Quatorze

ADAMUS SAINT-GERMAIN

 

 

série Émergence

 

SHOUD 10

 

Avec ADAMUS SAINT-GERMAIN

 

canalisé par Geoffrey Hoppe assisté par Linda Hoppe
Présenté au Crimson Circle le 01 Juin 2019

 
www.crimsoncircle.com

 

 

Vous pouvez écouter ou regarder directement en ligne et en version originale SHOUD 10

 

 

NOTE IMPORTANTE:

 

 Cette information n’est probablement pas pour vous,

 sauf si vous prenez l'entière responsabilité de votre vie et de vos créations

 

* * *

 

 

 

Je suis ce que je suis, Adamus de St Germain.

 

Prenons une bonne et profonde respiration ensemble alors que nous commençons cette
journée. Mm.

 

Maintenant, je sais que beaucoup d’entre vous qui êtes à l’écoute, beaucoup d'entre vous qui êtes ici au Centre de Connexion, pensez que vous ne pouvez sentir quoi que ce soit. Mais je pense que vous venez de sentir quelque chose. Je pense que vous venez de sentir quelque chose. Peu importe ce que c’est actuellement, et je vous implore de ne pas essayer d'y mettre des mots, de ne pas essayer de le comprendre. Mais prenez un moment pour vraiment sentir que vous venez de sentir quelque chose.

 

Prenons une profonde inspiration avec cela.

 

Oui, il se passe quelque chose et vous pourriez avoir une anxiété humaine à ce sujet. Vous pourriez ne pas savoir exactement ce que c'est. L’humain pourrait dire: «S'il vous plait, dites-nous Adamus exactement ce qui se passe.» Ah, sentez-le, c'est tout. Vous savez ce qui se passe. L'humain n'est peut-être pas capable de le dire en ce moment, mais vous savez ce qui se passe. Mm.

 

Au fait, j'étais plus tôt au Club des Maîtres Ascensionnés. Je donnais (rires) une conférence. Maintenant, ce que Cauldre dans son esprit (mental) humain ne réalise pas, c’est que je peux faire beaucoup de choses en même temps. Je peux donner une conférence (plus de rires), je peux dormir, je peux avoir un bon repas à Paris et je peux être ici pour écouter vos conversations (plus de rires; Adamus fait référence aux commentaires de Geoff & Linda dans le précédent segment). Et ceci est une bonne note pour vous tous - arrêtez d'être si linéaires! Vous êtes le Et. Vous pouvez faire beaucoup de choses en même temps.

Mais je donnais une conférence ce matin. Il y a eu un appel de certains des autres Maîtres ascensionnés qui travaillent avec des groupes humains. Ils ont appelé tout à coup et je leur ai dit: «Je suis occupé en ce 1er juin 2019. C’est mon jour de Shoud. C'est mon seul grand jour du mois où je peux briller et être grossier (plus de rires). »Je leur ai dit:« C'est pour cela que je vis. C'est ce que Je Suis. » Ils ont répondu:« Non, non, non, Adamus, nous devons savoir. Avant de te rendre là-bas, nous devons savoir comment tu fais cela. Nous admettons que nous sommes loin derrière. Nous admettons que nous luttons toujours avec nos - comment fais-tu cela? Nous sommes toujours aux prises avec nos groupes, et te voici en train de vous lancer dans l'au-delà avec les Shaumbra du monde entier. Que fais-vous?"

 

J'étais un peu réticent à leur dire. Non pas que nous soyons compétitifs, mais… (rires), mais vous savez, nous avons tous été humains à un moment donné, il y a donc ce genre ce trait amusant: être le premier, être au top, être au sommet. Mais je l’ai étiré un peu et je leur ai dit: «Je ne sais pas. Je ne sais pas si je peux vraiment l'intégrer dans mon emploi du temps chargé. Vous savez, je dois aller là-bas et je dois parler à Cauldre pour qu'il cesse d'être si nerveux, et je dois aller voir Linda et lui demander de cesser de s’inquiéter de ce que je vais dire. Vous savez, ça prend du temps. Je ne fais pas que passer.»Je leur ai dit:« J'y vais des heures, parfois des jours à l'avance. »Mais ils ont insisté.

 

Alors je leur ai dit: «C’est très simple. C’est très, très simple. Voici ce dont il s’agit. Vous avez des enseignants spirituels, et la plupart sont pleins de makyo. Vous avez des êtres spirituels, des humains, qui, en quelque sorte, sont un peu perdus et qui essaient de s'en sortir. Ils essaient d’être plus spirituels. Ils essaient d’être éclairés ou d’ascensionner, ou la majorité d’entre eux veulent simplement être un peu plus riches et en meilleure santé. Mais, leur ai-je dit, le problème est que vous le faites avec vos étudiants - et ils le font - dans le mental. Vous essayez d’aller au-delà de ce que nous avons tant appris, de l’époque de l’Atlantide jusqu’à aujourd’hui, et vous essayez de le faire à partir du mental, et cela ne fonctionne pas. Ça ne marche pas. Le mental va créer un labyrinthe, un puzzle. Le mental va créer un jeu énorme en prétendant qu’il va quelque part, et il ne le fait jamais. Donc, vous devez aller au-delà du mental. Vous devez en sortir. "

 

Il y a eu une sorte de silence stupéfait, comme il y en a un ici maintenant (Adamus rit), "Hein?" Et ils dirent: "Comment allez-vous au-delà du mental. Comment faites-vous cela à partir de l'extérieur du mental, parce que pour l'humain tout est dans le mental? Comment fais-tu ça?"

Et je leur ai dit: «Ça n’a pas été facile. C'était mon plus grand défi quand je suis venu travailler avec Shaumbra. Comment allons-nous au-delà?

Comment pouvons-nous partir d’ici pour changer ce qu'il y a là si tout est verrouillé ici? »Je leur ai dit:« C’est beaucoup de distraction. Cela nécessite beaucoup de distraction. Cela exige un engagement énorme de la part de chaque Shaumbra qui est dans cette transformation. Il faut beaucoup rire et il faut que nous disposions de mécanismes, que nous allons explorer ici aujourd’hui, qui nous amènent à nous occuper de ce qui est ici. "

 

Et je leur ai dit: «Mais j'ai eu encore plus de mal que tous les autres saints d’ici. J'ai eu plus de difficulté parce que je traite avec le groupe même qui nous a mis ici. Le groupe même qui nous a mis dans le mental. Je traite avec eux, alors vous pouvez imaginer à quel point c'est difficile. Il y avait beaucoup de culpabilité, que le dragon aide à élever maintenant. Il y avait beaucoup de déni. Beaucoup de déni - ‘Oh, ce n’était pas moi. Non, je n’ai pas fait tout ça. ” Oui, ça l’était (quelques rires) «Une énorme quantité de déni. Il y a beaucoup d’activité mentale », parce que si vous faisiez partie des personnes qui aidaient à mettre les anciens bandeaux, (les bandeaux avec les cristaux du temps de l’Atlantide) il allait y avoir beaucoup de problèmes avec cela. Alors, je leur ai dit: «C’est particulièrement difficile, mais nous allons utiliser cette énergie, cet état mental, pour ainsi dire, et nous allons utiliser cette même chose pour aller au-delà."

 

Un autre silence est tombé sur la foule et ils ont dit: «Mais n'est-ce pas suffisant pour rendre fou?» (Plus de rires) et je leur ai dit: «Absolument», je leur ai dit: «Mes Shaumbra…» Mes Shaumbra (le public dit «Awww») sont… (Adamus rit) Nous devrions obtenir un de ces bandeaux sonores, «Awww! Awww! "

 

"Mes Shaumbra en ce moment, c’est ce qu’ils traversent, c’est ce qu’ils vivent." Je leur ai dit: " J'ai posé ça sur eux le mois dernier... - J'ai posé beaucoup de choses sur eux le mois dernier. Ils ont cette chose qui va se produire dans les 45 à 60 jours. Oh, ont-ils paniqué? Ont-ils paniqué? Tant d’entre eux ont dit: «Est-ce que je vais mourir? Que va-t-il m'arriver? Je ne devrais peut-être pas faire cela? »Et je leur ai répondu:« Mais c’est exactement ce que nous faisons en ce moment, et c’est ce qu’ils vont ressentir et vivre, chacun à sa façon. Il n’y aura pas grand-chose sur le plan physique ce mois-ci. Il y aura des résidus, mais ce sera ce qui se passera ici.

 

«"Ils vont tout oublier. Ils ne seront pas en mesure d'assembler les pièces du puzzle comme ils l'ont fait dans le passé. Leur logique ne va plus si bien marcher, et c'est exactement ce que nous faisons. Mais je leur ai dit: «Vous savez, je vais tout résumer», et Linda, si vous voulez bien écrire ça, parce que c'était si magistral. "Je vais tout résumer pour vous tous" - mes Maîtres Ascensionnés qui écoutez ma conférence - "Je vais résumer et c'est assez simple", mais c'est une de ces choses qui va vous faire vous poser des questions pendant longtemps: «Que voulait-il vraiment dire? » Je vais tout résumer et c'est aussi simple que ça: vous êtes fous jusqu'à ce  que vous ne le soyez plus.

 

 

Vous N’Êtes Pas Fous

 

Vous êtes fous jusqu'à ce que vous ne le soyez plus. C'est tout! Et c’est ce que vous traversez, c’est ce que vous vivez tous en ce moment. Vous êtes fou jusqu'à ce que vous ne le soyez plus. Cela signifie que tant que vous vous considérerez comme fou, d'accord, vous l’êtes. Tant que vous vous considérerez comme fou par rapport aux autres, fou par rapport à votre propre passé, fou pour avoir des pensées différentes, difficiles à définir, qui défient la science et la logique habituelle, eh bien, alors vous êtes fou. Tant que vous considérerez vos rêves comme étant juste inventés, pas réels; tant que vous considérerez que certains de vos vrais désirs dans la vie ne sont que des rêves fous, alors vous êtes fou. Jusqu'à ce que vous ne le soyez plus.

 

"Plus" c'est quand vous acceptez que vous n'êtes pas fou. Ce que vous vivez et sentez, les connaissances que vous avez et que vous ne pouvez pas définir, ces sentiments formidables en vous. Vous avez tous, ce genre de moments décisifs et vous ne les comprenez que pendant un certain temps, puis, bien sûr, vous fermez la porte et vous vous dites: «Oh, c'est
absurde, j'invente juste tout ça. " Ce n'est pas le cas. Ce n'est pas le cas. Vous êtes fou jusqu'à ce que vous ne le soyez plus. Vous êtes fou jusqu'à ce que vous réalisiez: «Ce n'est pas fou. Ce n'est pas fou. C'est naturel. C'est réel. C’est élargi/expansé. »Lorsque vous essayez de vous replonger dans ce monde limité, le monde bleu, c’est fou. C'est fou.

 

Mais vous serez de retour parmi beaucoup d’autres personnes bleues, avec toute la réalité bleue, puis votre mental se calme et dit: «Oh, vous voyez, je suis de retour ici maintenant. Je ne dois pas être fou. »Mais bon, vous savez ce que c’est, vous gardez cette petite chose en tête en vous disant:« Mais tu es fou. Eh bien, tu es cinglé. Pourquoi ne puis-je pas être un dirigeant un habitué normal… Pourquoi dois-je entendre des voix? Pourquoi dois-je ressentir ces sentiments accablants? Pourquoi est-ce que j'ai un tel désir d'être autre chose? Oh, il doit y avoir quelque chose qui ne va pas chez moi. Ils me disent que je suis juste censé accepter ce que Je Suis, ce que Je Suis. » Non. Non. Il ne s'agit pas de ça. Il ne s’agit pas de vous replonger dans un pays de fous.

 

Il s’agit maintenant de se libérer, d’émerger. En sortant de là. Vous êtes fou jusqu’à ce que vous ne le soyez plus, c’est-à-dire dès que vous prenez une profonde respiration et que vous réalisez: «Hé, ce n’est pas fou. C'est plus réel, plus naturel; il y a plus de liberté qu’autre chose », alors vous n’êtes plus fou. Alors, vous arrêtez de mettre cette étiquette sur vous-même. Arrêtez de marcher et de parler comme un fou. Arrêtez de faire des rêves fous dans votre vie. Nous allons parler un peu plus de nos rêves aujourd'hui. Vous arrêtez d'être le rêveur fou et maintenant vous êtes réel. Maintenant, vous êtes réel.

