SHOUD 2 - Série Le Transhumain - Adamus Saint Germain canalisé par Geoffrey Hoppe le 01 10 2016
Adamus® Saint-Germain
Série «LE TRANSHUMAIN »
Shoud 2
Présenté au Crimson Circle le 01 Octobre 2016
Canalisé par Geoffrey Hoppe assisté par Linda Hoppe
www.crimsoncircle.com
Vous pouvez écouter ou regarder directement en ligne : Shoud 2 :
NOTE IMPORTANTE: Cette information n’est probablement pas pour vous, sauf si vous prenez l'entière responsabilité de votre vie et de vos créations
Je suis ce que je suis, Adamus du Domaine Souverain.
Je peux sentir et entendre que l’on me prépare un café en ce moment même (rires), comme par enchantement. Je n’ai même plus à daemander. Cette chère Sandra est dans l’arrière-salle à faire tout ce vacarme, à faire mousser le
lait et à moudre le café et à faire de la vapeur, tout cela pour son oncle Adamus (plus de rires).
LINDA: Hmm.
ADAMUS: Un peu différent. Je vous l’expliquerai plus tard, quand nous y viendrons. Mais prenez une profonde respiration et lâchez prise sur la façon dont vous participiez aux Shouds jusqu’à présent. Ça va être un peu différent aujourd’hui.
L’une des raisons, c’est que nous avons un certain nombre d’invités ici aujourd’hui, en réalité nulle autre que Malu (en référence à Malu Gaxiola, qui a fait sa transition récemment). Nous avons réservé un siège au premier rang pour elle. Cela ne vous dérange pas si Malu s’assoit à côté de vous? Oui (applaudissements). Oui.
Voici un très bref message de Malu: Elle dit que l’intégration du corps physique dans le Je Suis et le fait même d’avoir quitté les plans physiques est très facile; il n’y a rien, rien, vraiment rien à craindre du tout. Mais pourtant elle encourage chacune et chacun d’entre vous à continuer ici sur Terre, dans ce corps, à faire ce travail de l’intégration, pour pouvoir ensuite jouir de votre vie, quel que soit le nombre d’années pendant lesquelles vous choisirez de rester, pour complètement savour… (son d’une cafetière vapeur dans le fond; rires de l’audience) Pour ceux d’entre vous qui ne peuvent pas l’entendre en ligne, il y a un bruit répugnant qui vient des toilettes (rires).
LINDA: Les toilettes ? Ne serait-ce pas plutôt votre café?
ADAMUS: Ou alors c’est peut-être mon café qu’on est en train de préparer.
LINDA: Je pense que c’est votre café, oui ! (Plus de rires) Avez-vous vérifié ? Peut-on vérifier ce qu’il se passe au Club des Maîtres?
ADAMUS: ça fait un son crerrraghhhhhh!
LINDA: Pourrait-on vérifier ce qu’il se passe au Club des Maîtres?
ADAMUS: Sandra, où est mon café?
LINDA: Pouvons-nous vérifier ce qu’il se passe au Club des Maîtres?
ADAMUS: Nous allons vérifier ce qu’il se passe au Club des Maîtres concernant tout ce bruit.
LINDA: Il n’y a pas de caméra là-bas?
ADAMUS: Nous allons vérifier les toilettes et le Club des Maîtres (plus de rires) …
LINDA: Pouvons-nous switcher (la camera) sur le Club des Maîtres?
ADAMUS: … pour voir ce qui se passe dans ce satané espace sacré ? Que se passe-t-il?
LINDA: Passons au Club des Maîtres. Passez au Club des Maîtres. C’est là où on trouvera la preuve, de toute évidence.
LINDA: Oh, bien sûr.
ADAMUS: Aidez-moi à découvrir ça.
LINDA: Oh, bien sûr!
ADAMUS: Est-ce que ce bruit …
LINDA: Oh, bien sûr!
ADAMUS: Est-ce que ce bruit vient de là? (Vérification des toilettes) Bleaghhhhh! (Plus de rires) Non, mauvais bruit. Bruit incorrect.
LINDA: Etes-vous sûr?
ADAMUS: ça ne vient pas de là.
LINDA: Etes-vous sûr?
ADAMUS: Affirmatif. Sortez des toilettes hommes!
LINDA: Parce que vous êtes – ooh!
ADAMUS: Est-ce que ce bruit provient … (ouvrant la porte des toilettes femmes) Oh! Je suis vraiment désolé. Désolé. Vous ne devriez pas faire ça là-dedans.
LINDA: Il n’y a rien là-dedans!
ADAMUS: Oui. Alors d’où vient ce bruit répugnant ?
LINDA: Ahhh.
ADAMUS: Ou est-il possible … (ils sont dans le Club des Maîtres maintenant, où Sandra lui offre un café) ahhh!
ADAMUS ET LINDA: (ensemble) Ahhh!
ADAMUS: Princesse Dracula a préparé mon café spécialement pour moi. Permettez-moi de mordre votre cou (il fait semblant de mordre le cou de Sandra).
SANDRA: Aah!
LINDA: Oh! Elle avait raison!
ADAMUS: Oui. Je vous remercie. Et (faisons) un autre tour du Club des Maîtres. Ce bel endroit magnifique pour les Maîtres humains. Comme c’est approprié aujourd’hui.
Donc, après cela, revenons à notre travail en cours.
LINDA: D’accord.
ADAMUS: Oui. Je vous remercie de ces bruits répugnants, Sandra (plus de rires).
LINDA: Vous savez, la vie est ce qu’elle est.
ADAMUS: Quelqu’un d’autre voudrait une tasse de café? Une tasse de café pendant que nous faisons notre Shoud? Non? Non?
LINDA: Mais je suis un peu effarée par votre imagination, par le fait que vous pourriez transformer le café en cela.
ADAMUS: Ah. Donc, c’est un Shoud un peu différent aujourd’hui …
LINDA: Vraiment?
ADAMUS: … avec Malu assise là, riant, riant, savourant chaque moment avec chacun d’entre vous et quelques autres invités spéciaux ici au Club des Maîtres du Centre de Connexion du Crimson Circle.
ÉLECTIONS
Il y a quelque chose dans l’air, en plus de tout cela, pour ceux d’entre vous qui vivent en Amérique, un endroit que j’ai aidé à fonder, avec beaucoup d’entre vous. Vous savez que c’est la période des élections (quelqu’un dit «Ouais» et quelques personnes dans l’assistance rient). Vous avez entendu aux informations que c’est la période des élections, et la plupart d’entre vous dans le monde entier savent que c’est l’époque des élections aux États-Unis d’Amérique. C’est très divertissant d’une certaine manière (plus de rires).
LINDA: C’est une gentille façon de le dire.
ADAMUS: Absolument divertissant, avec toute cette agitation, tout ce bruit et surtout tout ce pouvoir.
LINDA: Ah.
ADAMUS: Les élections, peu importe où elles ont lieu, portent généralement sur le pouvoir. Le pouvoir. Et je veux que vous tous soyez particulièrement conscients des élections de cette année.
Maintenant, il y a plusieurs années, Tobias a dit: «Ne votez pas. Tenez-vous derrière ce mur. Observez ce qui se passe. » Je n’irai pas aussi loin, mais je ne dirai pas que c’est aussi important que cela de voter. Votez si vous voulez. Votez pour ce que vous qualifieriez de candidats de moindre importance, juste pour déstabiliser les grands (quelques rires). Même si vous ne connaissez pas leurs noms, même si les gens ne connaissent pas les noms de certains dirigeants du monde, ça n’a pas d’importance, juste … (plus de rires) Même si les gens ne se souviennent pas de leur propre nom, mais votez seulement pour les moins connus, juste pour faire la démonstration que le pouvoir est une illusion, parce que les principaux partis politiques, peu importe où ils sont dans le monde, sont tellement pris dans les mailles du pouvoir.
Ils ne peuvent pas s’en empêcher, parce qu’ils sont influencés par ce que vous appelez des groupes spéciaux, des groupes spéciaux d’influence. Ils sont influencés par l’argent. Ils sont influencés par la religion. Ils sont influencés par tant d’autres choses, qu’au moment où ils arrivent au niveau où ils en sont, à concourir pour un poste, ils sont tellement influencés par le pouvoir – y compris leur propre pouvoir – qu’ils ne voient pas ou ne ressentent rien d’autre que le pouvoir. C’est une dépendance quand on en arrive à ce point-là et c’est pareil pour toutes les autres personnes qui gravitent autour d’eux. C’est un jeu de pouvoir. Les gens parlent de servir le peuple, mais très peu le font en fait. Cela fait des décennies qu’il n’y a pas vraiment eu de candidat national qui se soit réellement concentré à servir le peuple, parce que cela ne répond pas aux besoins de pouvoir.
Ressentez les élections de cette année en tant que, ce que vous pourriez appeler étude spirituelle ou étude métaphysique. Ressentez-les avec un peu plus que juste vos sens ordinaires. Ressentez-les avec votre Sens Maître, sans juger si un candidat est bon ou mauvais, sans vous faire prendre dans les dissensions causées par les élections, au point où cela vous impacte personnellement. Ressentez cela. Qu’est-ce qui se passe réellement? La masse du peuple, que fait-elle ? Pourquoi suit-elle certains candidats ? Pourquoi se déchaine-t-elle à ce sujet ? Pourquoi y a-t-il tant de divisions et d’injures. Tout est basé sur le pouvoir. C’est vraiment extraordinaire de voir cela. Absolument fascinant. C’est une étude fascinante sur l’humanité elle-même, quand il est question d’élections.
Les élections en elles-mêmes ne me posent aucun problème. La démocratie – en fait, il n’y a pas vraiment de véritables démocraties dans le monde actuellement, en pratique il y a seulement de fausses démocraties – c’est fascinant à regarder. Et sous tout cela, comme vous êtes l’observateur, regardez comme une grande partie de cela a aussi rapport avec la liberté. La liberté de parole, plus que l’acte de liberté. Le discours sur la liberté, alors qu’en réalité rien n’est vraiment donné. En un sens, de plus en plus même est repris, mais les dynamiques de la liberté et du pouvoir travaillent toutes les deux ensemble ou plutôt l’une contre l’autre. Écoutez comment ceux qui soutiennent certains candidats parlent de liberté, mais en vérité, il n’y en a pas tant que cela. J’irais même jusqu’à dire qu’ils ne comprennent pas vraiment ce qu’est la liberté.
La liberté ne réside pas dans ce que les autres vous laissent faire. La liberté réside dans ce que vous vous autorisez à faire, et il y a une très, très grande différence. Les gens hurleront pour qu’on leur donne la liberté, des droits, alors qu’en réalité la liberté a rapport avec vous-même, ce que vous vous permettez et vous donnez à vous-même. Personne ne peut vous donner la liberté. Personne ne peut vous donner la liberté de quelque façon que ce soit. Vous pouvez être en prison et avoir plus de liberté qu’une personne à l’extérieur qui se promène dans la rue. La liberté est une chose interne.
Pendant que vous écouterez tous ces discours politiques en cette période d’élections, et vous en entendrez beaucoup; pendant que vous les écouterez, je veux aussi que vous alliez à l’intérieur de vous et que vous ressentiez en vous-même le système électoral qui se trouve en vous. Hmm. Qui va se faire élire? Qui sera le patron ? Qui va diriger ? Je veux que vous les écoutiez, parce qu’il y a une si belle analogie entre les élections extérieures et les élections internes. Qui sera le patron aujourd’hui? Qui va diriger – le soi humain victimisé ou l’humain responsabilisé ? Est-ce que ce sera un aspect, un aspect blessé et endommagé, ou est-ce que ce sera un aspect sain intégré?
Écoutez les débats qui n’arrêtent pas dans votre mental, chaque jour, à propos de qui va diriger. Ecoutez qui promet plus de liberté, qui promet plus de richesse, qui promet plus de joie, qui promet moins de règles, mais en réalité ne délivre jamais rien de tout cela, parce que d’une certaine manière ce que le soi humain a toujours vécu jusqu’à maintenant, c’est une élection constante et continue. Ecoutez qui truque les résultats. Ecoutez qui ment aux autres aspects du soi. Ecoutez qui fait de grandes promesses, mais en fait ne délivre jamais rien.
En cette période d’élections cette année aux États-Unis, je peux vous garantir une chose – c’est qu’aucun changement, aucun véritable changement ne va survenir. Il n’y en aura tout simplement pas. Il y a beaucoup de discours. Il y a beaucoup de blabla. Mais aucun véritable changement ne va survenir. Pourquoi? Parce que, en fait, les gens, ne veulent pas de vrai changement. Certaines personnes veulent un petit changement. La plupart des gens ne veulent vraiment pas beaucoup de changement. Peut-être un peu moins d’impôts, mais même alors, ils oublieront cela peu de temps après. Les gens ne veulent pas vraiment de grands changements.
Écoutez l’élection en vous-même – toutes ces promesses, toutes ces choses magnifiques à propos d’un corps en meilleure santé, plus mince, plus jeune, plus riche – et les politiciens à l’intérieur, ces aspects à l’intérieur qui vous font ces promesses et ne les respectent pas. Mais le lendemain, ils sont là de retour, à essayer de se faire réélire. Qui va diriger ? Et le fait est qu’en fait très peu de changements ont vraiment lieu.
Mais heureusement aujourd’hui sera un peu différent. Heureusement. C’est pourquoi nous allons chasser les politiciens, expulser les éminences grises, expulser tous ces aspects qui font tout ce bruit et toutes ces promesses et nous allons faire émerger le Maitre aujourd’hui. Nous allons acter cela de manière très significative. Nous allons commencer par expulser tous ces parasites de la fonction (de direction). Nous allons les chasser hors de la ville et nous allons en fait arriver au point d’une véritable souveraineté personnelle (le public acclame et applaudit).
LINDA: Attendez une seconde (elle ajuste son costume).
ADAMUS: Mais attendez, êtes-vous prêts pour le changement? Voilà la vraie question. Et vous dites: «Oui», et je peux le comprendre, mais je vais vous demander d’écouter en vous-même tous ces autres candidats qui se présentent, qui vous disent : «Nous vous apporterons du changement », mais non, ils ne le feront vraiment pas. Ils essaient juste de vous calmer / endormir.
