oh bon sang! C'est sans fin. » Je prends mon plateau. Je le charge avec des trucs. Oh, qu'est-ce qu'on a d'autre? Oh, ici. Voici une barre de chocolat et une fausse fleur. Chargez mon plateau. Ok.

 

ELIZABETH: Ok, je vais recevoir la fleur.

 

ADAMUS: C'est reparti (rires, alors qu'Adamus soupire et lui offre à nouveau le plateau).

 

ELIZABETH: Je reçois le pardon. C’est charmant (en reniflant la fleur). Je vous remercie.

 

ADAMUS: Une fausse fleur (Adamus rit). C'est tout! C'est tout.

 

ELIZABETH: C'est vrai. Je ne l’ai pas dit correctement.

 

ADAMUS: Juste là. Vous ne l’avez pas dit correctement.

 

ELIZABETH: Non, mais je l'ai eu à Threshold (à Seuil). J'ai peut-être oublié.

 

ADAMUS: Peut-être, oui.

 

ELIZABETH: Peut-être.

 

ADAMUS: Ouais, n'est-ce pas drôle? Et combien de fois vous ai-je dit que vous alliez oublier?

 

ELIZABETH: Vous l'avez dit plusieurs fois.

 

ADAMUS: Et combien de fois ai-je dit que vous alliez le déformer et le tordre et arriver à toutes les autres itérations… mais je veux que vous vous souveniez tous de cela. Ok (Adamus se pavane et lui offre à nouveau le plateau).

 

LINDA: Flippant !

 

ELIZABETH: Merci. Oh super! Un lapin (Adamus rit). C'est un gros lapin.

 

ADAMUS: Bien. Et que représente ce lapin?

 

ELIZABETH: Il représente le Je Suis qui m’a déjà pardonné pour tout ce qui a été fait dans mon histoire.

 

ADAMUS: Ok.

 

ELIZABETH: Des éons, des vies. Je ne me souviens même pas de tout.

 

ADAMUS: Et le fait est que, le Je Suis, n'a rien à pardonner, car il ne connaît même pas ce mot.

 

ELIZABETH: C’était déjà - oui.

 

ADAMUS: Mais si vous recevez…

 

ELIZABETH: Je reçois.

 

ADAMUS:… la pureté…

 

ELIZABETH: Donnez- moi ça.

 

ADAMUS:… l’état cristallin, le… à vous de recevoir… (Elizabeth prend les sucreries et en donne une à Tad) Ne lui donnez pas !!

 

TAD: Oh! (elle la remet sur le plateau; rires)

 

ADAMUS: Il n’est pas prêt! Décidément! Oh. Ouais, vous voyez, la première chose que vous essayez de faire c'est d'en rejeter la responsabilité sur quelqu'un d'autre (plus de rires). Non, c’est à vous.

 

ELIZABETH: Oh, merci (elle prend le plateau).

 

ADAMUS: Et il s’agit de recevoir le pardon puis de réaliser : «Je n’ai jamais rien fait de mal». Mais vous ne pouvez pas vous dire cela. Vous pouvez recevoir le cadeau, et non pas de Dieu, ni de Saint-Germain, ni d'aucun autre être.

 

ELIZABETH: Ok.

 

ADAMUS: Seulement de votre Je Suis.

 

ELIZABETH: Compris.

 

ADAMUS: Et n'acceptez aucun substitut.

 

ELIZABETH: C’est mon Je Suis.

 

ADAMUS: Ouais. Ouais, c’est votre Je Suis. Et quand vous verrez … rendez-moi ça (en prenant le plateau).

 

ELIZABETH: Merci (Adamus rit).

 

ADAMUS: Lorsque vous allez sentir que vous manquez de dignité et sentir l’indignité, vous allez trouver toutes les excuses possibles et vous allez déformer ce que j’ai dit, parce que vous ne vous sentez pas assez digne. Mais quand vous pourrez enfin dire: «Je reçois le pardon de mon Je Suis, de tout ce que Je Suis. Je reçois."

 

ELIZABETH: Oui.

 

ADAMUS: Et nettoyez et purifiez tout (Adamus lui tend à nouveau le plateau).

 

ELIZABETH: Je reçois.

 

ADAMUS: Je garde le plateau. Non, vous prenez les friandises, je garde le plateau (rires). C’est mon plateau. C’est mon plateau. Vous obtenez les bonnes choses. Ouais. Ne les donnez à personne. Ouais. (Elle prend tous les cadeaux du plateau). Alors elle a finalement reçu. Oui.

 

ELIZABETH: Oh, je le savais depuis le début.

 

ADAMUS: Ça fait du bien, non ?

 

ELIZABETH: Merci…

 

ADAMUS: Oui.

 

ELIZABETH:… tellement.

 

ADAMUS: Merci.

 

ELIZABETH: Venez prendre ça.

 

ADAMUS: Et merci pour le plateau (applaudissements du public). Merci d'avoir joué le jeu.

 

Ouais, vous savez, je veux vraiment revenir sur ce point. Le dragon est ici. Oh, il est là, et il ne part pas. Cela ne va pas disparaître et vous allez essayer d'oublier tout ça. Vous allez déformer tout ce que je dis, comme d'habitude, et ensuite je vais devoir vous frapper à quelques reprises et dire: «Je n'ai jamais dit ça." J'ai dit: "Recevez le pardon du Je Suis. »Mais celui qui ne se sent pas digne, celui qui se sent sale, indigne, pas prêt, petit, ils vont trouver toutes les excuses du livre pour ne pas l'accepter. Aussi simple que cela puisse paraître, ils vont le déformer et ils vont dire: «Oh, je dois aller me confesser… Adamus m'a dit de me confesser aujourd'hui.» Ouais. Oh, ça n'a pas l'air amusant. Ils vont trouver tout ce qu'il y a dans le livre. Et vous allez l’essayer mille fois: «Je reçois le pardon», puis vous vous demanderez: «Qu’ai-je fait de mal? Comment se fait-il que rien ne change? "Parce que le dragon est toujours là à dire:" Il faut laisser tomber la camelote. "

 

Et puis, un glorieux jour sur votre 1 842e fois ou peu importe quoi, peut-être une millionième, ça n’a pas vraiment d’importance, vous allez enfin l’obtenir: «Je reçois le cadeau du pardon. Je suis digne maintenant et ce faisant, je réalise que : Je Suis ce que Je Suis. Il n’y a pas de jugement. Il n’y a ni lumière ni obscurité. Il n’y a  pas un moyen de retourner vers un Dieu inconnu. Je Suis ce que Je Suis. »Il n’y a pas de quoi avoir honte. Tout, rien. C'est tout. Bien.

Oh! Prenons une grande respiration profonde avec ça.

 

C’est tellement simple. Vous savez, c’est vraiment la dernière étape pour arriver à la Réalisation.

 

Nous nous sommes donc laissés un peu distraire, mais c'était une belle distraction. Un ou deux de plus. Quel est le côté indigne d'être un humain ? Est-ce que ça va mieux?

 

ELIZABETH: Oh oui.

 

ADAMUS: Ouais. Vous les avez mangé?

 

ELIZABETH: Je les garde pour Crash.

 

ADAMUS: Non, non, non! Ce ne sont pas les siens. Il ne peut pas en avoir.

 

ELIZABETH: (à Crash) Ce n’est pas pour toi.

 

ADAMUS: Ne laissez personne les prendre. Non, ce sont les vôtres.

 

ELIZABETH: Je les garde pour vous.

 

ADAMUS: Bien. Et ne partagez pas ce chocolat avec qui que ce soit, vous voyez, parce qu’il y a une tendance: «Oh! Regardez ce que j’ai trouvé, tout le monde en a. »Non, c'est seulement le vôtre. En fait, s’ils mordent dedans, c’est comme un fruit défendu. Cela va les tuer. Oui (le public dit «Ohh!»). À un niveau ou à un autre. Je veux dire, peut-être pas physiquement. Mais je veux dire, ça va tuer quelque chose en eux. Non, ce n’est pas pour eux et vous ne pouvez pas le leur donner, et je vais faire une prédiction ici et maintenant. Certains d'entre vous - beaucoup d'entre vous, en fait - vont essayer. Vous allez essayer de pardonner aux autres. Vous allez essayer de leur apprendre le pardon d’une manière qui n’est pas vraiment appropriée. Vous allez essayer d’être le gourou du pardon, et cela ne fonctionne pas. Cela se retournera contre vous et celui avec qui vous travaillez.

C'est tellement personnel. "Je reçois le pardon de mon Je Suis." Et, oui, philosophiquement dit, et vous allez dire: "Il n’y avait rien à pardonner en premier lieu." Mais c’est une belle pensée philosophique. C’est seulement quand vous le prenez dans votre Être et que vous le sentez et qu'il devient vivant.