 

Au cours de l'histoire, beaucoup de grands ont été considérés comme des fous. Leonard de Vinci était considéré à l'époque comme fou à lier. Il ne pouvait pas prendre de rendez-vous. Il ne pouvait pas finir un tableau. Il ne pouvait pas vraiment avoir de véritables relations avec les autres personnes. Il était excentrique, toujours à griffonner et dessiner. Il a été fou jusqu'à ce qu'il ne le fût plus, jusqu'à ce qu'il réalise soudain qu'il communiquait, qu’il communiait, qu'il s'ouvrait à des choses qui étaient tout autour, et qui sont ici, mais qui ne peuvent être vues avec l'œil humain ou perçues avec les sens humains, mais qui sont ici, et vous le savez.

 

C’est triste quand je vois votre mental nier les choses qui sont vraiment ici. Nier, parce que vous dites: «Je ne veux pas être ce type fou ou cette fille folle. Je vais simplement me conformer. »Vous ne pouvez plus vous conformer. C'est tout. Vous êtes allé trop loin. Vous ne pouvez pas vous conformer. Vous n’êtes pas fou. Vous n’êtes pas fou. Vous êtes plus réel. Vous êtes plus sensuel. Vous êtes plus multidimensionnel. Vous êtes plus authentique que tous ceux qui vous ont traité de fou. Et ils vont revenir un jour et se rendre compte et admettre que : «Non, vous n'étiez pas fou», et ils vont s'excuser de vous avoir appelé ainsi et vous allez avoir de gros aspects qui vont venir s'excuser - vos propres aspects - pour vous avoir traité de fou. Vous ne l'êtes pas. Vous êtes fou jusqu’à ce que vous ne le soyez plus, c’est-à-dire que vous devez  tout surmonter.

 

Et soudain, vous n’êtes plus fou. Tout à coup, vous êtes brillant (quelques rires). Non, vraiment. Vous êtes brillant! Vous êtes un génie! C’est ce qu’ils vont dire ou du moins ce que vous allez dire: "Je suis un sacré génie." (Rires). Vous êtes incroyablement créatif. Vous êtes un être de plusieurs dimensions. Vous êtes fou jusqu’à ce que vous ne le soyez plus, alors allons au-delà de cette partie folle maintenant.

 

Prenons une grande respiration profonde. Vous n’êtes pas fou. Je sais ce qu'est la folie et vous n’êtes pas fou.

Fou, en fait, si nous devions le définir, ce ne sont pas ceux qui s’envolent et qui s'élèvent à des hauteurs qu'ils ne connaissent pas, mais qui sentent pourtant qu'il y a quelque chose. Les fous ne sont pas ceux qui s'envolent. Les fous sont ceux qui vont de plus en plus profondément dans une réalité très limitée à la recherche de réponses. C'est de la folie. La folie, c'est de répéter les mêmes modèles/programmations/schémas, vie après vie, dans l'espoir d'un résultat différent. C'est de la folie.

 

La folie, c'est quand on commence à prendre ces médicaments, ces drogues mentales, et ça les enfonce si profondément dans le bleu, dans le rien. C'est de la folie. C’est vraiment fou. C'est de la folie que d'essayer de se conformer pour ne plus être soi-même. Vous êtes la conformité de tout le monde. C'est de la folie.

 

Vous n’êtes pas fou. Non, vous êtes des pionniers. Vous êtes des aventuriers dans les autres royaumes. Vous êtes ceux qui sont prêts à accepter le nouveau. J'y reviendrai plus tard au cours de cette discussion, mais vous savez que j'ai longtemps parlé du Je Suis, c'est la Conscience, la Conscience - «Je Suis, J'Existe». Le Maître est celui qui apporte toutes les expériences à la sagesse, qui nettoie, celui qui est à l’arrière de la parade des éléphants, qui nettoie tout le matériel, le composte et le ramène à la base (Adamus rit). C’est ça le Maître.

 

L'humain est celui qui expérimente le nouveau. La folie, c’est quand on ne fait pas de nouvelles choses, quand on est retenu, vous, l’humain. Vous n'êtes pas dans le nouveau. Vous répétez de vieux schémas. Cela va vous rendre fou.

 

L’être humain va vers le nouveau, mais pourtant, pour de nombreuses raisons, ils ne le font pas depuis longtemps. Ils ont continué dans les mêmes vieux modèles/schémas. Vous allez dans le nouveau, et même si une partie de vous-même peut penser: «C'est fou. Pourquoi voudrais-je entrer dans le nouveau alors que je ne sais pas ce que c'est, ni où il se trouve, ou ce que cela va me faire? Pourquoi voudrais-je changer de vie ? Pourquoi est-ce que je voudrais une nouvelle vie,  Je n'ai pas fait du bon boulot avec l'ancienne? » (Quelques rires)

 

C’est fou de ne pas entrer dans le nouveau, parce que c’est le travail de l’humain - le nouveau, une nouvelle expérience - et lorsque vous ne faites pas d’expérience, quand vous n’allez pas dans le nouveau, alors vous êtes fou. Ensuite, vous niez la raison même pour laquelle la facette humaine est ici. Ensuite, vous vous étouffez. Vous étouffez presque littéralement votre âme, car elle ne reçoit pas sa ration quotidienne de nouvelles expériences. Et puis quand vous n'êtes pas dans le nouveau, quand vous ne vivez pas, quand vous n'expérimentez pas ce que l'humain est conçu pour faire, eh bien, alors le Maître n'a pas de merde à nettoyer derrière, parce que c'est juste, eh bien, c'est la même vieille merde (plus de rires).

 

Nous entrons dans le nouveau, je veux dire, de tant de façons, et oui, les préoccupations humaines de temps en temps, «Que va-t-il se passer? Où va-t-on aller? »Mais je vous le demande, je vous mets au défi de le sentir. Une partie de l'humain dit: «Je ne suis pas si sûr de ça», mais vous le savez déjà. Je veux dire, vous le savez déjà. Je le sais. Vous savez déjà où nous allons ensuite. Peut-être pas définissable dans vos mots ou même dans vos pensées, mais votre Gnost le sait. Permettons que cela avance, se produise, aujourd'hui.

 

Prenons une bonne respiration profonde dans le nouveau. Ouais, nous n’allons pas répéter les vieux schémas. Ça, c'est certain.

 

En tout cas, j'adore ça. J'aime ce que j'ai dit aux autres Maîtres Ascensionnés. Je leur ai dit: " Pour ce qui est de l'humain, vous êtes fou jusqu'à ce que vous ne le soyez plus." Et cela leur a pris un moment - oui, aussi sages et intelligents qu'ils sont censés être, ils ont été humains à un moment donné, donc ils sont un peu lents sur la détente de temps en temps - mais le silence s’est abattu sur le club des Maîtres Ascensionnés et ils en ont tenu compte - "Vous êtes fous jusqu’à ce que vous ne le soyez plus" - puis un par un, Les 9 000 Maîtres Ascensionnés se sont levés et ont applaudit (rires et applaudissements). Que puis-je dire? (Adamus rit) Je remarque que vous ne vous êtes pas levés, mais c’est bon, non… (plus de rires). C’était vraiment un moment déterminant, et il s'agit de vous. C'est à propos de vous. C’est le travail que nous faisons et c’est un défi. C’est parfois difficile. C'est dur parfois. Et particulièrement ce que nous faisons maintenant, d’aller littéralement au-delà du mental. Je ne peux pas le faire à partir du mental, mais c’est quand même fou de sortir du mental.

 

Prenons une bonne respiration profonde avec cela et, avant d’aller plus loin, mettons un peu de musique et je veux faire un très court - eh, ce n’est pas vraiment un merabh. C’est une expérience. Ooh, ils m'ont apporté à manger aujourd'hui. Mettons un peu de musique et éteignons les lumières. Pardonnez-moi (Adamus prend une bouchée). Mm.

 

 

La Maison de Shaumbra

 

Bien. Avant d’aller plus loin aujourd’hui, j'aimerais que tous, nous allions visiter un endroit qui n’existe pas sur la planète physique.

 (la musique commence)

 

Ce n'est pas nécessaire. Un endroit qui ne prend pas d’espace ni de temps. C’est très intemporel, mais c’est un endroit profondément personnel pour vous tous. Profondément personnel.

J'aimerais que nous visitions la Maison Shaumbra aujourd'hui. C’est la maison que vous avez construite, il y a plus de 2 000 ans.

 

Vous savez, juste à partir du néant, de rien, je suppose que vous diriez que vous pouvez créer une Maison. Une Maison est, eh bien, certains l’appellent une dimension. Je l'appelle un point de conscience, un point de connaissance. Et une Maison peut être une personne, un être, un ange. Cela peut être un groupe entier comme la Maison de Shaumbra.

 

Nous avons une maison de Keahak où nous nous rencontrons deux fois par mois. C’est un point de conscience, un point de rassemblement et de collecte, et je voudrais que vous veniez aujourd’hui à la Maison de Shaumbra. Et, sans essayer de définir quoi que ce soit en termes de ce que le mental humain définirait comme couleur, forme, taille, je vous invite simplement à sentir les énergies présentes ici.

 

C’est votre Maison.

 

(pause)

 

Sentez comme elle a changé, depuis l'époque de Yeshua jusqu'à aujourd'hui, mais plus particulièrement ces 20 dernières années, comme cette Maison de Shaumbra a changé.

 

(pause)

 

C’est un espace que vous avez créé. Il contient une immense sagesse. C’est une sorte de bibliothèque énergétique. Il n'y a pas vraiment de livres, mais il y a toutes les expériences et les idées que vous avez eues, que vous n’avez jamais faites, avec tous les autres Shaumbra, même ceux qui sont partis, ceux qui sont partis, ceux qui ont aussi traversé de l'autre côté. bien.

 

La meilleure analogie que je puisse lui donner, c’est comme un cristal incroyable, mais pas un cristal dur, physique. Juste un cristal incroyable. Et il a été imprégné de votre essence, de votre connaissance, de votre sagesse, de votre tout.

 

(pause)

Permettez-vous de vous sentir dans cette maison de Shaumbra. Vous en faites partie.

 

Elle continue de croître chaque jour de votre vie, chaque jour que vous vivez.

 

(pause)

 

Elle continue de s'étendre chaque fois que nous avons un rassemblement.

 

La raison pour laquelle je vous ai demandé de venir ici aujourd'hui à la Maison de Shaumbra c’est parce que c'est un endroit sans mental. Il n’y a pas de logique ici, il n'y a pas besoin d'en avoir. Il n’y a pas de hiérarchie ni d’ordre. Il n’y a pas besoin d’en avoir.

 

Sentez-vous dedans pendant un moment et sentez votre rôle ici, dans cette Maison de Shaumbra.

 

(pause)

 

C’est le cadeau que vous allez laisser derrière vous. Il y aura un temps où vous irez au-delà, où vous ne reviendrez plus sur Terre, même de manière non physique, en vous connectant réellement à la Terre. Mais cette belle énergie cristalline, c’est le cadeau que vous laissez pour la Terre. C’est le point culminant de toutes vos vies. C’est vraiment cela venir à la Réalisation incarnée.

 

Vous savez, aussi fou que cela puisse paraître - mais plus rien n’est fou. Rien n’est fou. Je veux dire, eh, fou. Vous regardez le monde - la politique, les affaires - beaucoup de choses sont folles. Mais plus rien n'est vraiment aussi fou. Vous allez laisser ce cadeau et vous savez, au cœur même de cette Terre, aussi fou que cela puisse paraître, ce n’est pas un bouquet de lave en fusion. Les scientifiques aiment à le penser, mais je ne connais aucun scientifique qui ait déjà été là-bas. Donc, non, au cœur même de cette planète, il y a un cristal, un énorme cristal. Certains diraient que c’est peut-être physique. Je ne sais pas. Peut-être que non, mais il y a une structure cristalline. Il doit y en avoir, sinon la planète ne serait pas là. Il y a une structure cristalline au cœur même de cette Terre.

 

Au cours des prochaines années que nous allons avoir ensemble, nous allons utiliser cette énergie cristalline de Shaumbra, la Maison de Shaumbra, et la connecter - pas maintenant, il est un peu trop tôt pour le faire, mais nous allons prendre cette Maison de Shaumbra - nous allons la relier, la connecter directement au cœur même de la Terre, de manière à ce que tous ceux qui viendront après vous puissent l'utiliser dans leurs vies quotidiennes. C’est le cadeau que vous allez laisser, un beau cadeau.

