Quatorze

Quatorze

SHOUD 3 - Série ILLUMINATION- Adamus De Saint Germain canalisé par Geoffrey Hoppe, le 16 Décembre 2023

 

 

 

ADAMUS SAINT GERMAIN

 

 

LES MATERIAUX DU CRIMSON CIRCLE

 

Série: ILLUMINATION

 

SHOUD 3

 

Adamus Saint Germain, canalisé par Geoffrey Hoppe, assisté par Linda Hoppe,

 

Présenté au Crimson Circle le16 Décembre 2023

 

www.crimsoncircle.com

 

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NOTE IMPORTANTE: Ces informations ne vous concernent probablement pas, à moins que vous ne preniez l'entière responsabilité de votre vie et de vos créations.

 

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Pour profiter pleinement de toutes les énergies, Vous pouvez visionner en Anglais, la vidéo du  SHOUD 3 ou simplement l’écouter, tout en lisant l’Interprétation ci-dessous.

 

 

 

 

 

*****

 

 

Respiration d’Introduction de Linda

 

 

 

 

 

A nouveau, Bienvenue !

 

Nous sommes ici maintenant, pour le Shoud, de la série Illumination.

 

Nous sommes en décembre 2023 et c'est une joie d'être ici avec vous.

 

Nous avons ce beau public et vous en ligne du monde entier.

 

 

 

Vous pouvez ressentir bzzz, tous les points de lumière, de partout dans le monde.

 

Merci d'être ici avec nous.

 

Et maintenant, il est temps de se préparer.

 

 

 

 

Geoff fait venir Adamus.

 

Et ainsi, pendant qu’il fait cela… Il est très important que nous commencions par une respiration profonde et consciente.

   

C’est un moment où nous nous arrêtons et respirons avec Présence, respirant dans ce Moment Présent.

 

 

 

Prenez cette bonne respiration profonde et laissez les énergies circuler.

Sentez-vous ouvert aux plus hauts potentiels ; nous tous, chacun de nous.

 

Respirez dans ce moment présent.

 

 

 

 Respirez le Je Suis ce que Je Suis. J'Existe.

 

Respirez cela. Sentez-le.

 

Respirez dans votre âme, au plus profond de vous.

 

 

 

Prenez une bonne et profonde respiration.

 

Soyez les bienvenus, ressentez cette énergie.

 

Prenez une bonne respiration profonde alors que nous entrons dans le Shoud.

 

 

 

 

 

 

*****

 

ADAMUS DE SAINT GERMAIN

 

 

 

 

Je suis ce que je suis, Adamus du Domaine Souverain.

 

Ah ! Prenons une bonne respiration profonde avec cette ouverture pour le Shoud (rires alors qu'Adamus fait référence à cette vidéo). Tout est là. Tout est là, vous savez, tout le Shoud. Nous pourrions nous arrêter là, prendre le reste de la journée, faire la fête, nous amuser. Vous savez, la vie est un peu comme ça. Tout est là. Tout est téléchargé. C'est tout... (Adamus rit)Venez, Kerri !

 

 

 

KERRI : Quelque chose pour vous (elle lui tend son café et son gâteau).

 

ADAMUS : Merci beaucoup, m-… ça a l'air délicieux. Qu'est-ce que vous avez pour moi aujourd'hui ?

 

KERRI : C'est un gâteau au rhum préparé par Vanessa.

 

ADAMUS : Oui.

 

KERRI : Et mon café préparé avec Joanne et Marcus. Nous avons préparé ce café tous les trois ensemble.

 

ADAMUS : Je suis tellement impressionné et flatté (quelques rires). Je vous remercie. Merci, merci. Un problème cependant.

 

 

KERRI : Oh.

 

ADAMUS : J'ai besoin de 12 tasses de café supplémentaires.

 

KERRI : Pour de vrai, pour de vrai ?

 

ADAMUS : Ouais. J'ai invité quelques personnes spéciales...

 

KERRI : Allez-vous les mettre sur le tapis ?

 

ADAMUS : J'ai invité quelques personnes spéciales aujourd'hui. Nous avons prévu une journée spéciale et ils aiment le café autant que moi. Nous avons Tobias et Kuthumi. Nous avons Sart et FM, DocCe, Caroline et bien d'autres qui nous rejoignent aujourd'hui. Et vous savez, je ne veux pas être le seul à boire, si vous voyez ce que je veux dire.

 

 

 

 

KERRI : Parce que nous pourrions faire une tournée de verres.

 

ADAMUS : Ouais. Ils prendront les leurs, c’est vrai (rires). Alignez-les dans l’autre pièce. Alignez-les, puis laissez-les entrer ici.

 

KERRI : Oh. Laissez-les – alors que suis-je censée faire ? Dites-moi ça …

 

ADAMUS : Des verres. Des verres. Je suis sûr que …

 

KERRI : Vous êtes sérieux ?

 

ADAMUS : … vous avez de la liqueur Saint-Germain ?

 

KERRI : Oui, monsieur, j’en ai.

 

ADAMUS : Douze verres.

 

KERRI : Douze verres! J'arrive!

 

 

 

 

ADAMUS : Oui. Bien.

 

KERRI : Est-ce que je les ramène ?

 

ADAMUS : Oh, ils les boiront là-bas.

 

KERRI : Oh, ils vont rester avec moi dans la cuisine ?

 

ADAMUS : Oui, c'est ça.

 

KERRI : D'accord, j'ai aussi besoin d'aide pour faire la vaisselle, d'accord ?

 

ADAMUS : Ils ne font pas la vaisselle (plus de rires).

 

KERRI : Eh bien, Marcus peut aider.

 

 

 

 

ADAMUS : Alors, prenons une grande respiration avec cette ouverture, pendant que je prends une gorgée de café. Linda, voulez-vous du gâteau ?

 

 LINDA : Non, merci.

 

ADAMUS : Mm. Donc, tout est téléchargé. Tout est là. L'essence …

 

LINDA : Je ne pourrai pas supporter plus de douceur (quelques rires).

 

 

 

 

ADAMUS : L'essence de tout ce que nous allons faire aujourd'hui, et maintenant nous allons la dévoiler. Nous allons juste la démêler. Nous allons passer par l'expérience. Je suis sûr que la plupart d’entre vous ont ressenti un petit quelque chose pendant que la musique jouait et les douces scènes projetées. Cela évoque quelque chose. À défaut d'autre chose, peut-être juste « Ahh ! » comme nous en avons parlé dans notre dernier Shoud. Un peu de calme, un peu de silence. Vous savez, c'est cette période de l'année. Le moment pour se détendre. Cela a été une grande année, une année énorme, et tout était là.

 

 

 

 

Maintenant, comment allons-nous y arriver ? Comment allons-nous télécharger tout cela ou en faire l'expérience maintenant et intégrer le tout à la fin ? C’est vraiment très profond, parce que c’est un peu ainsi que se déroule la vie. En fait, vous le créez – parfois dans les autres royaumes, parfois ici, mais vous créez toute cette énergie – et ensuite vous sortez et vous en faites l'expérience. Tout est là.

 

Maintenant, je vais préciser deux choses, pour commencer. Aujourd’hui, nous allons nous concentrer sur la lumière – sur la lumière. Nous avons eu de merveilleuses discussions à la Villa Ahmyo au sujet de la lumière, et aujourd'hui nous allons en parler davantage. Je vais réprimander les Shaumbra...

 

LINDA : Oof !

 

 

 

 

ADAMUS : … dans une certaine mesure, parce que parfois vous avez tendance à rendre les choses très, très difficiles pour vous-mêmes.

 

Mais je veux que vous vous souveniez de ce moment. La musique jouait. Vous vous êtes détendus pendant un moment. Vous êtes sortis de la tête, la plupart d'entre vous, et vous vous êtes simplement laissé tomber dedans, et c'était une belle chose. C'était facile. Vous n’aviez pas besoin d’y travailler. Tout était fait pour vous. C'était de l'énergie qui vous servait. Et maintenant, nous allons revenir en arrière, parcourir l'expérience qui nous a permis d'y arriver.

 

Alors, inspirons profondément notre sujet d’aujourd’hui : la lumière – la lumière.

 

 

 

Vous êtes ici sur la planète pour plusieurs raisons assez fondamentales. Ce n'est pas très difficile à comprendre. Vous êtes ici pour rayonner votre lumière. C'est tout. Nous en avons parlé à maintes reprises, mais je vais le répéter. C’est le point le plus critique, le plus important et le plus essentiel que cette planète ait jamais connu au cours de toutes vos vies. Et je sais que vous ne vous réveillez pas nécessairement le matin en pensant : « C'est vraiment important », parce que vous vous inquiétez pour d'autres choses. Mais c'est le cas. C'est énorme, et ça se passe très, très bien. Je n'aurais pas forcément pu dire cela il y a dix ans ou même il y a deux ans. Il y avait beaucoup de – heh! – de doutes quant à l'évolution de la situation /à la direction que prendraient les choses. Mais il y a suffisamment de lumière sur la planète en ce moment pour que tout finisse par changer, et je ne parle pas d'un long, long, long moment.

 

 

 

 

Je prends en compte les prochaines– Cauldre ne veut pas que je donne des chiffres (quelques rires), mais permettez-moi, Cauldre – vraiment, vous allez le voir dans les 15, 20 prochaines années sur la planète. Il y aura bien sûr quelques difficultés pour y parvenir, parce que les humains n'aiment pas vraiment le changement. Et il y a beaucoup d’anciens acteurs du pouvoir sur la planète qui tentent de tenir le coup/ qui essaient de s'accrocher, mais ils n’y parviendront pas. Ils ne le peuvent pas. Les choses vont changer sur cette planète. La lumière même que vous apportez va changer la situation au point que les canailles ne pourront tout simplement pas supporter l’éclat de la lumière. Ils s'en iront d'eux-mêmes, et cette planète deviendra la planète de l'amour, de la sagesse et de la lumière, et cela - je peux le sentir. C'est comme… (Linda commence à applaudir). Merci, une main ! (Adamus rit). Ouais. Tout le monde dit : « Bon sang ! » (Le public se joint maintenant aux applaudissements)

 

LINDA : Enfin.

 

 

 

ADAMUS : Nous nous déplaçons ici.

 

Maintenant, je sais que tout de suite, certains d’entre vous doutent et disent : « Mais regardez les nouvelles. » Je le fais. Nous le faisons au sein du Crimson Council. Nous évaluons les énergies de la planète. Nous les mesurons en permanence et, oui, vous traversez des troubles /des turbulences, et il y a des guerres très regrettables et des déséquilibres injustes. Mais la situation évolue. Alors, au moment où nous ouvrons le Shoud d’aujourd’hui, je veux prendre un moment pour rassembler tout le monde, pour laisser votre lumière rayonner.

 

Maintenant, je ne suis pas un grand fan de l'idée de rassembler tout le monde, pour : « Faisons une expérience de groupe Shaumbra kumbaya mondiale » parce que c'est vraiment très, très personnel. C’est très personnel. Mais je pense que le moment est venu de le faire. Vous êtes ici sur la planète pour faire briller votre lumière et en même temps pour profiter de votre vie.

 

 

 

 

Je vais en parler dans un instant, mais je ne tolère vraiment plus que vous ne profitiez pas de votre vie. J'en ai assez. Cela ne vous va pas bien. C’est un vieux jeu et je vous appellerai là-dessus. Ce n’est plus nécessaire. Vous êtes dans de vieux schémas qui vous ramènent sans cesse à la réalité.

Je l'appelle la Malédiction des Shaumbra, et nous allons en parler aujourd'hui. Et il est temps de s'en débarrasser.

 

 

 

 

 

Faire Briller Votre Lumière

 

Mais avant de faire quoi que ce soit d’autre, mettons un peu de musique de type merabhy, respirons profondément et faisons ce que vous faites de mieux. Laissez briller votre lumière.

 

(la musique commence)

 

Respirez profondément.

 

(pause)

 

Maintenant, certains d’entre vous pensent : « Eh bien, ma lumière est faible. » En fait, ce n’est vraiment pas du tout le cas. Ou « Ma lumière est sale. Je dois nettoyer la lentille du phare. » Ce n'est pas le cas.

 

J’ai vu certains d’entre vous s’abstenir de laisser briller leur lumière parce qu’ils pensent qu’ils envoient des toxines dans le monde, leurs déchets. Ce n'est pas le cas.

 

 

 

 

Non. Lorsque vous laissez simplement briller votre lumière, cela ne demande aucun travail. C’est un peu comme permettre. Permettre ne devrait pas être difficile, mais les Shaumbra rendent parfois les choses difficiles. Mais en laissant votre lumière rayonner, quelque chose se produit. Vous allez directement au cœur, directement à votre essence. Vous évitez tous les déchets, tout le bruit, parce que vous savez que c’est le plus grand service que vous puissiez rendre.

 

Alors laissez-la briller.