 

Alors, un petit indice, un petit avertissement, tout cela à propos de la façon dont j'ai commencé en disant que Tobias a injecté son énergie, son Énergie Vivante dans les choses. Devinez quoi? C’est là où nous allons, L’Énergie Vivante. Vous allez réaliser que vous n’avez pas eu beaucoup d’ Énergie Vivante. Vous avez eu de l’énergie, mais je parle de votre Énergie Vivante Consciente dans les choses, et tout est lié à un moment donné, la massion (nouveau mot d’Adamus; un mix entre mission et passion) et tout le reste. Mais c’est là que nous allons - dans l’Énergie Vivante. Vous allez réaliser que vous n’avez pas beaucoup vécu. Vous en sortez à peine et nous faisons sauter tout cela. C'est une bonne chose.

 

Ok. J'en ai fini avec cette question. J'ai une autre question. C'est un bon exemple, alors Linda, choisissez bien ici.

 

 

~ Question 2

 

Alors, qu'est-ce qui pousse quelqu'un qui est sur le chemin spirituel à s'arrêter soudainement, à se retourner, à tomber, à abandonner? Qu'est-ce qui pousse quelqu'un à abandonner son voyage? Maintenant, je vais dire ceci: vous ne pourrez jamais vraiment revenir en arrière. Vous pouvez vous cacher pendant un petit moment, vous pouvez faire semblant, mais vous ne pourrez jamais désapprendre ce que vous avez appris.

 

Pourquoi, quand on y pense, beaucoup de Shaumbra ont abandonné au fil des ans. Beaucoup d’entre eux, et ça ne me dérange pas du tout. Ça ouvre la voie aux autres. Désolé, j'ai plus de doigts à l'écran ici. Non, vous savez, c’est approprié. Et j’entends toutes les excuses et «Je n'aime pas Adamus parce qu'il est odieux». Duh! (quelques rires) Vous venez de réaliser ça?! Je veux dire, vraiment, vous n’avez pas abandonné il y a cinq ans? Ou quelle était la dernière question du dernier dont Cauldre m'a parlé ? Quelqu’un a écrit: "Adamus vient du côté obscur et il est distrayant." Eh bien, bon sang, oui! (plus de rires) Vous venez seulement de le réaliser?! Bien sûr, je viens de l'obscurité et de la lumière, et il n'y a ni l'un ni l'autre. Je veux dire, allez les enfants, grandissez! Je pensais que nous étions au-delà de ce truc de lumière et d'obscurité. Sommes-nous encore en train de jouer à ce jeu? Non, vous ne l’êtes pas, mais quelqu'un l’était.

 

Donc revenons à la question. Qu'est-ce qui pousse quelqu'un à abandonner, à faire demi-tour, à fuir, à empêcher son retour à la Réalisation? Quelle en est la cause ? Nous avons eu beaucoup de Shaumbra [décrocheurs] au cours des années, ça et moi en plus pour les encourager à partir. Ehh, vous savez, ce n'est pas un endroit, ce n'est pas un endroit pour les faibles d'Esprit. Non, c'est dur. Mais c’est amusant aussi, n’est-ce pas? Deux personnes ont dit oui. Personne sur…? (maintenant plus de Shaumbra disent oui). Ok. Très bien.

 

Qu'est-ce qui cause le décrochage? Linda avec le micro. Oh, ça va être bon. Oui.

 

JANICE: Le doute.

 

ADAMUS: Le doute. Ouais. Ouais.

 

JANICE: Et l'humain n'est tout simplement pas prêt.

 

ADAMUS: Ouais, l'humain n'est pas prêt.

 

JANICE: Pas engagé.

 

ADAMUS: Ok. Quelle est leur excuse la plus courante, celle qu'ils invoquent quand ils abandonnent? Et je ne parle pas seulement du Crimson Circle, je parle de leur chemin.

JANICE: Probablement le doute. Juste ne pas y croire.

 

ADAMUS: Mais quelle excuse se donnent-ils?

 

JANICE: (elle fait une pause) "Je ne crois pas à ça."

 

ADAMUS: Ouais. Bien, ouais.

 

JANICE: Ne pas y croire.

 

ADAMUS: Bien. Juste, "Je ne me connecte pas avec ceci."

 

JANICE: Ouais.

 

ADAMUS: Ouais, ouais.

 

JANICE: Uh huh.

 

ADAMUS: Ok. Bon. Quoi d'autre? C'est vraiment une très bonne question. Qu'est-ce qui pousse une personne à abandonner? Ooh! Linda est à l'affût. La voilà qui arrive. Ok.

 

ALI: Oh, mince !

 

ADAMUS: Toute l’anxiété qui règne dans cette section comme le micro… (rires) «Pas moi!» Mais vous avez une excellente réponse. Je le sais déjà. (Ali fait une pause) Quelque part là- dedans (quelques rires).

 

ALI: Euh…

 

ADAMUS: Inventez quelque chose. Juste n'importe quoi.

ALI: Vous savez, pour moi, je me suis beaucoup battu avec des problèmes physiques et beaucoup de problèmes corporels pendant longtemps.

 

ADAMUS: Ouais.

 

ALI: Et, vous savez, si je devais abandonner, ce serait un élan qui me pousserait à dire simplement: «J’en ai fini avec ça. Je ne veux plus avoir mal. "

 

ADAMUS: Ouais. Exactement. Vous souffrez beaucoup.

 

ALI: Ouaip.

 

ADAMUS: Absolument, ok. Et il y a aussi ce doute qui entre et qui dit: «Eh bien, attendez une seconde. Si cela fonctionnait vraiment, je ne souffrirais pas autant physiquement. »Ce à quoi je réponds : « Foutaises. ». C’est une douleur physique intense, vraiment intense. Les autres personnes qui vont passer par là après vous, ne l'auront pas comme vous et vous allez regretter qu'ils ne l'aient pas (le public dit «Ohh!»). Non, je veux dire, j'apprécie ce que vous avez vécu. Mais les problèmes de corps, absolument.

 

ALI: Et ce n’est pas tant que … ce n’est pas que je ne crois pas en tout. C'est ce que je fais. C’est juste combien de temps cela va-t-il prendre?

 

ADAMUS: Bien.

 

ALI: Je peux rester aussi longtemps?

 

ADAMUS: Bien, bien. C'est une question difficile. Est-ce que le corps va tenir le coup? Wow.

 

ALI: Ouais. Ouais.

 

ADAMUS: Excellent. Bien. Encore deux ou trois. Uh-oh! (Adamus rit)

 

JONATHAN: Je le savais.

 

ADAMUS: Quand on s'y attend le moins. Ouais. Alors, qu'est-ce qui les pousse à abandonner? Vous travaillez sur un film qui - je vais vous aider avec mon énergie.

 

JONATHAN: Merci.

 

ADAMUS: Ouais. Et, oh, nous avons des choses amusantes qui arrivent.

 

JONATHAN: Oooh!

 

ADAMUS: Ouais (quelques rires). Ou "Ooh!" Alors, qu'est-ce qui cause le décrochage?

 

JONATHAN: (il fait une petite pause) Juste, ouais, ne pas croire que c'est possible. Alors, vous abandonnez, c'est tout.

 

ADAMUS: Un autre conte de fées.

 

JONATHAN: Ouais. Genre : "J'ai chassé la carotte tellement longtemps."

ADAMUS: Bien.

 

JONATHAN: Et de cette façon: «Je suis fatigué. Je n’en peux plus», alors je préfère être plutôt dans mon petit cocon et prétendre que c'est tout ce qu'il y a d'autre, au lieu d'avoir à subir une autre déception, vous savez : « Je pensais que c’était là et oh, ce n’est pas le cas ».

 

ADAMUS: Ouais. Un fait tellement intéressant, 93,75% des personnes qui abandonnent vont simplement ailleurs. Ils vont dans un autre groupe. Ils trouvent un autre gourou. Ils vont ailleurs. Ils sont distraits. Ils ne décrochent pas vraiment, à part peut-être du Crimson Circle, mais ils vont ailleurs. Et puis vous savez combien de temps cela dure? En moyenne 2,5 ans, puis ils vont ailleurs, puis ailleurs et ailleurs. Ce sont des chercheurs, et c’est bien. Mais nous sommes en train de tuer le chercheur ici, cet aspect chercheur. Boom! Disparu. C’est fini. C'était une illusion de toute façon, donc on ne tue pas vraiment quoi que ce soit.

 

Donc, il y a tout cela - le doute et, vous savez, cela se produit vraiment - et au lieu de rester fidèles à ce qu’ils savent, pas aux enseignements ou à quoi que ce soit de ce genre, mais de rester fidèles à eux-mêmes, ils vont chercher une autre distraction. La plupart d'entre eux. Certains partent seuls dans les bois, métaphoriquement parlant, en disant: «J'en ai fini avec tout ça. Je viens de l'avoir. C’est fini. Trop de choses. Je vais trouver un travail dans une fabrique de montres, vous savez, mettre les petits engrenages au-dessus des petits engrenages et c’est tout ce que je veux faire. Et je vais rentrer chez moi et prendre … ”- comment vous appelez ça de nos jours -“… une IPA (un terme utilisé pour désigner les bières à haute densité) ou quelque chose comme ça et c'est tout. ”Et en fait, j'aime ces gens, parce qu'ils sont vraiment très honnêtes et qu'ils se disent: «Je dois simplement laisser tout le monde se rattraper et m'installer et je dois simplement revenir vers moi.» Je les aime parce que quand ils reviennent, ils sont géniaux. Ils sont revenus à la vérité. Ils ont nettoyé beaucoup de choses.