 

(pause)

 

La maison de Shaumbra. Et une partie tellement importante de ce cadeau va être de s’évader – de sortir de la limitation, de sortir du pays du bleu - et ce sera en quelque sorte codé, un peu codé, pour ceux qui sont prêts pour ça, qui sont prêts à le recevoir. Et cela va dire: «Tu n’es pas fou. Tu n’es pas fou. Non, en fait, vous êtes plus en contact avec vous-même que tout autre groupe d’êtres humains. Et vous doutez de vous, bien sûr. Vous vous battez vous-même. Vous essayez de prendre ce qui est dans votre cœur, dans vos rêves, dans votre
connaissance, vous essayez de mettre cela dans la logique. Cela ne marche pas très bien. Mais vous n’êtes pas fou. »

 

Et lorsque nous établirons notre relation à un moment donné, avec la Maison de Shaumbra au cœur même de la Terre, ce sera probablement l’une des plus grandes choses qui se démarquera pour ceux qui sont prêts à l’entendre.

 

Vous êtes fou jusqu'à ce que vous ne le soyez plus. Jusqu'à ce que vous ne le soyez plus, jusqu'à ce que vous réalisiez cela : «Oh, non. Je ne le suis vraiment pas. En fait, je l’étais ... "- le mot n’est pas tout à fait correct -" ... mais j'avais raison tout du long. Je ne m'en étais pas rendu compte.

 

Prenons une profonde respiration ici à la Maison de Shaumbra.

 

Ah! J'entends déjà toute la question: «Quand allons-nous faire cette connexion?» Nous avons d’autres choses à faire en premier…

 

(la musique se termine)

 

… Comme ma première question du jour. Mais d’abord, j'aimerais parler un peu de notre rencontre du mois dernier, un petit résumé.

 

 Encore une fois, pour vraiment vous libérer en tant que Maître incarné sur cette planète, vous devez être capables d'aller au-delà du mental. Le mental vous gardera au pays du bleu. Cela vous gardera limité. Cela vous gardera dans la logique. Cela vous maintiendra dans un type de contrôle. Cela vous empêchera de voir toutes les énergies présentes en ce moment dans la pièce, les entités. Ils sont là, et vous n’êtes pas fou si vous les voyez ou les sentez.

Vous n’avez pas besoin de les voir avec vos yeux, mais sentez-les, ils sont tout autour, mais le mental les bloque. Tout est bloqué, et comme nous en avons parlé le mois dernier avec les bandeaux atlantes.

 

Maintenant, certains se sont demandés: «Est-ce une histoire? Est-ce une métaphore ou est-ce réel? Y avait-il vraiment des bandeaux en Atlantide? » Ça n'a pas d'importance. Ça n'a pas d'importance. Sentez-vous dedans. Permettez ce que vous voulez permettre. Il aurait pu y avoir ces bandeaux. Il aurait pu y avoir utilisation d'énergies intenses dans le mental pour des raisons de conformité, pour une expérience commune, pour de meilleures communications entre les humains, pour créer une sorte d'unité dans la société. Et puis, avec les énergies intenses des cristaux accordés de la bonne façon, dirigés de la bonne manière, vous vous faites zapper - encore une fois, pas dans un sinistre complot, mais zappé - par souci de conformité, d'unité, de normalisation. Ouais.

 

Ou bien, si vous préférez, il pourrait s'agir d'une métaphore, à savoir qu'au fil du temps, les humains sont entrés de plus en plus dans le mental, de plus en plus dans le mental. Ils ont commencé à vénérer l'intelligence. Ils ont oublié des choses comme la Connaissance. Ils ont oublié, eh bien, Gnost. Et cela a été renforcé par des choses comme l’église, l’éducation et maintenant les drogues, les médicaments, ces médicaments que je n’aime pas du tout, les SSRI (les médicaments psychotropes). Et c’est d’ailleurs le nouveau serre-tête - le nouveau serre-tête - ces médicaments. Et il y aura des groupes qui seront peut-être assis ici dans 100 ou 200 ans, un peu comme si nous disions: «Ouais, vous avez été les scientifiques qui ont inventé cela. Vous étiez le dirigeant de la compagnie pharmaceutique qui les a poussés. Vous étiez les pharmaciens qui les ont donnés comme des bonbons, le médecin qui les prescrivait à n’importe qui, peu importe si quelqu'un entrait et disait: «Oh, je me suis coupé le doigt» et le médecin disait: «Tenez, prenez quelques-uns de ces produits. Vous vous sentirez mieux. "Peut-être qu'un groupe se réunira dans 150 ans et dira:" Ok, c'est vous qui avez vendu ces drogues, maintenant nous devons nous en sortir. " Mais revenons au sujet. Les bandeaux ? Ouais. Mais si cela ne vous semble pas juste, observez simplement le développement du mental sur une longue période de temps.

Donc, le mois dernier, nous avons parlé de ces bandeaux, de ce bruit sourd. Combien ont entendu cela même après le Shoud? Le - bang ! bang ! bang ! - dans le mental. C’est toujours là. À propos, c’est toujours là, que vous le pensiez ou non. C’est là, vous vous êtes juste déconnectés. C’est toujours là, enfin, pendant un petit moment. Nous allons le surmonter.

 

Nous avons donc eu cette grande conversation assez intéressante le mois dernier et nous nous sommes dit: «OK, c’est vous qui avez en quelque sorte commencé cette histoire de bandeau, comme le voulait la mode à l’époque. Portons ces vêtements, c’est donc à vous d’en sortir en premier. »Cela a eu un impact important le mois dernier, un grand impact, mais je vois que vous êtes de retour pour plus (quelques rires). Nous sommes ici .

 

Ok, maintenant la question du jour, La Sagesse de Shaumbra, la question du jour. Nous avons beaucoup parlé du mental et du cerveau. Un peu de différenciation ici. Le cerveau est ce vaisseau qui repose sur votre tête. C’est un dispositif chimique électromagnétique, le cerveau qui se trouve dans votre tête. Maintenant, j'utilise le mot «esprit», qui est vraiment la psyché. C’est un peu le mental humain, d’une certaine manière, l’intelligence humaine. Croyez-le ou non, cela ne réside pas dans votre cerveau. J'utilise le mot «esprit» et pour certains d'entre vous, en particulier dans certains pays de langue allemande, c'est parfois un peu difficile, parce que «esprit» est similaire, je suppose, à «fantôme» ou «esprit». Mais ici l'esprit est le mental humain.

 

Le cerveau est simplement un processeur. Le cerveau est un processeur incroyable et c’est tout. Le cerveau est tellement bon qu'il sait comment absorber un large spectre d'énergie et de conscience et le réduire. Le cerveau peut prendre de l'altitude et l'amener dans la limitation. C’est vraiment bon pour ça. Donc, c’est le processeur, il repose sur votre tête.

 

Le mental, ce les choses qui résultent de cette transformation en ce que vous appelleriez une conscience confinée ou inférieure. C’est ce que le mental a et c'est ce qu'il fait. Nous y reviendrons dans un instant. Mais j'ai une question pour vous aujourd'hui et Linda avec le micro s'il vous plaît. Prête?

 

 

 

Première Question

 

LINDA: Cela dépend de la question (rire).

 

ADAMUS: (riant) Quelqu'un d’autre pour passer le micro aujourd'hui? (plus de rires) Question, et je parle ici du mental, de la psyché mentale humaine. Allez-y.

 

LINDA: Allez-y quoi?!

 

ADAMUS: Trouvez quelqu'un (quelqu'un dit «Whoa!» En réponse à Adamus qui fait comme s’il était en train de fouiller Linda et quelques rires).

 

Prêts? Ah! Donc, et je vais vous demander de ne pas y penser, mais plutôt de sentir cela, le Gnost. Quelles sont les vulnérabilités du mental?

 

Maintenant, le mental est très enfermé, très limité, et nous parlons ici de la difficulté de sortir du mental. Comment pouvons-nous faire tout cela sans y penser, parce que cela va simplement vous donner plus… mais il y a quelques fissures dans l’œuf, pour ainsi dire. Il y a quelques portes dérobées dans le mental. Que pensez-vous qu'elles sont?

SHAUMBRA 1 (femme): La première chose qui me vient à l'esprit (mental)… (rires)

 

ADAMUS: Ouais! Ouais! Vous voyez, c’est la difficulté. Même le vocabulaire soutient le mental.

 

SHAUMBRA 1: Ce que je sens ou la meilleure façon de m'en sortir est d'aller au néant.

 

ADAMUS: Aller au néant, ok.

 

SHAUMBRA 1: Je pense donc que le néant pourrait être une vulnérabilité du mental.

 

ADAMUS: Ok. Avez-vous réussi à aller au néant?

 

SHAUMBRA 1: Je le fais. Je ne réussis pas à y rester.

 

ADAMUS: À y rester, ok.

 

SHAUMBRA 1: Oui.

 

ADAMUS: Que se passe-t-il quand vous êtes dans le néant? Pourquoi ne pouvez-vous pas y rester?

 

SHAUMBRA 1: Je commence à penser à des choses.

 

ADAMUS: Bien sûr.

 

SHAUMBRA 1: Et je ne me rends même pas compte et ensuite je suis vraiment fâchée d’en être sortie (elle rit).

 

ADAMUS: Ouais. Le mental doit combler le vide.

 

SHAUMBRA 1: Oui.

 

ADAMUS: C’est ce que le mental fait. Il doit combler le vide. Il ne peut pas supporter le néant.

 

SHAUMBRA 1: Exactement.

 

ADAMUS: Le mental ne comprend pas qu’il n’y a jamais rien, il y a juste des choses qui dépassent la compréhension du mental. Alors, lorsque vous entrez dans un lieu de néant, il n’y a pas rien. Il y a juste ce que le mental ne peut pas comprendre. Et il va ouvrir les vannes et combler ce néant avec tout ce qu'il peut.

 

SHAUMBRA 1: Oui.

ADAMUS: Trois fois plus qu'il n'y en aurait normalement dans cet espace. Alors, que se passe-t-il? Vous êtes dans le néant, vous êtes soudain inondée de pensées, que faites-vous ensuite?

 

SHAUMBRA 1: Je réalise que je pense à elles et je me fâche, puis je retourne dans le néant (elle rit).

 

ADAMUS: Oui. Et ensuite, après être rentrée dans le néant, que se passe-t-il?

 

SHAUMBRA 1: Elles reviennent encore.

 

ADAMUS: Elles reviennent encore (elle rit). Et ensuite, comment tout cela se termine-t-il dans un de ces combats avec le néant ?

 

SHAUMBRA 1: Cela peut se terminer de deux manières. La meilleure façon, c’est quand je peux y rester un moment et c’est un soulagement absolu. C’est le seul endroit où je me sens vraiment bien en ce moment. Ou je me lève et vais faire ce que le mental me dit de faire (elle rit).

 

ADAMUS: Bien. Bien.

 

SHAUMBRA 1: qui est créer des problèmes et essayer de les résoudre.

 

ADAMUS: Ouais. Quelle est la plus longue période de temps que vous ayez jamais passé avec le néant?

 

SHAUMBRA 1: Probablement seulement quelques heures.

 

ADAMUS: Quelques heures, ok, et c’était une question piège, parce que si vous étiez dans le néant, vous n'auriez  aucune conscience du temps et cela n’aurait vraiment pas d’importance. Non, c’est très, très difficile, et vous aurez de brefs moments de la beauté du néant, ce qui n’est en réalité pas rien, mais le mental le remplira. Et le mental va réellement jouer avec vous pendant un petit moment et dire: "Ok, tu es dans le néant pendant un petit moment ici - tu prétends que tu es dans le néant - mais regarde ce qui va se passer dans environ 47 minutes"

 

SHAUMBRA 1: (elle rit) Oui.

 

ADAMUS: Ouais.

 

SHAUMBRA 1: Oui.

 

ADAMUS: Et cela le remplit de nouveau. Et puis c’est tellement frustrant et vous vous dites: «Qu’ai-je fait de mal? Et dois-je aller m'asseoir au sommet d'une montagne en Inde et apprendre à faire cela? »Nah. Nah, parce que leur mental est rempli de la même merde. Ils sont juste assis au sommet d’une montagne (elle rit). Ouais. Ouais. Bien. Je vous remercie. Suivant.

 

LINDA: Plus.

 

ADAMUS: Quelles sont les vulnérabilités, les ouvertures, la fissure dans l'œuf? Qu'Est-ce que c'est?

 

LINDA: Ulli suppliait pour avoir le micro.

 

ADAMUS: Oh ouais. J'ai vu ça, Linda.

ULLI: La première chose qui est ressortie, c'est l’énergie des autres, mais je ne sais pas si je comprends la question…

 

ADAMUS: Ouais. Donc, vous êtes prise au piège dans le mental, il y a une prison dans le mental, et le mental voudrait vous faire croire que vous ne pourrez jamais sortir de la prison, jamais.

 

ULLI: Ok. Ok.