 

(pause)

 

Et je sais ce qui se passe pour beaucoup d’entre vous, c'est que vous vous dites : « Est-ce que ça marche ? » Oui, ça marche. Pourriez-vous s'il vous plaît arrêter d'en douter ? Appropriez-vous cela.

 

Admettez /Appropriez-vous le fait que votre lumière brille.

 

 (pause)

 

 

 

 

Et puis laissez-la rayonner sur la planète.

 

Sans ordre du jour / sans programme.

 

Sans combat.

 

(pause)

 

Vous savez, quand vous entrez dans cette base, cette essence de qui vous êtes et que vous la laissez briller, c’est un sentiment tellement beau, parce que vous faites ce que vous êtes vraiment venus faire ici. C'est très simple. Vous n’avez pas besoin de vous prendre la tête.

 

(pause)

 

C'est ici.

 

(pause)

 

Si vous vous souvenez, avant votre naissance dans cette vie, vous vous prépariez à revenir ici, impatient – ​​impatient de revenir ici, pensant que ce que vous alliez faire était de laisser briller votre lumière. Vous ne saviez pas comment tout cela allait se passer et à quoi cela ressemblerait. Mais bon sang, vous alliez être là pour apporter la conscience.

 

 

 

 

Beaucoup d'entre vous ont revêtu leur – heh ! – armure, pris leurs épées, mis leurs casques, prêts pour la bataille.  Vous avez découvert en cours de route qu’il était temps de retirer cette épée. Maintenant, j'adore l'ancien archange Michel, mais débarrassez-vous de l'épée, vous savez. Elle n’est pas vraiment nécessaire. Cette lumière ici même, celle de nous tous, est bien plus puissante que l’épée. C'est ce que vous êtes venus faire ici.

 

Vous pensiez peut-être qu'il y aurait beaucoup d'efforts à faire, que vous lutteriez contre les ténèbres. Vous et votre lumière ; et maintenant, les démons des ténèbres qui vous entouraient, et que nous aurions une grande, grande bataille, une grande guerre. Non, ce n'est pas le cas. Il s'agit simplement de faire ceci (briller votre lumière).

 

Vous pouvez le faire pendant que vous buvez une tasse de café, en mangeant un gâteau au rhum, ou quoi que ce soit d’autre. Assis dans la baignoire.

 

(pause)

 

 

 

 

C’est cela et c’est en train de changer la planète.

 

Vous voyez, on s’attend, je suppose, à ce qu’il y ait une sorte de force, du tonnerre et des éclairs ou – que se passe-t-il aujourd’hui – vos éruptions solaires et tout le reste. Pas vraiment. De temps en temps, mais c'est un travail plutôt calme.

 

(pause)

 

C'est tellement beau.

 

Et oui, il y a beaucoup de perturbations sur la planète. Mais sans ce que vous et les autres faites, en permettant à votre lumière de briller, ce serait bien pire. À l’heure actuelle, nous traversons simplement une sorte de phase de réajustement sur la planète. De vieilles – (Adamus soupire) – de vieilles guerres arrivant à leur conclusion, de vieilles batailles. Certaines d'entre elles se sont déroulées bien avant la Terre, et maintenant, elles arrivent à leur fin. Elles ne peuvent pas tenir quand il y a autant de lumière.

 

 

 

 

Ressentez votre propre lumière pendant un instant.

 

Je veux que vous sentiez à quel point elle est pure, malgré vos inquiétudes. Prenez juste un moment pour ressentir.

 

(pause)

 

C’est ce qui rayonne dans le monde.

 

(pause)

 

Vous ne pouvez pas le faire si vous avez un agenda /un ordre du jour, si vous vous battez toujours pour des causes, que ce soit les vôtres ou celles de l'humanité, de cette planète. C’est fait, eh bien, avec amour.

 

(pause)

 

Voudriez-vous prendre un moment pour ressentir l’amour qui est dans votre lumière.

 

(pause)

 

 

 

 

L'un des moments forts de mon temps avec les Shaumbra s'est déroulé récemment à la Villa Ahmyo avec un groupe qui s'y est réuni pour ce qu'ils pensaient être Rester dans la Grâce ou tout autre titre que nous aurions trouvé. Et quelques jours avant l’événement, ils ont commencé à ressentir quelque chose de très différent. Certains sont tombés malades et d'autres se sont sentis désorientés, un peu déconcertés, parce qu'ils sentaient que nous n'allions pas parler de rester dans la grâce. Nous en avions déjà parlé. Nous allions parler de l'amour, et nous l’avons fait. Pas en termes édulcorés, mais de l'amour intérieur et de la nature changeante de l'amour sur cette planète.

 

(pause)

 

Et elle est effectivement la planète de l’amour. C'est ici qu'il a été expérimenté pour la première fois. Pas ailleurs. Pas par les Martiens, les Pléiadiens ou les Arcturiens. Pas même par les archanges. Pas par l'Esprit. Cela a d’abord été expérimenté pour la première fois ici, à travers les humains, à travers vous. Et nous sommes maintenant prêts sur cette planète pour l'Amour 2.0, la prochaine itération. Mais quelque chose de tellement plus profond, de tellement plus propre, de tellement plus réel que la direction que prenait l'ancien Amour 1.0.

 

 

 

 

Donc, vous ressentez votre lumière, cette chose que vous rayonnez sur la planète, ressentez son amour.

 

(pause)

 

Et lorsque vous le faites, vous remarquerez peut-être à quel point c’est très différent de l’amour dont vous avez pu faire l'expérience auparavant.

 

(pause)

 

Ce qui est différent dans l'amour 2.0, c’est qu’il ne s’accroche pas. Il n'est pas dans le besoin. Il ne contient aucun élément du virus de l’énergie sexuelle. Il n’exige rien de personne. Il n'est pas conditionnel.

 

 (pause)

 

C’est ce que vous faites briller. Cela passe au-dessus de la tête de certaines personnes. Ils ne vont pas le comprendre. Ils ne s’en rendront même pas compte. C'est tellement différent.

 

(pause)

 

 

 

 

Hum. L'amour 2.0, c’est un peu difficile en fait. Il ne s'attache à rien.

Les humains sont habitués à avoir l’amour avec attachement, donc il va vous sembler presque insaisissable, quand vous voulez l’attraper et vous y accrocher, essayer de lui faire faire certaines choses, mais il ne les fera pas. Il ne s'accrochera  pas. Mais pourtant, il y a une telle beauté en lui, parce qu'il est libre. C'est la liberté.

 

C’est ce que vous faites briller.

 

(pause)

 

C’est une lumière qui contient un nouveau type d’amour. Vous voyez comme c'est facile ?

 

(pause)

 

Non, je ne rassemble pas très souvent tous les Shaumbra de cette façon.

 

(pause)

 

 

 

 

Cauldre me demande « Pourquoi ? » C’est vraiment très simple, parce que je ne veux pas que vous pensiez que vous devez compter sur un groupe ou sur quelqu’un qui rassemble un groupe pour faire ce que vous faites en ce moment. Je ne veux pas que vous pensiez qu'il faille rassembler des gens du monde entier et même qu'il faille y associer une cause quelconque. Non, je veux que vous le fassiez seul /par vous-même, chaque jour ou chaque semaine, cela n’a pas vraiment d’importance, mais seul, en tant qu’être souverain.

 

(pause)

 

Ce qui se passe sur Terre est tellement important pour toute de la création. Je suis très, très contrarié lorsque j'entends des gens parler de la Terre comme d'un endroit perdu – de grands extraterrestres avec leur incroyable sagesse ; vous savez, que vous devez vous tourner vers eux, que vous devez les admirer. Non, ça y est. Cela se passe ici même.

 

Vous devenez des êtres souverains. Vous élevez l’amour à un nouveau niveau qui s'étendra finalement à toute la création.

 

 (pause)

 

 

 

 

Nous, membres du Conseil Crimson, nous observons. Nous n'intervenons pas – ou rarement – mais nous regardons et observons et nous vous rapportons ce qui se passe.

 

Nous avons observé l’évolution de votre lumière depuis le début de l’année. Votre propre lumière. Oh, et je sais que vous oubliez de temps en temps de rayonner consciemment cette lumière. Ce n'est pas grave. Elle est toujours là.

 

L'irradier consciemment, s'asseoir sur un banc de parc ou faire un tour en voiture et laisser simplement briller votre lumière, c'est bon pour vous. Cela vous rappelle à vous. Mais votre lumière brille toujours en ce moment.

 

(pause)

 

Ce dont j’aimerais que vous preniez conscience dans ce beau moment de calme, c'est que l'amour qui vient de vous brille également sur vous. Oui, il brille d'abord sur vous.

 

(pause)

 

 

 

Toute lumière brille sur son créateur avant toute autre chose, avant d’aller ailleurs.

 

Et l’Amour 2.0, eh bien, laissez-le briller sur vous en ce moment. Vous oubliez de le faire. Vous savez, vous oubliez de vraiment reconnaître qu'il brille sur vous.

 

(pause)

 

Eh, s’aimer soi-même, c'est difficile, vraiment difficile. Mais laissez-le briller sur vous.

 

(pause)

 

Je veux dire, sérieusement. Hé ! En ce moment même. Cette lumière que vous diffusez à toute la création, laissez-la briller sur vous.

 

(pause)

 

Elle n'a pas d'attachement. Cela ne fonctionnera pas comme l’Amour 1.0. Elle ne va pas agir comme l'Amour 1.0. Elle sera beaucoup plus propre.

 

 

 

 

Ce nouvel amour ne vous dira pas que vous devez changer vos habitudes, vous améliorer, être digne de son amour. Il ne fait pas cela. Il est toujours là. Mais pourtant, si vous essayez de le contrôler, de le limiter, de le sur-gérer ou quoi que ce soit d'autre, ce ne sera qu'un sentiment fugace, éphémère. Il semblera avoir disparu.

 

Il veut être libre, tout comme vous.

 

Prenons une profonde respiration ensemble avec les Shaumbra du monde entier pour laisser cette lumière briller sur la planète, remplie de votre nouvel amour.

 

Et tandis que vous ressentez cet amour, cette lumière qui émane de vous, laissez-la vous remplir. Laissez-la briller sur chaque partie de vous.

 

(pause)

 

Je ne veux pas qu’un seul d’entre vous ressente à nouveau que vous n’êtes pas digne de votre propre amour.

 

(pause)

 

 

 

 

Prenons une bonne respiration profonde. Une bonne et profonde respiration.

 

C'est très simple. Vous êtes ici pour faire briller votre lumière et pour profiter de la vie.

 

(la musique se termine)

 

Mais ... (quelques rires) c'est là que nous rencontrons un problème (Adamus rit). En général, les Shaumbra sont plutôt doués pour faire briller la lumière. Et, encore une fois, vous pensez que vous oubliez de le faire et vous dites : « Oh, bon sang, je ne l’ai pas fait depuis deux semaines ou un mois » ou quoi que ce soit d'autre. Vous le faites tout le temps. Vous le faites tout le temps. Tant que vous êtes en vie sur cette planète dans votre corps physique, vous le faites.

 

Le problème réside dans cette deuxième partie qui consiste à profiter de la vie. Il semble que nous manquions cette partie. Il nous manque ce : « Oh, et je vais juste en profiter. »

 

 

 

 

 

Revisiter Le Défi D’Adamus

 

Maintenant, si vous vous souvenez, cet été, à l'un des Shouds, nous avons eu une petite discussion sur le fait de se battre, de rendre les choses difficiles, de lutter contre des causes, et de tout le reste et j'ai lancé un défi. J'ai dit que nous y reviendrions à la fin de l'année, et j'ai lancé ce défi : Pouvez-vous surmonter les batailles et les combats ? Pouvez-vous arrêter de vous battre en vous-même ? Où cela vous mène-t-il ? Nulle part.

 

Pouvez-vous arrêter les batailles avec la vie, avec les autres, avec vos familles – probablement pas – mais avec d'autres personnes?

Alors visitons cela aujourd’hui. Linda, au micro s'il vous plaît, et je vais commencer par notre enfant emblématique du combat, Tad.

Tad, depuis… quand était-ce juin, juillet ? Ouais, ouais, s'il vous plaît. Donc vous étiez boxeuse.

 

 

 

 

TAD : (chantant sur l'air de la chanson de Simon & Garfunkel, The BoxerJ'étais juste un boxeur…

 

ADAMUS : Ouais, ils ont écrit cette chanson pour vous. Ouais (quelques rires et elle continue de fredonner la mélodie). Vous n’êtes pas obligée de le chanter, s’il vous plaît (Adamus rit). Donc, vous étiez boxeuse et, vous savez, vous aviez créé une entreprise pour pouvoir boxer encore plus. C'était votre nouveau ring de boxe. Hm ? Ouais.

 

TAD : Oui.

 

ADAMUS : Et je vous ai pris à partie, et vous avez été assez coopérative. Vous avez apporté vos gants au Shoud suivant. Vous les avez rendus. Mais l’avez-vous vraiment fait ?

 

TAD : Oui, je l'ai fait.

 

ADAMUS : Bien.