 

Encore deux ou trois. Encore deux ou trois. Pourquoi quelqu'un abandonne-t-il? Vous continuez là-dessus, vous passez votre vie ou des vies, et eux - boum! - vous abandonnez. Oui. Vous saviez que ça allait arriver.

 

TESS: Ohh (elle soupire).

 

ADAMUS: Comment se fait-il - je dois poser une question rapide ici, si cela ne vous dérange pas. Comment se fait-il que vous n'utilisiez pas davantage vos capacités intuitives?

 

(Elle fait une pause)

 

Oh, je suis désolé d’être devenu si personnel (rires). Oh, elle m'a regardé genre: «Je vais vous tuer» (plus de rires). Je suis juste, je suis curieux. Vous avez de très bonnes capacités intuitives, de très bonnes capacités de détection. Comment se fait-il que vous ne les utilisiez pas?

TESS: Vous savez, j'ai vraiment fait le truc des bois, mais d'une manière différente.

 

ADAMUS: Ok.

 

TESS: Et je voulais juste plonger à l'intérieur et m'en servir pour moi-même.

 

ADAMUS: Ok.

 

TESS: Parce que j'ai commencé à puiser dans ma vie en gardant toujours quelque chose pour les autres ou à enseigner d'une manière ou d'une autre.

 

ADAMUS: Ouais. Ouais. Ouais.

 

TESS: Mais alors vous jouez un peu, vous savez, vous faites une danse.

 

ADAMUS: Bien. Bien.

 

TESS: Et je me suis dit: «expérimentalement, qu'est-ce que ce serait de simplement apporter de l'énergie pour moi?

 

ADAMUS: Ok. Génial. J’aime ça. Allez-vous utiliser- vous avez de très, très bonnes compétences intuitives.

 

TESS: Bien. Et puis je me suis retrouvée dans une période vraiment crue - comme encore maintenant, je tremble - une période physiquement crue où je ne pouvais pas m'imaginer continuer à aller avant que cela ne coule dans mon noyau, je suppose. Et cela revient et il y a beaucoup de vitalité et de découverte intérieure, et c’est presque au point où je ne… OK, je ne vais pas dire ce mot.

 

ADAMUS: Merci.

 

TESS: Je suis au-delà du mental, au point de ne pas savoir où l’appliquer dans ce monde, même dans la spiritualité.

 

ADAMUS: Bien, bien.

 

TESS: Parce que vous allez au-delà de la dualité et que le jeu est terminé.

 

ADAMUS: Oui, c'est ça.

 

TESS: Alors…

 

ADAMUS: C’est un endroit difficile à vivre.

 

TESS: Bien.

 

ADAMUS: Ouais. Bien. Donc, en réponse à la question, pourquoi les gens abandonnent-ils?

 

TESS: Je dirais que, parce que le mental a été programmé pour la dualité, il ne sera jamais satisfait. Il veut toujours quelque chose de plus à tourner, à engranger, à programmer…

 

ADAMUS: Beau.

TESS:… et s’il s’agit d’un autre groupe avec une autre philosophie à laquelle j'ai à réfléchir pendant un moment et, vous savez, ça continue sans fin.

 

ADAMUS: Belle réponse.

 

TESS: Et une fois que vous êtes tombé dans le noyau du zéro - «Plus de dualité, c'est fini», alors le jeu est terminé. La recherche est terminée.

 

ADAMUS: Mais alors quoi?

 

TESS: Et puis la découverte commence.

 

ADAMUS: Ouais.

 

TESS: Et puis, c’est ouais.

 

ADAMUS: Vous avez raison. Le jeu est terminé, vous êtes au point zéro, rien.

 

TESS: Oh ouais.

 

ADAMUS: C’est effrayant!

 

TESS: Perte de toutes vos passions humaines, de toutes vos passions spirituelles.

 

ADAMUS: Tout!

 

TESS: Tout va juste à - brrrrhh!

 

ADAMUS: Et pendant que tout se passe à l’intérieur, à l'extérieur, l'humain est très agacé par tout...

 

TESS: Oh.

 

ADAMUS:… et trop sensible. Vous avez cette plongée profonde. Vous allez au point zéro en vous-même, au néant à l'intérieur de vous-même. Tout tombe en morceaux et vous le savez. Vous essayez de prétendre que ce n’est pas le cas, mais ça l’est. Vous essayez de l’empêcher, mais vous ne pouvez pas. Extérieurement, vous êtes une garce. Vous savez - pas vous (rires), mais, je veux dire, vous tous, des garces! (plus de rires) Non, vous l'êtes.

 

TESS: Merci! (rire)

 

ADAMUS: Non, vous l’êtes et vous avez tous les droits - non, vous l’êtes - et vous avez parfaitement le droit de l'être. Et si vous prétendez ne pas l'être, vous vous trompez vraiment. Je veux dire, vous êtes grincheux. Vous êtes des garces. Vous êtes trop sensibles. Vous n'êtes pas agréables à côtoyer. Vous êtes presque ignobles, méprisables, et c’est bien. Je veux dire, non, vraiment, laissez-vous être ainsi, parce que, à l'intérieur, tout est en train de s’écrouler. Vous n'arriverez à rien. C’est comme, c’est comme ça…

 

LINDA: Adamus, ceci est en train d’être enregistré.

 

ADAMUS: Pfft! Je m'en f--- (le public dit «Ohh!» Et quelques rires). C’est la meilleure chose que d’autres puissent entendre, vous savez, à l’extérieur, vous êtes juste, vous êtes presque sur la défensive, d’une certaine manière. Et si vous prétendez être gentil, vous allez découvrir à quel point vous êtes une garce. Non, parce que c’est très, très difficile. Plus rien ne fonctionne. C’est juste - c’est - et essayer d’être doux, ensoleillé, et des sucettes et de l'amour - beurk! - ça va être plus difficile. Vous résistez, à l'intérieur. C’est comme si vous plongiez avec le nez. Il s'écrase au sol et vous pouvez voir que, c'est la fin. Ce n’est rien et vous n'arriverez pas à arrêter la glissade. Vous essayez tous les trucs du livre et vous vous retrouvez avec tous ces clichés, ce charabia et toutes ces autres conneries et ça ne marche pas. Vous allez toucher le fond. Vous allez vous écraser.

Ou vous pouvez vous permettre d'entrer gracieusement, dans la dignité, entrer dans le néant de vous-même. Vous arrivez là dans le néant et vous réalisez à quel point c'est une mascarade depuis si longtemps. Mais alors vous êtes dans ce néant et vous vous dites: «Et après ? Et après ?»Et vous êtes dans ce néant et vous réalisez que vous êtes Réalisé.

 

J’irai jusqu’à dire quelque chose. Cauldre essaie d’éditer, de vérifier l’orthographe, de corriger l'orthographe et tout le reste, et cela ne va pas fonctionner. Votre Réalisation vient dans ce néant, rien, rien; c’est tellement rien, il n’y a pas de noir. Vous aimez penser que cela ne se produit pas. Vous aimez penser que vous vous promenez dans le parc et que c'est une belle journée et que les lapins courent vers vous et se nourrissent dans votre main et tout le reste.  La Réalisation se produit… (elle rit)… dans le… (ils rient)

 

TESS: Je vous imaginais juste… (Adamus rit)… en train de batifoler.

 

ADAMUS: Dans le néant.

 

TESS: Oui.

 

ADAMUS: Et dans ce néant, il y a  ce point incroyable - (Adamus soupire) et c’est digne d’un film, mais je ne veux pas entrer dans les détails pour le moment -
mais vous êtes dans ce néant et vous réalisez que vous êtes Réalisé. Vous réalisez : “Oh, merde! J'ai juste dû lâcher tous les vieux trucs. J'ai dû en arriver à ce : là où il n'y a que moi dans le Je Suis », et le Je Suis est un grand rien à bien des égards. Sur le plan énergétique, il n'y a pas d'énergie dans le Je Suis. Donc, vous y arrivez et cela ne ressemble à rien, mais il y a pourtant quelque chose. Il n’y a pas d’énergie, mais il y a quelque chose. Et si cela ne vous touche pas et ne vous rappelle pas quand vous avez traversé la métaphore du Mur du Feu dans le néant et ressenti le premier "J'Existe", c'est très similaire. Mais maintenant, c’est juste avec vous.

 

Et dans ce néant, vous dites: "Pourquoi voudrais-je jamais revenir vers moi pour être une garce?" (Adamus rit) "J'ai cet humain qui erre, qui est ennuyeux et malheureux et dont le corps a mal. Pourquoi j'y retournerais?