 

ADAMUS: Vous êtes coincée là-dedans Vous êtes une esclave du mental.

 

ULLI: Ouais.

 

ADAMUS: Mais je peux vous dire qu'il y a un moyen de sortir. Quel est ce chemin ? Quelle est la faille dans le système mental? "Quel est le problème dans la matrice?" Me dit Cauldre.

 

ULLI: (faisant une pause) Oh, question difficile.

 

ADAMUS: Avoir une commotion cérébrale? (Adamus rit)

 

ULLI: Euh… (elle fait une pause)

 

ADAMUS: Vous êtes perdue. Vous pensez trop à ce sujet.

 

ULLI: Ouais.

 

ADAMUS: C’est spontané. C’est juste, vous le dites simplement et ensuite une partie de vous va dire: "Oh, ça a l'air tellement fou." Eh, vous êtes folle jusqu'à ce que vous ne le soyez plus.

 

ULLI: Ouais.

 

ADAMUS: Ouais.

 

ULLI: Ce qui est arrivé en premier était quelque chose de l'extérieur qui se bloque à l'intérieur.

 

ADAMUS: Ok. Quelque chose de l'extérieur se bloque. Ok. C'est ce que vous voulez?

 

ULLI: Ouais, pourquoi pas?

 

ADAMUS: Pourquoi pas, ok.

 

ULLI: Je peux le vivre, le laisser passer. Ouais.

 

ADAMUS: C'est, en quelque sorte, quelque chose de l'extérieur. En quelque sorte. Je veux dire, vous y arrivez. Vous y êtes. Vous voyez, si vous étiez partie avec cette première idée folle (elle rit). Ouais, ouais. Bien. Je vous remercie. Encore deux ou trois. Quelle est cette vulnérabilité?

 

LINDA: Demandons à une psychologue folle Shaumbra.

 

ADAMUS: Oh, bien, bien. C’est quoi la fêlure dans l’œuf, le problème dans la matrice?

 

JULIE: Le savoir inné. Il y a juste le fait de savoir qu'on le sait. Et vous ne connaissez pas ce que vous savez, vous savez que vous savez. Vous êtes juste là.

 

ADAMUS: Ok, maintenant, vous êtes assise ici dans le zoo et vous savez que vous savez. Ok, mais maintenant, comment sortir, comment aller au-delà du mental?

JULIE: La question du jour.

 

L’ADAMUS: Ouais (ils rient). Que diriez-vous à un de vos clients?

 

JULIE: Je parlerais certainement du sentiment de… c’est juste un «oui» ou c’est juste un sentiment que vous connaissez et que vous ne pouvez même pas expliquer.

 

ADAMUS: Bien. Bien.

 

JULIE: Alors c’est…

 

ADAMUS: Cela ne fera pas beaucoup de bien à votre client fou (ils rient).

 

JULIE: Non, non!

 

ADAMUS: Ils diront: "De quoi parle-t-elle?"

 

JULIE: Je sais, parce que quand vous parlez du cœur ou de - ça peut être tellement mental.

 

ADAMUS: Bien sûr, le mental va transformer le cœur en… ouais, le mental est génial pour ça.

 

JULIE: C’est donc une sagesse qui est notre Gnost.

 

ADAMUS: Bien.

 

JULIE: Et certainement beaucoup de gens ont eu l'expérience de savoir quelque chose et de suivre cela, de le savoir et de ne pas le suivre.

 

ADAMUS: Oui.

 

JULIE: Et vous pouvez certainement comparer la façon dont ces deux expériences se déroulent.

 

ADAMUS: Mm hmm. Oui, et bien souvent, vous avez une connaissance et vous suivez cela et le mental saute dedans en riant, et en disant: «D'accord, je vais les laisser prétendre qu'ils suivent quelque chose, mais ça va être une voie sans issue. "

 

JULIE: Mm hmm.

 

ADAMUS: Et c’est l’une des frustrations. C’est ce dont j’ai parlé ce matin avec les Maîtres Ascensionnés. Il y a tellement de d'enseignants spirituels sur la planète, mais ils travaillent de l'intérieur du mental et n’en sortent jamais. Oh, vous pouvez dire: «D'accord, nous allons creuser un tunnel profond sous cette prison, et aller au-delà du mental», et le mental rira et dira: «Ouais, quand vous sortirez de ce tunnel, vous serez toujours en prison, quoi qu'il arrive.»C'est un défi.

 

JULIE: Mm hmm.

 

ADAMUS: C’est un gros problème. Bien. Encore deux ou trois de plus. Nous avons une vraie sagesse…

 

LINDA: Essayons le visage de la jeunesse.

 

ADAMUS:… en train de percoler.

 

LINDA: Essayons…

EMILY: Je pense que le mental n'a que le passé comme point de référence. C’est pourquoi, chaque fois que j’ai l'impression de créer quelque chose de nouveau en dehors de mes habitudes, c’est quelque chose à  laquelle le mental n’aurait jamais pensé être possible, sur la base de mes expériences passées. Et alors, le mental ne se rend pas, mais la plus grande partie de moi l’obtient- je crois davantage en la plus grande partie de moi.

 

ADAMUS: Mm hmm. Et le mental va encore vous tromper. Le mental, c’est un peu comme - c’est en fait assez fascinant, parce qu’il va encore vous tromper. Cela alimentera votre ligne, et il aime vraiment le faire avec des personnes sur le chemin «spirituel». Cela va alimenter une ligne: «Oui, vous êtes sur le chemin spirituel. Vous continuez à chercher. »Mais tout est dans le mental et vous n'en sortez jamais et, encore une fois, le but même de ma conférence de ce matin - je devrais en obtenir une copie et vous la faire parvenir (Adamus rit). Ce fut une brillante conférence (quelques rires). Mais oui, le mental va encore jouer à des jeux. Alors, avez-vous été capable d'aller au-delà du mental?

 

EMILY: Je pense avoir été capable de…

 

ADAMUS: Nous devrions probablement en rester là, lorsque vous dites: «Je pense». Cela efface en quelque sorte le tout.

 

EMILY: Mon idée de qui Je Suis a changé.

 

ADAMUS: Ouais.

 

EMILY: Donc, je pense… (ils rient)

ADAMUS: Maintenant, je veux que vous observiez la brillance du mental. Le mental n'est pas mauvais, mais pourtant il est autonome. Il est absolument autonome. Le mental, encore une fois, vous fera penser: «Oui, j’ai changé d’identité et j'ai connu une croissance formidable», et le mental continue: «C’est tellement drôle, parce que tu es toujours dans le mental. «Le mental est: » Je vais jouer à un jeu avec toi. Nous allons prétendre que tu es en train d’évoluer et de devenir magistrale, que tu es dans cette quête et que tu changes d’identité », mais tu es toujours dans l’esprit (le mental). C’est une grande institution. C’est énorme, et au moment où vous pensez avoir quitté le couloir du mental ou du cerveau, vous êtes juste dans une autre aile de l’institution (elle rit). Et c’est très frustrant. Je veux dire, c’est absolument frustrant.

 

Maintenant, prenez un moment pour sentir la différence entre penser que vous faites des progrès - vous tous - vous pensez que vous faites des progrès, mais vous n’en faites pas. Vous êtes dans ce labyrinthe et vous découvrez que le labyrinthe n’est pas juste de niveau, il y a des hauts et des bas. Vous êtes dans ce labyrinthe et tout le temps, vous vous dites: «Je progresse vraiment, parce que je travaille dur. J'ai parcouru un long chemin. Je ne suis plus au niveau un, je suis au niveau cinq. »Au niveau cinq du cerveau. Je veux dire, vous êtes toujours là. Maintenant, par rapport à votre connaissance.

 

Il y a cette partie douloureuse de vous tous, que l’on appelle votre connaissance, et votre connaissance dit également: «Je suis toujours dans l'institution du mental. Je suis toujours sur le terrain. Je ne suis pas partie. J'ai peut-être ouvert quelques portes et fenêtres », mais votre connaissance est comme : « Tu n’es pas encore partie. Tu es toujours là. Tu es juste dans un département différent, et tu es plus vieille et plus fatiguée et plus frustrée, mais bon, on s'amuse bien ou quoi? »(Quelques rires) Bon. Ce sont tous les effets des bandeaux. Hmm! Vous n'aimez pas ce que vous avez créé? (Adamus rit) Je n'en ai jamais eu.

 

Encore une question et nous passerons à la question suivante. Soit dit en passant, il y a ici une énorme quantité de sagesse - merci, merci - une énorme quantité de sagesse qui est aujourd’hui ici. Un de plus. C'est quoi la fissure dans l'œuf?

 

MARY SUE: Eh bien, vous nous avez donné un indice, et c’est une distraction.

 

ADAMUS: Oui.

 

MARY SUE: S'endormir, ça me va.

 

ADAMUS: Ouais. Je vais vous dire un secret cependant. S'endormir... eh, je vous le dirai plus tard.

 

MARY SUE: Non, allez-y.

 

ADAMUS: Je vais garder ça secret. Oh, je vais vous le dire maintenant. Ok. La nuit, vous avez ces rêves, non? Et dans les rêves, vous courez beaucoup, vous cherchez et vous êtes frustrée. Dans vos rêves, vous essayez de sortir de votre mental, mais vous vous retrouvez devant toutes ces impasses. Vous êtes toujours dans l’institution du cerveau et du mental.

 

MARY SUE: Même si vous ne vous en souvenez pas?

 

ADAMUS: Vous souvenez-vous de vos rêves frustrants? Vous cherchez quelque chose. Vous êtes perdue dans les bois. Vous êtes dans une foule sans vos vêtements (quelques rires). Oh, c’est un rêve différent (elle rit). Je vous canalise!

MARY SUE: Je n’étais pas au courant de cela! (Ils rient)

 

ADAMUS: Oui, mhm!

 

MARY SUE: (riant) Ok.

 

ADAMUS: Donc je suis sûr que peu d’entre vous ont eu cette frustration, "essayer de trouver quelque chose" ce genre de rêve, vous êtes perdus dans les bois. Ils sont tous…

 

MARY SUE: Oh oui, j’ai fait des rêves où je cherchais.

 

ADAMUS: Ouais. Vous étiez perdue. Vous étiez dans une ville étrangère quelque part. Dans vos rêves, vous avez essayé de vous sortir de cette institution débile (Adamus rit).

 

MARY SUE: Ok. Alors un autre axe ou une avenue serait l’imagination?

 

ADAMUS: L’imagination. Ah! Ok. Mais le mental est vraiment un S.O.B. (un fils de pute) rusé.  Le mental dira: «D'accord, bien sûr. Utilise ton imagination, et oui, allons au-delà des limites de l’institution du mental. Allons-y, sortons d'ici. On va faire une évasion. Quand personne ne regardera, on va s'éclipser par la porte d'entrée et courir comme des fous."

 

MARY SUE: C’est si vous créez quelque chose de cohérent dans votre imagination.

 

ADAMUS: Ouais, ouais.

 

MARY SUE: Mais si vous imaginez des choses et que vous n’essayez pas de les interpréter, est-ce que cela resterait ...

 

ADAMUS: Eh bien, juste pour le plaisir de mon histoire.

 

MARY SUE: Oh, ok. Pardon. Je ne veux pas interférer avec votre histoire! (elle rit)

 

ADAMUS: Alors vous vous imaginez: «OK, je me suis évadée de l'institution et, oh, j'en ai marre», et tout à coup vous vous rendez compte: «Bon sang ! Je suis toujours dans l'institution. Elle  a juste changé son apparence et son comportement, mais je suis toujours là. Comment puis-je sortir?

 

MARY SUE: Ok, une autre option.

 

ADAMUS: «Je dois être folle d'essayer de sortir, parce que, non, c'est la belle vie. C’est ce que je suis censée faire et je devrais être simplement heureuse avec la nourriture servie dans cet établissement, et je devrais être heureuse avec tous les autres détenus ici (quelques rires). Même si j'aimerais tous les étrangler. Mais il doit y avoir quelque chose qui cloche chez moi, parce que je veux étrangler tous ceux qui sont ici. "(Plus de rires) Tout le monde.

 

MARY SUE: Ok.

 

ADAMUS: «Je dois être folle. Donnez-moi un peu plus de médicaments, docteur, s'il vous plaît.

 

LINDA: Youpi pour vous.

 

MARY SUE: Un autre qui…

 

ADAMUS: Allez-y.

 

MARY SUE:… va de pair avec la distraction est l'abstraction.

 

ADAMUS: Ok.

 

MARY SUE: Et c’est très expansif, parce que vous allez dans des endroits que vous n’auriez pas pu visiter sans faire abstraction.