 

TAD : Oui, je l'ai fait.

 

ADAMUS : Ok. Et maintenant, je dois aller voir Gary. Est-ce qu'elle l'a fait ?

 

 

 

 

GARY : Absolument. Oui.

 

ADAMUS : Oui. Elle vous aurait botté le cul si vous aviez dit autre chose que ça (rires). Non, je vous donne du fil à retordre, mais – oh, voudriez-vous lui donner le micro un instant ? Nous reviendrons vers vous.

 

TAD : Bien sûr.

 

ADAMUS : Mais comment a-t-elle fait ? Qu’avez-vous observé dans tout cela ?

 

GARY : Elle n’a pas lutté contre ce qui se passait.

 

ADAMUS : En effet.

 

GARY : Elle a laissé faire et est passée à l'étape suivante.

 

 

 

 

ADAMUS : Mais si vous ne vous battez pas, surtout dans le cas d'une entreprise/ d’une start-up  en démarrage– vous savez, il y a toute la pression et la dynamique, l'argent, la fabrication, le marketing et tout le reste - si vous ne vous battez pas, cela va tout simplement vous submerger, n'est-ce pas ?

 

GARY: Pas nécessairement.

 

ADAMUS : Oh, vraiment ?

 

GARY : Vous le laissez venir à vous.

 

ADAMUS : Wow, quel concept. Je pense avoir déjà entendu ça auparavant (Adamus rit).

 

GARY : Ouais. Ouais.

 

ADAMUS : Oui. Alors, quels changements avez-vous constatés personnellement chez Tad ?

 

 

 

 

GARY : Plus détendue, plus ouverte à tout ce qui se passe autour d’elle.

 

ADAMUS : Plus facile à vivre?

 

GARY : Absolument, oui (ils rient). Ouais.

 

ADAMUS : Bien. Et maintenant, comment se porte l’entreprise ?

 

GARY : Elle y arrive. Elle avance. Les choses n’évoluent pas nécessairement au rythme que la plupart des gens souhaiteraient, mais elles évoluent à leur rythme naturel.

 

ADAMUS : Parce que, vous savez, rien de tout cela ne concerne vraiment l’entreprise ou le produit.

 

GARY : C’est vrai.

 

 

 

 

ADAMUS : Ce n’est vraiment pas le cas. Et, vous savez, l’objectif, l’attente, c’est : «Ok, si je suis un bon créateur, l’entreprise sera en bourse l’année prochaine », ce genre de chose. L'entreprise n'avait rien à voir avec les haricots, pour ainsi dire, littéralement. Il ne s'agissait pas de cela. C'est l'expérience qui compte. Maintenant, si l’entreprise se porte bien, tant mieux. Mais peut-être pas. Peut-être qu'elle vous distrait. Mais il s’agissait de savoir : comment arrêter la bataille ? Comment laissez-vous les choses venir à vous ?

 

GARY : Ouais. Ouvrez-vous simplement à la passion qui est en vous et laissez-la venir.

 

ADAMUS : Ouais, absolument. Bien.

 

GARY : Ouais.

 

ADAMUS : Alors… (Tad veut dire quelque chose) Nous reviendrons à vous dans un instant, bien sûr (Adamus rit). Alors, la vie a été un peu plus facile ?

 

GARY : Oui.

 

ADAMUS : Et même lorsque des expériences difficiles se présentent, ce qui arrivera, parce que vous êtes toujours incarné ici, vous êtes toujours dans ce genre de ragoût de conscience de masse, vous allez rencontrer des problèmes. Mais au lieu de les combattre, vous les laissez simplement vous traverser.

 

 

 

 

GARY : Ouais. Et vous trouvez...

 

ADAMUS : Bien. Êtes-vous plus heureux ?

 

GARY : Oui. Merci d'avoir posé la question. Oui (ils rient).

 

ADAMUS : Bien. Je me suis inquiété pour vous pendant un moment (Adamus rit).

 

GARY : Ouais, moi aussi ! Merci.

 

ADAMUS : Bien. Merci, et le micro revient à Tad. Alors, Tad, qu'avez-vous remarqué: était-ce difficile de raccrocher les gants et de ne pas essayer de les récupérer ?

 

TAD : C'était excitant. Non, ça ne l'était pas. C'était un soulagement.

 

ADAMUS : Ok.

 

TAD : C'est comme – oh ! – « C’est parti. C’est terminé. »

 

ADAMUS : C’est vrai. Bien.

 

 

 

 

TAD : Et la seule chose que je voulais dire et qui a changé, si vous voulez. Au lieu de cela, j'avais l'habitude de gouverner ou d'être motivée par l'émotion.

 

ADAMUS : Vraiment ?

 

TAD : Genre, ouais ! «Oh, il faut que ce soit fait ! Je dois ...!" » (Quelques rires alors qu'Adamus fait une grimace) Arrêtez. Est-ce qu'il se moque de moi ?

 

ADAMUS : Non, non, non, non ! Non!

 

TAD : Ok (Adamus rit). Et cela a changé en - quel est ce mot – du genre sentir.

 

ADAMUS : Oui.

 

TAD : Au lieu de l'émotion, c’était – je suppose que c’est un meilleur mot – le sentiment/ sentir.

 

ADAMUS : Sentiment. Sentir et ressentir, plutôt que…

 

TAD : Sentiment et sensation.

 

ADAMUS : … des réactions émotionnelles et instinctives.

 

 

 

TAD : Et c'était : "Wow !"

 

ADAMUS : Ouais.

 

TAD : Ouais. Je veux dire, des trucs merdiques sont arrivés. Je me suis dit: « Ok, eh bien… »

 

ADAMUS : C’est une grosse affaire.

 

TAD : Ouais, c'est grave.

 

ADAMUS : Ouais, c'est important.

 

TAD : Exactement.

 

 

 

 

ADAMUS : Je veux dire, l’humain n’aime pas vraiment ça, mais ce n'est pas grave. Vous savez, c’est juste une chose de plus à transmuter, à permettre de changer. Et vous savez, sérieusement, en fin de compte, il ne s’agit pas de savoir si l’entreprise réussit ou non. Et puis, lorsque vous réalisez cela, alors elle devient prospère, parce que vous ne vous inquiétez pas de la réussite de l'entreprise. Vous n’êtes pas concentrée là-dessus. Ce qui compte, c'est l'expérience que l'on vit, et elle peut être magnifique.

 

TAD : Et c'est ce qui a changé. Lorsque vous m'avez parlé en juillet, je me suis dit : « Oh, non ! Cela ne va pas se produire? Je veux dire, le Tad’s Dad’s Chili (son entreprise) – qu'allons-nous faire ?! Adamus, arrêtez ça ! »

 

ADAMUS : (riant) C'est vrai !

 

TAD : C’est exactement ce que vous avez dit. Je veux dire, c'est…

 

ADAMUS : Ce ne sont que des haricots, vous savez. Je veux dire …

 

TAD : Ce ne sont que des haricots, mec !

 

ADAMUS : Ouais. Ouais.

 

 

 

 

TAD : Râpés ou entiers. Les voilà (quelques rires).

 

ADAMUS : Exactement (Adamus rit).

 

TAD : Ouais.

 

ADAMUS : Exactement.

 

TAD : Ah, ha !

 

ADAMUS : Mais, vous savez que, si vous commencez à regarder les choses du point de vue global, cela vous a rapproché de beaucoup de gens, cela vous a amené au plus profond de votre propre sens créatif et de votre propre Soi, et vous avez dû jeter beaucoup de déchets et entrer dans un endroit plus holistique avec vous-même. Et cela a une valeur énorme, énorme. Et puis, une fois que vous vous êtes débarrassé de toutes ces choses, vous réalisez soudain que vous n'avez pas besoin de travailler à la réussite de l'entreprise, alors que c'est ce que vous faisiez auparavant. Vous y travailliez. Vous n’en avez pas besoin.

 

Tout est juste là.

 

TAD : C’est juste – oui.

 

 

 

 

ADAMUS : Et, encore une fois, pour vous tous, l'attente humaine est, vous savez : « Nous sommes des Maîtres, tout fonctionne », mais il y a toujours cet élément humain qui a une attente du point de vue humain, de la façon dont cela devrait fonctionner. Mais il y a beaucoup d’autres cadeaux dans cette chose. Et puis ça fonctionne, et puis, un jour vous en avez assez, vous le vendez et gagnez des millions et vous vous dites : « C'était sympa ». Ouais.

 

TAD : C’est le plan. Mais si le plan ne fonctionne pas, ce n’est pas grave.

 

ADAMUS : Le plan fonctionne et le plan n’est pas toujours celui que les anciennes attentes humaines voudraient qu’il soit. Vous aimeriez vous présenter sur le marché, gagner des millions et être interviewé dans des talk-shows populaires et tout le reste. Ce n'est pas la raison pour laquelle vous êtes ici.

 

TAD : C’est vrai.

 

ADAMUS : Vous êtes ici pour d’autres raisons. Bien.

 

TAD : Et je souris.

 

ADAMUS : Vous souriez, oui.

 

TAD : Je viens de…

 

ADAMUS : Oui, absolument.

 

TAD : Merci.

 

 

 

 

ADAMUS : Alors, merci beaucoup (applaudissements du public). Merci.

Donc, nous parlons de toute cette histoire de batailles et de combats, et je vous ai mis au défi de le surpasser. Vous savez, il faut vraiment en finir. Il n'y a plus de batailles. Il n’y a même plus de bataille entre la lumière et l’obscurité. Je veux dire, peut-être que certains d’entre vous sont déprimés à cause de ça, parce que vous êtes des guerriers, vous savez ? Et pour un guerrier, entendre qu’il n’y a plus de batailles, c’est un peu dur. Mais il n’y en a pas. Nous ne nous battons même pas contre ce qui se passe sur la planète en ce moment. Nous laissons la lumière briller. Il vaut bien mieux être un Maître, un créateur, que d’être un guerrier. Un guerrier ne prend qu’un seul camp. Le véritable Maître créateur, lui, il prend tout en compte.

 

 

 

 

Revenons donc au public. Allumez les lumières, s'il vous plaît. Je voudrais m'écarter un instant pour parler à Vince. Vince, comment allez-vous ?

 

VINCE : Très bien.

 

ADAMUS : Linda aura le micro pour vous.

 

LINDA : Et voilà, monsieur.

 

ADAMUS : La mort est une chose très difficile.

 

VINCE : En effet.

 

ADAMUS : Et chaque fois qu'un proche que vous connaissez meurt, cela vous renvoie à votre propre immortalité ou mortalité, plutôt (Vince rit). L'immortalité, oui. Et avez-vous parlé à Caroline ?

 

VINCE : Oh, je lui parle beaucoup.

 

ADAMUS : Bien. Bien. Et?

 

 

 

 

VINCE : (il fait une pause) Je suppose qu'elle écoute.

 

ADAMUS : (rires) L'a-t-elle déjà fait ?

 

VINCE : Oui.

 

ADAMUS : Bien. Bien. Pouvez-vous sentir sa présence ?

 

VINCE : De temps en temps.

 

ADAMUS : Non, je veux dire maintenant.

 

VINCE : Non.

 

ADAMUS : Non.

 

VINCE : Non.

 

 

 

 

ADAMUS : Agh ! Très bien. Mettez un peu de musique, Peter, s'il vous plaît. Elle est ici. Elle est juste là. Et alors, n’y pensez pas, d’accord ? Un peu de musique. Elle est là, assise sur sa chaise comme d'habitude…

 

(la musique commence)

 

… assise juste à côté de vous. Et elle va bien.

 

VINCE : Oh, je le sais.

 

ADAMUS : Elle va bien. En fait, elle vous plaint (quelques rires). Non, sa transition a été vraiment facile et j'ai eu beaucoup de discussions agréables avec elle depuis qu'elle est arrivée – elle est d'ailleurs un Maître Ascensionné. Tous ne parviennent pas à ce niveau, mais elle est arrivée là en un clin d'œil. C’était facile pour elle, parce qu'elle n'avait pas peur de la mort. Elle était très soulagée d'abandonner son corps physique. C'était une épreuve pour elle depuis très, très longtemps.

 

VINCE : Oui.

 

 

 

ADAMUS : Et elle sentait que c'était la seule chose qui l'empêchait d'atteindre sa Réalisation pendant qu'elle était ici. Juste les maux physiques. Et elle n’avait plus de déchets quand elle est partie. Elle était libérée de tout cela. Et pouvez-vous entendre, pouvez-vous sentir ce qu'elle dit ?

 

(Légère pause)

 

Vous réfléchissez trop, Vince (Vince rit). Cela vient du cœur. Vous savez, quand nous parlions justement de l'amour 2.0 ? Ressentez cela pendant un moment. Ne vous attendez pas à des mots.

 

(pause)

 

VINCE : Ça va aller.

 

ADAMUS : Ça va aller. Ouais, ça va aller. Ouais.