En parlant d’élections, j’ai toujours pensé que le clergé devrait présenter sa candidature au poste.
LINDA: Oooh! (Applaudissements)
ADAMUS: Oui, les prêtres, les prêtres locaux et les ministres du culte devraient présenter leur candidature. Ils sont en quelque sorte nommés – Je ne sais pas comment ils sont choisis – mais ils sont nommés, ils sont affectés à leur charge. Les cardinaux et les évêques, ils devraient avoir à se présenter candidat pour un poste et à laisser tout le monde voter, pas seulement les catholiques. Laissez-les tous voter et voyez ce qui se passe. Les juifs, les musulmans et tout le monde qui se mettent à voter pour …
LINDA: Devrait-il y avoir une durée limitée au mandat ?
ADAMUS: Une durée limitée, oui, en fait pas jusqu’à la mort (Linda glousse et quelques rires du public).
Pouvez-vous imaginer quels débats politiques ou quelles publicités politiques prendraient place si un prêtre devait candidater pour sa fonction ? « Je combattrai le diable plus fort que mon adversaire! On a vu mon adversaire assis dans sa voiture en compagnie du diable lui-même et coucher avec le diable lui-même. Je combattrai le diable! » Ou il promettrait de baisser le denier du culte (le paiement de la dîme), oui (quelques rires). « Je propose que tous ceux qui voteront pour moi bénéficient d’une réduction de 25 pour cent dans le paiement de la dîme. »
LINDA: Dîme signifie 10 pour cent.
ADAMUS: Mais il y aura une réduction de 25 pour cent dans la dîme. « Nous irons jusqu’à 7,5 pour cent, c’est tout ce que vous aurez à donner. Alors que mon adversaire soutient plus de dîme pour tout le monde. « (Plus de rires) Pouvez-vous imaginer ce qui se passerait dans le confessionnal? (rire)
LINDA: Est-ce une distraction?
ADAMUS: C’est mon numéro comique (plus de rires).En quelque sorte. Une sorte de comédie.
Vous savez, en fait les Maîtres Ascensionnés ont un sens de l’humour très différent de celui des humains. Alors j’ai dû travailler toute la semaine sur ce truc (quelques rires). Toute la semaine, parce qu’au Club des Maîtres Ascensionnés, nous sommes assis sans rien faire, à parler et à nous dire: «Oh! Vous avez vu l’homme qui a eu un accident de voiture aujourd’hui? Ahh! Dieu, qu’est-ce que c’était drôle! » Vous voyez, les humains ne rient pas. Les humains sont plutôt du genre: « Oh, mon dieu! Ils en rient. » Oui, parce que nous savons que ça n’a pas d’importance. Nous pouvons en rire. Nous avons, en fait, chaque Maître Ascensionné a appris à rire de tout, car il libère toute cette énergie bloquée. (Il rit de) Tout. Tout. «Avez-vous entendu parler de la personne qui a sauté de la falaise, l’autre jour? Oh mon Dieu! C’était amusant! »
LINDA: ça ressemble plutôt au Club des Maîtres Offensés.
ADAMUS: Non, c’est un truc marrant au Club des Maîtres Ascensionnés. J’ai toujours dit aux Shaumbra de garder vos histoires prêtes pour quand vous irez là-bas. Tenez vos histoires prêtes.
Vous rendez vous compte que nous sommes assis sans rien faire depuis des milliers, peut-être des dizaines de milliers d’années au Club des Maîtres Ascensionnés – nous sommes seulement un peu plus de 9000 – nos histoires se font vieilles (quelques rires). Nous avons besoin d’un peu de sang neuf, de viande fraîche au Club des… nous avons besoin de vos histoires et je vais vous dire un secret maintenant, embellissez-les. Ne dites pas: «Eh bien, quand j’étais enfant, on m’a beaucoup tapé, ensuite au lycée, personne ne m’aimait et ensuite, après cela, j’ai dégoté un mauvais travail» (d’un ton terne). Embellissez l’histoire ! Dites plutôt «J’étais un battant quand j’étais gamin! Je frappais les autres enfants et ensuite ils m’assommaient. Et au lycée, personne ne m’aimait, mais je m’en fichais parce que j’étais ma propre personne. Ensuite, j’ai eu un boulot qui m’a pompé, alors je l’ai quitté et je suis devenu SDF pendant un certain temps. »
LINDA: C’est l’histoire de qui ça ?! (rire)
ADAMUS: Embellissez-la ! Non, quand vous arriverez là-bas s’il vous plaît, je vous en supplie presque, embellissez un peu vos histoires, parce que nous avons de très vieilles histoires toutes rabougries. Malu le sait. Vous savez, il n’y a rien de mal à jouer la comédie, et à s’amuser avec ça. Prenez la pire chose qui vous soit arrivée dans la vie, la pire chose et amusez-vous avec. Tenez cette histoire prête, parce que quand vous arriverez au Club des Maîtres Ascensionnés, il y aura beaucoup de pression. Tout à coup, vous serez en face de 9,693 Maîtres Ascensionnés et, vous savez, ils s’ennuient depuis un certain temps, ils ne s’amusent pas beaucoup. Ils veulent de nouvelles choses, et il va y avoir une énorme pression sur vous pour que vous leur racontiez une très bonne histoire. Commencez à vous entrainer. Prenez la pire chose qui vous soit arrivée dans la vie et transformez-la en une histoire. Amusez-vous avec ça.
Vous savez, la comédie humaine est basée sur le conflit et ensuite le relâchement / lâcher prise. Conflit, relâchement. Conflit, relâchement. Vous êtes toujours dans la partie conflit (Adamus rit, quelques rires du public). Et je peux en rire. Vous êtes toujours dans la partie conflit, et vous vous mettez tous à quatre pattes dans la boue et, « Oh, pauvre de moi et mon ventre qui me fait mal. Et oh, j’ai une vie difficile. » Prenez une histoire, prenez les trois pires choses qui vous soient jamais arrivées ou que vous ayez jamais faites, que vous ayez jamais faites aux autres et commencez à travailler là-dessus. Regardez-vous dans le miroir et pratiquez, répétez. Utilisez vos mains. Les mains ont une part très importante dans l’acte de conscience. Utilisez vos mains, vous faites un peu les cent pas, vous marchez d’avant en arrière.
Vous ne pourriez pas le croire. Nous avons eu un nouveau venu récemment et ce nouveau, ce nouveau Maître Ascensionné se tenait juste là, « Ouais, j’ai eu une vie très intéressante sur Terre et oui, j’ai beaucoup médité et … » (dit d’une voix sourde) C’est un peu comme de jouer la comédie. Je veux dire, vous êtes sur une grande scène là, devant des Maîtres Ascensionnés.
Et je vous dis cela pour une raison très importante, que je vous dirai après une pause pour prendre mon café (Adamus prend une gorgée). Mmm. Je vous dis cela pour une bonne raison, c’est parce que vous ne le faites pas vraiment pour les Maîtres Ascensionnés. Ils ont besoin de bien rire. Ils ont besoin de vraiment bien rire. Mais vous le faites pour vous-même, parce que ces trois pires choses qui vous sont arrivées dans la vie et qui vous bloquent toujours et qui vous ont peut-être un peu blessé, sont des nœuds d’énergie, et ce n’est pas réellement ce qui est arrivé. Je vais vous en parler tout de suite. Ce n’est pas ce qui est arrivé.
La mémoire. Les souvenirs ne sont rien que des émotions. Ce ne sont pas des faits réels / tangibles. Les souvenirs sont – tout le monde secoue sa tête comme ça (Adamus secoue la tête de gauche à droite, en signe de non), oui, vous aussi (en parlant à la caméra), vous secouez la tête comme ça – les souvenirs ne sont pas des faits réels. Les souvenirs sont des nœuds émotionnels. Ils sont bloqués. Ils vont dans votre mémoire. Ils sont comme une couverture sur tout votre être, et c’est ce dont vous pensez vous souvenir – « Cette chose terrible m’est arrivée » Amusez-vous avec ça. Cela relâchera cette énergie bloquée. Vous verrez l’humour là-dedans et ensuite vous commencerez à voir que ce n’est pas ce qui est arrivé.
Le mental insistera : «Eh bien, c’est ce qui est arrivé. » Le mental dira même : «J’ai une photo pour le prouver. Voyez, mon bras était cassé et j’avais dix points de suture à la tête. J’ai une photo. » Ce n’est pas vraiment ce qui est arrivé. C’est une part de ce qui est arrivé, mais pas la chose complète.
Une fois que vous commencerez à jouer (la comédie) avec vos histoires, à répéter pour le moment où vous arriverez au Club des Maîtres Ascensionnés, parce qu’ils ont besoin de bien rire; une fois que vous commencerez à jouer, vous vous rendrez compte que tous ces souvenirs, toute cette merde qui est stockée dedans n’est rien que de l’émotion. Ce n’est pas réel. Pas du tout.
Il y a des faits réels à propos de certaines choses dans la vie comme un plus un égale deux, mais même ça, ce n’est pas un fait réel, en fait. C’est une part de ce fait, mais pas la totalité. Tout ce dont vous vous souvenez à votre propos depuis ce moment n’est pas vraiment réel. Tous ces souvenirs qui viennent vous inonder, l’influence, chaque décision dans votre vie – il n’y a pas une seule décision qui ne soit pas prise, aucune décision qui ne repose pas sur une émotion. Vous dites: «Eh bien, non, j’ai décidé de m’acheter une nouvelle voiture, parce que l’ancienne était cassée. » C’est une décision émotionnelle. Je ne vais pas entrer dans ce sujet aujourd’hui, mais c’est émotionnel, parce que tout dans votre mémoire n’est rien que de l’émotion – c’est un peu comme un nœud d’énergie – une boule émotionnelle qui est là-dedans. Et vous commencez à accumuler de nombreuses balles émotionnelles, de nombreuses blessures émotionnelles là-dedans, et c’est là où le mental va. « Que m’est-il arrivé quand j’avais 20 ans, qu’est-ce qui m’est arrivé il y a cinq ans, qu’est-ce qui m’est arrivé quand j’ai divorcé, qu’est-ce qui m’est arrivé … » Il va dans une piscine émotionnelle, une réserve émotionnelle. Ce ne sont pas les faits véridiques. Ce n’est pas toute l’histoire. Alors, quand je vous dis de l’embellir, je ne vous dis pas du tout de mentir. Je vous dis de sortir de votre vieux mensonge comme quoi : «C’est ce qui m’est arrivé. » Ce n’est pas vrai.
Vous commencez à jouer. Vous commencez à vous raconter l’histoire, la pire chose de votre vie à laquelle vous avez même du mal à vous autoriser à penser – ça apparaît parfois dans vos rêves et ça apparaît parfois comme cette mauvaise pensée fantôme à laquelle vous essayez ensuite d’échapper – ce n’est pas ce qui est arrivé. Vous commencez à jouer. Amusez-vous avec cette pire chose. « Connais-tu celle sur le gars qui est tombé de la falaise? » Tout le monde au Club des Maîtres Ascensionné rit (Adamus glousse). Nous le faisons vraiment, parce que nous savons que ce n’est pas nécessairement ce que vous pensez. L’humain pensera, « Oh, mon dieu! Il est mort. » Ouais, eh bien, c’est drôle, en fait! Vous savez, parce qu’il était prêt pour cela. Il voulait mourir. Ou au contraire, il n’est pas mort; il est tombé dans un lac en bas et il a dû apprendre à nager, parce qu’il n’avait jamais nagé auparavant et alors c’était chouette (quelques rires).
Embellissez. Préparez vos histoires. Embellissez-les, ce qui signifie : amusez-vous avec.
Mais revenons à mon postulat de départ, avant que je ne sois interrompu. Amusez-vous! Bon sang! Nous faisons certaines de nos réunions, et j’adore être avec les Shaumbra, mais c’est difficile parfois de les faire monter là (sur scène ?) juste pour être libres et gracieux / détachés, pour être fluides, liquides, flexibles. Ils se lèvent et ils sont si raides. Amusez-vous. Soyez un peu comme un acteur. Vous n’imaginez pas. Tout le reste – c’est vous qui imaginez. Quand vous jouez, vous vous permettez à vous-même. J’adore jouer la comédie, parce que ça a complètement à voir avec la conscience. Vous n’inventez pas. Vous vous exprimez d’une multitude de façons différentes, plutôt que de cette façon humaine limitée. N’êtes-vous pas un peu fatigué des façons humaines limitées? (Le public dit «Oui») Très bien. Donc jouez la comédie.
Quoi qu’il en soit, revenons-en aux prêtres et aux élections.
LINDA: Wooo!
ADAMUS: Les prêtres et les élections et des Bibles gratuites pour tout le monde. Des bibles gratuites pour tout le monde (rires). Oui.
LINDA: Nous ne sommes pas un hôtel! (plus de gloussements)
ADAMUS: Et moins de pénitence. « Oh, vous avez péché! Edith, vous avez encore péché. Vous avez dit un gros mot. Putain! » Elle dit toujours putain, vous savez (rires). Et c’est des: « Mon Dieu, Edith! Je veux dire, quelle pécheresse! » Et c’est des : « Mais si vous votez pour moi, je vous donnerai la moitié de votre pénitence. « Ouais.
EDITH: J’y crois pas !
ADAMUS: Seulement deux « Je vous salue Marie », deux « Notre Père » et un « que diable se passe-t-il ici ? » (Plus de rires) Oui, c’est tout. Vous pouvez dire tout…
EIDTH: Non, merci.
ADAMUS: Vous pouvez dire tout ce que vous voulez. Oh, vous allez continuer avec vos gros mots alors?
EIDTH: Non, ça c’est mon affaire (quelques rires).
ADAMUS: Et également, vous devez voter pour le clergé, et que pensez-vous de cela : «Je suis plus proche de Dieu que de mon adversaire ici-bas. »
LINDA: Quoi ?!
ADAMUS: «Je vous obtiendrai une meilleure place au ciel. Pas seulement au niveau un, au niveau deux, mais je vous emmènerai au septième ciel si vous votez pour moi. »
LINDA: Alors Vous êtes Mormon (plus de rires).
ADAMUS: Une sorte de mélange. Un peu Mormon, un peu Juif …
LINDA: Ah ha! Donc, vous êtes Mormon.