 

Et vous entendez un vieil écho de l’humain en vous, "Parce que je ne veux pas mourir!" Et vous réalisez: "Je suis déjà mort, et ce n’était rien. Ce n'était rien. »Et vous entendez dire:« Mais je me suis engagé à rester sur la planète pour être un être incarné. »Et c'est comme si tout d'un coup on se disait:« Cet humain est si stupide de prendre des engagements et de prêter serment et tout le reste. Oublie ça. »Et vous êtes dans cette impasse:« Est-ce que je veux vraiment y retourner?

 

Maintenant, une chose amusante se produit. Ici, vous réalisez que vous êtes Réalisé. Vous vous dites : «Oh, bon sang, c'est ça, mais c'est sans importance. Je veux dire "- et vous vous rendez compte -" Je l'ai toujours été. La belle affaire. »Et tout à coup, vous sentez la présence d’un grand, sombre et beau Maître Ascensionné (rires) qui tourne en rond et qui est parfois ennuyeux, qui passe et qui continue à dire : « Et maintenant quoi? Et maintenant? Tu veux y retourner?

 

TESS: Non.

 

ADAMUS: (riant) Non. Mais revenons d'une manière différente. Voulez-vous rester comme un humain incarné?

 

TESS: Bien.

 

ADAMUS: Et alors, vous devrez peut-être y réfléchir, et c'est une question difficile. Et  quoi ? Vous parlez d'enregistrement par caméra ? C’est ce que nous enregistrons vraiment. C'est le moment le plus poignant de tous. De tous.

 

Votre Réalisation, ça va arriver. Vous allez toucher le fond. Vous allez tomber en panne. Vous allez aller dans le rien. Ce qui se passe ensuite, c’est un territoire inconnu que nous ne connaissons pas. Tout le reste, le script, est écrit, en quelque sorte. Je veux dire, pas écrit comme dans chaque petit mouvement ou mot ou autre, mais tout est dans le livre. Vous allez aller à la Réalisation. Nous ne savons pas exactement comment, vous ne savez pas exactement comment, mais vous allez y arriver. Le script est écrit.

Ce qui vient après ne l'est pas. Ce n’est pas dans le livre. Cela n’a jamais été écrit. Il n’y a pas de chapitre qui l’ait. Et comme je l’ai mentionné à Cauldre et Linda récemment, nous terminons le dernier chapitre du livre, qui est maintenant dans Keahak VIII et dans une partie de Keahak IX. Ensuite, nous entrerons dans le non-script/ le non écrit, et nous ne le savons pas. Comment réagirez-vous en disant que vous l’avez fait, vous le réalisez, et maintenant, qu’allez-vous faire? Et ce n’est pas la décision à laquelle vous pensez nécessairement. L’humain est assis ici et dit: «Oh, oui, mais je vais rester." Je ne sais pas. Mais une chose est sûre: si vous restez, ce sera très différent et, en quelque sorte, comme avertissement de ce qui s’en vient, tout tourne autour de l’Énergie Vivante. Tout se rapporte à la Vie - et cela signifie Vivre, comme dans "enfin Vivre".

 

C’est la raison pour laquelle j’ai posé la question le mois dernier quand j'ai dit: «Passion ou liberté?» - ou massion (les deux)- parce que je travaille avec vous sur l’Énergie Vivante, ce qui signifie plusieurs choses différentes. De l’énergie qui est vivante et non pas simplement coincée dans un corps physique. Une énergie qui a de la vitalité. Une énergie qui a de la grâce et de la dignité. C'est l'Énergie Vivante. Mais aussi, maintenant, l'Énergie Vivante. Vivre une vie d'énergie, pas une vie de fuite. L’Énergie Vivante. C’est là que nous allons. Oh merci. C'était une belle réponse. Merci beaucoup (Adamus rit).

 

TESS: Vous êtes le bienvenu.

 

ADAMUS: Non, c'était la transition parfaite.

 

 

L’Énergie

 

Alors, j'ai posé la question - quelle était la question? Oh, pourquoi l'un d'eux abandonne-t-il ? Pourquoi abandonne-t-on? Prenez une profonde respiration et sentez-vous en ceci pendant un instant.

 

(pause)

 

L'énergie est trop intense. C'est tout. Je veux dire, nous pourrions dire tous ces autres mots - ils se sont perdus, ils ont douté, ils ont été distraits - mais la vraie réponse, l’énergie est trop intense, et c’est ce que vous avez vécu le mois dernier. L'énergie est vraiment intense. Vous ne pouvez pas y faire face. Le mental ne peut pas le supporter.

 

Vous voyez, ce qui se passe actuellement en ce qui concerne la Réalisation et la maîtrise, vous êtes plus conscients que jamais de l’énergie, mais vous conservez l’ancienne relation avec elle. Vous êtes plus conscient des obstacles sur la route. Vous êtes plus conscient de l’énergie que jamais et que faites-vous? Vous essayez de vous en cacher. Vous essayez de la détourner. Vous essayez de l’ignorer, de prétendre que ce n’est pas là. Vous essayez de vous dire que tout va bien se passer, et ce n’est pas le cas. Non, ça ne l'est pas. Tout s'effondre, et je suppose que ce n’est pas important. Mais vous essayez de dire: "Je vais passer à travers ceci." Et je suis désolé mais parfois je dois rire. «Je vais passer à travers. Je vais me frayer un chemin. Je vais rester engagé. »Et je vous dis… (Adamus rit) Cauldre ne veut pas canaliser ça (quelques petits rires). J'allais dire quelque chose comme: " Fermez-la..."

 

Vous voulez continuer votre ancienne relation avec l'énergie. Ça ne marchera pas. Et quand Shaumbra abandonnera - beaucoup d’entre eux reviendront, mais quand ils sortiront du Crimson Circle - leur énergie sera trop importante. Cela touchera leur vie, chaque partie de leur vie, et elle ira vraiment à la recherche des points faibles: des problèmes d’abondance, des problèmes de santé, etc. L'énergie est trop grande. Ali a mentionné auparavant, le corps. Est-ce que le corps va tenir le coup ? Il y a tellement d’énergie qui s’en vient que cela fait mal à l’heure actuelle et c’est la raison pour laquelle les gens décrochent.

 

Alors, avant d'aller plus loin, je veux faire quelque chose d'un peu spécial ici. Faisons un massage (rires). Vous en avez besoin. Vous en avez vraiment, vraiment
besoin, après le mois dernier. Et, vous savez, ce n’était pas quelque chose que je qualifierais de planifié à l'avance, mais c’est comme si vous aviez besoin d’une dose d’énergie réelle pour vous frapper un peu, pour dire que vous devez changer votre ancienne relation avec l’énergie, et vous refusez de le faire. Vous refusez presque de changer votre relation. Vous allez dire: «Je vais continuer comme avant», et cela ne marchera plus à partir de maintenant. En particulier, comme je l’ai dit, lorsque nous entrons dans le nouveau Keahak, nous n'avons pas de scénario et l’ancienne relation ne fonctionnera pas. Cela va vraiment être douloureux pour votre corps et votre cerveau va en souffrir. Et en plus, avec tout le reste, nous avons appelé le dragon. Et même si vous pensez que vous allez vous frayer un chemin à travers tout cela, vous allez découvrir que le dragon va vous déchirer. Ou réellement en faire une belle expérience.

 

Le dragon est ici pour que vous surmontiez certains - (quelques soupirs d’Adamus) - certains vieux trucs que vous ne reconnaissez peut-être même pas, comme votre ancienne relation avec l’énergie. Vous ne réalisez même pas l'aspect le plus important auquel vous avez été confronté le mois dernier. Il était tellement grand, il était assis en plein milieu de la pièce. Et vous disiez: «Oh, je fais face à un vieil aspect de ma vie passée» ou «je suis face à un aspect sombre ou à mon aspect de peur.» C’est tout un tas de conneries. Vous faites face à votre aspect énergétique et c’est tout. Votre aspect énergétique. C’est l’aspect qui a appris à utiliser l’énergie de manière très ancienne.

 

En travaillant le mois dernier, vous ressentiez votre aspect énergétique. Au fur et à mesure que l'énergie devenait de plus en plus présente dans votre vie, vous en preniez conscience. Mais votre mental s'est inventé toutes ces choses sur ce qu'était vraiment l'aspect - l'aspect de l'indignité et tout le reste. Non, c'était votre aspect énergétique.

 

Le dragon est à ses pieds en train de mordre cet aspect énergétique. Le dragon est vraiment en train de l'activer. C’est une grosse boule d’énergie, ce gros, comment appelez-vous le grand éléphant pourpre au milieu de la pièce, mais l’énergie est lente et coincée et pas très vivante. Nous entrons dans L’↕Énergie Vivante.

 

Prenons une grande respiration profonde et allons nous faire masser. Un peu de musique, s'il vous plaît.

 

 

Le Massage du Maître

 

C’est difficile pour votre corps et c’est pourquoi je voulais faire ce massage ici.