 

Vous vous souvenez quand elle se penchait vers vous et vous embrassait sur le côté du visage ? C’est un peu ce qu’elle fait maintenant, en disant: « Vince, permets-le. » Et ce qu’elle veut vraiment que vous permettiez, c’est quelque chose qui vous a posé problème, à la plupart d'entre vous, c'est de vous aimer vous-même.

 

 

 

 

Et elle dit que lorsque vous le ferez, vous pourrez vraiment vous connecter avec elle. Ne vous contentez pas de penser à elle, mais connectez-vous vraiment, comme si vous pouviez la sentir et la sentir tout autour de vous. Elle dit : « Vince, aime-toi. » Bien. Et elle sera là pendant tout notre Shoud, et à chaque fois que vous voudrez vous connecter. Ouais, à tout moment.

Bien. Bon, continuons. Merci.

 

(La musique se termine)

 

Nous allons continuer. Ok. De quoi parlions-nous ? Des batailles. Ah David ! Oh, David (quelques rires). Le défi a été lancé. Vous souvenez-vous au moins que nous avons fait ça? Parce que Cauldre ne s'en souvient pas.

 

DAVID : Non.

 

ADAMUS : Non. Ok (ils rient). Et malgré cela, je vois que vous avez laissé tomber quelques vieilles batailles au cours des six derniers mois environ. Voulez-vous partager ce que c’était ? (David fait une pause) Non. Ok

(Adamus rit).

 

(Légère pause)

 

 

 

 

DAVID : Euh…

 

ADAMUS : Il y a quelque chose de différent chez vous.

 

DAVID : (il fait une pause) Eh bien, plus de permission.

 

ADAMUS : Ouais. Ouais. Mais vous vous battiez contre quelque chose, David.

 

DAVID : Oh, moi-même.

 

ADAMUS : Ouais. Il y avait beaucoup de –une certaine culpabilité là-dedans.

 

DAVID : Oui.

 

ADAMUS : Et vous vous êtes finalement lassé. Je veux dire, vous avez finalement abandonné le combat. Et je pense qu'il y avait parfois un sentiment que si vous arrêtiez de combattre certains de ces vieux fantômes qui étaient dans votre vie, si vous arrêtiez de vous battre, ils allaient vous rattraper. Ils allaient vous consumer. Alors, vous continuiez à vous battre.

Et puis, un jour, vous vous rendez compte que vous êtes épuisé, que vous êtes tellement fatigué. Il ne vous reste plus rien. Plus de munitions, plus de combat en vous et vous dites : « Peu importe ». Et vous réalisez soudain que ce fantôme même que vous avez combattu, que vous avez essayé de tenir à distance, disparaît.

 

 DAVID : Hum.

 

 

 

 

ADAMUS : C’est une question difficile. C’est une question très difficile. Il y avait une vieille culpabilité là-dedans. Mais tout d’un coup, c’est comme : « Contre quoi étais-je en train de me battre pendant tout ce temps ? » Et puis si vous voulez vraiment vous lancer et que vous ressentez vraiment la sagesse du Maître, vous réalisez : « Bon sang, je faisais juste ça pour le plaisir. » C'était un plaisir dégueulasse et tordu, mais je ne faisais que le faire. Il n’y a jamais vraiment eu de fantômes. Il n’y avait vraiment rien à combattre. Je suis tellement créatif et je m'ennuie un peu de tout, que j'ai continué à accumuler toutes ces conneries, jusqu'à ce que j'y croie vraiment et que je pense vraiment qu'il y là avait un démon que je devais combattre de l'intérieur de moi-même et garder à distance. Il n’y en avait pas du tout. »C’est donc un peu la vraie sagesse de dire: « Oh, j’ai créé ça juste pour me donner quelque chose à faire. » Mais je pense que nous pouvons créer de meilleures façons à l’avenir.

 

DAVID : Ouais !

 

ADAMUS : Ouais. Bien. Ressentez-vous dans votre vie, par rapport, disons, à partir de la Croix du Ciel, quels seraient, selon vous, les changements majeurs que vous avez vécus ?

 

 

 

 

DAVID : (fait une pause) Plus de rire, plus d'humour.

 

ADAMUS : Ouais, de la légèreté.

 

DAVID : Plus de légèreté.

 

ADAMUS : De facilité.

 

DAVID : Oui. Oui.

 

ADAMUS : Ouais. Je veux dire, vous savez, être sérieux, je suppose, c'est bien de temps en temps. Et je ne dis pas d’être frivole, mais vous réalisez que c’est juste un grand jeu merveilleux, après tout. Ouais. Merci, David.

 

DAVID : Merci.

 

ADAMUS : Et j'aime le gilet.

 

DAVID : Oh, merci beaucoup (il rit).

 

 

 

 

ADAMUS : Non, vous réalisez que vous avez créé ces circonstances dans votre vie et que vous avez créé ces difficultés dans votre vie – vous les créez, personne d'autre ne le fait – pour vous donner quelque chose avec quoi jouer. Et maintenant, si j'avais dit cela aux Shaumbra, il y a cinq ans, ils m'auraient chassé de la ville en disant : « Non, ce sont de vrais problèmes ! Et vous ne comprenez pas. » Eh, certains d'entre vous disent encore ça. Mais, pour la plupart, c’est du genre : « C’est vrai. J'ai créé ça comme, quoi, quelque chose avec laquelle jouer ? Quelque chose à combattre ? Et, bon sang, je me suis laissé entraîner/aspirer dans ma propre création. J'y ai vraiment cru. Et je croyais vraiment que je manquais d’abondance. Je croyais vraiment que j’avais tous ces problèmes. »

 

Et vous commencez à réaliser que c’était juste un grand, grand jeu. Et c’est là que vous commencez également à réaliser : « Je suis un Maître. J'ai fait tout ça et je m'en suis sorti. Je suis revenu vers moi. Je suis un putain de Maître, mais je ne ferai plus jamais les choses de cette façon. » (Quelques rires)

 

Alice. Ouais. Salut Alice.

 

 

 

 

ALICE : Bonjour. Bonjour.

 

ADAMUS : Alors, les batailles ?

 

ALICE : J’avais déjà dit que je ne me battais pas, mais j’ai réalisé récemment…

 

ADAMUS : Vous auriez vraiment dit cela ? Devant Dieu et tout le monde ? Que vous vous êtes battue ? (quelques rires)

 

ALICE Sqchh ! (ils rient) Cependant, j'ai en quelque sorte, oui, trouvé mon combat au cours des derniers mois.

 

ADAMUS : Ouais ?

 

ALICE : C'était la santé, le poids, des choses comme ça, et j'en suis arrivée à ceci – Julie vous le dira – un jour, je me suis dit : oh, je m'ennuyais simplement. J'ai me suis donné – comme vous le disiez. Je me disais, ouais, c'est ce que j'ai fait. Je m'ennuyais! C’est ce que je me suis donné.

 

 

 

 

ADAMUS : Vous vous ennuyiez. Et quand vous vous battez, vous savez, vous pourriez dire que vous vous ennuyez ou que vous aimez simplement ce genre de création étrange. Et puis vous vous battez – disons que vous vous battez contre le poids, par exemple. Qu'allez-vous faire ? Vous allez prendre du poids, parce que ça vous donnera quelque chose à combattre (elle rit), vous voyez ? Parce que sinon vous n’auriez rien à combattre.

 

ALICE : Ouais.

 

ADAMUS : Ou même dans votre esprit/mental, vous inventez ces scénarios étranges et juste quelque chose pour vous réveiller le matin et partir en guerre avec et vous occuper. Bon sang, c’est – vous savez, je dirais que la chose la plus difficile quand on est sur cette planète, c’est que vous êtes des créateurs et que vous arrivez ici et que c’est tellement peu créatif. Alors, vous avez inventé cette merde, vous savez ?

 

 

 

 

ALICE : Ouais, absolument (quelques rires).

 

ADAMUS : « Donnez-moi quelque chose à faire ! Je vais devenir folle. Je vais devenir alcoolique. Je vais, vous savez, je vais faire toutes ces choses bizarres », parce que c'est tellement limité ici. C’est comme, vous savez, un terrain de jeu vraiment ringard (plus de rires). Ouais.

 

ALICE : Absolument.

 

ADAMUS : Donc des changements autres que ça, des batailles ?

 

ALICE : Euh, euh… eh bien, je veux dire. Ouais, PG (Accord parental, film déconseillé). PG-10.

 

ADAMUS : C'est bon.

 

ALICE : J'aurais toujours plus de sexe. Alors, c'est comme, oh, comment puis-je faire ça ? Mais je suis dans une relation, alors.

 

ADAMUS : C’est vrai, c’est vrai.

 

ALICE : (murmure) Vous savez...

 

ADAMUS : Ouais.

 

ALICE : Alors, je vous laisse le comprendre. C’est PG-10 (ils rient ; c’est une référence aux cotes d'écoute des films). J'essaie de penser à toutes les batailles. Le plus important était la santé et le poids et…

 

 

 

 

ADAMUS : Et qu’en est-il – le plus important pour vous – de l’identité ?

 

ALICE : Non.

 

ADAMUS : Non ?

 

ALICE : Non.

 

ADAMUS : Vraiment ?

 

ALICE : Une grosse personne ou pas ?

 

ADAMUS : Eh bien, c'est une identité.

 

ALICE : Ouais, d'accord.

 

ADAMUS : Je veux dire, ouais.

 

ALICE : Ouais, ouais.

 

ADAMUS : Et, vous savez, comment vous vous êtes en quelque sorte évaluée, comment vous vous êtes positionnée.

 

 

 

 

ALICE : Je vais revenir au truc du sexe.

 

ADAMUS : Bien sûr ! (Adamus rit) Bien sûr.

 

ALICE : Parce que c'est le cas ! C’est une grande partie de mon identité.

 

ADAMUS : Bien sûr.

 

ALICE : Au fil des années, je ne veux pas dire que j’ai vieilli, parce que ce n’est pas le cas. C'est juste chronologique.

 

ADAMUS : En effet.

 

ALICE : Dans une relation, on a juste moins de relations sexuelles, n'est-ce pas ? Cela se produit toujours, mais cela faisait partie de mon identité, un peu comme Casanova.

 

ADAMUS : Ouais.

 

ALICE : Genre, vous savez, hé !

 

ADAMUS : Oh, montrez-moi du doigt quand vous dites ça, bien sûr (Adamus rit).

 

ALICE : Ouais ! Vous savez, c'est comme, hé !

 

ADAMUS : Ouais.

 

ALICE : N'est-ce pas ? Et donc c’était quelque chose qui – en fait, je suis toujours dans ce...

 

 

 

 

ADAMUS : Pourquoi – je dois demander, et nous allons passer à R ici – pourquoi le sexe était-il important pour vous ?

 

ALICE : C'est merveilleux.

 

ADAMUS : Bien.

 

ALICE : Vraiment, il y a un endroit où je vais qui est hors de ce monde. Ce n’est pas ennuyeux, dites-le ainsi.

 

ADAMUS : C’est vrai, c’est vrai. Non, ce n'est pas ennuyeux. Exactement. Je veux dire, c'est exactement pourquoi. C'est très sensuel. Très – et nous allons bientôt faire le Cloud Class sur l’Amour du Maître, mais nous allons parler de sexe.

 

ALICE : Doux.

 

ADAMUS : Et c’est le cas. Il va dans un nouvel endroit. Mais il ne s’agit pas seulement d’obtenir le drame ou l’énergie de la belle nature que cela peut être. Mais aussi, tout comme l’amour, il peut être dégradé et perverti et tout le reste, tordu.

 

ALICE : Mm hmm.

 

ADAMUS : Mais oui, cela vous permet de reprendre contact avec vous-même. Ouais.

 

 

 

 

ALICE : Ouais, c'est plutôt cool.

 

ADAMUS : Ouais. Avez-vous besoin d'un partenaire? Nous allons à X maintenant (elle rit).

 

ALICE : J'ai toujours moi-même.

 

ADAMUS : En effet, en effet.

 

ALICE : Alors, voilà.

 

ADAMUS : Ouais. Et il ne devrait y avoir aucune honte à cela.

 

ALICE : Non.

 

ADAMUS : Je veux dire, c'est beau avec ou sans.

 

ALICE : Mm hmm.

 

ADAMUS : Absolument. Et la honte, c’est une de ces choses que nous allons dépasser. Oh, l'église, ils ont tellement enseigné cela.

 

ALICE : Oh, ouais.

 

 

 

 

ADAMUS : Regardez les professeurs (il fait une grimace, quelques rires). Quelque chose ne va pas avec ça.

 

ALICE : Ils ne m'ont pas eue comme professeur (elle rit).

 

ADAMUS : C’est vrai. Bien. Merci beaucoup. Linda, quelques nouveaux.

 

LINDA : Quelques nouveaux.

 

ADAMUS : Ouais. Voici Linda. Ohh, elle va…

 

LINDA : Le micro va passer par ici.

 

ADAMUS : Salutations.

 

SARAH : Salut.