ADAMUS: … un peu ceci, un peu cela.
LINDA: Vous avez dérapé.
ADAMUS: Vous savez, parce que fondamentalement toutes les religions sont les mêmes. Elles sont comme la politique. C’est pourquoi je dis qu’on devrait obliger le clergé à présenter sa candidature pour accéder à un poste. Il y a peu de différence entre les politiciens et le clergé.
LINDA: Ohh.
ADAMUS: Et je l’ai déjà dit ici et j’en suis fier, oui (quelques applaudissements). Et pourquoi?
LINDA: Ohh.
ADAMUS: Pourquoi ai-je dit cela ? Les deux ont une échelle de valeurs. Pas beaucoup, mais une échelle de valeurs, mais ils sont tous les deux basés sur quoi? (Le public dit « le pouvoir ») Le pouvoir. Et de quoi les deux ne parlent-ils pas ? De liberté!
LINDA: Mmm.
ADAMUS: Non. Alors ils sont en fait très, très similaires. Ça rendrait le monde un peu plus amusant si le clergé devait présenter sa candidature pour accéder à un poste. Mais c’est juste mon opinion.
Prenons une profonde respiration. Un autre café. Oh! Quel plaisir d’avoir une bonne tasse de café dans ce mug du Club des Maîtres, juste ici au studio.
LINDA: Whoa! Qui l’eut cru ?
ADAMUS: Bon alors, une question que j’ai posée récemment à notre rencontre dans le sud de la France. Une question que j’ai posée aux Shaumbra et que je vais poser ici aujourd’hui, parce qu’elle est pertinente. Très, très pertinente. Linda, êtes-vous prête avec le micro?
LINDA: Toujours.
ADAMUS: Oui. Belle tenue aujourd’hui (elle est habillée en fan de Dracula).
LINDA: Je vous remercie.
ADAMUS: On dirait que vous avez visité mon pays natal.
LINDA: Je suis la plus grande amie de Dracula.
ADAMUS: Sanguinaire célèbre (son T-shirt dit « Sanguinaire célèbre »).
LINDA: Je suis allée jusqu’en Transylvanie.
DRACULA
ADAMUS: Jusqu’en Transylvanie pour avoir ça, et bien sûr la plupart d’entre vous connaissent l’histoire derrière l’histoire de Dracula. En parlant d’églises … (rires et Adamus glousse) J’ai gagné une énorme popularité partout en Europe dans les années 1800, plus de popularité que celle que j’avais normalement. J’étais considéré comme une icône pop, je pense que vous diriez ça aujourd’hui.
LINDA: Oooh!
ADAMUS: Tout le monde parlait de Saint-Germain.
LINDA: Ooh!
ADAMUS: J’étais un sujet de discussion dans les bars et les diners mondains et les maisons closes. Tout le monde parlait de « St. Germain! Saint-Germain! St. Germain peut faire apparaitre de l’or et des pierres précieuses dans ses mains. St. Germain n’a jamais mangé un repas. St. Germain aimait les femmes. » Eh bien, il y a une part de vérité dans tout cela, mais … Donc j’ai gagné une popularité énorme et cela dérangeait l’église, parce que les gens venaient demander aux prêtres: « Que pensez-vous de Saint-Germain? Quel genre de saint était-il? » Et les prêtres étaient si perturbés: « Un saint ? Un saint? Oh … » Alors bien sûr, j’ai pris ce nom volontairement juste pour entretenir la confusion, parce que j’aime m’amuser. Je n’étais pas un saint. C’était mon nom, mais je n’étais certainement pas un saint. « Qui est ce Saint-Germain? » Alors les anciens de l’église se sont réunis et ont dit: «Nous devons faire quelque chose pour contrer tous ces mythes et ces histoires sur Saint-Germain. Il devient plus populaire que « – oserais-je dire le mot? – « . Jésus » (Linda suffoque et Adamus glousse)
LINDA: Ohh.
ADAMUS: Il y a une grande différence entre Jésus et Yeshua, alors soyez au-dessus de ça. Yeshua était l’être réel que j’ai connu; Jésus est cet humain fabriqué, inventé, un être super-irréel. Alors je peux vous dire que oui, j’étais même plus populaire que Jésus.
LINDA: (qui suffoque) Chut! Passez! Passez!
ADAMUS: Nous aurions dû voter pour voir.
LINDA: Chut!
ADAMUS: Non, je l’étais et l’église devenait très inquiète à ce sujet – le facteur St. Germain. Alors ils ont embauché un écrivain à deux balles, venu d’Angleterre, du nom de Bram Stoker qui n’avait rien écrit d’intéressant jusque-là, mais ils savaient qu’il écrirait tout ce pour quoi il serait payé, et ils lui donnèrent toute la matière première. Quand ce personnage, Dracula, se regarde dans le miroir, il ne voit pas son image, parce que quand un vrai Maître se regarde dans le miroir, il ne voit pas l’image de son vieil humain. Il voit le Maître qu’il est. Il voit sa lumière, mais il ne voit pas son vieil humain, ni les autres et ce sera pareil pour vous quand vous serez dans votre maîtrise. Les gens ne verront pas votre vieux moi humain. Ils verront votre lumière. Voilà pourquoi vous ne voyez pas d’image dans le miroir.
Et à propos de l’ail (Adamus glousse). « L’ail » vous dites. Je n’ai jamais été amateur d’ail. Pourquoi voudriez-vous gâcher un mélange parfaitement bon de flacons d’avoine, de miel et de noix avec de l’ail ?! (Quelques rires) et c’était à l’époque ce que je mangeais la plupart du temps. Je ne suis pas un grand fan d’ail ou d’oignons, pas plus que ne l’est Cauldre, parce que certains prétendent que l’ail est bon pour le système. Eh bien, si votre système ressemble à un égout, oui, mais en fait ce n’est pas vraiment bon pour vous. Je suis resté loin de l’ail. L’odeur m’était répugnante et le goût horrible. Je suis désolé pour ceux d’entre vous qui sont des adorateurs de l’ail (plus de gloussements), mais c’est vraiment … donc, non, je ne mangeais pas d’ail.
Alors, ils ont donné à Braham Stoker tous ces petits morceaux d’histoire, tout ce qui me concernait en fait; le fait que je pouvais me transformer – comme Merlin, en particulier – de mon moi humain à mon Pakauwah. Je pouvais être un hibou ou un faucon et m’envoler n’importe où.
Alors Stoker a écrit ce livre, intentionnellement payé et inspiré par l’église, pour contrer certains mythes. Bien sûr, ils n’allaient pas utiliser le nom « St. Germain », mais ils allaient utiliser toutes ces choses qu’on prétendait que j’étais capable de faire. Ils l’ont mis sous le nom de Dracula. Ils se sont basés en partie sur ce que je pouvais faire et en partie sur un personnage intéressant dans l’histoire, Vlad l’Empaleur, avec qui je n’avais rien à voir. Mais ils ont pris ces deux éléments et les ont mis ensemble, avec comme cadre la Transylvanie, ce qui fut la seule chose qui m’a vraiment fait mal, parce que j’aime la Transylvanie. J’ai vécu de nombreuses vies et grandi durant ma dernière vie en Transylvanie, qui est l’un des plus romantiques, mystérieux et beaux endroits du monde, et j’observe ce qu’«ils» – l’église et les écrivains – ont fait avec toute cette image… Revenez ici (à Linda). Cette image de sang et de carnage et de vampirisme énergétique …
LINDA: Quoi? Je n’ai pas de sang, pas de sang!
ADAMUS: … et tout le reste. Alors, oui, ce fut la seule partie qui m’a vraiment perturbé à l’époque. Voilà donc un peu de l’histoire de Dracula.
LA QUESTION DU JOUR
Alors, où en étions-nous? La question que j’ai posée à notre dernier groupe. La question pour laquelle je vais demander à Linda de bien vouloir porter le micro à des volontaires dans le public. Si vous êtes assis sur une de ces chaises, vous êtes volontaire (rires).
La question est: Dans cette vie, qui est la personne la plus proche de vous? Qui est la personne la plus proche de vous? Qu’elle soit encore là dans sa forme physique, ou qu’elle soit passée de l’autre côté, qui est la personne la plus proche de vous? Linda, vous pouvez commencer.
LINDA: D’accord.
ADAMUS: Oui, ma chère.
TIFFANY: Bonjour.
ADAMUS: Quel beau mur vous avez créé de l’autre côté au Club des Maîtres.
TIFFANY: Je vous remercie.
ADAMUS: Qui est la personne la plus proche de vous?
TIFFANY: Moi.
ADAMUS: Bien. Pourquoi?
TIFFANY: Ouais. Parce que je ne peux sacrément pas m’éloigner de moi-même, peu importe combien j’essaierais (elle rit).
ADAMUS: Oui.
TIFFANY: Je peux m’écarter de tout le monde, sauf de moi.
ADAMUS: Oui. Personne. Je vais vous titiller un peu à ce sujet. Vous avez également passé les pires moments avec vous-même. Donc, si vous dites que vous êtes la personne dont vous êtes la plus proche, c’est un peu makyo. Un peu makyo.
TIFFANY: Comment cela? Ça ne me semble pas makyo à moi.
ADAMUS: Je suis heureux de vous entendre dire cela, mais je vois les batailles permanentes que vous avez avec vous-même. J’ai vu le dégoût que vous avez pour certaines parts de vous-même, mais pourtant vous dites que vous êtes celle qui est la plus proche de vous-même.
TIFFANY: Eh bien, peut-être que j’interprète l’expression «la plus proche» différemment de vous.
ADAMUS: Comme “ami” ?
TIFFANY: Ami? Ouais. Je veux dire, nous – les amis ne s’entendent pas toujours bien.
ADAMUS: Vrai.
TIFFANY: Alors même les parts de moi-même qui me répugnent, j’en suis toujours le plus proche.
ADAMUS: C’est une question intéressante ici, mais pouvez-vous vous confier les secrets les plus profonds et les plus sombres que vous avez avec vous-même?
TIFFANY: La plupart du temps.
ADAMUS: Ceux dont vous vous souvenez.
TIFFANY: Ouais.
ADAMUS: Oui.
TIFFANY: Mais comme vous le disiez, je me rends de plus en plus compte de ce qui n’est pas vrai, parce que j’ai passé beaucoup de temps dans ma vie à me flageller, comme quand quelque chose me vient à l’esprit, et qu’ensuite c’est la honte qui se révèle. C’est du genre : « Oh! C’est ce qui est arrivé! Oh, j’ai tellement honte de moi-même. »
ADAMUS: Oui.
TIFFANY: Mais je me rends compte de plus en plus que ce n’était pas vraiment l’histoire. C’est ce que j’ai mis dessus.
ADAMUS: Comment alliez-vous hier avec cet ami qui est vous? En quelle mesure vous entendiez-vous bien, vous et votre ami, hier ? (Elle fait une pause) Hier. Vous et votre ami, vous.
TIFFANY: Hier?
ADAMUS: Etait-ce hier une bonne journée d’ami ? Une mauvaise journée d’ami ?
TIFFANY: Hier c’était une très bonne journée d’ami. La veille ce n’était pas une très bonne journée d’ami par contre.
ADAMUS: Bien. Qu’est-il arrivé? Si vous pouviez nous partager juste une petite partie de cela. Pourquoi n’était-ce pas une bonne journée d’ami?
TIFFANY: Eh bien, je me suis flagellée toute la journée.
ADAMUS: Mm hmm.
TIFFANY: Ouais.
ADAMUS: Wow. Cela semble venir d’un bon ami (quelques rires). Pourquoi?
TIFFANY: Parce que j’avais l’impression de remettre au lendemain tant de choses (que j’avais à faire).
ADAMUS: Exact, exact.
TIFFANY: Et je ne voulais pas regarder certaines choses.
ADAMUS: Mm hmm.
TIFFANY: Et …
ADAMUS: Et qui vous flagelle ?
TIFFANY: Moi.
ADAMUS: Votre ami.
TIFFANY: Oui.
ADAMUS: Oui, il vous flagelle.
TIFFANY: Ouais.
ADAMUS: Eh bien, est-ce que c’était bien?
TIFFANY: Non
ADAMUS: Oui. Voulez-vous encore voir votre ami?
TIFFANY: Oui!
ADAMUS: Ouais? Oh vraiment.
TIFFANY: Ouais.
ADAMUS: D’accord.
TIFFANY: Je veux intégrer toutes mes … tout de moi.
ADAMUS: Oui.
TIFFANY: Ouais.
ADAMUS: Oui. Cela semble être une amitié intéressante (elle rit), mais comme vous le dites, les amitiés un jour peuvent être bonnes, et un autre jour pas si bonnes. Bien. J’apprécie votre …
TIFFANY: Je me sens vraiment bien aujourd’hui.
ADAMUS: Bon.
TIFFANY: Ouais.
ADAMUS: Je vous remercie de votre franchise. Je voulais juste m’assurer que nous avons tout fait sortir là.
TIFFANY: D’accord. Y a-t-il d’autres makyo que vous voulez que je traite pendant que je suis ici? (quelques rires)
ADAMUS: (rires) Pas maintenant.
TIFFANY: Très bien.
ADAMUS: Nous avons un programme à respecter (plus gloussements).
Au suivant. Qui est la personne la plus proche de vous? Votre meilleur ami, le compagnon le plus proche de vous dans votre vie. Le micro est juste derrière vous là.
ADAMUS: Larry. Et pourquoi Larry? Qu’est-ce qui rendait Larry si spécial? Larry était votre merveilleux partenaire de vie qui vient de décéder. Ouais. Ressentez-vous Larry autour de vous très souvent ? (Elle hoche la tête en signe de oui) Ouais. Larry, dans vos rêves?
DIANA: Pas très souvent.
ADAMUS: Pas très souvent. D’accord. Qu’est-ce qui rendait Larry si spécial?
DIANA: Je pense que c’est parce que nous étions si complètement et totalement nous-mêmes, nos sois multi facettes.
ADAMUS: D’accord.
DIANA: Et il y avait une acceptation de tout cela.
ADAMUS: Est-ce que Larry était un espace sûr pour vous?
DIANA: Très.
ADAMUS: D’accord. Génial. Je vous remercie.
DIANA: Je vous remercie.
ADAMUS: Et combien de temps avez-vous été ensemble avec Larry?