 

ADAMUS: Il y a des ailes de l'institution qui n'ont pas encore été explorées (quelques rires). Et je fais en sorte que ça ait l’air terrible, et en quelque sorte, ça l’est. Alors, comment savez-vous si vous êtes vraiment allée au-delà du mental en jouant à un grand jeu sur vous ?

 

MARY SUE: OK, pour moi c’est quand je peux fermer les yeux et que je vois toutes ces choses qui s’en viennent à moi et je ne sais pas ce que c'est et je m'en fiche.

 

ADAMUS: Ouais, ouais. Que vous arrive-t-il lorsque vous fermez les yeux?

 

MARY SUE : Je vois juste des choses. Je vois juste – je veux dire, ça va vraiment vite.

 

ADAMUS: Ouais.

 

MARY SUE: Je ne sais pas…

 

ADAMUS: Quel genre de choses? Je veux dire, voyez-vous, vous savez, des pommes flottant dans les airs? Voyez-vous des chevaux galoper à travers le paysage?

 

MARY SUE: Je vois des formes.

 

ADAMUS: Euh hein.

 

MARY SUE: Je vois des endroits que je ne connais pas.

 

ADAMUS: Bien. Bien. Bien.

 

MARY SUE: Je vois…

 

ADAMUS: Est-ce que vous me voyez?

 

MARY SUE: Je ne sais pas. Je ne vois personne.

 

ADAMUS: Eh bien, alors vous êtes toujours dans le mental (rires).

 

MARY SUE: Je ne vois personne.

 

ADAMUS: Vous ne voyez personne. Eh bien, comptez vos bénédictions.

 

MARY SUE: D'accord.

ADAMUS: Mais la question est, et c'est une très bonne question à explorer en dehors du mental.

 

MARY SUE: Ok.

 

ADAMUS: Comment savez-vous que vous n’êtes pas encore dans l’institution? Comment savez-vous qu’ils n’ont tout simplement pas peint les murs et changé la moquette?

 

MARY SUE: Eh bien, j’apprécie l’opportunité d’apprendre, si je suis toujours là, mais… oui.

 

ADAMUS: Ouais. Donc, mais vous le savez. Comment savoir si vous êtes toujours dans l’institution?

 

MARY SUE: Si les choses vous semblent familières. Si je suis préoccupée par mon apparence, par ce que je fais, ou par ce que les gens pensent de moi, alors je sais que je suis définitivement dans l’institution.

 

ADAMUS: Ok.

 

MARY SUE: Si j'explore des choses, vous savez, comme une image. J'aime l'extraire ou l'abstraire dans n'importe quoi, et je pense que… (quelques rires du public, ils disent «Ohh») Si je regarde quelque chose, je sais que je l'ai fait. Si je regarde quelque chose de familier, je sens que je suis dans le mental.

 

ADAMUS: Ok.

 

MARY SUE: Si je cherche des choses qui ne me sont pas familières.

 

ADAMUS: Ok. Ouais. Je dirais que vous êtes toujours dans le mental.

 

MARY SUE: Ok. Je vais le prendre.

 

ADAMUS: Parce qu'ensuite vous commencez le débat- et ce n’est pas seulement pour vous, c’est pour tout le monde. Vous entamez tout ce dialogue intérieur et vous : «Suis-je? Ne Suis-Je pas? Suis-je assez puissante pour pouvoir aller au-delà? Ou suis-je toujours coincée là-dedans et je crée juste un look différent, mais que c'est toujours le même endroit?

 

MARY SUE: Ok.

 

ADAMUS: Et je vais vous dire - merci - et je vais vous dire la différence. Si vous y pensez en vous demandant : «Suis-je vraiment au-delà  du mental?», Alors vous êtes toujours dans le mental.

 

Si vous avez une douleur, une douleur profonde, sachant qu'il y a autre chose au-delà, quelque chose que vous n'avez pas encore expérimenté, vous êtes toujours dans le mental,
mais vous ne jouez pas un jeu avec vous-même prétextant que vous êtes hors du mental. Lorsque vous avez ce désir ardent et que vous dites: «Je sais qu’il y a plus.» Si ce désir est toujours là, cela signifie, oui, que vous êtes toujours dans le mental, parce que sinon, ce désir disparaîtrait. Ce désir. Je sais que vous avez tous ce sentiment de nostalgie, la nostalgie, ce désir - appelez ça comme vous voulez - pour revenir à vous-même. Le désir d'être réel à nouveau. Le désir de Vous. Vous êtes toujours dans la tête. Quand le désir n’est plus là, alors vous êtes allés au-delà.

 

Ensuite, il y a une réalisation extraordinaire, la connaissance, l'accomplissement, le Gnost des choses.

 

Prenons une bonne respiration profonde avec ça.

 

La fissure dans l'œuf. Cette porte dérobée, la voie d'évasion. Vous savez, le mental est une chose incroyable. Il l'est vraiment. Vous avez aidé à le concevoir pour ce qu'il est. C’est une chose incroyable, et il est devenu de plus en plus serré. Il a plus de contrôle. Vous parlez de l’avancement de la culture et de la civilisation et du fait que les gens sont plus intelligents que jamais et beaucoup plus intelligents que ce qu’étaient les humains il y a 500 ans, mais pas vraiment. Ils sont plus dans le mental, plus dans le cerveau.

 

Donc, il y a cette fêlure dans l’œuf et c’est ce que nous allons explorer, et vous saurez que vous êtes toujours à l'intérieur, tant qu'il y a ce désir ardent. Vous saurez quand vous serez allés au-delà, quand ce désir ardent sera comblé, quand il y aura une connaissance pure et que vous n'aurez pas à vous poser de questions ou à vous émerveiller dans votre mental; vous n'aurez pas à dire: «Eh bien, j’ai eu une heure de néant, alors suis-je allé au-delà?» Probablement pas.

 

 

Deuxième question

 

Donc, avant d'aller plus loin, je dois poser une autre question. Tout est lié à cela.

J’ai parlé des bandeaux et, encore une fois, qu’il s’agisse d’une métaphore ou de la réalité, cela n’a pas d’importance, car vous êtes dans le mental. Vous êtes là. Et ce n’était pas nécessairement mauvais. C'est juste que le pire, c’est quand vous essayez de vous en sortir et vous semblez ne pas pouvoir trouver le chemin, quand vous faites ces rêves sans fin la nuit que vous êtes perdus dans les bois. C’est tout simplement le rêve de ne pas pouvoir sortir. Quand vous avez encore ce désir ardent, «S'il vous plaît mon Dieu, il doit y avoir plus. Je sais qu’il y a plus, mais je ne sais pas ce que c’est ou comment y aller. "

 

Mais tout cela étant dit, quelle était la beauté, l'avantage des bandeaux, du mental? Quelle en était la beauté? Parce que ce n’était pas une erreur. Ce n'était pas une erreur. C'est ce qu'on ressent parfois, mais ce n'était pas une erreur.

 

Alors, c'est la vraie Sagesse Shaumbra: En quoi cela a-t-il été bénéfique en Atlantide et jusqu'à présent, les bandeaux, d'être dans le mental, d'être dans la limitation? Quel est le mystère et la beauté de tout cela? C'est un gros problème, alors s'il vous plaît, Linda, choisissez avec soin. Et ne pensez pas trop. Et ne m’en veuillez pas si je prends une petite salade de fruits.

CAROLE: Bien, je me demande si ça a…

 

ADAMUS: Je devrais avoir quelques noix pour aller avec, compte tenu de ce que nous faisons ici.

 

CAROLE:… quelque chose à voir avec une respiration profonde?

 

ADAMUS: Une respiration profonde.

 

CAROLE: Eh bien, vous dites de prendre une respiration profonde et que le mental s'en va.

 

ADAMUS: Bien. Mais quelle était la beauté, dans tout cela, d'entrer dans le mental, d'y plonger si profondément, d'entrer dans la prison? Quelle était la beauté de ceci?

 

CAROLE: Eh bien, il y avait plus de social… vous savez, les gens étaient plus sociaux.

 

ADAMUS: Vous feriez cela pour une conversation plus humaine ?

 

CAROLE: Bien, juste être avec amour… sentir…

 

ADAMUS: L’amour? Je ne vais pas accepter ça. Je vais remonter ça sur tout l'enregistrement (Adamus rit). Vous étiez juste, vous étiez juste - eh, vous me donnez juste des ordures en ce moment. Désolé.

 

CAROLE: Ok.

 

ADAMUS: Et je comprends pourquoi, parce que vous êtes tellement dans le cerveau. C'est incroyable. Quand vous avez eu le micro, vous êtes allée - kweckkkk! - à l'intérieur.

 

CAROLE: Mais le cœur n'y serait-il pas pour quelque chose? Parce qu'il y a…

 

ADAMUS: Non. Le cœur est contrôlé par le mental.

 

CAROLE: Oh, ok.

 

ADAMUS: Non, littéralement, le cœur est contrôlé par le mental. Le cœur, vos émotions - totalement contrôlés par le mental. Eh, c’est pour cette raison que les gens - «Allons droit au cœur» - vous allez juste dans une partie molle de votre cerveau. C’est tout ce que vous faites (quelques rires). Je veux dire sérieusement. Sérieusement. C’est l’une des plus grandes escroqueries, la plus grosse escroquerie qui soit (plus de rires). Je suis un Maître Ascensionné! Ils m’ont fait une ovation debout qui a duré, je ne sais pas, 30 minutes aujourd’hui au Club des Maîtres Ascensionnés pour mon génie, et je me fais lancer le micro? (plus de rires)

 

Toute cette histoire de cœur est une arnaque, une escroquerie totale du mental. Cela vous procurera un peu de réconfort, dix minutes par jour, deux jours peut-être: «Oh, j’ai une émotion. Je ressens de l’amour et je me sens heureuse. »C’est une arnaque! Je suis désolé, mais qui n’a pas connu cela, «Oh! J'ai une émotion »et le lendemain, vous êtes écrasée. Vous êtes au lit, vous pleurez et vous m’appelez! Vous dites: «Oh! Je veux avoir plus d’émotions. »C’est comme si j’étais fatiguée des émotions. Les émotions sont du mental. Elles ne sont pas réelles. Elles ne sont pas réelles. Elles sont une fabrication. Elles sont un mensonge du mental pour vous garder heureux.

                                                                                                                    

LINDA: Eh bien, alors pourquoi faites-vous la différence entre émotion et sentiment? Je le dis tout de suite.

 

ADAMUS: C'est Linda qui vous a donné le micro?

 

LINDA: Émotion et sentiment. Je veux dire, pourquoi vous les jetez dans le même seau ?

 

ADAMUS: Non. Non, le sentiment est très différent. Les sentiments sont les vrais sens, les 200 000 sens angéliques que vous n’utilisez pas. Les émotions sont les choses humaines qui proviennent du mental. Le mental les a inventées. Elles ont été copiées - ou il a essayé de les copier, il en a fait une imitation bon marché – sur de vrais sentiments sensuels et vous n’avez plus eu aucun d’eux depuis longtemps. Vous n’avez pas vraiment - un vrai sentiment. De temps en temps, vous sentez un petit un sentiment, mais vous avez toujours affaire à des émotions qui viennent du mental et qui sont artificielles. Elles demandent: qu’utilisez-vous à la place du sucre dans vos boissons? Vous utilisez ces produits chimiques. C’est un peu la même chose: «Eh bien, savez- vous que le sucre est mauvais, alors nous allons vous donner des produits chimiques, qui sont vraiment mauvais?» Et elles (les émotions) ne sont pas réelles.

Mais c’est ce que je disais aux Maîtres Ascensionnés aujourd’hui. Je leur ai dit: «Quand vous allez voir vos canals, vos enseignants, et que vous travaillez avec eux sur ceci et cela, et que tout le monde parle de« paix, d’amour, de joie et d’unité »- ptooey ! - et j'espère qu'ils se fâchent contre moi. J'espère que je secoue tout ça. L'unité est le plus grand mensonge du mental, juste après les émotions. L'Unité: «Revenons tous à l’unité». C’est comme si on disait «Oublions tout ce que nous avons fait et retournons en Atlantide et redevenons un.» Non! Vous êtes des êtres souverains. Vous n’allez pas aller à l’unité. L'unité est une arnaque et quiconque l'enseigne - (Adamus rit) Cauldre tente de m'arrêter, mais je suis plus fort! (rires) Je suis un Maître Ascensionné. Je vais le dire - quiconque enseigne l’unité est plein de makyo! (plus de rires) Ils sont dans la tête. Ils enseignent totalement des conneries sur cette planète. Pourquoi pensez-vous que la planète…

 

LINDA: Ne dites pas de noms.