 

ADAMUS : Ouais. Allez-y et respirez profondément (elle inspire profondément). Ouais, ouais. Ce n’est pas– personne ne regarde. Juste vous et moi, vous savez, c'est tout. Alors, quels ont été vos combats ?

 

SARAH : Eh bien, hein, surtout l'amour de soi.

 

 

 

 

ADAMUS : L'amour de soi. C’est une question difficile. Soit dit en passant, c'est le plus difficile. Je veux dire, si vous êtes au-delà des autres choses et que c’est juste l’amour de soi, vous êtes exactement là où vous devriez être. Quel est le problème ?

 

SARAH : (Elle fait une pause et secoue la tête) Je sais juste que je ne suis pas assez bien.

 

ADAMUS : Ouais. D’où ça vient ? Que vous n'êtes pas assez bien, que vous n'êtes rien, quoi que ce soit, remplissez le vide. D'où ça vient ?

 

SARAH : De mon ADN.

 

ADAMUS : Ouais. Ouais, votre ADN. C'est là-dedans. C’est chez les gens qui, vous savez, étaient autour de vous au début de votre vie. Et s'il vous plaît, comprenez-le comme je le pense, mais cela vous a vraiment fait beaucoup de bien. Je veux dire, c'était mauvais, mais cela vous a fait du bien, parce que vous ne l'avez pas accepté. Vous savez, cela vous a été imposé – « Vous n'êtes pas digne, quelqu'un d'autre est meilleur, comment se fait-il que vous ne pouviez pas être plus » – mais vous avez en fait dit : « Non, je ne vais pas y aller. Je ne vais pas me laisser entraîner là-dedans. »Mais vous vous battez toujours. Ouais. Alors, êtes-vous prête à ne plus faire ça ?

 

 

 

 

SARAH : Oh, je ne fais plus ça.

 

ADAMUS : Ok. Vous ne le faites plus du tout.

 

SARAH : Non.

 

ADAMUS : Bien. Bien. Ok. Quand cela s'est-il terminé ?

 

 SARAH : Je pense juste après Heaven’s Cross (la Croix du Ciel).

 

ADAMUS : Bien. Bien.

 

SARAH : Ouais.

 

ADAMUS : Quelque chose que vous combattez maintenant ?

 

SARAH : Non.

 

ADAMUS : Bien.

 

SARAH : Non.

 

 

 

ADAMUS : Génial. Merci beaucoup.

 

SARAH : Merci.

 

ADAMUS : Ok. Linda, un de plus. Euh oh ! (chuchotant)

 

TAMARA : Ouais (Adamus rit). Je vous aime aussi.

 

ADAMUS : Salutations.

 

TAMARA : Salut.

 

ADAMUS : Y a-t-il quelque chose que vous avez combattu ou mis de côté maintenant ? Qu’est-ce que vous faisiez…

 

 

 

 

TAMARA : J'ai tout rangé.

 

ADAMUS : Bien. Bien.

 

TAMARA : Pas de batailles ici.

 

ADAMUS : Pas de batailles.

 

TAMARA : Non.

 

ADAMUS : D'autres personnes ?

 

TAMARA : Parfois.

 

 

 

 

ADAMUS : Parfois (rires). C’est toujours une question difficile, les autres. Quel  est le problème avec eux ?

 

TAMARA : (elle soupire) Mes enfants.

 

ADAMUS : Vous avez des enfants. Ouais. Combien d'enfants avez-vous?

 

TAMARA : Onze.

 

ADAMUS : Onze.

 

TAMARA : Oui ! (le public dit « Woo ! »). Merci.

 

ADAMUS : Ouais, c'est beaucoup (sifflets, acclamations et applaudissements). Donc, on pourrait presque s'attendre à quelques problèmes.

 

 

 

 

TAMARA : Avec les deux plus vieux.

 

ADAMUS : Les deux plus vieux.

 

TAMARA : Oui.

 

ADAMUS : Quel âge ont les plus âgés ?

 

TAMARA : Je pense 31 et 32.

 

ADAMUS : Trente et un, et 32. Ouais.

 

TAMARA : Ouais. Ils ne m’aiment pas trop.

 

ADAMUS : Ils ne vous aiment pas ?

 

TAMARA : Non.

 

ADAMUS : Pourquoi ? Ah. Eh bien, je veux dire…

 

TAMARA : Ils pensaient que j'étais une mauvaise mère, alors.

 

ADAMUS : ils pensaient que vous étiez une mauvaise mère.

 

TAMARA : Ouais.

 

ADAMUS : Mais pensez-vous qu'il se passe autre chose ?

 

TAMARA : Avec eux ?

 

ADAMUS : Comme peut-être des trucs karmiques, de type vie antérieure qui ont été apportés ?

 

TAMARA : Peut-être.

 

ADAMUS : Peut-être. Ouais. Ouais. Alors, mais avez-vous laissé tomber ces batailles ?

 

TAMARA : Oh, il y a longtemps.

 

ADAMUS : Bien. Mais le font-ils encore… ?

 

 

 

 

TAMARA : Ma fille, elle ne veut pas me laisser tranquille. Elle n’arrête pas de dire : « Je ne veux pas être avec toi. » Et puis elle dit : « Oh, je veux être à côté de toi. » Alors, elle continue à faire des allers-retours.

 

ADAMUS : Bien.

 

TAMARA : Ouais.

 

ADAMUS : Ouais. Donc, vous vous sentez bien d’avoir laissé les batailles se dérouler dans votre vie.

 

TAMARA : Oh, je les ai laissées partir.

 

ADAMUS : Bien.

 

TAMARA : Ouais.

 

ADAMUS : Merci.

 

TAMARA : Merci, Adamus.

 

ADAMUS : Vous pariez.

 

TAMARA : Je vous aime !

 

ADAMUS : Merci. Je vous aime aussi.

 

 

 

 

Alors, le défi était : pouvez-vous abandonner les batailles ? Oui. La plupart d’entre vous ont fait du très bon travail. Certains d’entre vous en gardent juste quelques-unes dans leur poche arrière au cas où vous passeriez une journée vraiment ennuyeuse (quelques rires). Non, de temps en temps, c’est amusant d’y entrer. Je veux dire, c'est vraiment le cas. Vous devez être des experts en la matière. Vous êtes vraiment bons dans ce domaine, à part les parties où vous vous battez. Vous n’étiez pas très bons à ce sujet. D’autres personnes, en dehors des circonstances, mais toujours ces batailles intérieures de fondamentalement : « Puis-je m'aimer ? » Et nous allons parler beaucoup plus de l'Amour du Maître, passer à l'étape suivante, et je dirai qu'avec l'Amour 1.0, c'était difficile, plus difficile de s'aimer soi-même, parce qu'il y avait beaucoup de cochonneries et d'attentes et de concepts étranges sur ce qu'était l'amour. L'amour 2.0, beaucoup plus facile.

 

 

 

 

Et je vous demande de vous sentir en cela pendant un moment. Je suis tellement excité par le fait que nous allons bientôt aborder ce sujet dans une Cloud classe (une classe Nuage). Mais cet Amour 2.0 est tellement plus facile. Et à commencer par le groupe qui était récemment à Kona et maintenant avec les Shaumbra, en général, c'est vraiment vous – vous ne le faites pas ou ne le créez pas – mais vous ouvrez les voies pour cela. Et c’est ce qui, je dirais, est en quelque sorte la stratégie d’évolution de la planète à l’heure actuelle. En d’autres termes, vous avez cette planète où l’amour a été expérimenté pour la première fois, et c’est une chose incroyable, qui mène à des choses comme le sexe et tout le reste. Cela a été vécu ici. Mais pour que la planète évolue là où vous souhaiteriez qu’elle aille, il n’y avait pas de voie claire. Nous avions les forces de la technologie qui poussaient à l’évolution. Nous avions l’ancien modèle homo sapiens humain, sachant qu’il était obsolète. Quelque chose devait créer cette nouvelle voie, et c'est l'Amour 2.0. Et encore une fois, je vais en parler beaucoup plus, mais quelle belle journée pour être amoureux de soi.

 

Prenez un moment pour ressentir cela.

 

 

 

 

Quelle belle journée pour être amoureux de soi, sans se battre, sans les vieilles cochonneries associées à l'amour, sans avoir besoin d'un partenaire. Sans avoir besoin d'un partenaire. C'est possible, et au début des Shaumbra, quand Tobias était avec vous, c'était l'un des plus gros problèmes : « Je n'ai pas de partenaire ». Et, vous savez, vous vous sentiez seul ou peut-être maladroit ou étrange, et vous vouliez juste quelqu'un avec qui partager. Mais une grande partie de ce que vous avez vécu vous a amené à réaliser qu’en réalité, vous ne pouviez pas avoir de partenaire, un vrai partenaire, tant que vous n’êtiez pas parvenu à cet endroit en vous-même, l’Amour 2.0, l’Amour du Maître. Cela change le monde. C’est la lumière que vous brillez en ce moment. Vous n’êtes pas simplement, vous savez, en train d’allumer cette lumière. Cela a un but. Il y a une conception énergétique dedans. Je vais dire que 2024 pour les Shaumbra est une année d'amour, pour vous-même et aussi pour trouver d'autres que vous pourrez vraiment aimer. Pas à l’ancienne, mais d’une manière très libre et très nouvelle.

 

 

 

 

Prenons une profonde respiration avec cela et sentons-le. Et c'est… (Adamus soupire) C'est une variété de choses. C'est métaphysique. C’est spirituel. C'est sacré. C’est la voie qui permettra à la planète de surmonter certains des défis auxquels elle est actuellement confrontée.

 

 

 

La Malédiction des Shaumbra

 

Ok, maintenant il est temps de vous botter le cul (quelques rires). Mais c'est pour ça que vous venez ici, non ? Vous dites : « Ok, bonne conversation. C'est une belle discussion, mais allons droit au but. Faisons un petit coup de pied au cul. »

 

 

 

 

La malédiction des Shaumbra. J’en ai un peu parlé à Keahak et avec les Anges du Crimson Circle.

 

Tout est ici. Le travail que vous faites – je ne veux même pas appeler cela du travail – mais la raison pour laquelle vous êtes ici est incroyable. Je veux dire, ce niveau de service, ce que nous faisons en métaphysique est sans précédent. Et je plaisante à ce sujet de temps en temps, mais je suis en fait très sérieux. Au Club des Maîtres Ascensionnés, ils sont attentifs. Ils savent ce qui se passe ici et je pense que certains d’entre eux sont envieux. Tant mieux pour eux. Je pense qu’ils utilisent ce que nous faisons ici comme modèle pour leurs groupes, et je peux presque prouver mon point de vue. Nous parlons de quelque chose ici dans nos groupes, nos ateliers, nos Shouds, et six mois plus tard, un an plus tard, ils en parlent dans leurs groupes. Et vous remarquerez que ce dont nous parlons ici, ils en parleront très bientôt, parce qu’ils écoutent aux portes les autres Maîtres Ascensionnés (quelques rires). Ils volent notre matériel. Mais nous voulons qu'ils le fassent, n'est-ce pas ?

 

 

 

 

Nous ouvrons la voie. Et, d’une certaine manière, c’est en quelque sorte – je suis un peu contrarié. Nous parlions l'autre soir au club et j'ai dit : « Alors, oui, nous faisons d'énormes progrès avec les Shaumbra. Nous allons maintenant – pfft ! – nous vous dépassons, pas seulement dans la métaphysique, mais nous entrons dans l’Amour 2.0. » Et ils me disent : « Whoaaa ! » (plus de rires) « Où est-ce ? Où pouvons-nous en savoir plus à ce sujet ? » C’est comme : « Vous devez venir aux Shouds. » Nous développons cet Amour 2.0, l’Amour du Maître, et ils veulent en savoir plus à son sujet. Mais d'un autre côté, je vérifie en quelque sorte leur énergie, et je me dis : « Oh, je vois ce qui se passe ici. »

 

 

 

 

Ils vous observent,  ils observent les Shaumbra, parce que vous traversez cela en premier. Et ils disent : « Hé, hé, hé ! Laissons leur groupe le parcourir en premier et voyons s'ils se heurtent au mur, s'ils se brisent ou autre. Ensuite, si cela fonctionne, nous l’adapterons. »Eh bien, le fait est que nous n’entrons pas dans les murs. Nous ne nous brisons pas. Nous ne faisons rien de tout cela. Nous procédons avec grâce et facilité et nous traversons cette épreuve/nous nous en sortons. Donc, ils nous espionnent en quelque sorte, mais ce n’est pas grave.

 

Mais le problème est qu'il y a toujours cette malédiction des Shaumbra. Je me suis beaucoup gratté la tête ces derniers mois, et c’est comme si tous les outils étaient là. Les bonnes personnes sont ici. C'était votre engagement, votre passion d'être ici en ce moment. Et vous faites briller votre lumière. Là n'est pas la question. Pourquoi rencontrez-vous encore /toujours des problèmes ? Pourquoi êtes-vous toujours – pas vous tous ; certains d’entre vous se portent très, très bien – mais il y en a encore trop qui rencontrent certains des vieux problèmes, qu’il s’agisse d’abondance, de santé, d’estime de soi ou de relations. C'était, de retour à Tobias, les quatre zones principales.