Prenez une profonde respiration et détendez-vous vraiment. Si vous regardez en ligne, prenez une profonde respiration et détendez-vous.

 

(la musique commence)

 

Ce qui entre en jeu maintenant pour vous donner ce massage… vous savez, parfois votre corps est tendu et il vous semble ne pas avoir les muscles détendus. Faites-vous masser. Travail du corps. C’est vraiment bien pour vous.

 

Le Maître, la sagesse, a demandé à être ici aujourd’hui pour vous donner ce massage, et la seule chose qui vous est demandée, cher humain, c'est de permettre.

 

Vous vous allongez sur la table de massage et, quoi, allez-vous essayer de vous masser? Non, vous laissez quelqu'un le faire pour vous. Vous permettez.

 

Vous êtes allongé sur la table et au début, vous vous sentez un peu tendu et stressé, et très vite ces mains douces viennent sur vous…

 

Lentement, pas de façon intrusive, mais vous pouvez sentir ce contact ou cette sensation de chaleur sur votre corps. Oh, surtout autour des épaules et du cou.

 

D'habitude, il y a de la musique new age scintillante et de l'encens.

 

Vous prenez juste une profonde respiration. "Oh! Pourquoi n’ai-je pas fait cela avant? "

 

Vous sentez ces mains vous toucher. Oh! De l'huile chaude. Qui a inventé ça? Quelle bonne idée! De l’huile chaude, maintenant sur votre dos, vos bras, vos épaules.

 

Vous n'avez rien à faire. Vous êtes simplement allongé là. Cela donne presque envie de pleurer.

 

Vous ne faites que prendre une pause et permettre.

 

Mais dans ce cas, ce n’est pas un massothérapeute ou un travailleur du corps. C’est le Maître, le Je Suis.

 

Tout ce que vous avez à faire ici, c'est de le permettre. C'est tout.

 

Permettez simplement.

 

(pause)

 

Le Maître va tout faire, il va frictionner toutes les parties douloureuses de votre corps.

 

Vous n'avez rien à faire.

 

(pause)

 

Le Maître est très habile dans ce domaine, parce que le Maître comprend l’énergie, où elle fait mal, où elle est bloquée, ce qui doit être libéré.

 

Alors que les mains du Maître travaillent doucement, toujours avec grâce sur votre corps, vous pouvez presque entendre une parole de grande sagesse venant du Maître, presque comme si le Maître murmurait une grande sagesse. Et ce seul mot est "Permets".

 

Juste " Permettre ".

 

(pause)

 

C’est assez drôle parce que le Maître masse vos pieds et vos orteils - oh, ça fait du bien - vous entendez ce murmure «Permets». C’est tout. C’est tout.

 

C’est presque comme si les mains du Maître étaient au-delà du physique. Comme si le Maître atteignait les muscles et les os. Cela fait un peu bizarre. Mais c’est vous. C’est cette partie de vous que nous appelons le Maître, donc ce n’est pas vraiment étrange. Juste un peu bizarre.

 

Le Maître travaille tout le long de votre corps.

"C'est un peu étrange. Wow. Je sens que mon cœur est massé. Et mes hanches, du genre le Maître est juste à l'intérieur de mes hanches.

 

(pause)

 

Travaillant jusqu'à vos épaules et votre cou. C'est un vrai massage complet du corps. Je veux dire, pas seulement sur la peau à l'extérieur, mais à l'intérieur.

 

Ensuite, vous réalisez quelque chose. Le Maître travaille juste sur l'énergie. C'est tout. Il ne s'agit pas vraiment de votre peau ou de vos os, ou de votre cœur. Le Maître travaille sur l'énergie en ce moment même.

 

(pause)

 

«Le Maître entre et va masser littéralement ces énergies, cette chose avec laquelle j'ai eu un tel problème le mois dernier. Wow ! Le Maître travaille sur cette chose appelée énergie, peu importe ce que c'est.

 

C’est ce qui fait que beaucoup de gens décrochent, quittent leur chemin ou se laissent distraire.

 

L’énergie, oh, c’est parfois si intense. Mais ici, le Maître y travaille, la touche, fait tout ce que le Maître a besoin faire. Vous pensez à vous-même (en riant): «Je sais que le Maître travaille sur l'énergie. Je ne sais pas ce que fait le Maître, mais cela n’a aucune importance. "

Cela  n’a aucune importance.

 

(pause)

 

Alors, en tant qu’humain, prenez une bonne respiration profonde et permettez.

Permettez ce doux massage du Maître.

 

(pause plus longue)

 

Ohh…

 

(pause)

 

Et vous savez quoi, vous pouvez avoir ce massage quand vous le voulez. Je vais cependant vous dire une chose maintenant: n’essayez pas de le faire vous-même. Ce que je veux dire par là, c’est que ce n’est pas vous qui vous massez. Pas l'humain. Si c’était l’humain qui vous massait, ce serait inconfortable, inefficace, douloureux peut-être, maladroit.

 

Vous pouvez le faire quand vous voulez. Vous vous allongez et permettez au Maître d’entrer.

 

Le Maître est la sagesse. Il sait. Il sait où chaque nœud, chaque morceau d'énergie bloquée, chaque morceau d’énergie cachée, il sait où cela se trouve et permettez simplement au Maître de le masser.

 

(pause)

 

Une bonne respiration profonde.

 

Ok.

 

Vous voyez comme c'est facile?

 

(la musique s'arrête)

 

Et c'était facile pour une raison. Vous avez permis. Facile pour une raison, vous avez permis. C'est tout.

 

Prenons une grande respiration profonde pendant que nous passons à autre chose. Ah non, nous n’avons pas fini. Quelqu'un vient de dire: «Oh! Avons-nous terminé maintenant? Nous venons de faire un merabh. »Non, nous n’avons pas fini! (quelques rires) Je ne suis même pas encore arrivé à la deuxième base avec vous ici. Nous allons continuer à frapper.

 

 

Conversation avec Kuthumi

 

Donc, j'ai eu une discussion avec Kuthumi l'autre jour. Et Kuthumi est venu, je ne faisais que m'occuper de mes affaires, comme jamais je ne l’ai fait, et Kuthumi est venu et il m’a dit: «Adamus, n'es-tu pas un peu inquiet à propos de cette grande fête que tu vas avoir pour toi à Santa Fe, Nouveau-Mexique – Les Dix ans d'Adamus? »Je dois vous dire que je pense qu'il est un peu jaloux (quelques rires), parce que vous n'avez pas encore préparé quelque chose pour lui. Donc, je vais- il n’est pas là pour le moment, alors je vais le faire - quelqu'un pourrait-il faire quelque chose pour lui, comme lui préparer un gâteau ou quelque chose comme ça? Je ne sais pas. Mais il est un peu jaloux. Vous savez, Tobias a eu le grand adieu, il y a dix ans. Je vais avoir mon épingle de dix ans qui arrive avec Shaumbra.

 

Mais je pense qu'il essayait juste de m'énerver. Les Maîtres Ascensionnés peuvent être irrités. Nous pouvons être très irrités, mais nous sommes aussi dans le Et, donc nous pouvons aussi être très calmes et heureux, le tout en même temps.

 

Mais il essayait de m'attraper et il m'a dit: «Tu sais, ils vont faire ce truc grillé. Tu sais, ils vont monter là-haut et ils vont se moquer de toi. Ça ne t'inquiète pas un peu, Adamus ?"

 

Je lui ai dit: «Pourquoi le feraient-ils? Pourquoi se moqueraient-ils? Je veux dire, j'imagine qu'ils vont juste aller là-haut et qu'ils vont juste être remplis d'éloges. "(Quelques rires)" J'imagine qu'ils vont monter là-haut et ça va être un peu … je vais me sentir un peu gêné, mais ils vont me dire quel magnifique travail j'ai accompli, à quel point ils m'aiment, comment je devrais être élu président du Club des Maîtres Ascensionnés pour l'éternité. ” J'ai juste un siège de 2000 ans ici, "Mais pour l'éternité."

 

Il a dit : "Ça ne t'inquiète pas un peu ?"

 

Et j'ai répondu: «Non, non. Non, je ne le suis pas. Je sais que ça va bien se passer. "

Et puis Kuthumi a dit: "Je vais te dire quoi" - il y aura quatre personnes qui viendront me louer (Adamus glousse), et Kuthumi a dit: "Je serai le cinquième." (Le public dit " Ohh! ”) Ah! Ah! Alors je l'ai laissé dire. J’ai dit: «C’est très bien. Tu montes. Tu y es », mais je lui ai dit : « Tu sais que la bonne chose à faire est de deviner qui aura le dernier mot de toute cette conférence? » Ça doit être moi.

 

Alors, nous avons parlé un peu plus et nous avons parlé de Shaumbra et Kuthumi a pris une note. Il m'a dit: «Tu sais que c'est un défi pour toi, parce que j'ai remarqué une chose chez Shaumbra. Ils continuent de penser qu’il - l’humain - est celui qui travaille à la réalisation. Pourquoi donc?"