 

ADAMUS: Oh, allez, s'il vous plaît, laissez-moi dire des noms (rire). Non non Non. Alors, où …

 

CAROLE: Quels sont les avantages du groupe?

 

ADAMUS: Les avantages du groupe?

 

CAROLE: L’amour, le faux amour ou tout ce dont vous parlez.

 

ADAMUS: Les émotions.

 

CAROLE: Ouais.

 

ADAMUS: Alors, pensez-vous que c’est un avantage?

 

CAROLE: Eh bien, peut-être.

 

ADAMUS: Wow. J'aimerais vous vendre une voiture (plus de rires). Bien. Et c'est difficile, au fait. C'est dur. Ce n’est pas facile, donc je sais que vous êtes frustrée. Vous aimeriez probablement m'étrangler maintenant.

 

CAROLE: Non. Non.

 

ADAMUS: Mais c’est juste une émotion. C'est faux. Ce n’est pas réel (rires). Vos vrais sentiments, vous voulez me faire un gros câlin (elle secoue la tête). Pas tellement (plus de rires). Ok.

Suivant. Allons. Ce n’était pas une erreur. Les bandeaux n'étaient pas une erreur. Ils semblent l’être parfois, mais il y a une beauté en eux. Il y a quelque chose que nous avons fait, vous l’avez fait. Qu'est-ce que c'était?

 

GARY: Perception partagée.

 

ADAMUS: Perception partagée. C'est exact. C’est l’une d’elles Et… où est Linda quand on a besoin d’elle?

 

LINDA: Elle est juste ici!

 

ADAMUS: Eh bien, nous nous attendions à ce que vous soyez là (quelques rires). Perception partagée. Point commun. Le point commun, que vous n'aviez pas, ce qui a conduit à toute cette histoire d'unité, ce qui est allé un peu trop loin. Point commun. Nous aurions pu partager notre expérience et c'est très beau. Ouais. Bien.

 

La raison s'explique en partie par le fait qu'avant de venir sur Terre, il y avait dans les familles angéliques spirituelles, beaucoup de batailles, beaucoup de va-et-vient. Mais maintenant, vous venez ici et vous êtes tous égaux avec le bandeau. Vous êtes tous égalisés. Et cela fait partie de la compréhension des expériences sur les royaumes angéliques. Par ici! (rires) Ok. C’en était une bonne, celle-là. Linda, le micro.

 

LINDA: Voyons voir.

 

ADAMUS: Ok. Quoi d'autre?

 

LINDA: Les esprits curieux veulent savoir.

 

ADAMUS: Il y avait une beauté dedans.

 

LINDA: Ok.

 

DAVID: (il se racle la gorge) Uhm… (il se racle la gorge à nouveau).

 

ADAMUS: En train de penser.

 

DAVID: Oui.

 

ADAMUS: Ouais.

 

DAVID: Je pensais.

 

ADAMUS: Ouais. Voulez-vous que Linda vous distraie? Ouais (ils rient). Regardez-la, qu'est-ce que vous avez sur les pieds ? Des bottes, des chaussures, je ne suis pas sûr.

 

DAVID: Hoo-wah!

 

ADAMUS: Ouais, je n’ai pas vu ça depuis le 17ème siècle (rires). C’est donc une distraction pour David.

DAVID: Ouais. C'était une expérience.

 

ADAMUS: Qu'est-ce que cela a eu de bon? Quelle sagesse aviez-vous, vous et les Atlantes, à propos de cette histoire de bandeau que vous commencez tout juste à réaliser?

 

DAVID: D’entrer dans la limitation.

 

ADAMUS: Bien, bien sûr. C’est ce qui s'est passé. Mais quoi... est-ce que vous aimez ça?

 

DAVID: Non, mais c'est le cadeau, finalement; un long chemin pour réaliser que cela ne nous convient plus et que nous pouvons changer et choisir différemment.

 

ADAMUS: Ouais. Je vais définir les choses un peu différemment et, Linda, vous allez courir comme une folle et écrire ça. Je vais définir… prenez le micro! Sinon, il continuera à parler (rires, alors que Linda fait des allers-retours).

 

SART: Plus vite! Plus vite !

 

ADAMUS: D’entrer dans la limitation, pourquoi? (quelqu'un dit "L’expérience")

 

LINDA: C'était quoi ça?

 

ADAMUS: L’expérience. Absolument, l'expérience. Le Je Suis ne s’en soucie pas. Le Je Suis est comme: «Whoa! Il y a autre chose. Hé, humain! Pourquoi ne vas-tu  pas là-bas et être vraiment limité et ensuite me laisser savoir comment c'était? Je vais rester ici dans ma grandeur, mais tu vas aller là-bas. »C’est parce que c’est possible. Il peut aller dans la limitation. Et vous devez sentir cela, ne pas le penser, mais le Je Suis veut connaître, sentir et expérimenter chaque potentiel. Pas simplement de beaux potentiels, pas seulement de gros potentiels, tous les potentiels, même les potentiels de séparation absolue. Absolue. Je veux dire, vous êtes ici - entrez dans votre Je Suis pendant un moment ici. Ok, vous voilà dans votre Je Suis, «Whoa! Ne serait-ce pas fascinant de vivre une séparation absolue au point que je ne me souvienne même plus de moi? Essayons. Mettons quelques bandeaux et allons-y. "

 

Donc, la séparation, parce que c'est possible. La limitation, pour l'expérience. Cela en fait partie. Quoi d'autre? Quel autre bien en est sorti? Il y en a un grand. C’est comme ce gros éléphant dans la pièce. Il est juste là, juste là.

 

SHAUMBRA 2 (femme): Le Fonctionnement dans le physique.

 

ADAMUS: Fonction… ouais.

 

SHAUMBRA 2: Être capable de négocier la densité.

 

 

ADAMUS: Mais avez-vous dû aller à cet extrême avec le mental et le cerveau? Je veux dire, vous n’auriez pas pu entrer dans le physique, vous savez, en laissant la porte d’entrée ouverte, pour au moins pouvoir sortir ?

 

SHAUMBRA 2: Non.

 

ADAMUS: Non.

 

SHAUMBRA 2: Non.

 

ADAMUS: D'accord. Donc ça vous a aidé à être dans le physique?

 

SHAUMBRA 2: Oui.

 

ADAMUS: Comment diable allez-vous sortir?

 

SHAUMBRA 2: Eh bien, je suppose que je pourrais commencer comme ça (elle rit et commence à enlever son châle).

 

ADAMUS: La mort ne vous sort pas du physique. Plus maintenant. Auparavant oui, mais la fiche de décès ne fonctionne plus de cette façon. Vous y retournez tout de suite.

 

SHAUMBRA 2: Oui.

 

ADAMUS: Ouais (elle rit). N'est-ce pas terrible? Ouais. Alors, comment allez-vous sortir du physique?

 

SHAUMBRA 2: (fait une pause) en surchargeant le mental.

 

ADAMUS: Ooh.

 

SHAUMBRA 2: Ouais, je veux dire, pourquoi pas?

 

ADAMUS: Ouais.

 

SHAUMBRA 2: De toute façon, je suis si proche de la surcharge que je pourrais aussi bien…

 

ADAMUS: Le mental aime vraiment ça, en fait.

 

SHAUMBRA 2: Bon.

 

ADAMUS: Non, vous pouvez essayer de le surcharger autant que vous voulez et votre esprit (mental) est comme: «Amenez-cela. Je vais devenir plus gros. Je vais devenir plus expansif.".

 

SHAUMBRA 2: Eh bien, il pourrait penser qu'il le peut. Je pense que l’esprit (le mental) a des limites et que vous pouvez aller tellement loin, et ensuite... et si vous ajoutez une petite chose de plus, il va exploser.

ADAMUS: Laissez-moi le dire de cette façon. Le mental est - comment dire- le mental peut être dans une limitation sans fin, une limitation illimitée. En d’autres termes, il peut créer, il peut aller très large. Il peut créer plus de couloirs, plus d’ailes, plus de départements dans l’institut du mental, mais c’est toujours le mental. Il peut devenir très grand dans ses limites.

 

SHAUMBRA 2: (Rires) Je vous crois sur parole.

 

ADAMUS: Merci (ils rient). Ce que je dis ici, c’est que l’esprit (le mental) n’a pas de limite en matière de limitation. Il continuera à se recréer pour s'adapter à davantage de limitations. Donc l'esprit (le mental)  peut vous apporter un grand plateau plein de limitations, vous allez dire: «Oh, non, non. Je suis vraiment plein. J'en ai eu assez. »Et l'esprit (le mental) dira:« Oh, non. Nous allons faire de la place pour tout ça. C’est juste plus de limitation. »Bien. Donc, je ne suis pas sûr de ce que nous allons écrire au tableau, mais, hein, inscrivez simplement «physique».

 

LINDA: Physique?

 

ADAMUS: Ouais. Donnez le micro à quelqu'un d'autre, puis écrivez le mot «physique», puis retournez en courant  (quelques rires). Oui. Quelle est la beauté de tout cela?

 

MERIKA: Peut-être d’aller dans la conscience de masse?

 

ADAMUS: d’aller dans la conscience de masse. Est-ce amusant ou quoi?

 

MERIKA: Ce n’est pas amusant, mais cela pourrait avoir une fonction.

 

ADAMUS: Ouais. C’est un peu ce que David a dit, la communauté.

 

MERIKA: Ouais.

 

ADAMUS: La capacité…

 

MERIKA: L'hypnose.

 

ADAMUS: L’unité - «Faisons une expérience avec ça» - mais je vais vous donner un indice. Si nous expérimentons l’unité et les points communs - nous nous ressemblons tous, nous agissons de la même manière, nous parlons de la même manière - qu’avez-vous vraiment appris de cela? Une grande chose. Cela commence par un «S.»

 

MERIKA: Cela commence par un «S.»

ADAMUS: «S», et ce n'est  pas de la merde, je veux dire… (rires) Je canalisais l’un d'entre vous.

 

MERIKA: C’est soi-même, quelque chose de soi (elle rit).

 

ADAMUS: La Souveraineté. La Souveraineté.

 

MERIKA: La Souveraineté.

 

LINDA: Ohhh!

 

ADAMUS: Souveraineté.

 

MERIKA: Oh ouais.

 

ADAMUS: Donc, l’un des plus gros cadeaux de tout cela, le bandeau, le fait d’être dans le mental, les points communs, la conscience de masse, "nous sommes un" - non - tout cela, était un excellent moyen de vous aider éventuellement par la suite à réaliser votre souveraineté. C'était une façon un peu folle et tordue de faire les choses, mais c’était du genre: «Nions la souveraineté, éliminons la souveraineté, rejetons-la, pour que nous puissions enfin comprendre», parce que ce voyage - depuis que vous avez vraiment posé cette stupide question : «Qui suis-je ? » - tout est au sujet de venir à votre souveraineté. C'est tout. Alors, allons-y. Éteignons un peu ces lumières. Ils sont aveuglés là-bas. Ils veulent se rendormir.

 

Ainsi, la beauté des bandeaux, la beauté ultime des bandeaux, d’une manière qui n’aurait peut-être pas pu être faite autrement, est en train d'accéder à la souveraineté, de comprendre ce qu'est la véritable souveraineté après avoir été dans la conscience de masse des Borgs,  enfermée dans le mental. C’est la beauté,  et elle a été prise de l'Atlantide jusqu'à maintenant pour vraiment commencer à comprendre cela.  C’est le cadeau de la Maison de Shaumbra, un des nombreux cadeaux, mais le cadeau que vous allez donner à la planète - la souveraineté. "Je Suis ce que Je Suis. Oh, j’ai été là, à l’autre extrémité du spectre où j'ai été enfermé dans le cerveau, placé dans l’institution avec les autres prisonniers et je leur ai dit «Essayez de faire les choses bien. Mais j'ai finalement compris ce qu'est la souveraineté. Je suis ce que Je Suis."

 

Maintenant, sentez-vous en cela un instant. Avec les bandeaux et la conscience de masse et tout le reste, et vous commencez à réaliser votre souveraineté, votre unité en vous, votre unicité, votre âme, imaginez maintenant votre expérience dans tout cela. Imaginez comment le Je Suis se réjouit. Il sait maintenant quelque chose, il a la sagesse de quelque chose qu'il n'avait jamais vraiment su auparavant - la souveraineté. « J'Existe. Je Suis un être souverain. Je suis Dieu aussi. »

 

Maintenant, c'est peut-être une longue et cruelle façon de faire tout cela avec les bandeaux et d'entrer dans le cerveau, sans savoir comment sortir et tout le reste, mais ça s'est vraiment passé en un clin d'œil. Cela a vraiment été une expérience incroyable, et maintenant vous arrivez à la souveraineté.