 

 

 

 

Et j'ai vraiment eu envie de ressentir cela et de parler à certains d'entre vous la nuit. Mais quand nous discutions, je regardais vraiment en dessous, que se passe-t-il ? Je veux dire, tout est là. Il devrait y avoir percée après percée après percée, plus de facilité, plus de grâce, plus de joie dans votre vie. Qu'est-ce que c'est? Quelle est cette malédiction des Shaumbra ? Je vais d'abord vous poser la question avant de donner ma réponse. Alors, Linda, avec le micro. Qu’est-ce qui cause ce genre de calamité, en quelque sorte… ? Allons-y.

 

TODD : J'écoutais simplement ce que vous disiez et j'essayais de m'y adapter, et, oui, je ne considère pas ce que je vis comme une calamité ou une restriction de quelque manière que ce soit. Donc, puisque j'ai le micro, ça s'est réveillé, il doit y avoir quelque chose là, non ? (il rit)

 

ADAMUS : C’est vrai. Ouais.

 

 

 

 

TODD : Mais, vous savez, nous parlions plus tôt de lâcher prise et de ne pas nous battre, et celui-là était important pour moi. Et je pense qu’une partie de ce qui s’est passé était l’abandon du combat, parce qu’il y avait un problème de contrôle dont j’étais conscient. Le fait d'avoir de la tension, que vous soyez pour ou contre, cela m'a permis un certain contrôle ou contrôle perçu.

 

ADAMUS : Oui. C’est un très, très bon point.

 

TODD : Alors, quand j'ai laissé tomber, tout d'un coup, il n'y avait plus de stimulus. Il n’y avait rien sur quoi rebondir, rien à contrôler, rien à gérer.

 

ADAMUS : C’est vrai.

 

TODD : Alors, où en suis-je maintenant ? Parce qu’il y a une expansion qui se produit, mais l’humain ne sait pas d’où elle vient, ce qui est en expansion ou comment réagir /répondre à cet espace.

 

ADAMUS : Et parfois, parce qu’il n’y a pas de tension, il n’y a pas de bataille, vous pensez que rien ne se passe et d’une manière ou d’une autre, vous avez échoué. Mais vous n’avez tout simplement plus l’ancien champ de bataille.

 

TODD : C’est exact.

 

 

 

 

ADAMUS : Ouais. Et on s’y habitue après beaucoup de vies, après ça – j’aime la façon dont vous le dites – c’est une tension qui est toujours là. C’est quelque chose pour travailler contre cette tension, pour contrecarrer cette tension. Et soudain, quand il n’y en a plus, vous vous dites : « Eh bien, qu’est-ce que je fais ici ? »

 

TODD : C’est vrai.

 

ADAMUS : Eh bien, à découvrir.

 

TODD : Super.

 

ADAMUS : Ouais. Bien. Alors, la Malédiction des Shaumbra ?

 

TODD : Ce qui me vient à l'esprit, c’est l’impression d’en faire trop. Par exemple, on s’attend à savoir que je suis grand, et puis il y a cette transition dans la façon dont cela se traduit dans l’expérience humaine.

 

ADAMUS : Oui.

 

 

 

 

TODD : Et la lumière brillante est en quelque sorte – je veux dire, je comprends la conscience et il y a ce sentiment. Quand vous parliez de Vince, c'est comme si les larmes coulaient dans mes yeux en sentant Caroline dans la pièce. C’est donc comme être en phase avec cela, mais aussi voir certaines des choses que j’interprète comme étant difficiles /dures pour la planète en ce moment.

 

ADAMUS : C’est vrai.

 

TODD : Et cela suscite une grande émotion en moi de voir ces choses se produire alors que je sais que c'est en moi et que des aspects de ce genre d'atrocités peuvent se produire.

 

ADAMUS : Donc, si je pouvais…

 

TODD : Ouais, s'il vous plaît. Ouais.

 

ADAMUS : Ce que vous dites est parfait, absolument parfait – « Mais tant que d'autres souffrent sur la planète, je dois souffrir. » Boum !

 

TODD ​​: C'est probablement ça.

 

ADAMUS : Un des éléments de la Malédiction des Shaumbra. Une partie d'entre vous dit: « Comment puis-je profiter de ma vie ? Comment puis-je marcher librement, sensuellement, avec aisance et grâce ? Ce serait presque comme un manque de compassion. Ce serait presque – comment appelleriez-vous cela – de « l’arrogance » si je ne souffrais pas, dans une certaine mesure aussi. Donc, je dois donc continuer à souffrir un peu pour avoir de la compassion pour les autres. » C'est de la foutaise. Je veux dire, non, c'est vraiment le cas. Cela semble noble et tout, vous savez, mais ce n'est pas le cas, parce que vous portez toujours des choses qui ne vous appartiennent pas, ce qui est l'une des autres malédictions des Shaumbra. Vous avez toujours le sentiment : « Je dois rester en phase avec la souffrance du reste de la planète. Si je veux pouvoir faire briller ma lumière, je ferais mieux de savoir sur quoi je la fais briller. » Non, pas du tout, parce que cela ne fera que vous retenir. Sauf si vous aimez souffrir. Peut- être. Mais je ne le pense pas.

 

 

 

 

TODD : J'ai l'impression qu'on me retient si je lâche ça.

 

ADAMUS : Ouais. Et vous avez également fait une déclaration. Vous avez dit que vous avez toujours – je paraphrase – mais vous avez toujours su que vous en aviez plus que les autres ; juste plus d'énergie, plus de perspicacité, vous pouvez porter plus de charge sur votre dos que la plupart des autres. Et c’est ce que vous faites. Vous faites tous cela. Vous êtes plus durable. Vous êtes peut-être sensible, mais vous êtes simplement plus durable. Vous pouvez supporter davantage, vous continuez donc à en porter davantage sur votre dos. Alors que vous n’avez vraiment pas besoin d’en porter. Mais c'est une malédiction des Shaumbra : « Je peux supporter la charge. Je peux l’assumer. » Pensez-vous que les autres l’apprécient vraiment ? (quelques rires) Ils vont vous charger, vous savez.

 

TODD ​​: Ouais.

 

ADAMUS : Ils vont vous charger pendant qu'ils se déchargent eux-mêmes. Ça ne vaut pas le coup. Ouais. Bien.

 

TODD : Merci.

 

 

 

 

ADAMUS : Très perspicace. Quelques autres. Linda est à l'affût, tout le monde esquive (Adamus rit). Bonjour ma chère.

 

SHAUMBRA 1 (femme) : Salut.

 

ADAMUS : Salut. La malédiction des Shaumbra, ouais. Cela vous surprend-il ?

 

LISA : Déçue plus que surprise.

 

ADAMUS : Ouais. Je sais. Moi aussi.

 

LISA : Ouais (quelques rires).

 

ADAMUS : C'est comme : « Quoi ?! Pourquoi? Que se passe-t-il? »Tobias et moi avons également eu plusieurs discussions à ce sujet, et il a dit : « Oy ! Tu as raison. Ils font ça. Ils l’ont toujours fait, tu sais, et ils continuent à le faire. Pourquoi? Cela n'a aucun sens. »

 

 

 

 

LISA : Une tradition ?

 

ADAMUS : Les Traditions. C'est ça ! C'est vrai! (plus de rires). Il a dit que c’était comme l’emblème de la famille, vous savez, vous devez le faire. Alors, quelles sont les autres choses impliquées dans cette malédiction des Shaumbra ?

 

LISA : Vous en avez énuméré plusieurs.

 

ADAMUS : Mm hmm. Et vous personnellement ? Qu'est-ce que...

 

LISA : Ah.

 

ADAMUS : Ouais.

 

LISA : Le truc avec le compromis que vous avez fait récemment, bon sang, c’est que j'ai commencé, vous savez, à sortir au lac et à creuser pour mon épée (elle rit).

 

ADAMUS : Ouais, ouais, ouais !

 

LISA : (rires) Je ne vais plus faire de compromis !

 

ADAMUS : (riant également) L'avez-vous trouvée ?

 

LISA : Eh bien, j’ai trouvé une bande de petits.

 

ADAMUS : Ouais, ouais. Ouais.

 

LISA : Alors, oui. Ouais, non, vous savez…

 

 

 

 

ADAMUS : Ouais. J'attends juste que cette main sorte des eaux avec l'épée (elle rit). Ouais.

 

LISA : Donc, oui, je trouve juste un équilibre entre ce compromis et l’absence de bataille. Pas de compromis, pas de bataille.

 

ADAMUS : Ouais. Ce n’est vraiment pas si difficile en fait. Vous savez, vous avez tous fait des compromis. C'est l'une des autres facettes de la Malédiction des Shaumbra : le compromis.

 

LISA : Oh, ouais.

 

ADAMUS : Il y a une différence entre faire des compromis et coopérer. Vous savez, tant que vous êtes ici sur la planète, vous devez coopérer. Nous allons en parler dans ProGnost, la loi ne vous appartient pas, mais il y a un certain niveau de coopération. Mais un compromis ? Vous vendre ? Faire quelque chose de stupide ? Non, pas si bon. Alors oui, le compromis figure sur cette liste. Ouais. Ne pouvez-vous pas faire de compromis ?

 

 

 

 

LISA : Non ! Je ne peux pas ne pas faire de compromis (elle fait la grimace et rit).

 

ADAMUS : C’est vrai. Cela semble étrange. Oui. Non, faire des compromis ne vous aidera jamais vraiment, ni vous ni les autres. C’est une sorte de capitulation. Mais au moment où vous êtes sous pression, où vous vous trouvez dans une situation difficile, vous y revenez : « Je dois faire des compromis. Je dois garder les eaux calmes ici. » Mais en fin de compte, la tempête continue de se lever. Autant en finir sur-le-champ. Pas de compromis. Vous savez, «Namaste. Passe ton chemin, je vais le mien. Aloha. » (ils rient) Bien. Merci. Quelques autres.

 

LISA : Je vous en prie.

 

ADAMUS : Hé Kerri, à quelle heure est le dîner ?

 

 

 

 

(pause, car Kerri ne répond pas)

 

Je me demande combien de temps nous pourrons tenir. Elle est en train de boire! Elle est ivre ! (rires) Oh non ! (Adamus rit) Je ne voulais pas dire ça pour elle ! Je suis désolé de l'annoncer, mais il n'y a plus de liqueur Saint-Germain (plus de rires). Oui. Salut Terry.

 

TERRY : Salut.

 

ADAMUS : Salut. Alors, la Malédiction des Shaumbra, qu'y a-t-il d'autre là-dedans ? Quelle est la retenue /le frein? Pourquoi? Tout est là. Tout est là, quelle est la retenue ?

 

TERRY : La relation est probablement ma plus grande…

 

ADAMUS : Êtes-vous dans l'une d'elles?

 

TERRY : Ouais, 47 ans.

 

ADAMUS : Quarante-sept, c'est long. Ouah. Et est-ce à cause d’un compromis ou parce que vous ne voulez pas être un Grand Maître et que votre partenaire ne l’est pas ?

 

 

 

 

TERRY : Eh bien, certainement ma partenaire, parfois je pense que nous avons ce genre de relation dont vous ou Tobias avez parlé et où l'un de nous est là pour ancrer.

 

ADAMUS : En effet.

 

TERRY : Pour que l'autre ne s'envole pas (Adamus rit). Et j'ai beaucoup volé dans ma vie.

 

ADAMUS : Oui. Oui, vous l'avez fait.

 

TERRY : Et donc…

 

ADAMUS : Alors, que faites-vous avec l'ancre ?

 

TERRY : Eh bien, vous savez, elle a été une personne merveilleuse pour être restée à mes côtés, et… mais…

 

ADAMUS : Ouh ! Il y a ce « mais ».Ok.

 

TERRY : Elle est… elle comprend le truc du « Je Suis ».

 

ADAMUS : Bien. Bien.

 

 

 

 

TERRY : Vous savez, je jette toujours des petites choses que vous avez dites.

 

 ADAMUS : C’est vrai.

 

TERRY : Ça ne se passe pas bien (ils rient). Ça se passe très mal !

 

ADAMUS : Je pense que c'est l'autre partie de la malédiction des Shaumbra (rires). Si vous jetez ces trucs dehors, ça ne se passe pas très bien.

 

TERRY : Oh, ce n'est pas le cas. Ça se passe très mal.

 

ADAMUS : Vous êtes en plein milieu d’une dispute et elle est en colère contre vous parce que vous laissez vos vêtements partout…

 

TERRY : C’est vrai.

 

ADAMUS : … et vous dites : « Je Suis ce que Je Suis. » (Plus de rires) « Quoi ?! Quoi ?! Ramasse tes sous-vêtements, Terry ! »

 

TERRY : Ouais !