DIANA: Huit ans.
ADAMUS: Huit ans. Pensez-vous que tout ceci était – le fait de se remettre ensemble, je veux dire, d’être ensemble – tout ceci était karmique, pas un mauvais karma, mais du style, vous l’auriez connu avant?
DIANA: Absolument.
ADAMUS: Absolument. Oui. Bien. Je vais vous poser une question très difficile. Pourquoi pensez-vous que Larry est parti?
DIANA: (pause) Pour me permettre de faire ce que j’ai besoin de faire par moi-même.
ADAMUS: Très bien. Et il est toujours là. Ouais.
DIANA: Oui.
ADAMUS: Je vous remercie.
DIANA: Je vous remercie.
LINDA: Un en haut à gauche. Juste là. Je vous remercie.
ADAMUS: Bienvenue.
JENNIFER: Zut!
ADAMUS: Zut! Zut! Ce, ce …
JENNIFER: (soupir) Ok.
ADAMUS: … micro magique vient juste vers vous.
JENNIFER: Il est là.
ADAMUS: Oui. Mais n’est-ce pas bien? Je veux dire, si vous ne pensez pas à la caméra qui est sur vous …
JENNIFER: Si je n’étais pas une grosse poule mouillée, ouais.
ADAMUS: … et aux dizaines de milliers de personnes qui vous regardent, mais à part ça. Qui est le plus proche de vous dans votre vie? Le plus proche.
JENNIFER: (pause puis soupire) Oh, merde! (Pause à nouveau) Je savais que vous alliez le faire. Le plus proche de toute ma vie.
ADAMUS: Yep.
JENNIFER: (pause) Je dirais probablement Eric.
ADAMUS: Oui. Et qui est Eric? La relation entre vous et Eric?
JENNIFER: C’est mon mari.
ADAMUS: Votre mari, et?
JENNIFER: Parce qu’il me permet d’être qui je suis (elle commence à étouffer).
ADAMUS: Oui. Pourquoi est-ce difficile? Pourquoi y a-t-il de l’émotion là, ce ressenti ?
JENNIFER: (pleurant) Parce que je ne pense pas que je le fais.
ADAMUS: Ahh. Ah. Bien. Donc, Eric est un espace sûr. Eric vous accepte et vous aime. Eric est, bien, en fait, follement amoureux de vous. Ouais. Ouais. OK merci.
JENNIFER: (chuchotements) Merci.
ADAMUS: Merci pour votre ouverture.
LINDA: Non, vous ne pouvez pas vous tromper. Il n’y a pas moyen. Voyons voir.
ADAMUS: Deux de plus.
LINDA: D’accord.
ADAMUS: Qui est le plus proche dans votre vie?
LINDA: Juste une minute. Je suis presque là.
ADAMUS: Qui est le plus proche? Tout le monde pense, « Oh, mon dieu, non. Pas moi. Merde. » Oui. Salutations.
SHAUMBRA 1 (femme): Salut.
ADAMUS: Qui est le plus proche de vous dans votre vie?
SHAUMBRA 1: Eh bien, j’étais assise ici en y pensant et probablement que c’est ma sœur, parce que nous avons passé beaucoup de temps, à nos débuts, dans la même maison avec beaucoup de frères et sœurs.
ADAMUS: Exact.
SHAUMBRA 1: Et nous sommes devenues vraiment proches énergétiquement et de toutes les autres façons.
ADAMUS: Oui. Et êtes-vous toujours proches ?
SHAUMBRA 1: Oui, dans certains domaines.
ADAMUS: Certains domaines. Bien. Donc, ça a été un long, long voyage ensemble.
SHAUMBRA 1: Oui.
ADAMUS: Oui. Et qu’est-ce qui la rend si spéciale au point que vous – pourriez-vous partager son nom avec nous?
SHAUMBRA 1: Patricia.
ADAMUS: Patricia. Qu’est-ce qui rend Patricia si spéciale ?
SHAUMBRA 1: Nous sommes très semblables en âge et en groupe sanguin, ce que je trouve important.
ADAMUS: Et en ADN probablement. Ouais, je ne sais pas. Je fais juste une supposition.
SHAUMBRA 1: En tout.
ADAMUS: Oui.
SHAUMBRA 1: Et nous pouvons parler ensemble et nous envoyer des emails et comprendre ce que l’autre dit.
ADAMUS: Oui. Est-ce que Patricia vous a jamais trahie ?
SHAUMBRA 1: Non.
ADAMUS: Non, c’est extraordinaire. Ouais. Avez-vous déjà été en colère, en colère contre elle?
SHAUMBRA 1: Non.
ADAMUS: Non, c’est vraiment extraordinaire. Pensez-vous que votre relation tire sa base sur des vies passées, des temps passés?
SHAUMBRA 1: Oui.
ADAMUS: Bon. Je vous remercie. Je vous remercie. Je ressens du cœur là. Une vraie émotion, une bonne émotion.
SHAUMBRA 1: Oui.
ADAMUS: Oui. Bien.
SHAUMBRA 1: Oui.
ADAMUS: Peut-être une petite réalisation quand vous avez dû vous lever avec le micro (elle rit). Une petite réalisation a eu lieu.
SHAUMBRA 1: Oui.
ADAMUS: Je vous remercie. Quelques-uns de plus, Linda.
LINDA: Mm hmm.
ADAMUS: Qui est le plus proche de vous? Bienvenue.
PAUL: Bienvenue. Oui.
ADAMUS: Vous ne vous attendiez pas à avoir le micro. Bien …
PAUL: Non, je n’aime pas ça.
ADAMUS: Mais vous savez, il y a ce que j’appelle le magnétisme du micro. Et vous savez comme les aimants en quelque sorte attirent, vous savez, leur opposé ?
PAUL: Oui. Ouais.
ADAMUS: Alors, quand vous êtes assis là à penser : « je ne veux pas le micro. Je ne… » Linda est comme l’autre partie de l’aimant – woomp! – elle va droit à vous.
PAUL: Oui, mais c’est inanimé.
ADAMUS: Alors, oui. Donc, si vous ne voulez pas le micro, faites: « Oui, s’il vous plaît! Linda, choisis-moi !! Choisis-moi! »(Rires) Mais je ne veux pas vous interrompre.
PAUL: D’accord. Je dirais qu’à cette époque de ma vie, c’est ma femme, Denise.
ADAMUS: Oh, c’était le geste d’un homme intelligent (rires et quelques applaudissements).
PAUL: Eh bien, vous savez, après quelque temps, vous apprenez certaines choses.
ADAMUS: Effectivement! (Plus de rires) Non, mais je peux vraiment le dire, je peux vous dire que vous êtes très authentique. Qu’est-ce qu’elle a de si spécial ? Pourriez-vous vous mettre debout à côté de lui? C’est l’un de ces …
PAUL: Viens ici.
ADAMUS: … moments émotion au Crimson Circle (le public dit « Aww »).
DENISE: (rires) ça l’est.
ADAMUS: Oui. Voudriez-vous bien nous dire ce qui la rend si spéciale pour vous?
PAUL: Elle respecte qui je suis et, vous savez, elle veut que je sois qui je suis, autant que je peux.
ADAMUS: Puis-je même aller jusqu’à dire qu’en quelque sorte, elle vous a aidé à sortir de votre coquille, d’un …
PAUL: Eh bien, je la cherchais…
ADAMUS: Oui.
PAUL: Parce que ce sont des choses que je voulais.
ADAMUS: Oui. Et elle vous a aidé à…
PAUL: Oh, certainement. Oui.
ADAMUS: … vous faire émerger et à vous expanser et à vous permettre d’être vous …
PAUL: Oui.
ADAMUS: … ce qui n’était pas très évident pour vous, dans votre vie.
PAUL: Non (il rit).
ADAMUS: Pas tellement. Génial. Voudriez-vous bien lui donner un baiser du bout des lèvres? (Le public dit «Aww», alors qu’il lui donne un baiser passionné).
LINDA: Ooh! C’en est un beau ! (Applaudissements) Oooh!
ADAMUS: Oui.
LINDA: Délicieux!
PAUL: Devant tous ces gens.
ADAMUS: Adamus est à l’initiative d’une nouvelle soirée magnifique entre deux humains (plus de rires).
LINDA: Délicieux !
ADAMUS: Bon. Quelques-uns de plus.
LINDA: Un de plus? Un de plus?
ADAMUS: Bien sûr. Sûr.
LINDA: Allez-y.
ADAMUS: Ah, bienvenue. Ouais. Vous saviez que ça allait arriver.
SHAUN: Bien sûr.
ADAMUS: Vous le saviez.
SHAUN: Oui.
ADAMUS: Yep.
SHAUN: Je dirais ma mère.
ADAMUS: Votre mère, intéressant.
SHAUN: Ouais, ouais. Son nom est Janet.
ADAMUS: Uh huh
SHAUN: Et elle a été un catalyseur pour moi, depuis que j’ai 14 ans, vous savez,…
ADAMUS: Wow. Depuis … la puberté?
SHAUN: Sur le chemin spirituel.
ADAMUS: Oh, le chemin spirituel. D’accord.
SHAUN: Eh bien, ça aussi.
ADAMUS: D’accord. Le chemin spirituel. Vraiment? Elle vous a encouragé à ce sujet.
SHAUN: Eh bien, oui. À un moment vraiment difficile, elle est intervenue avec … elle méditait et elle avait sa propre façon de faire son propre chemin spirituel et elle m’a invité à examiner la façon dont elle l’avait fait.
ADAMUS: Intéressant. Elle ne vous l’a pas imposé
SHAUN: Non, elle m’a juste invité.
ADAMUS: Wow. Ouais. Est-ce qu’elle vous a parlé de St. Germain?
SHAUN: Non. Désolé de le dire.
ADAMUS: Oui. Tout va bien.
SHAUN: Et ensuite nous avons en quelque sorte complètement …
ADAMUS: Est-ce qu’elle vous a parlé de Tobias?
SHAUN: Non, elle ne l’a pas fait. Elle est … Lazare. (Il rit)
ADAMUS: Est-ce qu’elle vous a parlé de … Lazare. Oh, Elève-toi de…
SHAUN: Lazare.
ADAMUS: D’accord, Lazare.
SHAUN: Oui.
ADAMUS: D’accord.
SHAUN: Alors c’était – elle est …
ADAMUS: Je ne suis pas, je ne suis pas, vous savez, dans une compétition.
SHAUN: Non, je comprends.
ADAMUS: Je ne suis pas en lice pour une élection (rires).
SHAUN: Eh bien, vous avez gagné. Je suis là. Alors … (il rit)
ADAMUS: (rires) Oh, oui! Je vous remercie. Alors, elle vous a donné un espace très sûr.
SHAUN: Oui.
ADAMUS: Elle vous a encouragé, pas seulement intellectuellement, mais elle a encouragé votre cœur, le vôtre est très ouvert.
SHAUN: Mm hmm.
SHAUN: Et ressentez-vous que vous l’avez connue dans une autre vie?
SHAUN: Dans plusieurs.
ADAMUS: Quelle était votre relation dans l’une de vos vies les plus récentes?
SHAUN: Nous avons, eh bien, nous avons eu une expérience … tous deux avons eu une sorte de, je suppose que vous l’appelleriez réalisation, en ce sens où je me trouvais dans un village avec elle, je pense que c’était en Pologne, et j’avais vécu une expérience vraiment dévastatrice où ma femme m’avait quitté et elle était, je pense qu’elle était ma mère dans cette vie, la même vie, et en quelque sorte, je m’en allais dans les bois et la laissais, et je quittais le village complètement.
ADAMUS: Exact.
SHAUN: Et je ne sais pas ce qui s’est passé après, mais nous …
ADAMUS: Nah. Nous ne …
SHAUN: Ouais. Non. Nous n’y reviendrons pas.
ADAMUS: Oui.
SHAUN: Mais nous avons fait la reconnexion comme quoi nous avons eu cette expérience partagée et ça a été un catalyseur pour nous, de façon à ce que nous devenions une sorte d’amis dans cette vie. Comme si nous formions un couple « mère, fils » depuis longtemps.
ADAMUS: Exact, exact.
SHAUN: Et puis après un certain temps, c’est comme si nous avions transformé ça et regardé l’autre comme, vous savez, d’âme à âme.
ADAMUS: Exact.
SHAUN: Et c’était vraiment puissant.
ADAMUS: Intéressant. Bien. Voulez-vous simplement lui envoyer vos meilleures pensées à présent ?
SHAUN Absolument.
ADAMUS: Bon. Je vous remercie.
SHAUN: Elle regarde. Salut, maman.
ADAMUS: Et vous ne serez plus mangé par les loups dans cette vie, je vous le garantis (l’assistance dit «Oh!»).
SHAUN: Merci, oui, je le savais … ok. Ouais.
ADAMUS: C’était une nuit sombre et froide, sans nourriture. Ah ouais. Une de ces nuits. Mais nous pouvons en rire – ha, ha, ha, ha, ha! Ouais. Maintenant, ce serait une belle histoire! Quand vous irez au Club des Maîtres Ascensionnés – « Vous ne croirez jamais ce qui m’est arrivé. »
SHAUN: Donc, nous pouvons le faire pour des vies passées ?
ADAMUS: Ouais, ouais. Vous pouvez le faire pour des vies antérieures, oui, et vous pouvez le faire pour toutes vos vies. Vous pouvez inventer quelques vies, vous savez, si vous en avez besoin (plus de rires). Au suivant. Bienvenue. Qui est le plus proche de vous dans cette vie ?
YASMINA: Tout d’abord, je tiens à vous remercier. Je tiens à vous exprimer ma gratitude, je saisis juste le moment pour exprimer cela.
ADAMUS: Je vais respirer cela
YASMINA: Son nom était Charry.
ADAMUS: Mm hmm.
YASMINA: C’était mon professeur.
ADAMUS: Oui.
YASMINA: Et …
ADAMUS: Un professeur de vie ou un professeur d’école?
YASMINA: Eh bien, un enseignant spirituel.
ADAMUS: Un enseignant spirituel.
YASMINA: Ouais.
ADAMUS: Bon. Bien.
YASMINA: Et …
ADAMUS: Vous a-t-il parlé de St. Germain?
YASMINA: Non (quelques rires).