 

Et j'ai un peu ri et j'ai dit: «C’est humain. C'est humain. "

 

Et il a dit: " Tu sais, ils continuent à essayer de se réparer, de se soigner, de se guérir, et de se réaliser." Et il a dit: "Ne peux-tu pas faire quelque chose pour leur faire comprendre qu'ils ne le peuvent pas? Ils ne peuvent pas. Ils ne peuvent pas le penser. Ils ne peuvent pas faire leur chemin dans cela. La seule chose qu'ils peuvent faire, c’est de le vivre et de le permettre. C'est tout."

 

Je lui ai dit: «Tu sais, Koot, tu sais que c’est…» (rires). Nous sommes décontractés. Et je lui ai dit: «Tu sais, je ne sais pas comment leur faire comprendre. Nous continuons à en parler et ils commencent à s'ennuyer avec moi, tu sais, parler de permettre, d'expérimenter et d'énergie, et je lui ai dit: «Mais nous devons leur faire comprendre qu'ils ne peuvent pas le faire. Ils peuvent le permettre », comme lorsque le Maître vient de vous masser.

 

Pouvez-vous imaginer essayer de vous masser? Eh bien, tout d’abord, ils vous considéreraient comme un pervers, mais c’est juste (quelques rires) - ce n’est pas aussi efficace. Et puis la façon dont le Maître vient de le faire, d’y aller - maintenant, ce serait vraiment bizarre - et frapper l'énergie. - Non, vous ne pouvez pas et ce n’est pas du tout de votre responsabilité. Ça ne l’est pas. Je dois vous faire comprendre d'ici à là où nous allons, l'illumination n'est pas de votre responsabilité. Ce n’est pas de votre responsabilité de travailler à cela. Vous pouvez en faire l'expérience et le permettre, et c'est tout. C'est tout.

 

Maintenant, je sais que certains d’entre vous pensent qu’il y a quelque chose d’un peu déséquilibré à cela, que vous devez être un participant, qu'il faut influencer tout cela par ce que vous faites, dites ou pensez. Non pas du tout. Ce n’est pas de votre responsabilité.

Et Kuthumi a dit: " Tu sais, j'ai pensé récemment, qu'il était peut-être un peu prématuré pour toi d'amener le dragon." Il m'a dit : "Je travaille beaucoup avec Shaumbra et j'ai pensé que c'était comme un grand saut, parce que ce dragon, une fois arrivé, est assez féroce, et je me demandais si beaucoup de Shaumbra étaient vraiment prêts pour cela. "

 

Et je lui ai dit: «Tu sais, ça va être un enfer pendant les deux premiers mois», mais c’était, mais j’ai dit: «J’ai pensé qu’ils étaient prêts. J’ai pensé qu'il était temps. "

 

Et Kuthumi a finalement acquiescé. Il finit par dire: «Tu sais, je pense que tu as eu raison de faire venir ce dragon maintenant, de le laisser poursuivre ce que l'humain ne peut pas faire. L'être humain ne peut réellement pas changer ses propres croyances et pensées. L'humain, par lui-même, ne peut pas comprendre comment travailler avec de l'énergie. L’humain ne peut certainement pas se pardonner et l’humain ne peut pas réaliser la réalisation. ”

 

Et j'ai dit: «Tu sais, mais ils vont essayer et ils vont essayer et ils vont essayer, et ils vont essayer si fort et ils vont penser qu'ils font quelque chose de mal parce que cela ne marche pas, et ensuite ils se rendront compte que ce n'est pas de leur responsabilité. Ils vont arrêter d’essayer et ils vont enfin permettre. "

 

Kuthumi a dit: «Oui, et tu as beaucoup de Shaumbra têtus et vraiment durs de la tête, beaucoup d'entre eux.

 

Je lui ai dit: «Je sais. J'en ai hérité. » Et je lui ai dit:« Ils vont continuer à essayer, à essayer et à y travailler, et ils vont se fâcher contre moi. Ils ne seront jamais fâchés contre toi, Kuthumi, mais ils se fâcheront contre moi, puis un jour, ils réaliseront: «Ce n’est pas à moi, à l’humain, de faire ça. Ma responsabilité est de faire l'expérience et de permettre. Vivre ce que je vis.» C’est une expérience formidable si vous vous écartez de votre chemin, si vous le permettez. C'est une grande belle expérience.

 

Ce n’est pas à vous de masser l’intérieur, et je parle ici des problèmes. Je parle ici des énergies bloquées et déséquilibrées. Ce n’est pas à vous d’entrer dans le mental et d’essayer de le réparer. Vous ne pouvez pas. Vous. Ne. Pouvez. Pas. Non, pas du tout. Mais vous continuez à essayer. Pourtant, vous continuez à y aller. Pourtant, vous continuez à aller dans cette jungle du mental et à essayer de la démêler, et vous ne pouvez pas. Vous ne pouvez pas. Et c’est la raison pour laquelle le dragon est entré.

 

 

Le Dragon

 

Le dragon, en passant, nous utilisons le terme «dragon». C’est un terme ancien et c'était bien avant que les humains ne le popularisent en tant que créature avec des écailles et des ailes et qu'il ne crache le feu et tout le reste. Dragon signifie simplement : clarté absolue, pureté. C’est tout ce que cela signifie. Et vous pouvez l’imaginer comme cet animal cracheur de feu. Vous pouvez l’imaginer comme un biscuit aux pépites de chocolat, ça n'a pas vraiment d'importance. Mais c'est une clarté absolue, et cela vient du Je Suis. Cela n'a pas d'énergie. Il n'y a aucune énergie dans le dragon quelle qu’elle soit. L'humain  aime penser qu'il a beaucoup d'énergie. Il n’en a pas besoin. Pour ce qu’il fait, il n’en a pas besoin et c’est mieux sans elle.

 

Le dragon est responsable de la réorientation de votre façon de travailler avec l’énergie. Le dragon est responsable de l'élimination de l'énergie morte qui est dedans. Vous avez beaucoup d’énergie, mais c’est de l'énergie morte. Le dragon élimine ça. On vous demande seulement de permettre.

 

Le dragon entre en jeu maintenant parce que vous ne pouvez pas réparer votre mental de l'intérieur de votre mental. Vous ne pouvez pas réparer votre biologie à l'intérieur de votre corps ou de votre mental pour le moment. Vous ne pouvez pas.

 

Vous allez essayer. Vous allez essayer de vous pardonner. Vous allez essayer de faire toutes ces autres choses. C’est futile. Ça ne marchera pas. Vous pouvez essayer de vous améliorer et cela ne fonctionnera pas, parce que vous avez une perspective ou une conscience très limitée lorsque vous le faites. Vous imposez donc une limitation à la limitation et donc, vous n'obtenez rien. C’est comme, vous savez, additionner ensemble -3 + -2, qu'est-ce que vous obtenez ? Moins 5. C’est donc comme l’humain qui essaie de réparer ses propres pensées et même de réparer son propre corps. Vous ne pouvez pas.

Pour le moment, la prochaine grande chose à laquelle nous allons nous intéresser, c'est le corps vivant, le corps d’énergie libre. Je n’aime pas le terme  «corps de lumière» pour de nombreuses raisons - je pense qu'il a été mal utilisé et manipulé - et donc j’utilise le terme «corps vivant» ou «corps d’énergie libre».

 

Ali, cela va remplacer ce corps si vous laissez faire, et vous continuez à essayer de gérer le processus et vous le faites dans le mental humain, dans les limites humaines, dans les vieux schémas qui vous font souffrir physiquement et cela ne fonctionne pas. Vous allez finir par être une épave physique si vous continuez à essayer. Si vous le permettez, cela se fera tout seul. Votre corps vivant, votre lumière, votre corps d’énergie libre entreront en jeu. Mais vous l’entendez maintenant et vous allez retourner directement à ce que vous faisiez auparavant. Vous allez recommencer à vous inquiéter pour votre corps, à vous demander ce que vous devriez faire pour lui, qu’il s’agisse d’un médicament, d’un complément ou d'une pensée. Vos pensées aggravent encore votre corps, parce qu’elles proviennent d’un lieu d’énergie morte, d’énergie ancienne et cela ne va pas fonctionner.

 

Permettre et expérimenter, c’est tout. Dégagez de votre chemin. C’est pourquoi le dragon est venu dire: «Je vais le faire pour toi. Je vais trouver ce genre de choses ", parce que tu ne les trouveras pas tout seul. C'est si joliment caché par l'humain. Vous n'avez pas réalisé que ce qui pousse une personne à se détourner de son chemin, c'est une énergie intense. Vous auriez continué sans arrêt dans votre tête avec tous ces trucs de makyo (illusions, croyances etc). L'énergie est trop intense. C'est tout. Le dragon vous dira cela, ou le Maître, quel que soit le nom que vous lui donnerez. Mais, chers humains, nous arrivons à ce point maintenant, ce point de dire: «Permettez-le et faites-en l'expérience. Et dégagez de votre chemin."