 

 

Le Cerveau Par Rapport Au  Mental

 

Je n'ai pas encore répondu à votre question: «Comment pouvons-nous sortir, quelle est la fissure dans l'œuf, quel est le problème dans le système?» Nous y arriverons dans un moment, mais avant de le faire, j'aimerais parler un peu plus sur, eh bien, parlons du cerveau. Je vais leur demander de mettre une image à l’écran que j'ai demandé à Cauldre tôt ce matin, de trouver, et la question sera de savoir, au fur et à mesure que cette image s’affiche à l’écran, «Qu'est-ce qui ne va pas avec cette image?

 

 (pause pendant qu'une image apparaît)

Quel est le problème avec cette image? Quelqu'un l'obtient? (Quelqu'un dit "Sans tête") C'est un poulet sans tête. Maintenant, c'est une histoire vraie. J'ai demandé à Cauldre de l'examiner car je voulais l'utiliser aujourd'hui comme exemple.

 

Voici Mike, le poulet sans tête. C'était un vrai poulet. Mike était dans une ferme ici dans le Colorado en 1945. Et le fermier est sorti pour obtenir le dîner, parce qu’avant, vous savez, ils n’ouvraient pas simplement la porte du congélateur, ni ne passaient pas par le drive. Ils sont allés dans la cour et ont attrapé un poulet comme Mike, une hache, et lui ont coupé la tête.

Eh bien, le fermier avait bu quelques verres ce jour-là et il est allé lui couper la tête et ne l’a pas coupé comme il l'aurait fait normalement. La tête est tombée - si vous passez à la photo suivante (une photo de Mike apparaît se tenant à côté de sa tête, quelques personnes disent «Ohh!» Et Adamus rit).

 

C'est une histoire vraie. La tête est tombée et le fermier ne savait pas quoi faire. Il a remarqué que Mike courait toujours et il s'est dit d'une manière sadique: «Je me demande combien de temps cela va durer?

 

Il est sorti le lendemain et Mike se promenait encore. Et le jour suivant, Mike marchait toujours et le fermier se dit: «Et si je nourrissais Mike? Et si j’utilisais un petit compte-gouttes et quelques-uns… ”- Je ne sais pas ce qu'ils donnent aux poulets, du lait ou autre. Et cela a continué encore et encore, et bientôt plus d'une semaine était passée et Mike était un peu effrayé. Non, pas Mike, je veux dire, le fermier était un peu effrayé (quelques rires). Mike ne savait pas mieux (plus de rires), c’est tout ce que je peux dire. Le fermier dit: «Je me demande si c'est Satan. Je me demande si c'est quelque chose de démoniaque », parce que ce poulet est toujours en train de courir et de faire caca, de manger et de faire caca, comme le fait un poulet. Ouais (quelques rires).

Le fermier en a parlé à quelques personnes et elles lui ont dit: «Vous avez là un vrai bijou. Vous pouvez vous faire un peu d'argent avec Mike. Vous continuez à le nourrir, vous le sortez et lui faites visiter plusieurs endroits; vous faites payer 25 cents aux gens pour voir le poulet sans tête », ce qu'il fit. Il a gagné, en dollars d’aujourd’hui, environ 50 000 dollars par mois, en dollars actuels, pas ceux de l’époque. En montrant ce Mike pervers assis sur un piédestal, les gens payaient un quart à la fois et venaient voir Mike.

 

Cela a donc duré 18 mois – une histoire vraie - 18 mois, et la seule raison pour laquelle Mike est mort, c’est que l'agriculteur, qui le conduisait d'un spectacle à un autre, avait un peu trop bu, une fois de plus, parce que maintenant il est dans l'argent et il vit vraiment la grande vie. Eh bien, il a oublié d'apporter les petits outils qu'il utilisait pour nettoyer la gorge de Mike afin de le nourrir, et il donnait du maïs à Mike, ce qui n'était pas très intelligent, vous savez, et Mike a commencé à s'étouffer avec et le fermier n'avait pas les outils pour nettoyer la gorge et Mike est tombé raide mort.

 

Maintenant, la morale… (Adamus rit). Pourquoi est-ce que je raconte cette histoire? (Quelqu'un crie «Pourquoi?!») Pourquoi est-ce que je raconte ça?! Ils m'applaudissent au Club des Maîtres Ascensionnés (quelques rires). Ici, ils me huent. Pourquoi? Parce que vous n’êtes  pas votre cerveau. Vous allez être comme Mike - Schwifft! (la tête coupée) - et vous allez toujours continuer à fonctionner. Vous vous identifiez avec la chose dans votre tête, et le fait est que vous pourriez peut-être continuer à vivre comme Mike. J'utilise cela comme exemple extrême.

 

Cette chose juste ici (il pointe vers la tête) avec laquelle vous vous identifiez à tant de choses n'est pas vous. Il s’agit simplement d’un processeur capable de capter une large bande passante, d’avoir beaucoup de spectre, de réfléchir longuement, de la réduire, de la limiter puis de la mettre en boîte. Le cerveau est vraiment bon pour ça.

Le cerveau, votre cerveau, ne contient aucun souvenir. Il n'y a pas de souvenirs dans votre cerveau. Aucun, quel qu'il soit. Votre cerveau ne génère aucune énergie. Aucune. Il utilise/ consomme de l'énergie. Ce n’est pas une source d’énergie. Votre cerveau n'a aucune intelligence en lui. Ce n’est pas une insulte, c’est un fait. Votre cerveau ne possède aucune intelligence. C'est simplement un appareil. Et vous savez que vous avez une partie de votre cerveau qui est reptilienne, une partie de votre cerveau qui est mammifère, une partie de votre cerveau qui a évolué au fil du temps pour devenir un être humain, mais votre cerveau est simplement un processeur. Le cerveau n'a pas de mémoire. La seule chose pour laquelle le cerveau est devenu bon, était de se tromper - et donc, de vous tromper - dans la limitation, de ne plus être souverain. Il a fait du très bon travail. Mais c'est peut-être tout le plan. C'est peut-être tout le plan.

 

Maintenant, je dis que votre cerveau ne contient rien de tout ça. Votre mental est un peu différent. Votre mental. Votre esprit (mental) n'est pas votre cerveau. Ne le confondez pas. Nous pouvons couper la tête de Mike et Mike vivra toujours. Votre esprit (le mental) est un peu différent. Où est votre esprit (le mental)? En passant, j'aime la façon dont le mot «esprit (mental)» est devenu. Le mental n'est pas seulement une sorte de psyché, un aspect presque spirituel ou spirituel du cerveau, mais les gens disent: «Occupez-vous de vos affaires. Faites attention à l'Enseignant. Faites attention à vos manières. »Ils utilisent même ce mot maintenant. En gros, cela signifie essentiellement contrôle, limite. Contrôle et limite.

 

Alors, où est l'esprit (le mental)? Nous pouvons vous couper la tête. Nous ne le ferons pas, je vous le promets. Nous pourrions vous couper la tête et vous pourriez encore vivre, peut-être. Mike l'a fait. Où est votre esprit? Où est votre esprit? Quelqu'un ? À main levée (quelqu'un dit «Dans notre aura»). Dans notre aura. Votre aura est fondamentalement un champ d'énergie. C’est une émanation de votre champ, mais votre esprit (le mental) n’est pas dans votre aura. Quelqu'un d'autre? Où est votre esprit (le mental)?

 

Oui. Micro, s'il vous plaît. Où est l'esprit (le mental)? Ouais.

 

TAD: Eh bien, la première chose qui m’est venue à l’esprit était que c’était comme dans le I-Cloud.

 

ADAMUS: Le I-Cloud?

 

TAD: Je… vous savez.

 

ADAMUS: Le I-Cloud.

 

TAD: Le I-Cloud.

 

ADAMUS: Oh, le I-Cloud. Ouais.

 

TAD: vous savez, c’est…

ADAMUS: Le I-Cloud. Ouais. Ouais.

 

TAD: Le I-Cloud.

 

ADAMUS: Ouais. Où est l'I-Cloud?

 

TAD: (Pause) Nulle part.

 

ADAMUS: Nulle part. Bien. Bien. Nulle part. Alors, quelqu'un d'autre? Où est l'esprit (le mental)? Qu'est-ce que l'esprit (le mental)? Qu’est-ce que le mental et où diable est-il? Parce que si nous voulons aller au-delà, nous devons comprendre un peu où il se trouve.

 

SHAUMBRA 3 (femme): L’esprit (le mental) est le navigateur du corps.

 

ADAMUS: Pardon?

 

SHAUMBRA 3: Le mental est le navigateur du corps.

 

ADAMUS: Ouais, ouais. En quelque sorte.

 

SHAUMBRA 3: Pour la réalité physique.

 

ADAMUS: Oui, mais où diable est-il?

SHAUMBRA 3: Nulle part.

 

ADAMUS: Est-il dans votre pied?

 

SHAUMBRA 3: Non.

 

ADAMUS: Est-il dans votre cœur?

 

SHAUMBRA 3: Non.

 

ADAMUS: Non. Est-il dans votre cerveau?

 

SHAUMBRA 3: Non.

 

ADAMUS: Wow. N’est-il pas intéressant que le cerveau, c’est la chose - le cerveau et l’esprit (le mental) se combinent en réalité - pour créer une douleur dans votre corps. La douleur n’est en réalité vraiment pas réelle.

 

SHAUMBRA 3: C’est une illusion, oui.

ADAMUS: C’est une impulsion de l’esprit (du mental) et du cerveau. Mais n’est-il pas intéressant que le cerveau et l’esprit (le mental) soient si intelligemment malins? Le cerveau ne ressent aucune douleur. Le cerveau - Je pourrais vous opérer du cerveau plus tard et vous ne ressentirez aucune douleur. Il n'y a pas de récepteurs de douleur dans le cerveau. N'est-ce pas fascinant? Cela devrait nous en dire long sur le cerveau et l'esprit (le mental). Pourtant, cela produira la sensation de douleur ressentie par certains d'entre vous dans votre corps. Ce n'est pas réel. Ce n'est pas vrai.

 

A propos, je sais que Shaumbra veut vraiment entrer dans le corps de lumière, mais nous devons d'abord couvrir ces choses, sinon vous êtes juste… vous savez ce qui va se passer? Vous dites: «Ouais, abandonnons tout ça. Faisons entrer le corps de lumière ici. »Il ne s’agira que d’une fabrication artificielle du cerveau et de l’esprit (du mental). C’est tout ce que cela va être, et vous allez jouer à ce jeu, le jeu du corps de lumière: «Oh, j’apporte mon corps de lumière.» C’est comme : non. C’est juste une autre aile de l’institution du mental. Vous êtes toujours dans la poubelle des fous. C’est pourquoi nous devons surmonter tout cela. Nous devons aller au-delà du mental avant de pouvoir amener/ introduire le corps de lumière. Et je l’ai déjà dit, de temps en temps, je suis un peu contrarié par ces personnes qui prétendent enseigner le corps de lumière et elles ne sont pas encore sorties de leur esprit (du mental) (quelques rires). Et par conséquent, le corps de la lumière ne fera que devenir une nouvelle aile à l'asile de fous. C'est tout.

Ok. Où en étions-nous? Oh, je suis désolé, votre corps, votre cerveau. Où est votre esprit (votre mental)?

 

SHAUMBRA 3: Ce n’est pas physique. Cela peut être dans une autre dimension.

 

ADAMUS: Non.

 

SHAUMBRA 3: En fait, c’est juste un navigateur pour le physique. C’est pourquoi les bandeaux ont fait ce qu’ils ont fait pour…

 

ADAMUS: Vous devez tenir ce micro contre votre bouche, contre votre cerveau.

 

SHAUMBRA 3: C’est ce que nous avons fait pour rester dans le corps et nous pouvons naviguer dans le physique.

 

ADAMUS: Mais où est le mental? Où est la psyché?

 

SHAUMBRA 3: C’est juste le produit chimique.

 

ADAMUS: Est-ce ici (la tête)?

 

SHAUMBRA 3: Non.

 

ADAMUS: Non. Non, non. Ce n'est pas le cas. Non, ce n’est pas là-dedans. Ce cerveau ne contient aucun souvenir. Il n'est pas créatif. Cela ne résout pas vraiment les problèmes. Le cerveau est juste un processeur. C’est tout. Ce n'est même pas un périphérique de stockage de mémoire. Alors, où est l'esprit (le mental)? Linda va continuer à faire tourner le micro. Où est l'esprit (le mental)? Et qu'est-ce que l'esprit (le mental)?