ADAMUS: D’accord. J’étais juste …
YASMINA: Non. Non.
ADAMUS: … juste en train de tester.
YASMINA: Ouais.
ADAMUS: Ouais, ouais. Parce que si je présente ma candidature à un poste, bien sûr, je veux être sûr que beaucoup de gens me connaissent. Mais je ne le fais pas assez bien. Je ne vais peut-être pas présenter ma candidature (plus de rires).
YASMINA: Mais votre mauvaise réputation est passée maintenant je pense, je le ressens vraiment.
ADAMUS: Vous pensez que ma réputation …
YASMINA: Parce que j’ai eu une sorte de légère chose avec Saint-Germain.
ADAMUS: Oui.
YASMINA: Je pense que c’était juste une toquade.
ADAMUS: Uh huh. Mais vous pensez que ma réputation est bonne maintenant?
YASMINA: Non, non. Elle s’en va. Elle …
ADAMUS: Oh, ma mauvaise réputation.
YASMINA: Vous êtes en train d’émerger à présent en tant que qui vous êtes.
ADAMUS: Oui. Donc, vous pensez que c’était bien que je change mon nom en Adamus Saint-Germain comme si je dupais tout le monde? (rire)
YASMINA: Oui, oui. Absolument.
ADAMUS: Oui. Ouais! (Adamus glousse) Bien. Donc, la personne la plus proche de vous l’était d’une manière spirituelle?
YASMINA: Je pense à tous les niveaux.
ADAMUS: Tous les niveaux.
YASMINA: Et ce n’était pas seulement bisounours (pour admirer le soleil et la beauté), il y avait beaucoup de luttes entre nous et il m’apprenait beaucoup.
ADAMUS: Des luttes à quel sujet ?
YASMINA: Je pense que cela avait à voir avec le rôle du divin féminin que je ne sentais pas suffisamment représenté dans son enseignement.
ADAMUS: Bon.
YASMINA: Mais peut-être que je, je veux dire, lui-même était très équilibré, mais je sentais que … ou je ne prenais pas assez mon rôle dans ce sens, en tant qu’être spirituel.
ADAMUS: Oui. C’est bien. C’est bien. Vous avez aidé à amener cela.
YASMINA: Ouais. Et je pense qu’effectivement il y a une fusion (entre nous). Je ne pense pas qu’il y ait – bien qu’il ne soit plus là, mais je le sens très proche.
ADAMUS: Oh, il est encore là. Mais, je veux dire, il n’est tout simplement pas ici.
YASMINA: Alors c’est comme si je ne ressentais pas vraiment de différence, même si je ressens que sa signature est toujours là, différente …
ADAMUS: L’entendez-vous, le sentez-vous autour de vous ?
YASMINA: Ouais.
ADAMUS: Il est là sans aucun doute. Et comment pensez-vous que je m’en sors avec l’équilibre masculin / féminin?
YASMINA: Je pense que vous … j’aime l’aspect masculin que vous portez.
ADAMUS: Oh, je vous remercie. Je vous remercie.
YASMINA: Je l’aime vraiment. Et je pense que dans un certain sens, vous assumez le rôle.
ADAMUS: Oui (rires car il se pavane un peu).
YASMINA: Non, c’est comme le …
ADAMUS: J’ai un côté féminin, mais …
YASMINA: Oui. C’est ce que je dis.
ADAMUS: Cauldre est un peu réticent …
YASMINA: Le masculin, je pense, a besoin de beaucoup plus de soutien dans le…, – comment vous dites – le masculin libéré.
ADAMUS: Oui, le masculin libéré.
YASMINA: Il est beaucoup plus dans le besoin que le féminin.
ADAMUS: Oui. Oui. Je vais donc faire la Blessure d’Adamus …
YASMINA: Oui, quelque chose comme ça. (Elle rit)
ADAMUS: … Je suis désolé, la Blessure d’Adam! (Rires) Très bientôt, la Blessure d’Adam. Nous allons parler de la blessure masculine. Tobias a beaucoup parlé de la blessure féminine, bien sûr, la Blessure d’Isis. Mais ils sont tous les deux blessés, et il est important de libérer cela. On ne va pas entrer dans la victimisation, mais libérer cela. Et peut-être que ça va me faire connaitre davantage dans le monde, peut-être que plus d’hommes vont commencer à venir.
YASMINA: Je l’espère. Oui.
ADAMUS: Ouais, ouais. Oui. Bien. Je vous remercie. Un de plus.
LINDA: D’accord. Un de plus.
ADAMUS: Un de plus.
LINDA: Un de plus. Il faut que ce soit une rangée dans le fond. Voyons voir. D’accord.
ADAMUS: Oh! Je ressens l’atterrissage du micro à présent. Vous saviez qu’il allait venir. Bienvenue. Heureux que vous soyez ici.
AMINTAS: Ok.
ADAMUS: Oui.
AMINTAS: Eh bien, la personne la plus proche de moi était mon père. Son nom était Adimee.
ADAMUS: Et pourquoi était-il le plus proche de vous? Qu’est-ce qui le rendait si spécial dans votre vie?
AMINTAS: Parce qu’il m’encourageait toujours à faire des choses.
ADAMUS: Oui.
AMINTAS: Et pas seulement professionnellement, mais aussi spirituellement et intellectuellement. C’était mon meilleur ami.
ADAMUS: Question difficile. Question difficile. Ressentez-vous que vous l’avez laissé tomber à certains égards; pas totalement, mais à certains égards?
AMINTAS: (soupirs) Oui, parfois c’est ce que je ressens.
ADAMUS: Oui.
AMINTAS: Parfois.
ADAMUS: C’était, pour vous, un grand mentor. Une personne brillante par rapport à laquelle il fallait être à la hauteur, et parfois il y a ce … et il voudrait que vous sachiez qu’il essayait juste de tirer le meilleur parti de vous. Mais il ne s’agit pas d’essayer d’être à la hauteur de ses attentes. Il s’agit de vous permettre de faire émerger le meilleur de vous-même. Voilà tout ce qu’il essayait de faire. Ouais.
AMINTAS: D’accord.
ADAMUS: Bien. Je vous remercie. Merci beaucoup.
LINDA: Oh! Un dernier.
LINDA: Un dernier.
ADAMUS: Je suis impatient.
LINDA: J’ai cru voir un peu de confusion, mais je suis sûre que vous allez vous frayer un chemin à travers elle.
ADAMUS: (rires) Alors, Jean (prononciation française; elle est habillée comme un homme), alors voudriez-vous venir ici? Ouais. Elle fait semblant d’être occupée avec toutes les commandes et …
JEAN: Suis-je obligée?
ADAMUS: Ouais, ouais. Alors voudriez-vous bien venir ici?
LINDA: On pourrait mettre la caméra sur elle.
ADAMUS: D’accord, voudriez-vous bien vous mettre debout. Super, merci. Et, maintenant celle-ci est une vraie question difficile parce que vous savez …
LINDA: Bon spectacle.
ADAMUS: … beaucoup de gens vous connaissent. Une grande partie de votre famille est assise vraiment près de vous et vous écoute (quelques rires). Alors la pression est maximale. Qui est celui qui est le plus proche de vous dans cette vie?
JEAN: (pause) C’est une question difficile.
ADAMUS: C’est une question à la Adamus.
(Elle fait une pause à nouveau)
Eh-eh-eh. Maintenant, vous allez droit dans votre cerveau. Prenez une profonde respiration. Fermez les yeux un instant. Prenez une profonde respiration. Vous connaissez déjà la réponse. Vous y avez déjà pensé en vous-même lorsque vous étiez assise là-bas. Alors, et si vous ne voulez pas le partager avec nous, c’est ok.
JEAN: Je dois dire que c’est Cauldre.
ADAMUS: Ah.
JEAN: Simplement en tant qu’être spirituel …
ADAMUS: Il est tout rouge maintenant! (Adamus glousse)
JEAN: Oui, c’est un peu bizarre à dire, mais tout simplement parce qu’il y a entre nous une telle réunion d’esprits et un tel espace sécurisé et une telle ancienne amitié et il y a toujours une compréhension entre nous.
ADAMUS: Est-ce qu’il crée un espace sûr pour vous? C’est vraiment bizarre (rires). Juste une minute, je dois me débarrasser de lui (plus de rires, comme Adamus fait déguerpir Cauldre au loin). Est-ce qu’il vous crée un espace sûr?
JEAN: Oui.
ADAMUS: Est-ce qu’il vous pousse (à faire des choses)?
JEAN: Oh, oui.
ADAMUS: Oh, oui. D’accord. Bien. Et par rapport au fait de vous connaître l’un l’autre; pensez-vous qu’il existe un fondement dans une vie passée?
JEAN: Certainement.
ADAMUS: Bon. Et comment ressentez-vous le passé – comment puis-je essayer de le dire – le passé a-t-il évolué dans cette vie? Comment a-t-il émergé de ce qu’il était dans d’autres vies?
JEAN: Avec une profonde confiance, une compréhension mutuelle de la direction, l’engagement, la raison pour laquelle je suis ici, que nous sommes ici, le travail que nous faisons. C’est tout simplement une super amitié.
ADAMUS: Oui. Et si je pouvais ajouter un petit quelque chose à cela avant de le faire revenir (Cauldre), vous avez tous deux choisi « Ça y est, quoi qu’il advienne. Nous allons le faire individuellement, mais nous serons aussi là pour servir les autres et voilà. » Plus besoin d’attendre, comme tant d’entre vous l’ont fait. A attendre et puis ensuite à vous en vouloir. A attendre alors que vous auriez pu choisir votre illumination plusieurs vies avant. Ça y est. Et ce fut un si profond engagement.
JEAN: Absolument. Oui.
ADAMUS: Et ça va avoir lieu. Bien.
JEAN: Oui.
ADAMUS: Je vous remercie.
JEAN: Je vous remercie.
ADAMUS: D’accord. Tu peux revenir (à Cauldre). Bien.
Maintenant, prenons une bonne et profonde respiration. En fait, chaque réponse était magnifique. Chaque réponse. Cela vous a obligé, chacun de vous, à vous arrêter un instant.
LES RELATIONS HUMAINES
Vous savez, il n’y a rien ailleurs de comparable aux relations telles qu’elles existent sur cette planète. Il n’y a rien de tel. Pas même dans les autres dimensions, et pas même sur d’autres planètes habitées, rien de comparable aux relations humaines. Il y a tellement de niveaux en elles. Il y a les émotions. Il y a le sexe. Il y a le partage et l’aspect bienveillant. Il y a le… Lorsque vous serez pris dans une grande solitude, la relation – la relation proche avec quelqu’un – vous fera ressentir que vous n’êtes pas seul, au moins un petit peu. Les relations humaines sont les meilleures et les plus difficiles.
Les relations humaines, chacune d’elles – que ce soit avec votre mère, que ce soit avec votre père, chacune d’elles – relèvent aussi de la friction, de la tension, du conflit. Chaque relation proche finira par conduire l’autre personne à révéler quelque chose en vous et elle vous conduira vous aussi à révéler quelque chose en l’autre personne. La définition d’une relation, même d’une bonne relation, ce n’est pas seulement de s’amuser et de jouer. C’est d’aller en profondeur avec d’autres personnes, même s’il y a des moments terriblement sombres.
Maintenant, la plupart d’entre vous en ont parlé, en présupposant juste une bonne relation de proximité, mais parfois certaines relations sont difficiles. Elles sont dures. Vous pourriez avoir eu une mère très, très difficile ou un père ou un ami qui vous ont trahi profondément. C’est toujours une relation proche. Qui vous a fourni certaines de vos meilleures expériences – pas des leçons, mais des expériences – dans toute votre vie. Il n’y a rien de comparable, dans toute la création, à une relation d’humain à humain.
Tant et si bien que les humains deviennent très proches, très connectés énergétiquement, physiquement, psychiquement, ou d’une toute autre façon; ils deviennent très connectés les uns aux autres. Ils deviennent dépendants, solidaires les uns des autres. Ils se suivent les uns les autres de vie en vie. Mais vous savez, en vérité, il y a plus de meurtres qui se produisent entre amis ou dans une même famille que du fait de toute autre cause, sauf peut-être dans le cas d’une très grande guerre. Mais ce sont des meurtres. Alors, comment se peut-il que les humains dans leurs relations puissent être si proches, puissent partager autant et s’aimer si profondément, mais aussi se combattre les uns les autres et finalement parfois même aussi s’assassiner les uns les autres?
Les relations humaines sont absolument fascinantes. Et effectivement la meilleure réponse, pas la seule réponse, mais la meilleure réponse à la question est venue de vous, ma chère (Tiffany), « C’est moi. C’est moi ».Mais je vous ai interrogée à ce sujet pour plusieurs raisons. Pour m’assurer que vous aviez vraiment ressenti cela. Pour m’assurer que … au passage, si jamais je vous dis de vous mettre par terre sur vos mains et vos genoux et de ramper jusque dans le fond de la salle comme un chien, dites-moi … (rires) Dites-moi d’arrêter de vous dire ça. Dites-moi d’arrêter, s’il vous plaît. Et j’ai posé ces questions parce que je voulais voir. Ressentez-vous vraiment cela ou est-ce simplement quelque chose de mental, un certain makyo ? Et vous l’avez ressenti. Vous le saviez. Mais je vous ai interrogée et je vous ai dit: «Mais cet ami, cet ami moi, n’y a-t-il pas certains jours où c’est juste le pire ami que vous ayez jamais eu? »
La relation la plus proche que vous ayez jamais eue, vous pouvez ne pas l’avoir realisé encore, c’est avec vous-même. Maintenant, vous avez certainement eu de nombreuses autres relations merveilleuses et quelques autres plus horribles, mais la relation la plus proche que vous aurez jamais, c’est avec vous-même. Vous pouvez ne pas l’avoir realisé encore, parce qu’une grande part du Soi vous a été occultée. Et ce que nous allons faire aujourd’hui, c’est que nous allons faire émerger / sortir le Maitre. Nous allons amener le Maître et vous allez découvrir, vous allez réaliser que c’est le plus proche, le meilleur ami que vous ayez jamais eu et que vous aurez jamais.