 

 

 

 

ADAMUS : « J'Existe. » « Ouais, un peu trop, Terry! »Vous savez (Adamus rit).

 

TERRY : Vous devez avoir déjà fait ça vous-même avant, Adamus, (ils rient).

 

ADAMUS : Alors, que faites-vous ? C’est une question difficile. Qu'est-ce que vous faites?

 

TERRY : Ouais, parce que…

 

ADAMUS : Quarante-sept ans, ouais.

 

TERRY : Vous savez, quand vous parliez, peut-être du truc d'Angels ou quelque chose du genre, que vous allez faire ce truc dont nous devrions tous faire l'expérience – j'espère qu'elle ne regarde pas (rires).

 

ADAMUS : Ouais ! Ce serait pratique (Adamus rit).

 

TERRY : Elle ne le fait probablement pas. Je me demande parfois si ma fille regarde sournoisement, mais…

 

ADAMUS : Ouais, ouais.

 

TERRY : Ouais.

 

ADAMUS : Découvrez ce que fait le vieil homme.

 

TERRY : Ouais. Ouais.

 

 

 

 

ADAMUS : Oui. Donnez-leur une de ces brochures (faisant référence aux 21 réalisations Shaumbra).

 

TERRY : Je sais. Ouais.

 

ADAMUS : Ouais, ouais.

 

TERRY : C’est une aide. Mais …

 

ADAMUS : Donc, pour en venir au fait.

 

TERRY : A quoi ça sert ?

 

ADAMUS : Pourquoi est-ce une malédiction des Shaumbra ?

 

TERRY : De quoi parlons-nous?

 

ADAMUS : La Malédiction des Shaumbra (quelques rires).

 

 

 

 

TERRY : La malédiction des Shaumbra. Ouais. Quoi qu'il en soit, en traitant de cette relation, vous avez commencé à parler, vous savez, d'un amour parfait et du fait que nous devrions tous être en mesure d'arriver à ce point de – expérimenter un amour parfait. Je pense, par exemple, à Sam qui revient et découvre – parce que Tobias, vous aviez l’impression qu'il se battait juste dedans à la toute fin, n'est-ce pas ?

 

ADAMUS : Il le faisait. Vous savez, et une partie du problème avec Tobias, son amour et ses partenaires, c'est qu'il était si pieux. Je veux dire, tellement à essayer de plaire à Dieu tout le temps, qu'il ne se permettrait jamais le véritable amour. Il ne pensait pas qu’il le méritait, sinon Dieu le lui aurait donné. Dieu lui a donné de vraies chiennes et, vous savez, je veux dire, c'était… (rires). Je ne plaisante pas! J'en connais certaines. Oh mon Dieu! (plus de rires) Tobias, à quoi pensais-tu ? Il a dit qu'il s'agissait tous de mariages arrangés. Et j’ai dit : « Oui, arrangés par ta maudite énergie, parce que tu ne pensais pas mériter une relation heureuse. »

 

TERRY : Ouais.

 

 

 

 

ADAMUS : Oui, ils ont été arrangés. Alors, que faites-vous, Terry ? Que faites-vous?

 

TERRY : Donc, nous sommes juste coincés. Je laisse mon âme s’en occuper ces derniers temps.

 

ADAMUS : Ok. Bien.

 

TERRY : J'ai été capable de me connecter et j'ai eu beaucoup de choses qui me semblaient souvent liées à la relation ou à ma fille et mes petits-enfants, et ainsi de suite, des choses pour lesquelles je ne voyais pas comment cela allait se dérouler. Mais j'ai laissé tomber un jour ou deux, « Oh, ouais » et cela s’'est en quelque sorte réglé tout seul.

 

ADAMUS : Avez-vous lu l'article de Cauldre, que j'ai en quelque sorte aidé à écrire.

 

TERRY : Ouais, ouais, ouais.

 

 

 

 

ADAMUS : Il ne m'a pas cité comme co-auteur, mais j'étais là pour l'aider. Et à propos de vous, allez simplement aux potentiels les plus élevés. Ne cherchez  pas quoi que ce soit, mais soyez simplement dans cette conscience, dans cette dynamique énergétique.

 

TERRY : C’était très, très bien.

 

ADAMUS : Merci. J'ai aimé l'écrire (quelques rires).

 

TERRY : Et j’ai une chose similaire…

 

ADAMUS : Au fait, nous avons une petite bataille ici, en parlant de batailles. Mais allez-y.

 

TERRY : Non, l'idée de Geoff me plaisait peut-être plus que la mienne, mais je peux toujours m'y connecter.

 

ADAMUS : Puis-je – pouvons-nous rendre cela très simple ?

 

TERRY : Ouais.

 

 

 

 

ADAMUS : Et ceci s'applique à toute cette histoire de malédiction des Shaumbra. Vous êtes en couple/ dans une relation. Beaucoup de bonnes choses.

 

TERRY : Ouais.

 

ADAMUS : Et il y a eu beaucoup d'amour et beaucoup d'avantages pour vous deux. Mais, très simplement, laissez-la libre. Libérez-la. Et cela ne veut pas dire la jeter dehors. Cela veut dire… (quelques rires) eh bien, certains d'entre vous pensaient ça (quelques rires). Ouais. Ouais. Rentre à la maison – boum ! – elle est sortie ! Non non Non! Je veux dire, découplez-vous énergétiquement, puis observez, parce que cela peut vraiment s'envoler. La relation peut prendre un tout autre niveau. Mais vous devez la libérer.

 

TERRY : Ouais.

 

 

 

 

ADAMUS : Et cela peut aussi se désagréger, et cela n'a pas vraiment d'importance. Et je sais que l'aspect humain dit : « Oh, c’est important, parce que nous avons ceci … » Non, ça n’a pas vraiment d’importance. Alors libérez-la énergiquement dans votre cœur – « Je t'aime, je te libère » – parce que vous dépendez toujours d'elle pour certaines choses.

 

TERRY : Ouais, je pense que j’ai réussi à abandonner beaucoup de choses, mais il y a…

 

ADAMUS : Ouais, mais beaucoup de choses, ce  n'est pas tout, vous savez ?

TERRY : C’est vrai.

 

ADAMUS : Je veux dire, c’est un dicton d’un Maître. Beaucoup de choses – vous pouvez en faire beaucoup.

 

 

 

 

TERRY : Pourriez-vous me dire spécifiquement/ précisément ici comment lâcher prise ?

 

ADAMUS : Vous pourriez encore en avoir beaucoup là. Vous pourriez lâcher beaucoup de choses et avoir encore beaucoup de conneries. C’est donc une liberté absolue, libérez-la, son âme. Vous avez été ensemble, vous avez partagé, vous vous aimez et vous vous retenez dans une certaine mesure.

 

TERRY : Oui.

 

ADAMUS : Vous envers elle, autant qu'elle envers vous.

 

TERRY : Ouais.

 

ADAMUS : Donc, vous dites : « Nous nous accordons mutuellement la liberté » » Même si vous lui accordez simplement la liberté au niveau de l'âme, au niveau humain, et regardez ce qui se passe.

 

 

 

 

Maintenant, dans un cas comme celui-ci, l'humain se dit parfois: « Oh, mon Dieu ! Un peu de liberté ou peut-être beaucoup de liberté. » Mais je parle de liberté totale. L’humain panique : « Que va-t-il se passer ? » Ensuite, l’humain commence à faire des compromis, puis les choses deviennent compliquées et vous vous demandez pourquoi les choses ne fonctionnent pas dans votre vie. Vous accordez cette liberté et l’humain peut paniquer pendant un moment et imaginer toutes sortes de scénarios dans son esprit/mental sur ce qui va se passer, et passer par des scénarios de peur. Mais en réalité, c’est le meilleur possible. Des choses que vous ne pourriez peut-être même pas imaginer se produire actuellement, parce que l'humain vient souvent d'un point de vue très limité.

 

C’est effrayant de laisser quelqu’un libre. C'est vraiment effrayant de se laisser libre. Mais vous le faites, et c’est une toute nouvelle façon de mettre cette énergie créative à profit.

 

 

 

 

TERRY : Puis-je vous demander une chose ?

 

ADAMUS : Absolument.

 

TERRY : Une chose qui me vient sans cesse à l’esprit, c’est que je dois gérer ma propre énergie, n’est-ce pas ?

 

ADAMUS : Oui.

 

TERRY : C'est elle.

 

ADAMUS : C’est vrai.

 

TERRY : Peut-être comme…

 

ADAMUS : En fin de compte, c'est la vôtre. Ouais.

 

TERRY : Ouais.

 

ADAMUS : C’est vrai.

 

TERRY : Mais c'est... alors je dis : « Eh bien, vous savez, c'est mon problème, mon énergie », et ça devient...

 

ADAMUS : Ce n'est pas votre problème.

 

TERRY : … collant.

 

 

 

 

ADAMUS : Eh, vous savez, pas vraiment, une fois que vous avez laissé tomber. Une fois que vous avez toute cette énergie ou cette énergie collante, quelle qu’elle soit, et que vous dites : « Je ne vais plus jouer avec ça. Vous savez, je m’ennuyais et c’est ce que je faisais » ou autre chose. Vous laissez tout libre, et c’est vraiment ce que vous faites lorsque vous la laissez libre. Vous laissez tout cela se libérer, puis cela revient d'une manière très différente.

 

L’une des dynamiques dont nous avons parlé lors des récents rassemblements et également à Keahak est la suivante, je ne veux pas trop m’éloigner du sujet ici. Nous avons un autre merabh. Nous avons des êtres ascensionnés qui attendent que nous fassions le dernier merabh : « Allez, Adamus ! »

 

TERRY : Hah !

 

ADAMUS : Et nous avons des gens affamés, et nous avons Kerri et Vanessa qui attendent.

 

 

 

 

Ainsi, toutes vos expériences humaines entrent dans votre Akasha. C'est personnel. Ce n'est pas un groupe. C'est votre Akasha personnel. Tout ce que vous avez fait au cours de votre vie, assis à Akasha-ville (quelques rires). Et cela reste là-haut et fermente et devient malodorant et sale et tout le reste, mais ça traîne là. Ce sont tous les souvenirs, toutes les conceptions énergétiques de tout ce que vous avez fait. Et vous arrivez à ce point en devenant un Maître, et cela commence à s'ouvrir. Premièrement, c’est un peu, vous savez, comme s’il y avait tellement de choses là-dedans, tellement de cochonneries, et c’est comme une cocotte- minute. Et très vite, il y a une petite fuite (il siffle comme une théière), vous savez, ça commence à fuir par le côté, et puis très vite, de plus en plus. Ce truc, tous les souvenirs, tout commence à quitter l'Akasha. Et quand c’est le cas, l’âme l’attrape et dit : « Bon, c’est le temps pour la sagesse. » Elle le rend sage, puis le ramène sous forme de Nouvelle Énergie.

 

C’est ce dont nous avons parlé lors des réunions, en explorant cette Nouvelle Énergie, en quoi elle est différente. La Nouvelle Lumière, comme c’est différent. Et, pour en revenir à ce que je disais, vous libérez quelque chose, vous donnez en fait la permission, en tant qu’humain, de le laisser sortir de l’Akasha, votre grand livre des records, et vous permettez maintenant qu’il soit transmuté en sagesse. Alors, se laisser libre, laisser son partenaire libre, tout ça, ça semble dur. C’est effrayant, mais en fin de compte, quel mal y aurait-il à laisser quelque chose se libérer ?

 

TERRY : C’est vrai.

 

 

 

 

ADAMUS : À quel point voulez-vous que cela devienne plus odorant ? Vous savez, je veux dire… (Terry rit) Ça fermente là-dedans.

 

TERRY : C’est vrai.

 

ADAMUS : Bien. Pas de distillerie. Ça fermente. Bien. Merci.

 

TERRY : Ouais.

 

ADAMUS : Ok.

 

TERRY : Merci.

 

ADAMUS : Vous pariez.

 

Donc, nous devons avancer, passer à autre chose, mais la Malédiction des Shaumbra, c'est transporter des charges sur votre dos, parce que vous pensez que vous devez le faire. En souffrant, vous pensez alors avoir de l'empathie. C’est compromettant.

 

C'est – je vais juste en venir à l’essentiel– vous jouez toujours à un jeu, et c'est un jeu que vous aimez. Sinon, vous ne le feriez pas. Il dit toujours : « D’accord, je suis à quelques instants de la Réalisation. Je suis à quelques instants, mais pas tout à fait. » Combien de temps allez-vous jouer à ce jeu ? Vraiment? Combien de temps?

 

 

 

 

Maintenant, nous avons commencé ce Shoud aujourd'hui avec de la belle musique, et j'ai dit : « Tout va bien ici. » Déployons-le maintenant. Passons en revue l’expérience de la façon dont nous venons de créer de la belle musique. Et c'est aussi le cas pour la Malédiction des Shaumbra. C’est comme si nous allions au-delà maintenant. Passons à la belle musique qui est déjà là. Venons-en à la nature sensuelle, légère et créative de la vie humaine sur cette planète. Une expérience merveilleuse, soit dit en passant, mais passons à l’étape suivante.