 

Il y a un processus de transformation qui est en train de se produire actuellement dans votre corps - je veux dire, maintenant, en ce moment même - en le faisant passer d'une ancienne biologie à un corps vivant, un corps d'énergie libre, très, très élégant et vivant. Et peu importe combien vous essayez de comprendre comment l’électricité passe par le fil et peu importe combien vous essayez de le disséquer, vous ne pourrez pas le faire.

Tout d’abord, votre mental ne comprendra jamais ce qui se passe en ce moment, et même si c’était le cas, vous ne pourriez pas affecter ce qui se passe en ayant une compréhension technique de la transformation d'une biologie biologique basée sur l'ADN en un véritable corps d’énergie libre qui est à vous tous. Le mental ne peut pas le faire, mais pourtant c’est en train de se produire. Cela se passe pendant que je parle en ce moment. Cela se produit à tous les niveaux en vous, et cela continuera à se produire si vous le permettez et que vous en faites l’expérience et que vous cessez de penser cela.

 

Arrêtez d'essayer de faire en sorte que ça arrive. L’humain ne pourra jamais, jamais, réaliser la Réalisation - penser son chemin en elle, étudier son chemin en elle ou discipliner son chemin en elle - jamais. Il y a beaucoup de soldats morts sur le chemin de la Réalisation. Ce sont ceux qui ont insisté pour le faire eux-mêmes, alors qu'ils n'avaient qu'à le permettre. C’est là où nous allons maintenant.

 

Vous en avez marre de parler de "Permettre" tout le temps, et vous dites: «Oh, je permets.» Vous ne le faites pas. Vous le faites à votre manière. Et j’ai demandé au dragon de venir vous montrer à quel point vous êtes sur votre chemin.

 

Je reçois ça tout le temps - «Oh, je sais permettre. Je permets tous les jours »- et je suis comme : vous êtes une garce qui contrôle tout! (quelques rires) Comme : vous ne permettez pas. Tout ce que vous faites est de prendre ce mot, ce mot sacré «Permettre», de le mettre dans votre mental et de le laisser manipuler par le mental. Vous le contrôlez. Vous prenez l'autorité sur lui. Il est temps de laisser aller.

 

Il y a un grand jeu en cours, un grand jeu, et il suffit de se rendre compte que le jeu est en cours et de le permettre et de le vivre, mais arrêtez d'essayer de le contrôler. Et le jeu est ici.

 

 

Le Pays du Bleu

 

Vous savez, il y a quelque temps, j'ai parlé de cette histoire, de la Terre du bleu (dans Mémoires du Maître). Il fut un temps où tout le monde avait toutes les couleurs. Ils étaient conscients des verts et des jaunes, et ils allaient jouer dans chacune d’elles. Ils ont joué dans les roses, les rouges, les oranges, les ors, les noirs et les blancs. Ils ont joué dans toutes les couleurs, mais vous savez, ils ont vraiment été fascinés par le bleu. Il y a eu une sorte d'obsession pour le bleu.

 

Alors, à un moment donné, les gens ont commencé à virer au bleu. Leurs maisons ont commencé à virer au bleu. L'herbe et - eh bien, le ciel était bleu - mais l'herbe et bientôt leurs voitures étaient bleues. Très vite, leur nourriture était bleue et tout était bleu. Certes, il y avait un peu de variation dans les nuances de bleu, mais à la fin de la journée, tout était encore tout bleu. Ils étaient si profondément immergés dans le bleu qu'ils ont vite oublié qu'ils avaient d'autres couleurs. Et puis, leurs enfants sont nés bleus, bien sûr, et… (quelques rires). Suivez l'histoire ici. Leurs enfants sont nés tous bleus et les enfants ne savaient même pas qu'il y avait d'autres couleurs. Et il n'y avait pas de livres écrits sur les autres couleurs, car ils avaient tous été jetés et que tout était bleu.

 

Eh bien, il y avait une usine bleue où ils distribuaient des couvertures bleues et des oreillers bleus et elle était dirigée par un patron bleu, et ce patron bleu - oh! - Quel désordre. Quel gâchis, et il avait beaucoup d'employés bleus. Mais il était dans un sale pétrin parce qu’il essayait de gérer ce groupe de travailleurs et l’équipement. L'équipement était toujours en panne et les travailleurs toujours malades. Ils avaient le blues (rires). Vous saviez que ça allait arriver. Vous saviez que ça allait arriver. Et ils étaient difficiles à vivre et à gérer, et il était dépassé. Je veux dire… (quelques rires). Qu'alliez-vous dire?

LINDA: Il l'a soufflé!

 

ADAMUS: Il l'a soufflé, bien (rires). Il a sucé le job (l'audience dit «Ohhh!»).

 

LINDA: Non, j'ai dit "soufflé!"

 

ADAMUS: J'étais en train de canaliser l'un d'entre vous là-bas. Je ne sais pas lequel. Vous vous cachez maintenant, mais… (Adamus rit). Vous voyez, dans un petit moment de permission et de rire, une certaine distraction - peut-être pas élégante, mais c'était une distraction - vous avez laissé quelque chose entrer, vous avez laissé quelque chose se produire.

 

Ainsi de suite avec l'histoire. Donc, le patron bleu était dépassé, et il n'était pas un bon manager. En réalité, il n'était pas vraiment quelqu'un de bien. Il savait que tout était sur le point de s'effondrer, mais il essayait de garder le cap, et il le faisait avec division, laissant tout le monde craindre tout le monde et le craignant, gardant l'information de tel groupe et de tel autre groupe. Au lieu de réunir tout le monde et de gérer une jolie petite entreprise bleue, il a poussé tout le monde à prendre des directions différentes. Et c'était sa distraction pour être un mauvais manager. Et, vous savez, les clients téléphonaient pour se plaindre de leurs oreillers bleus, ils étaient tous déchirés et déchiquetés ou sentaient mauvais, ou quoi que ce soit, et il y avait toujours de l'impolitesse. Vous savez, il enseignait le service client à être impoli avec le client et c'était tout simplement horrible. Il savait que tout s'effondrait, mais il refusa de l'admettre. Il savait que tout était sur le point de se terminer, que sa grande mascarade bleue était terminée.

 

Son identité était confinée au patron, au manager, contrôlant tout, faisant tout, travaillant tout. Il travaillait beaucoup d'heures, parce que c'est ce que font les patrons bleus; Il travaillait beaucoup d'heures, juste pour faire avancer les choses, mais il savait que quelque chose n'allait pas du tout. Tout allait se terminer.

 

Et puis un jour, un mystérieux étranger s’est présenté à la porte et, pour le patron bleu, cet étranger a semblé être bleu, mais en réalité, le patron a appris plus tard que ce n’était pas du tout le cas. Il était en fait très clair. Un mystérieux inconnu s’est présenté à la porte un jour et a dit: «Je prends le relais."

 

Le patron bleu a dit: «Qui diable êtes-vous?" Et il a répondu: "Je suis le Dr Agone et je prends le relais ici. Et la première chose que nous allons faire, c’est que nous allons faire sauter cette usine. "

 

Eh bien, c'est arrivé. Le Dr Agone est arrivé, a fait sauter toute l’usine, et quand il l'a fait, tout à coup, ça a brisé ce tissu d'énergie serré qui gardait tout bleu, qui gardait tout petit et limité. Tout a explosé et, bien sûr, le patron bleu était abasourdi. Il était responsable du contrôle de l’usine et tout à coup, elle a explosé. Il n’y avait plus rien.

 

Et alors qu'il marchait parmi les ruines fumantes, des ruines bleues, il baissa les yeux et vit quelque chose d'assez étonnant. C'était une petite tache d'or. Au début, il pensait que c’était une illusion, qu’il inventait cela, puis il a vu quelque chose qui semblait un peu vert et quelque chose d'un peu plus rouge. Et il se dit que pendant tout ce temps, pensant gérer et exploiter l’usine bleue, il ne faisait que limiter les choses, tout en gardant les choses confinées, limitées et bleues. Et il a fallu qu’arrive cet inconnu mystérieux pour tout détruire, mais le chef bleu s'est assis et a réalisé qu’en réalité, la seule chose qui avait été détruite, c’étaient les limitations. La seule chose qui a été détruite était toute la croyance, tout le contrôle, toute la pensée: "Je dois le faire."

 

Alors qu'il continuait de marcher parmi les ruines, il réalisa qu'il y avait toute une gamme de couleurs. Et puis, il est allé trouver le cher Dr Agone et lui a dit: «Comment pouvons-nous remettre cela ensemble pour que je ne doive pas tout contrôler, que cela puisse fonctionner tout seul et qu’il y ait une myriade de couleurs. Toutes les couleurs. Comment pouvons-nous ramener toutes les couleurs dans ce pays de bleu?

 

Le Dr Agone a déclaré: «Cela revient naturellement. Il n'y a rien que vous ayez à faire. Je veux juste que vous restiez assis ici et regardiez ce qui se passe. C'est tout. Observez-le, voyez-le, mais écartez-vous, parce que cela va arriver. »Et cela s’est produit.