Les humains ont de nombreuses relations dans leur vie – de nombreuses relations, beaucoup d’amis, beaucoup de membres de la famille. Peu de ces relations sont en fait très profondes. Vous avez des connaissances, vous connaissez un grand nombre de personnes, mais avec combien de personnes pouvez-vous vraiment partager sur les parts les plus intimes et les plus sensibles de votre vie ? Même si vous avez été marié à quelqu’un pendant 20, 30 ans, il y a toujours des parts de vous que vous ne partagez pas, que vous gardez encore cachées, planquées, et c’est bien.
Vous allez finir par découvrir, réaliser que la relation la plus proche que vous avez, c’est avec vous, entre vous, l’humain et vous, le Maître. Tout est vous, c’est la même chose; ce sont simplement des expressions différentes, des perspectives différentes de la même chose.
En tant qu’être humain, vous avez vécu de nombreuses, nombreuses années de solitude, ou du moins de perception d’une solitude. Même si vous travailliez avec des gens tous les jours, même si vous aviez des enfants et une grande famille élargie et tout le reste – vous avez ressenti beaucoup de solitude, le sentiment d’être seul avec vous-même; dans vos propres pensées, dans votre propre monde, en vous demandant souvent si vous étiez fou.
C’est difficile d’être dans ce monde solitaire. Et, il y a plusieurs années, quand Tobias est venu et a commencé à vous parler et à travailler avec vous, il vous a dit: «Vous n’êtes jamais seuls”; beaucoup d’entre vous ont perçu ça comme le fait de simplement vous dire qu’il était là avec vous ou que les autres êtres angéliques étaient là. Mais ce qu’il voulait dire pendant tout ce temps, c’est que même il y a de nombreuses années, vous n’étiez et n’êtes jamais seuls; vous êtes avec vous-même. Pas seulement le soi humain. Nous sommes dans le « et » maintenant. Dans le « et ». Ce n’est pas juste votre soi humain.
LE MAÎTRE
Ce que nous allons faire aujourd’hui, c’est que je vais vous parler un peu, puis nous allons faire un merabh et nous allons tout simplement le faire. Ce Maître sera là. Le Maître a toujours été là. Et j’utilise le mot «Maître». Je suis un peu prudent sur l’utilisation du terme «l’être divin», parce que soudain, vous plongez dans l’illusion de grands anges dorés qui viennent à vous. J’utilise le mot «Maître» qui signifie celui qui est intemporel, qui est dans le passé, aussi bien que dans le présent, ainsi que le futur; il a toujours, toujours été là; il n’a jamais été à quelque autre endroit ailleurs. Et, encore une fois, quand j’utilise le mot «divin», je peux voir où vous allez – « Oh, c’est cet être divin très loin d’ici » Le Maître a toujours été là, toujours.
Le Maître est celui qui n’est pas pris dans tout le drame et les trauma humains. Le Maître est celui qui permet complètement. Le Maître réalise qu’il n’y a pas de mort. Le Maître réalise que tant d’énergie est bloquée dans l’humain, mais pas dans le Maître.
Le Maître n’a pas mémorisé Wikipedia ou la totalité des encyclopédies. Le Maître ne connaît pas tout (tous les faits et les chiffres). Alors, humains, allez au-delà de ça. N’attendez pas d’aller vers le Maître pour lui demander: «Maître, combien pèse la Terre ? » Le Maître s’en fiche, n’a pas besoin de le savoir, ne se balade pas avec toutes les données en faisant des prédictions sur le futur, en investiguant le passé. Le Maître est dans le présent, et voilà. Le Maître n’a pas besoin de tout cela.
Ne vous attendez pas à ce que le Maître commence à faire des miracles dans votre vie. N’attendez pas que le Maître résolve vos problèmes. Mais le Maître sera le meilleur ami que vous ayez jamais eu. Le Maître écoutera vos problèmes. Le Maître vous fournira un éclairage sur ces questions auxquelles vous êtes confrontés; il ne vous dira pas quoi faire, mais vous fournira simplement une lumière, un éclairage.
Le Maître vous écoutera. Le Maître ne vous dira pas quoi faire ou essayer pour vous contrôler, ou quoi que ce soit d’autre. Mais si vous écoutez ce Maître que vous êtes, si vous faites une pause un instant, vous allez ressentir quelque chose venant de ce Maître, une perspective que l’humain ne pourrait pas envisager autrement.
Vous allez ressentir un niveau d’amour compassionnel, un amour inconditionnel que vous n’avez jamais ressenti auparavant. Et je veux que vous compreniez à présent, cela ne vient pas de Dieu. Je veux dire, c’est le même genre de chose, mais ne le transposez pas sur quelque chose d’autre ailleurs. Ne mettez pas votre foi en moi ou en Jésus, Yeshua. Ces brefs aperçus, puis ces ressentis à plus long terme d’un amour inconditionnel absolu viennent de vous, du Maître qui a toujours, toujours été là.
L’humain a relégué le Maître pendant longtemps pour une raison simple: il ne ressentait pas qu’il en était digne; il attendait la rédemption, le salut, la perfection ou autre chose. L’humain l’a relégué, mais c’est terminé. Aujourd’hui est le jour de l’émergence du Maitre. C’est alors que vous commencez à réaliser que vous n’êtes plus un. Vous n’êtes plus un. Vous êtes, eh bien, Linda si vous vouliez bien faire le calcul mathématique au tableau.
LINDA: Oh, non.
ADAMUS: Ce sont les mathématiques d’Adamus.
LINDA: (soupir) Ok.
ADAMUS: Un divisé par deux égale un.
LINDA: Quelle taille voulez-vous que ça prenne ?
ADAMUS: Prenez l’espace du tableau tout entier. C’est gratuit.
LINDA: D’accord.
ADAMUS: Un divisé par deux égale un. Plus tard, nous allons entrer dans un divisé par trois, un divisé par quatre. Mais aujourd’hui, c’est important; un, qui est le Je suis. Vous allez commencer à réaliser que deux est l’humain et le Maître, mais c’est encore un. C’est encore un.
J’avais encouragé Cauldre à parler à chacun d’entre vous de l’Aspectologie. L’Aspectologie, c’est la compréhension de la façon dont l’âme ou l’humain ou des parts du soi peuvent créer des aspects de lui-même (le soi); des aspects fonctionnels qui peuvent faire des choses comme conduire une voiture ou cuisiner un dîner, ou des aspects sombres et dissociés qui représentent les parts blessées, mal aimées, sans attention du soi.
L’étude de l’Aspectologie est fascinante. C’est le cœur de la psychologie spirituelle – ce devrait être le cœur de toute psychologie – comment le un peut se fragmenter en ce que nous appelons, ce que Tobias appelle les aspects. En comprenant la façon dont vous pouvez les créer, comment vous pouvez réellement vous rendre compte des différentes parts de vous-même, ça a un impact considérable dans la compréhension de l’étape suivante, qui est le «et». Je, l’humain et Je, le Maître. Tout cela fait partie du Je Suis. Ce ne sont pas deux ou trois morceaux séparés, mais ce sont des facettes. Ce sont des expressions à l’intérieur du un.
Vous restez dans l’unité. Vous ne vous disloquez pas. Vous ne vous divisez pas. En fait, d’une manière très intéressante, vous vous intégrez vraiment.
Alors là, vous avez l’humain, celui que vous connaissez si bien, ou celui dont vous faites l’expérience et que vous exprimez; ici vous avez l’humain qui essaye et essaye et essaye et essaye de s’améliorer, d’atteindre le nirvana, d’atteindre une sorte d’illumination. L’humain ne va pas s’illuminer.
L’humain restera humain. L’humain aura ce que l’humain considère être des défauts, mais qui n’en sont pas pour le Maître. L’humain continuera d’avoir ses luttes, au moins ce qu’il considère [être des luttes]. En même temps, vous aurez le Maître qui ne juge pas cela comme un défaut. Il n’y a pas de luttes. Il n’y a pas de choses non résolues. Le Maître ne charge pas le cerveau du Maître avec des faits et des chiffres et des informations en essayant toujours de déjouer le système de l’humain. L’humain passe la majeure partie de sa vie à essayer de déjouer le système humain. Le Maître s’en fiche. Le Maître est tout simplement dans l’espace du permettre.
Le Maître veut venir. Quel que soit le mot – Je peux entendre que certaines personnes n’aiment pas le mot “Maitre”. Il se trouve que j’aime ce mot, parce qu’il indique la maîtrise. Il indique le permettre. Cela ne signifie pas que vous êtes un perfectionniste, cela ne signifie pas que vous faites tout parfaitement; vous avez juste maîtrisé l’art d’exister. Vous avez maîtrisé le Soi. Vous n’êtes plus juste isolé dans votre déguisement humain, votre expression humaine. Vous avez maîtrisé tout cela. Voilà pourquoi je dis que le Maître est intemporel. Il n’existe pas dans le futur ou le passé. Je veux dire, il est dans l’ensemble, mais il est très présent.
Cher humain, le Maître est ici et veut venir, et vous l’avez retenu. « Je ne suis pas prêt. Si j’étais un Maître, je pourrais voler dans les airs. » Le Maître se fout de ça. C’est une problématique égotiste d’humain. Si vous voulez voler dans les airs, prenez l’avion (quelques rires). C’est aussi simple que ça.
Vous voulez faire des miracles, et je ne dis pas que les miracles ne sont pas possibles, mais l’humain veut de l’argent, l’humain veut de l’amour, l’humain veut être parfait et jeune et ne jamais mourir. Le Maître se fiche de toutes ces choses. Le Maître est en totale compassion.
Le Maître est toujours en train de rire. Le Maître est toujours en train de rire. Nous allons faire venir le Maître et vous aurez quelques expériences amusantes et intéressantes. Vous marcherez dans votre maison, pieds nus, et tout à coup, vous cognerez votre orteil contre un gros objet en bois solide sur le sol ou quelque chose comme ça. Et vous savez la première chose que vous ferez; vous reculerez, vous vous pencherez, “Fils de… » Vous savez, en tenant votre pied. Et alors, vous entendrez rire, et ce sera le Maître. Le Maître se tordra de rire à ce propos, et vous vous mettrez en colère contre le Maître et vous direz un truc comme « Tsss, » mais ensuite vous commencerez à rire aussi. Vous réaliserez que c’est en fait sacrément drôle. C’est assez drôle.
Le Maître sera le meilleur ami que vous avez jamais, jamais, jamais eu et plus encore. Le Maître c’est vous. C’est une part de vous que vous avez retenue pendant longtemps.
Le Maître est profondément sage, complètement sage. Le Maître ne va pas vous faire changer les choses, ne va pas commencer à diriger votre vie, ne va certainement pas la contrôler ou la gérer. Mais quand vous vous arrêterez un instant, cher humain, vous vous arrêterez juste un instant et vous ressentirez le Maître que vous êtes, en captant cette sensation, tout à coup, vous aurez une perspective de votre vie humaine et de la vie de Maître, en même temps, une perspective que vous n’avez jamais eue auparavant.
Vous avez fait le tour de cela, en un sens, nous parlons de ce déséquilibre masculin / féminin; cela va disparaître, pour vous. Cela n’a plus d’importance. Vous êtes vraiment bien au-delà de ça. De fait, nous utiliserons la Blessure d’Adamus pour simplement – la Blessure d’Adam! (Rires) – pour en quelque sorte aller au-delà de cela. Maintenant, la vraie question ne concerne pas le manque d’équilibre entre le masculin / féminin; il s’agit de l’humain et du Maître, de l’humain et du Je Suis. C’est ce que nous allons amener à l’équilibre.
Dans notre merabh, je vais vous demander, humain, de faire une chose et une seule – permettre au Maître d’entrer dans votre vie. Vous ne le faites pas en forçant la chose ou en l’implorant. Vous ne le faites pas en priant ou en chantant. Il n’y a pas de mantra. Nous n’avons pas de quelconques huiles de Maîtres ici pour amener le Maître. Il s’agit simplement de : «Je suis là. Je suis là. » Voilà. Il s’agit de permettre. Il s’agit de permettre, et alors il en est ainsi. Il en est ainsi.
Maintenant, je vous dis cela et quand l’humain sortira d’ici, il dira: «Oh, j’ai juste accédé à la Maîtrise (j’ai juste fait venir le Maître), finalement. » Et demain matin, vous …
SART: Ouais.
ADAMUS: … « Yeahh, yean, ouais, ouais » (rires). Et puis ce qui vient juste de se passer ici va arriver. L’humain va dire: « Je ne sais pas. Était-ce juste un autre …” Et alors vous entendrez rire.
Vous identifierez d’abord le Maître par ce rire qui sera perceptible. Ce ne sera pas moi. Je ne voudrais pas me moquer de vous! (Certains rires, quelqu’un dit: «Bien sûr!») Ce ne sera pas vos guides spirituels. Ni autre chose. Ce sera le Maître en vous, et il est tellement prêt. Il ne se retient pas; vous le retenez. Il est tellement prêt à entrer dans votre vie. Ce n’est pas juste un objectif, pas juste le fruit de votre imagination; il est là pour être réel. Il est là pour être réel. Je parlerai plus dans nos prochaines sessions de ce que le Maître est / n’est pas. Mais pour l’instant, sachez qu’il est le meilleur ami que vous pourriez jamais imaginer. L’ami le plus compassionnel, le plus acceptant, le plus proche, et le Maître a toujours été là.
Vous allez cheminer avec le Maître à partir de maintenant. Vous allez cheminer avec le Maître à partir de maintenant. C’est la raison pour laquelle vous êtes là et c’est de cela que traite cette série – le Transhumain, la transformation au-delà du simple humain – et cela va vous sembler très étrange. Pour l’humain, cela va sembler très étrange. Vous allez vous sentir, je ne sais pas, comment dit-on ? Bipolaire. Vous allez vous sentir duplexé [à deux niveaux] (quelques rires). Vous allez vous sentir parfois – j’essaie de le décrire – mais il y aura des moments quand vous commencerez à cheminer avec le Maître et quand vous commencerez (à vous percevoir) en tant que Maître où tout sera juste un peu – Kuthumi disait bancal, chancelant -. Rien n’aura de sens au début, parce que vous êtes tellement habitué à être dans une conscience, une conscience limitée en tant qu’humain – les pensées humaines, les émotions humaines, la merde humaine – que tout à coup, d’avoir cette autre présence là qui est vous, cela va vous sembler bizarre. Il va vous sembler par moments que c’est vous, et ensuite, à d’autres moments, il va vous sembler que ce n’est pas vous. Et parfois, vous allez ressentir que c’est vous et que ce n’est pas vous en même temps.