 

Alors profitons de ce moment, avant de faire venir mes amis. Profitons de ce moment pour libérer cette malédiction des Shaumbra pour nous tous individuellement, mais pour tout ce groupe. C'est comme un nuage qui plane autour des Shaumbra. Ce n’est pas écrasant, mais c’est là. C’est comme, vous savez, une petite odeur nauséabonde. Vous savez – Sniff ! Sniff !– qu'est-ce que c'est ? Je veux dire, ce n’est pas mauvais, mais c’est juste comme une petite odeur nauséabonde dans la pièce. Laissons cela de côté.

 

(pause)

 

 

 

 

Et pour faire de 2024 notre année d’entrée dans l’Amour 2.0, vous devez lâcher prise. Il le faut vraiment. La Malédiction des Shaumbra , c’est un peu de souffrance inutile. C'est une hésitation. Il s’agit peut-être de ne pas avoir l’impression d’être tout à fait prêt ou – c’est en fait une sorte de faible conscience – c’est plutôt que vous vous amusez toujours à jouer au jeu, sinon vous ne le feriez pas.

 

Alors allons au-delà de cela. Laissons tomber cette malédiction des Shaumbra.

 

Prenez une grande respiration profonde.

 

 (pause)

 

J'aimerais retourner bientôt au Club des Maîtres Ascensionnés et dire : « Nous l'avons fait. Nous avons laissé cette vieille malédiction disparaître. C'était dur. Vous savez, c’était dur, parce que c’est comme un vieil ami, en quelque sorte. Mais nous l’avons fait. Nous nous sommes libérés. »

 

Une bonne respiration profonde. Ah ! Cette malédiction des Shaumbra. Hum.

 

 

 

 

 

Le Cercle de Lumière

 

Bon, passons maintenant à notre dernière partie de la réunion.

Donc, oui, c'est parfois difficile. C’est un jeu parfois, mais c’est un jeu difficile, et cela vous épuise au point que vous pouvez à peine penser /réfléchir. Vous pouvez à peine – (soupir) – vous élever au-dessus d'une partie du chaos.

 

Nous parlons de faire briller votre lumière et de faire le vrai travail que vous êtes venus faire sur cette planète, et il y a des moments où je sais que cela vous épuise. Mais ce que j’ai fait, c’est que j’ai demandé à une douzaine de vos amis et Maîtres Ascensionnés de se joindre à moi aujourd’hui dans le Cercle de Lumière, et ils vont vous rayonner leur lumière. Et tout ce qu'ils demandent, c'est que vous la receviez. C'est pour vous.

 

(La musique commence)

 

Et il n’y a aucun programme là-dedans. Il n’y a pas de dicton « Mary, tu devrais faire ceci ou cela ».Ils veulent juste que vous la receviez. Laissez-la remplir votre cœur.

 

Ils n’essaient pas de vous changer. Vous ne sentirez aucune poussée ou pression à la lumière de ces grands êtres.

 

(pause)

 

 

 

 

Vous ne sentirez rien, vous ne sentirez rien d’autre que leur amour.

Prenons une profonde respiration et ils se rassemblent en cercle autour de nous.

 

(pause)

 

Douze d'entre eux. Ça me fait me sentir comme Jésus (quelques rires). Au fait, Jésus adore les blagues sur Jésus. Ouais, ouais (Adamus rit). Ouais. En fait, Yeshua a un bon sens de l’humour. Il adore les blagues. Il n'aime pas les rituels. Il n'aime pas la partie religieuse, mais il adore les blagues. Je veux dire, si vous ne pouvez pas raconter une blague sur Jésus, quelle blague pouvez-vous raconter, après tout, n'est-ce pas ? Jésus Christ! (rire).

Ok. Ok. Maintenant, nous en avons 13 (plus de rires). Yeshua vient de se joindre à nous. Non, sérieusement. Je veux dire, une autre tasse de café ! Oh, il a dit qu'il ne buvait pas de café. Un autre verre (Adamus rit).

 

Alors, je vous demande de le permettre maintenant et de sentir leur amour.

Vous faites tellement de choses pour les autres et en interne avec vous-même. À quand remonte la dernière fois que vous avez permis à Jésus et aux autres de vous aimer ? (Adamus rit)

 

 

 

 

On me corrige. Je suis censé l’appeler Yeshua, mais en fait c’est plus amusant avec Jésus, vous voyez ? Très bien, Yeshua Christ.

 

Alors prenons une profonde respiration maintenant et recevons cette lumière. Je veux que vous soyez du côté de la réception cette fois. Vous êtes toujours du côté des donateurs.

 

(pause)

 

Je suppose que c'est votre cadeau de Noël de ma part et de leur part à eux pour vous.

 

Prenez une bonne respiration profonde et laissez la lumière briller, leur lumière pour vous.

 

(pause plus longue)

 

Oui, Yeshua aimerait que vous publiiez des blagues sur Jésus sur vos réseaux sociaux. Non sérieusement. Je veux dire, vous devez rire.

Et recevez-le, s'il vous plaît.

 

 

 

 

Je veux que vous fassiez l’expérience de ce que signifie recevoir la lumière, parce que vous le faites pour les autres. Oui, et pour vous-même, mais pour la recevoir de la part des Maîtres Ascensionnés, des figures bibliques et de certains des chers amis qui étaient assis à ces mêmes sièges auparavant – Caroline, Sart, FM, DocCe.

 

Non, je suis désolé, Edith revient. Oh, elle, elle… Je suppose qu'elle aurait pu se rendre au Club des Maîtres Ascensionnés, peut-être. Mais non, elle revient. Alors, gardez cette chaise ouverte pour elle. Un jour, si une petite fille passe la porte et qu'elle porte une nappe pour veste (rires) ou sa robe, »Edith, vous êtes de retour ! »(Adamus rit)

 

Vous devez rire, n'est-ce pas ? Vous devez juste rire.

 

C’est un grand moment pour simplement recevoir cette lumière et la sentir, et elle entre en quelque sorte et vous chatouille un peu.

 

Vous pouvez presque sentir cette lumière sourire et vouloir être enjouée /ludique.

 

(pause)

 

 

 

 

Laissez-la simplement pénétrer et vous ne ressentirez peut-être rien ni avoir aucune réaction physique. Peut-être, peut-être pas. Cela n’a pas vraiment d’importance. Elle est juste  là.

 

Pour certains d’entre vous, cela peut prendre des jours avant même de réaliser que vous avez ressenti quelque chose. Cela n'a pas d'importance. Elle est juste là.

 

(pause)

 

La lumière est une chose très belle et très intéressante. Et quand vous permettez à leur lumière d’entrer, oh, c’est très pur à cause de qui ils sont, mais vous commencez à réaliser que vous sentez la lumière tout le temps de la part de tout le monde. Une fois que vous vous connectez ici comme ça et que vous le sentez, vous réalisez : « Mon Dieu, chaque fois que je parle à quelqu'un, que j'interagis avec quelqu'un, mon Esprit entend les mots et voit à quoi ils ressemblent et tout le reste », mais il y a toujours un niveau où vous sentez simplement leur lumière. Et certains que vous penseriez, ne contenaient aucune lumière. Ils ne savent même pas comment épeler la lumière. Pour la plupart d’entre eux, c’est comme la bière – l-u-m-i-è-r-e. Mais alors, à un niveau quelque part au sein de chaque être, se trouve cette lumière.

 

 

 

 

Ainsi, en recevant ce que nous faisons ici aujourd’hui, vous commencerez tôt ou tard à être capables de ressentir et de percevoir la lumière chez les autres, aussi enfouie qu’elle puisse paraître.

 

(pause)

 

Et ils ne se contentent pas de faire briller leur lumière. Ils fredonnent un peu aussi.

 

(pause)

 

Et ils vous embrassent.

 

Vous ne sentirez pas nécessairement une main sur votre épaule. C’est juste le sentiment d’être entouré et embrassé, tenu, réconforté.

 

(pause)

 

Si vous rencontrez un défi en ce moment, vous dites : « Eh bien, je ne sens rien qui se passe », parce que, voyez-vous, dans une lumière comme celle-ci, il n’y a aucune force de résistance. Il n’y a pas de force opposée. Il n'y a pas de bataille. Donc, vous ne ressentez ni la dualité ni la résistance.

 

Donc, ce que vous faites, c’est prendre une respiration profonde et vous laisser aller à un niveau de conscience plus élevé où il n’y a pas besoin d’avoir une résistance, une opposition, quelque chose de différent.

 

(pause)

 

 

 

 

L’attente humaine est : « Eh bien, je vais ressentir quelque chose », mais cette attente se produit au niveau de la dualité, pour ainsi dire. Prenons donc une respiration profonde et élevons-nous jusqu’à ce niveau où il n’y a ni résistance ni opposition. Ce n’est pas négatif, positif. Ce n’est pas moi, eux. C'est simplement leur lumière.

 

(pause)

 

Comme vous, lorsque vous faites briller votre lumière, il n’y a pas d’agenda/ de programme. Il n’y a pas de parti pris. C'est juste un pur flux.

C’est la même chose ici maintenant, comme vous la recevez de ces grands êtres. Je veux que vous fassiez l’expérience de ce que signifie sentir, sentir la lumière.

 

(pause)

 

Et vous pourriez dire : « Eh bien, cela me ressemble. » Bingo ! Oui.

 

Quand elle n'a pas d'agenda, quand la lumière n'essaye pas de guérir, de réparer ou de changer de direction, elle est simplement là dans la lumière, dans une compassion totale, elle est vous, vous la sentirez comme étant la vôtre.

 

(pause)

 

 

 

 

Ce que cela fait, c’est que leur lumière danse avec votre lumière. Et parce que c’est la lumière et ce nouvel amour, c’est très, très propre. Cela va vous ressembler.

 

(pause)

 

Et je veux que vous ressentiez à quel point ils sont heureux de faire cela. Ce n’est pas un travail pour eux. Ce n’est pas difficile à faire. C'est une joie simple.

 

C'est ce qu'ils aiment faire.

 

(pause)

 

J'ai Caroline qui saute du plafond, tellement heureuse d'être là. Et tout récemment passée de l'autre côté, mais ressentant encore la (la vocalisation musicale commence). Je peux presque l'entendre chanter.

 

(pause)

 

J'aime quand cela se produit. 

 

Prenons une bonne respiration profonde (le chant continue).

 

(longue pause)

 

 

 

 

Vous savez, quand vous faites briller votre lumière, la raison pour laquelle vous êtes ici sur la planète en ce moment, c'est un peu comme ça.  C’est ce que certains obtiennent réellement ou ce que d’autres obtiennent à d’autres niveaux.

 

(pause)

 

Je voulais que vous soyez les receveurs aujourd'hui.

 

(longue pause)

 

Recevez-la simplement. C'est tout.

 

(longue pause)

 

 

 

 

Prenons une bonne et profonde respiration dans le Cercle de Lumière, pour tous ceux qui se sont rassemblés ici aujourd'hui juste pour faire briller leur lumière sur vous, afin que vous puissiez sentir à quoi cela ressemble.

 

(la musique se termine)

 

Prenons une profonde respiration et recevons cette lumière. Une bonne et profonde respiration.

 

Une bonne et profonde respiration.

 

 

 

 

Alors, chers Shaumbra, Jésus-Christ, quelle journée (quelques rires).

 

Sur ce, rappelez-vous que tout va bien et que tout s’améliore encore dans toute la création.

 

Je suis Adamus. Merci (applaudissements du public).

 

 

*****

 

Respiration d’Intégration de Linda

 

 

 

Eh bien, voici un autre moment pour ajouter un mot et même pour dire : soyez avec la beauté de tout ce que nous avons eu chacun l'occasion de recevoir.

 

 

Permettez-le vous.

 

Et nous reviendrons le mois prochain.

 

 

 

Merci d’avoir fait partie de ce Shoud très spécial.

 

Merci.

 

 

*****

 

 

CRIMSON CIRCLE

The Global Affiliation of New Energy Teachers

Affiliation Mondiale Des Enseignants Nouvelle Énergie

www.crimsoncircle.com

 

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Interprétation de Feolla 

feolla.ca@gmail.com    www.quatorzenouvelleenergie.com

 

 

Avec l’aimable participation d’Elyo pour les parties Respiration d’Introduction et Respiration d’Intégration de Linda.

 

 

 

______________________© Copyright Geoffrey Hoppe 2023_______________________

 

Adamus® canalisé par Geoffrey Hoppe , assisté par Linda Hoppe

 

Vous pouvez distribuer librement ce texte, dans son entièreté, sur une base non commerciale et gratuite, y compris ces notes. Toutes autres utilisations doivent être approuvées par écrit par Geoffrey Hoppe, Golden, Colorado.

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Toutes les photos sont de Dave Schemel

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20/12/2023
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