 

Soudain, le patron bleu n'était plus seulement tout bleu. Les couleurs avaient changé. Il avait beaucoup de couleurs à ce moment-là, et quelques personnes ici et là ont commencé à remarquer: «Il a des couleurs. Il porte des jeans, bien sûr, mais il a une chemise blanche, un chapeau rouge et des chaussures vertes. »Et pas tout le monde, pas tout le monde, mais tôt ou tard, ils ont commencé à réaliser, quelques-uns ici et quelques-uns là, puis plus et de plus en plus, et tout à coup, il y a eu des naissances, des bébés sont nés et ils n'étaient pas bleus.

 

Les gens ont d'abord pensé que c'était très étrange, très bizarre, mais les bébés étaient nés et ils étaient multicolores. Et tout un changement a balayé le pays du bleu et cela n’a pas demandé très longtemps pour que tout revienne à l’énergie vivante, à la pleine couleur. Et bien que le patron bleu ait eu du mal à lâcher prise et qu’il ait détesté le Dr Agone - je vais l'épeler, d-r-a-g-o-n-e (quelques rires); Je n’aurais pas dû le dire, j’aurais dû vous le laisser deviner, mais il nous reste quelques minutes précieuses - il a remercié le bon médecin. Il a remercié le médecin d'être venu et d'avoir détruit toute l'usine. Il a remercié le médecin. Oui, dragon, docteur, hein. Oui, docteur, dragon, hein. Ouais. Nous devrions peut-être… nous n’avons aucune de ces choses sur lesquelles écrire. Ouais, juste dragon.

 

C’est ce qui vous arrive en ce moment. Il fait tout exploser. Observez, observez et réalisez que c’est le plus beau des cadeaux. Vous sortez du pays du bleu. Vous avez essayé de lutter, vous avez essayé de le gérer, vous avez essayé de superviser tous ces aspects et essayé de les contrôler. C'était le chaos. C'était la pagaille. Il était temps que cela s’en aille.

 

Mettons un peu de musique et terminons notre journée avec un merabh. Terminons notre journée avec un petit Dr. Agone qui arrive tout de suite. Oh, il le fera, elle le fera.

 

 

Pourquoi Êtes-Vous Les Premiers?

 

Tamisons les lumières et, eh bien, je ne sais pas si je vais appeler cela un merabh, mais nous allons avoir quelque chose ici.

 

(la musique commence)

 

Je ne saurais trop insister auprès de vous tous maintenant sur l’importance de simplement permettre et expérimenter.

 

L'humain n'est pas responsable de son illumination ou de son corps de lumière. Il n’est pas responsable de son intuition. Il n'est même pas responsable de sa nouvelle relation avec l'énergie. Nous en parlerons, nous en discuterons les tenants et les aboutissants, mais l’humain n’en est vraiment pas responsable.

 

(pause)

 

Je me demandais s'il fallait en parler ou non, maintenant, tôt ou tard, mais je me demandais si je devais le faire.  Mais allons-y. Pourquoi se retenir?

 

(pause)

J'ai un terme que j’utilise pour vous, pour Shaumbra. C’est en fait un terme d'affection, mais vous ne le pensez peut-être pas au début.

 

Ayons un peu plus de musique. J'ai besoin de quelque chose pour adoucir le choc ici (quelques rires).

 

Je vous appelle les Headbangers Atlantes (rires). Non vraiment. Oh, pour une bonne raison.

 

(pause)

 

Il fut un temps où le mental ne régnait pas en maître. Il fut un temps où le pays du bleu n’était pas seulement bleu. Il était beaucoup de choses. Il fut un temps où le mental ne contrôlait pas tout, ne limitait pas tout.

 

Viennent ensuite les Headbangers, ceux qui ont pris l'énergie, beaucoup d'énergie très intense, et l'ont mise dans le mental des humains de telle sorte qu'elle fut transmise à leurs enfants et à leurs enfants, transmise de génération en génération.

 

Les énergies étaient si intenses dans le mental que le mental devint bleu. Même si toutes les autres couleurs étaient présentes, le mental ne pouvait percevoir que le bleu.

 

Et vous, que j’appelle les Headbangers Atlantes, étiez ceux qui faisaient vraiment partie de ce travail. Ce n'était pas malveillant. Ce n’était pas fait avec de mauvaises intentions. Cela a été fait pour essayer de faire de nous tous une Communauté de l'Un à travers le mental, à travers la conformité.

 

Mais en fin de compte, ce que cela a réellement fait, ce n’est pas seulement créer une focalisation excessive du mental, mais également une telle croyance en la séparation, presque une croyance - qui ne pourrait jamais être effacée- en la séparation de vous-même, de votre corps, de votre Esprit même. Les énergies intenses qui ont été mises dans le mental des humains, et il n'en a pas fallu beaucoup, d'ailleurs. Il n'en a pas fallu beaucoup. Ils n’ont pas eu besoin de voir tout le monde à Atlantis. Il n'en a pas fallu beaucoup, mais ça a créé que tout devienne bleu.

 

Je suppose que vous pourriez appeler cela l'unité. J'appelle cela la limitation extrême et la séparation.

 

Les Headbangers, ceux qui sont entrés et qui ont créé cette séparation, cette limitation, et les humains ont vécu avec elles depuis. D'une certaine manière, cela servait à quelque chose. C'était l'expérience du Je Suis, d'être séparé.

 

Eh bien oui, le Je Suis voulait faire l'expérience de cela, vous savez. Il ne voulait pas simplement faire l'expérience de lui-même, mais faire l'expérience de la séparation.

Donc, d’une certaine manière, vous, les Headbangers, avez fait une chose merveilleuse: créer une telle beauté de la séparation. Mais c'est presque comme si c'était scellé à l'intérieur et il n’y a qu’une seule chose qui puisse l’ouvrir, et ce n’est pas vous. Ce n’est pas l’humain. Ce ne sont pas vos pensées. Vos pensées vont devenir de plus en plus bleues, à mesure que vous essayez de franchir cette barrière. Vous ne pouvez pas le faire.

 

Vous ne pouvez pas le faire. Mais cet inconnu mystérieux se présente, ce Dr. Agone, le dragon. Ça va le faire.

 

Oui, vous pourriez argumenter philosophiquement que c’est vous, mais, de façon réaliste, ce n’est pas l’être humain qui va entrer en jeu.

 

Vous savez, dans l’histoire du patron bleu qui essaie de tout contrôler, mais qui sait que tout va s’effondrer, le dragon va entrer et, bon, déchirer les choses.

 

Le dragon va vous ramener à l’Énergie Vivante, parce que vous savez que lorsque tout est devenu bleu, l’énergie est devenue épaisse, dense, presque comme si elle n'était plus vraiment vivante.

 

Le dragon va venir faire sauter tout ça pour que l’énergie revive.

 

Alors, chers Headbangers Atlantes, regardez tous ce que vous avez fait.

 

(pause)

 

Vous devez être les premiers à traverser cela - appelez cela le chemin spirituel ou quelque chose du genre - vous devez être les premiers à passer par là, parce que vous êtes ceux qui ont tout peint en bleu pour commencer.

 

C’est votre massion. C’est juste là.

 

Prenons une profonde respiration ensemble.

 

Vous, chers humains, c’est à vous de faire l’expérience et de permettre. C'est tout.

 

Laissez le dragon entrer et faire le travail. Laissez-vous revenir à l’Énergie Vivante. Laissez-vous aller du bleu à l'éventail complet des couleurs qui ont toujours été là, puis aux nouvelles couleurs qui arrivent. Mais s'il vous plaît, arrêtez d'essayer de le faire vous-même.

 

Arrêtez d'essayer de le contrôler, de le gérer et de le penser. Vous ne pouvez pas.

 

Je veux que vous regardiez vraiment ça. Regardez-vous, chers humains. Vous ne pouvez pas le faire. Vous ne pouvez pas vous pardonner et efficacement, vous ne pouvez pas vous changer vous-même.

 

Mais vous pouvez permettre… et ensuite vous laisser vivre l'expérience de ce que c'était. C'est tout.

 

Prenons une profonde respiration ensemble dans la glorieuse beauté de ce jour.

Mes chers Headbangers Atlantes. Ne vous sentez pas coupables. C’est… eh, juste recevoir le pardon. Ne partez pas maintenant en vous faisant souffrir pour cela. Je vais expliquer davantage à ce sujet dans les prochains Shouds, un peu sur ce qui s'est passé et sur la façon dont nous allons inverser cela.

 

Prenons une bonne respiration profonde ensemble.

 

Juste une dernière note en ce jour : Quelqu'un pourrait-il faire quelque chose pour honorer Kuthumi? (quelques rires) Il se sent si mal.

 

Sur ce, mes chers amis, Je Suis ce que je Suis, Adamus, au service d'un groupe tapageur de Headbangers (quelqu'un crie «Woo hoo!» Et applaudissements du public).

 

Et rappelez-vous que tout est bien dans toute la création. Je vous remercie. Je vous remercie.

 

 

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