L’humain a du mal à être multisensoriel, multidimensionnel. Voilà pourquoi je vous disais, quand nous parlions des élections, que l’humain ne veut pas vraiment le changement. Il veut juste un petit peu plus de cirque et un petit peu plus de pain, et donc il y aura une résistance. Alors, humain, comprends déjà qu’il y aura une certaine résistance. Vous allez vous sentir bizarre dans votre corps, parce que maintenant il n’y aura pas que l’humain dans votre corps. Il va y avoir le Maître dans votre corps.
Le Maître ne va pas seulement marcher à côté de vous ou six pieds derrière vous – certainement pas derrière vous. Le Maître sera dans votre corps, dans vos yeux, et cela va vous paraitre un peu bizarre – « Comment se fait-il que les choses ne semblent plus les mêmes ? Comment se fait-il que je voie double comme si ma vision était floue ? » Eh bien, c’est parce que le Maître est là maintenant. « Et ». Alors ça va être un peu flou.
Et le Maître n’est pas habitué à dormir beaucoup la nuit (quelques rires). L’humain aime dormir. L’humain aime vraiment dormir. N’est-ce pas drôle? Vous donnez tout de vous-même pour être ici sur cette planète, vous passez par le processus de la naissance, et ensuite que faites-vous? Vous dormez toute votre vie ! (plus de gloussements) «Je suis vraiment fatigué. Je ne peux plus le supporter. Je vais aller me coucher. » C’est comme d’acheter un billet pour aller voir un film, et puis s’endormir pendant le film! (Plus de rires) Eh bien, vous manquez le film. Donc, le Maître n’aime pas nécessairement dormir. Mais quand l’humain se réveille au milieu de la nuit, en râlant et gémissant parce qu’il ne peut pas dormir, il est temps d’avoir un bon dialogue avec le Maître. Merci, chère Linda (elle lui tend un mouchoir). Cela me donne envie de pleurer et d’éternuer.
LINDA: Vous en avez besoin de deux.
ADAMUS: Pour cette amitié.
LINDA: Vous en avez besoin de deux.
ADAMUS: J’en ai beaucoup. Je vous remercie.
LINDA: Un c’est pas assez (quelques rires).
ADAMUS: J’en ai marre (il renifle et attrape un autre mouchoir).
Donc ça sera un peu étrange pour l’humain. Un peu étrange, en effet, parce que soudain vous n’êtes plus seulement l’humain singulier. Tout à coup, vous avez le Maître. Et le Maître c’est vous, et ça va être vraiment bizarre pour l’humain de le comprendre. Vous allez essayer de faire du Maître un être différent, quelque chose d’autre que vous, mais c’est vous. Et ensuite vous deviendrez confus et vous aurez un de ces – Tiffany – un de ces jours de mauvais ami avec vous-même. Ce jour de mauvais ami, c’était le Maître qui commençait à venir et l’humain qui se demandait : «Qu’est-ce qui se passe?» Et l’humain qui questionnait la chose plutôt que de la permettre. C’est tout ce qui vous arrivait – « Qu’est-ce qui ne va pas avec moi? » Le Maître est à votre porte et il va donner des coups de pied assez vite si vous ne laissez pas le Maître entrer dans votre vie.
TIFFANY: Est-ce que le Maître va me laisser dormir maintenant? (rire)
ADAMUS: Non, le Maître ne va pas vous laisser dormir. Mais, voici maintenant la perspective intéressante. L’humain: « Oh, je veux dormir. Je veux dormir 10 heures. » Le Maître n’a pas besoin de dormir, et en fait, l’humain non plus.
LE RETOURNEMENT
Alors soudainement, vous vous retournez, et cela va devenir un mot commun de votre vocabulaire – le retournement. Pas le retournement en doigt d’honneur [jeu de mot avec l’anglais], mais le retournement / renversement (quelques rires). La raison pour laquelle il a été si important de couvrir des choses comme l’Aspectologie pendant des années et la raison pour laquelle il était important d’inviter beaucoup de gens à quitter le Crimson Circle, c’est parce que la frontière entre la névrose et la psychose et beaucoup d’autres maladies mentales, la frontière entre cela et la maîtrise ne sont pas si éloignées.
LINDA: Oh.
ADAMUS: Non, elle ne l’est vraiment pas. On peut être équilibré dans le moment, ancré, mais aussi avec, vous pourriez dire, la tête dans les nuages; ancré et avec sa tête dans les nuages, alors que la névrose, la psychose et la dépression et certaines de ces autres choses sont une rupture, une cassure avec un ancien système.
La plupart d’entre vous sont passés par là. Vos anciens systèmes sont partis. C’était difficile. C’était vraiment difficile. Mais ils ont, pour la plupart, disparu. Il y a quelques résidus, mais nous demanderons au Maître de nous aider à nettoyer cela.
Alors, ça va être intéressant. Vous allez vous retourner et en un instant vous allez maudire cela, parce que vous ne dormez pas assez, et l’instant d’après, le Maître sera allongé sur ce lit et le Maître sera ravi d’être allongé sur ce lit bien éveillé. Le Maître ne veut pas dormir. Le Maître veut vivre. L’humain veut dormir et oublier tout cela.
Donc, vous allez ressentir comme une énorme contradiction pendant un certain temps. Vous allez vous lever le matin et une part de vous sera fatiguée et une part de vous sera pleinement éveillée, prête à mordre la vie. Vous aurez des moments où l’humain aura faim et voudra manger une côte de bœuf après que vous lui ayez donné une petite pichenette pour la faire tomber (cow tipping) – remettez-vous en ! (Rires) – et d’un autre côté, le Maître n’aura pas d’appétit du tout. Et vous vous demanderez: « Ai-je faim ou non?» Et la réponse est oui. Oui.
Vous aurez une nouvelle relation avec vous-même. Vous allez vous marier avec vous et le Maître, tout en même temps, et c’est une très bonne nouvelle. Une très bonne nouvelle. C’est très bien que nous soyons là dans la série du Transhumain. Mais, pour l’humain, je vais vous le dire dès maintenant, ça va sembler inconfortable. Vous allez vous retourner – une minute à rire, la minute d’après à pleurer. Vous ne devenez pas fou; vous êtes juste en train d’accéder à la Maitrise. Vous avez l’humain ici à pleurer sur le lait renversé, et vous avez le maître là à se taper le cul par terre parce que le lait renversé c’est marrant ! Ça l’est vraiment. On ne peut pas renverser de lait au Club des Maîtres Ascensionnés. Il ne se renverse tout simplement pas. Nous avons essayé. Nous avons essayé de le verser sur quelque chose; il ne se renverse pas. Impossible de pleurer à ce propos (quelques rires).
L’humain va perdre son emploi et le Maître applaudira, célébrera ça, dansera dans la rue. Et l’humain dira : « Oh, mais et mon argent et mon loyer alors ?» Et le Maître répondra : « On n’a pas besoin d’argent. On n’a même pas besoin d’une maison.” Et l’humain se demandera :« Qu’est-ce qui cloche chez moi, putain ? « L’humain qui est tellement habitué à contrôler chaque petite partie de sa vie et à être dans le contrôle des choses comme le temps et l’espace et la conscience de masse va avoir du mal avec le Maître du Je Suis qui ne se soucie vraiment pas de ces choses. Il ne s’en soucie vraiment pas. Non pas que le Maître soit paresseux ou indifférent, mais ces choses ne sont pas très pertinentes. Et le Maître rira pendant que l’humain maudira tout cela.
Au passage, c’est une occasion grandiose pour en faire des livres et des films et tout le reste – « Le Maître et Moi. »
Nous allons faire un merabh dans un instant, mais je parle à l’humain ici. Vous avez demandé le changement, maintenant il est là, et je vais vous demander de le permettre. Ne le bloquez pas. Et ne le faites pas progressivement. Ne dites pas: «D’accord, aujourd’hui, je vais accéder à ma Maitrise à 14,5% et demain je verrai comment c’est. » C’est Maître ou pas Maître.
LINDA: Hmmm.
ADAMUS: C’est permettre ou pas. Et je dis cela parce que certains d’entre vous vont essayer – « Eh bien, je vais voir comment c’est aujourd’hui, et alors je reviendrai demain. » C’est là que ça fait mal. C’est là que c’est difficile. C’est là que vous rendez un très mauvais service au soi humain en pensant: « Eh bien, je vais essayer ». Vous savez, c’est comme – Cauldre me dit qu’ils ont ces – je ne peux pas croire qu’ils font ça sur Terre – il me parle de ces gens dans les épiceries qui distribuent de la nourriture gratuitement (échantillons) pour voir si vous l’achèteriez. Nous ne sommes pas ici en train de prendre un échantillon à l’épicerie locale pour voir si vous aimerez ça. Vous allez creuser ça. Vous allez permettre au Maître de venir.
Si vous ne le voulez pas, si vous êtes nerveux, vous feriez mieux de partir. Vous feriez mieux, je veux dire, de revenir à ce Shoud un autre jour, une autre année, dans une autre vie. Vous feriez mieux de faire cela. Mais si vous le faites, faites monter le Maître.
Maintenant, c’est là que nous arrivons à ce vieux conflit humain. Vous l’avez voulu. Vous l’avez désiré. C’est la raison pour laquelle vous êtes ici sur cette planète, et maintenant c’est là. Et soudain, vous êtes comme: « Whewwww! Oh, je ne sais pas. Bon sang, j’ai ce projet. Je n’ai pas fini mon jardinage encore. » Invitez le Maître à jardiner avec vous! Quelle importance?
Le Maître que vous êtes n’a pas été accueilli ou permis dans votre vie humaine. Alors le Maître, dans un sens, même si c’est vous, n’a pas fait beaucoup de choses. Il va être sacrément content de faire du jardinage, de la cuisine, et vous allez vous sentir vraiment bizarre – « Pourquoi – je suis assis ici à faire cuire des œufs à la poêle – pourquoi putain suis-je si content de faire ça ? Je l’ai fait mille fois. » Mais pas le Maître. Le Maître n’était jamais venu faire une bonne longue marche physique et tout à coup vous êtes comme: « Je n’aime pas la marche, mais soudain je marche. Que se passe-t-il? » Vous accédez à votre Maitrise.
Vous n’allez pas le faire en étant un humain qui monte un étage, puis un autre étage et devient alors Maitre. Vous êtes l’humain et le Maître. Un divisé par deux ça fait encore un. Vous découvrez maintenant que vous êtes multi-expressions. Vous avez vécu dans l’expression d’un humain avec ses luttes humaines, ses traumatismes humains, ses limites humaines. C’était super. Certaines de ces choses vont continuer, mais maintenant vous avez le Maître là. Il change toute la perspective. C’est alors que vous apprenez à rire de vous, parce que vous allez rire de vous. Le Maître va rire des faiblesses humaines. C’est là que vous commencez à préparer vos histoires pour le Club des Maîtres Ascensionnés. C’est là que vous riez quand vous faites tomber le marteau sur votre orteil et que vous dites: « Aiie! » Et que vous entendez ce rire.
Le Maître va aussi devenir – J’ai un peu aidé Cauldre avec son article – il va devenir votre meilleur ami et votre plus grande irritation. Et la chose intéressante c’est que, quand je vous dis que vous vous retournez – je veux dire, vous passez d’un moment où vous êtes dans la réalisation humaine; et la minute suivante vous êtes dans la réalisation de votre Maître – mais ce qui se passe réellement, c’est que vous êtes aussi dans les deux réalisations simultanément. Les deux en même temps. Pas juste à être l’humain, et ensuite à être le Maître. Vous commencez à marcher, vivre, respirer – vous allez le remarquer – je vais vous demander à tous de faire juste un peu de respiration, non pas comme une discipline, mais comme une expérience dans les jours à venir. C’est là que vous allez vraiment remarquer le Maître aussi. Tout à coup, vous allez réaliser: «Est-ce qu’il y a quelqu’un à côté de moi qui respire ? Pourquoi ma respiration est-elle différente? Pourquoi est-ce que je sens un souffle différent quand j’expire? » C’est le Maître que vous êtes, et il est là. Il veut être en vous, dans votre vie, dans vos expériences. Il veut faire partie de votre grandeur maintenant. Il est temps d’arrêter de le retenir.
Ne demandez pas au Soi Maître de commencer à faire des choses pour vous. Ne lui demandez pas de résoudre vos problèmes. Ne lui dites pas, « Dieu, Soi Maitre, maintenant que tu es là, j’ai cette maladie… » Ce n’est pas son rôle. Mais ce qui se passe quand vous commencez à vous laisser être à la fois l’humain et le Maître incarné – incarné – soudain, la perspective de l’humain sur ce qu’il pensait être une maladie physique, en fait ne l’est pas. Même si les médecins vous ont dit que vous avez cette maladie dont vous ne pouvez même pas prononcer le nom, les médecins vous ont dit ça, et soudain avec la lumière du Maître et avec la présence Je Suis là, soudain vous réalisez: « Wow! J’ai cette maladie, mais en fait je n’ai pas cette maladie. Et en fait … » Cauldre veut que je fasse un avertissement, mais Linda pourra le faire plus tard.
Maintenant, c’est un peu étrange, soudain l’humain peut avoir …
LINDA: Vous voulez dire que tout ceci, c’est juste un divertissement ? S’il vous plaît consultez votre médecin avant de prendre toute décision critique. (rire)
ADAMUS: Oui, c’est du divertissement, parce que le Maître se tape le cul par terre en ce moment.
Et tout à coup, et j’utiliserai l’exemple de Malu, tout à coup vous découvrez que vous avez le cancer et les médecins vous disent – ils vous montrent des films et radios ou des rayons X, quoi que ce soit – et ils vous disent: « Maintenant, voici ce que vous devez faire pour votre traitement » C’est une chose intéressante parce que l’humain peut avoir le cancer -. qui pourrait être une sorte d’effet émotionnel, l’humain peut être diagnostiqué comme ayant un cancer – mais le Maître pas. Le Maître ne l’a pas. Considérez un instant les implications que ça a. Tout à coup, c’est l’humain et le Maître. Tout à coup, vous êtes et vous n’êtes pas. Tout à coup, vous n’essayez pas de guérir l’humain, mais vous êtes dans le « et » du Maître. Cet humain, du fait de la nouvelle perspective du Maître, cet humain pourrait continuer 30, 40, 50 ans avec ce cancer et ne pas en être affecté biologiquement.
C’est le moment pour l’avertissement.
(Légère pause)
Avertissement (quelques rires). Allez-y, c’est à vous.
LINDA: (très fort) Ceci n’a qu’une valeur de divertissement. S’il vous plait, demandez conseil à votre médecin avant de faire tout changement ou tout changement de médication. Ceci est strictement réservé au domaine du divertissement.
ADAMUS: En provenance d’un Maître Ascensionné, mais à part ça … (rires et quelques applaudissements) A part ça …
Vous avez une expression humaine, vous pouvez l’appeler un changement de jeu. C’est, et une fois encore, ce n’est pas le maître qui vient pour essayer de guérir l’humain. Le Maître ne le fera pas, n’en a pas l’intention ni ne le veut. Mais soudain, quand vous êtes assis côte à côte avec le Soi Je Suis qui arrive maintenant dans votre corps, dans votre mental, dans votre réalité, soudain, ça change la perspective. Ça change l’histoire, et l’humain peut avoir un cancer, et le Maître non. Je veux que vous pensiez ou ressentiez vraiment ces implications et comment cela change la perspective de toute chose, et comment finalement ça peut être ce qui guérit l’humain, la réalisation que «Je suis aussi le Maître et le Maître n’a pas cela. »
Nous avons fait beaucoup d’expériences ensemble dans cette Série, dans la réalisation que le Maître est là, sans plus en parler ou y penser ou s’y préparer. Il est là. C’est là. C’est l’heure. Mais je veux vraiment que l’humain sache que ça va être perturbant. Vous allez être bi-sensoriel, bi-sensuel, peut-être bisexuel, ça n’a pas d’importance. Vous allez être bi-sensoriel à présent. Alors, là où vous aviez beaucoup vécu dans la singularité, beaucoup vécu dans votre mental, dans ce que vous pensiez qu’était votre identité, tout à coup, cela va y faire
irruption. Vous allez avoir l’intrusion d’un visiteur qui ne va jamais vous quitter (Adamus rit). Vous allez avoir, soudain, deux points de vue, deux perspectives sur toute chose. Cela va se développer encore plus ensuite, mais regardons déjà ça avec deux perspectives. Vous allez vous retrouver avec deux perspectives et vous allez vous retourner d’avant en arrière, et ensuite les deux en même temps au même instant. Vous allez vous renverser. Vous allez être un Maître renversant.
LINDA: Oooh! (rire)
ADAMUS: Ou comme le Maître dirait: «Vous êtes un humain renversant. »
Et, encore une fois, cela vous semblera un peu étrange, un peu déconcertant. Vous irez à votre réfrigérateur pour prendre du lait, et vous, l’humain, « je veux un verre de lait », et tout à coup votre main sera sur le jus d’orange. « Je ne veux pas de jus d’orange. »
«Nous allons prendre du jus d’orange. » (Rires) Et puis, ce qui est plus étrange, vous allez vous verser un verre de lait et un verre de jus d’orange et les boire en même temps.
LINDA: Blggh!
ADAMUS: Non, mais ça aura si bon goût.
LINDA: ughhh! (plus de rires)
ADAMUS: Vous devenez Maître. Qu’est-ce que ça veut dire « Non »? Arrête de pleurnicher, humain. Arrête de pleurnicher.
Ça sera très étrange et, encore une fois, vous allez le remarquer souvent quand vous ferez des choix dans votre routine quotidienne et vous réaliserez, parce que le Maître est là, comme vos choix étaient routiniers. Vous pensiez juste que vous vouliez un verre de lait parce que vous avez été programmé au lait, parce que c’est la première chose que vous faites le matin et que votre maman vous faisait boire du lait tous les matins. Mais en fait, vous vouliez vraiment du jus d’orange, ou du moins le Maître le voulait. Alors, ça va être assez étrange, intéressant. Partagez vos expériences à ce sujet sur vos – humm – médias sociaux. Partagez-les dans un e-mail ou autre. Nous en parlerons davantage le mois prochain, mais à présent, il est temps de faire venir le Maître.
LINDA: Oups.
MERABH
ADAMUS: Alors, pendant que l’éclairage propice au merabh est mis en place, assurez-vous de vous mettre à l’aise, de même que tout le monde qui regarde en ligne. Et si vous êtes nerveux, eh bien, faites venir le Maître (quelques rires).
Ressentez la différence à présent, parce que le Maître veut faire cela (ce merabh).
Le Maître a attendu tellement, tellement longtemps.
(la musique commence)
Prenez une bonne respiration profonde dans ce bel espace sûr, plein de compagnons, de Shaumbra. Nous sommes dans la Série du Transhumain et il est temps. Il est temps de faire venir le Maître. Il est temps, cher humain, que vous permettiez le Maître dans votre vie, en partant d’un concept mental, en partant d’un souhait, d’un désir et en le rendant réel. Et tout ce que vous avez à faire, c’est de permettre. C’est tout. Tout ce que vous avez à faire, c’est de permettre.
Vous prenez une profonde respiration et faites venir le Maître. Le Maître était là tout ce temps, à simplement attendre, mais dans une telle compassion qu’il attendait que vous soyez tout à fait prêt.
Le Maître fait venir les prémisses de ce que vous pourriez appeler votre corps de lumière, vos sens non-mentalement orientés. Le sens de l’imagination, le sens des rêves. Vous savez, les rêves sont un sens.
Les sens sont tout ce qui vous permet une perspective sur des formes variables de la réalité, et les rêves sont un sens. C’est ce qu’ils sont.
Le Maître arrive maintenant, se glisse en vous simplement. Il se glisse simplement en vous, et commence à présent à devenir une part de votre biologie, de votre anatomie. Et même si vous avez eu quelques problèmes avec votre corps, le Maître n’en a aucun. Vous vous êtes peut-être regardé dans le miroir en pensant que vous étiez trop gros, trop vieux, trop avachi, peu importe. Le Maître n’a rien de cela. Et vous allez l’entendre. Vous allez le sentir. L’humain dira, « Oh! Regardez ce corps »et le Maître répondra : » Oh, mon dieu! J’adore ce corps. »
Cela vous paraitra étrange parfois. Il y aura une voix différente. Vous êtes habitué à écouter la voix de l’humain et de ses aspects. Vous êtes habitué à la voix de la critique et du jugement, la voix du «Je ne suis pas» plutôt que du «Je Suis».
Vous avez l’habitude d’écouter les sous-voix de l’humain, les voix de l’aspect du « être moins que ». Votre propre soi humain qui discute avec votre propre soi humain, les deux rivalisant en vue chacun d’être élu patron pour la journée, en vue d’être celui qui contrôle pour cette journée. Et à présent, il y a une voix différente et peut-être que vous ne l’entendez pas, même sous forme de mots. Ça peut être une voix sans mots, sans aucun mot du tout. Mais pourtant, c’est comme une voix. C’est une nouvelle voix, celle du Maître.
Il va y avoir des moments où l’humain sera perturbé par tout ce nouveau niveau de présence, un niveau de présence dans vos sens, dans vos pensées, dans les voix, dans toutes les choses de votre vie. Une nouvelle présence quand vous conduirez votre voiture, ferez cuire un repas, et même quand vous regarderez un film – une toute nouvelle présence. Et parfois, l’humain essayera de, vous pourriez dire, récupérer le crédit à son égard ou il essayera de faire que le Maître devienne humain; en d’autres termes, l’égo essayera de prendre le contrôle du Maître. Ça ne marchera tout simplement pas. Vous ne pouvez tout simplement pas.
Il y aura des moments où l’humain dira : «Ne suis-je tout simplement pas le plus grandiose des humains puisque mon humain est devenu un Maître ? » Non. Ce n’est pas que l’humain soit devenu un Maître. L’humain est toujours un humain et il y a la présence du Maître. C’est la beauté de tout cela.
Il n’y a pas de prise de contrôle. Il n’y a pas de vampirisme. Il y a simplement le « et ». Et vous arriverez à cet endroit tellement magnifique du «Je suis l’humain» et «Je suis le Maître » ensemble et simultanément. Mais pourtant avec tellement de différences, un caractère si différent, des facettes si différentes.
L’humain n’a pas du tout besoin de lutter avec cela. Il s’agit juste de permettre le Maître qui a tant attendu, tant voulu être là. Il se glisse juste en vous.
Il est juste là.
Il est en vous, dans votre corps, dans votre conscience.
Et le Maître transporte avec lui ce que je qualifierais de lumière. Et, encore une fois, je ne fais pas allusion à la simple lumière que vous obtenez du soleil ou d’autres sources de lumière, mais le Maître transporte une lumière, une radiance. Pour moi, c’est lorsque cette part de conscience brille tout simplement imperturbable, illimitée. Elle brille juste. Ce Maître apporte ça, une sorte de lumière depuis l’intérieur.
Aussi merveilleux que cela puisse paraître, certains d’entre vous ont passé des vies à essayer de rester dans l’ombre, en essayant de baisser la lumière. Alors ça pourra vous paraitre inconfortable, le Maître est là maintenant dans toute sa radiance. Cette lumière brille, et elle va continuer à briller. Alors, cher humain, commence à t’y habituer. Ce n’est pas une lumière que vous pouvez ou même voudriez essayer de contrôler.
Et, cher humain, la nuit, quand tu seras capable de dormir, tu dormiras de deux sommeils, avec deux rêves, deux états d’être différents. Vous avez été habitués à avoir une expérience de rêve, mais avec le Maître à présent, vous en aurez deux. Cela pourra être un peu déroutant pour l’humain qui a même parfois du mal à se souvenir d’un seul rêve quand il se réveille, mais tout à coup, deux rêves différents auront lieu. Comment cela peut-il être? Eh bien, c’est le maître et l’humain.
Rappelez-vous – et rappelez-vous ceci – ce n’est pas l’humain qui devient un Maître. Ce n’est pas l’humain qui devient parfait. C’est le «et». C’est le Maître et l’humain. Deux qui font un; un qui devient deux.
Vous avez été enfermés dans ce cercueil de la réalité humaine depuis aussi longtemps que vous pouvez vous souvenir. Vous avez été enfermés dans la singularité de la réalité humaine, mais maintenant vous devenez les deux. Humain et Maître.
Le Maître est ici et le plaisir commence.
Le « et » commence, le vrai « et ». Nous en avons parlé depuis plusieurs années maintenant. Aujourd’hui est le jour de la venue du Maître.
Prends une profonde respiration, cher humain, et prends une profonde respiration, cher Maître.
Maintenant, prenez une grande respiration en tant qu’humains et Maîtres, et ressentez la différence. Les deux respirations. Les deux respirations en même temps.
C’est presque comme à votre naissance, quand vous avez pris cette première bonne et profonde respiration et que vous saviez que vous étiez de retour dans une autre vie. Et aujourd’hui, il s’agit de prendre cette respiration profonde. Le Maître et l’humain, réalisant soudain que ce n’est pas simplement un souffle; c’est le souffle de l’humain et le souffle du Maître, simultanément.
Il n’a jamais été question de vaincre l’humain. Il s’agissait de devenir le « et », l’humain et le Maître.
Quels magnifiques cadeaux le Maître et l’humain vont-ils partager et se donner l’un l’autre, tout comme les magnifiques cadeaux que les personnes les plus proches de vous dans votre vie vous ont donnés, mais d’une façon tellement plus profonde, plus personnelle et plus compassionnelle. Vous vous donnerez des cadeaux l’un l’autre – les cadeaux de la vie de la part du Maître, les cadeaux de la sagesse, les cadeaux du Je Suis.
Et l’humain, vous, vous donnerez aussi des cadeaux à ce Maître qui a juste attendu d’être en vie, d’être en vous – les cadeaux de l’expérience, les cadeaux de l’amour, les cadeaux du partage, les cadeaux d’être simplement en vie, les cadeaux d’avoir des amis. Le Maître veut ressentir ce que ça fait d’être avec ces amis, vos amis, votre famille. Vous, l’humain, êtes en train de donner des cadeaux à ce Maître. Ce n’est pas seulement une voie à sens unique.
Le Maître est là maintenant.
Il n’y a plus l’attente. Il n’y a plus la nostalgie du meilleur ami que vous avez jamais eu. Le Maître est là.
Le Maître ne partira pas. Le Maître n’est pas là simplement pour une journée test. Le Maître est là.
Je continuerai à parler à l’humain de ce qui peut sembler être des contradictions dans votre vie parfois, ce qui peut sembler être, pourriez-vous dire, des niveaux de confusion humaine, ce qui peut sembler être un état d’existence multiple. Je continuerai de parler de ça à l’humain.
Je continuerai de parler au Maître de la vie humaine, des choses étranges que les humains font.
Mais à présent, je voudrais que vous preniez cette respiration du Maître et de l’humain ensemble, et puissent toutes nos respirations à partir de maintenant être celles du maître et de l’humain.
Non plus un seul souffle d’un humain solitaire, mais à présent le souffle de l’humain et du Maître réunis.
Prenez une bonne et profonde respiration. Prenez une bonne et profonde respiration.
A présent le Maître arrive. A présent le Maître arrive.
Prenez ce nouveau souffle du Maître et de l’humain, ensemble.
Et ainsi commençons-nous un tout nouveau chapitre.
Avec cela, mes chers amis, c’est toujours un plaisir d’être ici avec vous, en ces moments de transformation, et je vous demande, peu importe combien vos pensées, vos rêves, votre expérience humaine, seront fous, je veux que vous vous rappeliez que le Maître est là et donc …
ADAMUS ET AUDIENCE: Tout est bien dans toute la création.
ADAMUS: Avec cela, recevez mon plus grand amour. Vraiment (applaudissements).
Texte partagé par: http://messages.terrenouvelle.ca – Messages Célestes
Photos ajoutées par Feolla feolla.ca@gmail.com http://quatorze.blog4ever.com
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Adamus® canalisé par Geoffrey Hoppe , assisté par Linda Hoppe
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