 

Remontez ici la photo de Mike juste pour encourager tout le monde (rires, Adamus rit).

 

JAN: Je me sens comme Mike en ce moment (elle rit).

 

ADAMUS: Où est le mental? Avec tous ces souvenirs, des vies de souvenirs et des émotions et des sentiments et des jugements et des prises de conscience et des expériences, où diable est-il?

 

JAN: Je suis dans ma tête en ce moment, parce que je ne pouvais même pas imaginer.

 

ADAMUS: Ouais, ouais, ouais. Ouais, ouais (ils rient). Ouais.

 

JAN: Je veux dire, à mon avis, cela a toujours été, vous savez, que le cerveau a toujours été responsable de toutes ces choses et vous me dites maintenant que ce n’est pas le cas.

 

ADAMUS: Coupez la tête!

JAN: Et c’est comme “Whoa!”

 

ADAMUS: Et le corps continue d'avancer. Et c’est une perception commune, que les souvenirs sont ici (il pointe vers la tête).

 

JAN: Oui.

 

ADAMUS: Ils ne le sont pas! Et nous pourrions faire un peu de dissection plus tard si quelqu'un est prêt à faire du bénévolat et nous pourrions vous montrer qu'il n'y a rien là-dedans. Il n’y a rien d'autre que des produits chimiques et de l’électricité et un lien avec l’esprit (le mental), mais où est l’esprit (le mental)?

 

(Elle fait une pause)

 

Eh, un de plus. Un de plus. Ok. Où est le mental? Quelqu'un veut-il tenter sa chance?

 

CHRISTINA: Cela fait-il partie de la conscience?

 

ADAMUS: C'est une partie de la conscience. Je vous remercie. Et où est la conscience?

 

CHRISTINA: Partout.

 

ADAMUS: Non, pas partout. Où est votre conscience?

 

CHRISTINA: Dans le Je Suis. C'est moi.

 

ADAMUS: Avez-vous dit que c'était au Canada? (Quelques rires et elle rit)

Elle est là où vous êtes. L'esprit (Le mental) est un fragment, une partie, une partie très limitée de votre conscience, et votre conscience est là où que vous êtes. Pas seulement physiquement, mais en conscience, et l'esprit (le mental) en est un petit morceau. Il n’occupe ni le temps, ni l’espace, ni autre chose, mais c’est une partie de la conscience, de votre conscience. Je vous remercie. Vous avez raison (quelqu'un dit "Ding! Ding! Ding! Ding!") Ding, Ding, Ding. Ouais. Ok, vous pouvez tuer le poulet maintenant. Nous en avons assez (quelques rires; l’image disparaît). Ok. Ouais, juste au moment où vous vous y habituez.

 

Gros point, à mesure que nous avançons, comme nous allons au-delà de l'esprit (du mental), c’est juste un point de conscience. C’est tout. Ce n’est pas ici (la tête) et cela n’existe pas dans le temps ni dans l’espace. C'est une petite facette de votre conscience globale, le Je Suis ce que Je Suis.

 

Les bandeaux vous ont vraiment permis de focaliser sur cette petite facette, et ensuite vous avez cru que c'était vous. C'est une partie de vous. Nous n'allons pas détruire l'esprit (le mental) en le dépassant. Pas du tout. Mais vous croyez que les pensées sont ici. Vous croyez que ce que vous voyez avec vos yeux est réel, et ça ne l’est pas. C’est une partie, mais une très petite partie de la réalité. Vous croyez que ce que vous ressentez dans votre corps en tant que chose appelée douleur ou plaisir est réel, et ce n’est pas le cas. C’est un petit fragment de la réalité, mais ce n’est pas tout. Et quand on commence à croire que c’est réel et que c’est toute l’étendue de la réalité - la douleur dans votre corps, une pensée dans votre esprit (votre mental), tout ça -, c’est là que vous êtes vraiment pris au piège et limité. Mais quand vous vous permettez qu’il y a tellement plus et que c’est juste ici. Ce n’est pas là- dehors, ce n’est pas là (la tête), c’est juste ici, et cela a toujours été juste ici.

 

Cela a toujours été là.

 

Alors, prenons une grande respiration profonde. Mettons un peu de musique, et je vous ai pris la tête à tous aujourd'hui. C'est génial. Ohh! La tête est tellement… ouais. Alors, soyez comme Mike, coupez la tête un instant.

 

(la musique commence)

 

Mettons de la musique et amenons cela dans un merabh.

 

 

Merabh - Suivez la Connaissance

 

Là où nous allons dans tout ce que nous faisons, c'est de pouvoir rester sur cette planète en tant que Maître incarné - avec un esprit (un mental), avec un cerveau bien sûr, mais avec tellement plus - pour être sensuel, pour être souverain. Un être souverain. Et, vous savez, c'était un rêve de l'âme. Et ce dont l'âme rêve devient ainsi, après l'expérience de l'humain.

 

C’était le rêve de l’âme de vraiment comprendre, de se connaître vraiment comme souveraine. C’est ce que vous avez fait - tout cet être dans le cerveau, dans l’esprit (le mental), dans toute cette histoire de bandeau - en vue de la souveraineté.

 

Vous savez, la chose amusante à propos du cerveau et de l’esprit (du mental) - vous allez vraiment apprendre à les apprécier - le cerveau et l’esprit (le mental) sont des unités autonomes. Ils restent en eux-mêmes. Et tant que vous pensez à votre illumination, que vous songez à aller au-delà, vous êtes toujours dans le cerveau. Vous êtes toujours dans l’institution.

 

J'ai déjà dit que vous faisiez beaucoup de rêves la nuit - peut-être vous en souvenez-vous, peut-être non - mais des rêves où vous cherchez quelque chose. Un rêve que vous êtes perdu. Un rêve de grande frustration. Un rêve où quelqu'un vous a pris quelque chose et vous essayez de le retrouver pour le récupérer, ou vous êtes simplement en colère parce qu'il vous a pris quelque chose. Ce sont tous des rêves pour essayer de se libérer, pour essayer de trouver votre chemin.

C’est la façon dont l’esprit (le mental) interprète - bien sûr, l’esprit (le mental) n’interprète pas ce que vous pourriez dire de manière authentique; il le dit en des termes humains que vous pouvez comprendre, mais ce sont tous des rêves pour essayer de trouver votre chemin. Et même dans les rêves, vous vous rendez compte que c’est juste une autre rue sans issue / une autre impasse.

 

Quelqu'un m'a récemment demandé: «Pourquoi les rêves ne sont-ils pas amusants et joyeux? Ne devrais-je pas flotter dans les nuages ​​la nuit et passer un bon moment? »Eh bien, l’un des niveaux dont vous rêvez chaque nuit, c’est pour essayer de sortir. Ce sont les rêves dont vous vous souvenez, et c'est frustrant.

 

Mais il y a un autre rêve. C’est un peu éclipsé par votre rêve humain de l’esprit (du mental) et tout, mais il y a un autre rêve dans lequel j'aimerais que vous vous sentiez en ce moment. Ce n’est pas un rêve de l’esprit (du mental). Ce n’est pas un rêve de limites. C’est le rêve de la connaissance.

 

Le fait d’avoir cette connaissance que vous n’êtes pas condamnés par l’esprit (le mental) pour toujours. Le fait d’avoir cette connaissance qu'il y a beaucoup plus.

 

Oh, tellement plus, mais ne pensez pas seulement aux sens ou perceptions humaines. Ne pensez pas seulement en termes d’être plus jeune, plus intelligent, rien de tout cela. À propos, il n’y a absolument aucune intelligence dans le cerveau. Il n'y en a pas. Beaucoup de gens pensent: «Eh bien, je suis vraiment intelligent. Mon cerveau est intelligent. Il y a des produits chimiques et de l'électricité, ainsi que beaucoup de tissus, du sang et de la matière visqueuse. Mais il n’y a pas d’intelligence dans votre cerveau. Mais je dévie. Revenons au rêve.

 

Il y a ce rêve de connaissance. C’est la connaissance qui vous fait traverser, vous fait sortir des limites de l’esprit (mental). Et tout ce que vous avez à faire, c’est de permettre que cette connaissance vous prenne, vous prenne par la main. Mais arrêtez de penser.

 

Permettez ce rêve de connaissance - qui a été vraiment le meilleur guide que vous ayez jamais eu – permettez-lui de continuer à vous guider maintenant au-delà de votre esprit (votre mental).

 

Ne pensez pas cela. C’est votre connaissance. C’est votre Gnost. Gnost signifie Connaissance.

Permettez-lui de vous mener au-delà de l'esprit (du mental), et pendant qu’il le fait, rappelez-vous à quoi sert la partie humaine de vous. C’est pour le nouveau. C’est pour une nouvelle expérience.

 

Dans l'esprit (le mental), vous avez en quelque sorte oublié cela. Dans l'esprit (le mental), vous êtes devenus très modelés. En passant, tous ces modèles/ schémas, toutes ces limitations, ne sont pas dans le cerveau. Ils font partie de cette conscience limitée.

 

Maintenant, si vous le voulez bien, permettez simplement cette connaissance, votre connaissance, permettez-lui de vous sortir des bandeaux. Permettez-lui de vous guider au-delà de l'esprit (du mental).

 

(pause)

 

Et rappelez-vous que pour tout ce que vous faites, y compris l'esprit (le mental) et le contrôle, les bandeaux de tête - tout ce que vous avez choisi- vous pouvez aussi en sortir. C’est comme mon cristal, mon histoire du cristal. Je me suis mis dedans. Il m'a fallu beaucoup de temps pour réaliser que si j’avais pu y entrer, je pourrais aussi en sortir. Avec cette prise de conscience et un simple pas, j'étais sorti.

Nous arrivons maintenant au temps, chers amis, du nouveau. C’est un peu effrayant pour l’humain qui a été dans l’institution. Vous savez, quand un prisonnier est incarcéré depuis longtemps, 30 ou 40 ans, et que soudainement, ils le libèrent, c'est effrayant. Même s’ils ont rêvé de liberté, c’est effrayant. Ils ne sont pas habitués et, en réalité, beaucoup d’entre eux, plus de 75% finissent par retourner en prison. Pas parce que ce sont de mauvaises personnes; parce qu'ils ne peuvent pas faire face au nouveau. Ils étaient habitués à être en prison, alors ils trouvent un moyen d’y retourner.

 

Nous entrons dans le nouveau, mais c’est ce que l’humain fait tellement bien.

 

Nous allons au-delà de l'esprit (du mental) et au-delà des limites. Nous allons dans ce que d’autres pourraient penser être fou. Nous entrons dans le nouveau.

 

(pause)

 

C’est une expérience, et la connaissance, le Gnost vous demande simplement de l’embrasser.

 

C’est un peu difficile pour l’humain qui est dans cette prison depuis longtemps de savoir que nous allons en sortir. L’humain est un peu inquiet: «Comment est-ce là-dehors? Ça fait un bail. Est-ce que les gardes de la prison vont essayer de me pourchasser, de me faire rentrer? Qu'est-ce qui va se passer? Est-ce que je vais devenir fou?

 

Mais je vous demande maintenant, de simplement de prendre la main de votre connaissance, de votre Gnost - comme l’a appelé Tobias, la quatrième patte du tabouret - et d’embrasser ce nouveau qui arrive dans votre vie.

 

Oui, nous allons entrer dans le corps de lumière. Oui, nous allons entrer dans toutes sortes de choses qui vous raviront en tant que Maîtres incarnés sur cette planète. Mais pour le moment, allons au-delà des limites de l’esprit (du mental).

 

Au fait, cette expérience que j’ai mentionnée lors de notre dernier rassemblement, les 45 à 60 jours, consiste à vous préparer, à vous préparer à marcher au-delà de l’esprit (du mental). L'esprit (Le mental) sera toujours là. Il existera toujours, mais vous aurez une relation totalement différente avec lui. Vous allez vraiment l’apprécier, une fois que vous serez à l'extérieur.

 

Toutes les énergies sont prêtes à vous laisser partir. C’est ce qui se passe et vous aurez peut-être encore deux semaines, un mois de désorientation mentale. Mais tout est question de sortir.

 

Alors, s'il vous plaît, maintenant, si vous le voulez bien, suivez simplement votre connaissance hors des limites de l'esprit (du mental) et suivez-la dans votre vraie conscience.

 

(pause)

 

L'esprit (Le mental) n'est qu'une toute petite facette de votre conscience.

 

(pause)

 

Suivez la connaissance dans ce que certains appelleraient l'au-delà. "Au-delà" implique, oh, que c'est ailleurs et ce n’est pas le cas. C'est juste ici.

 

Ne tentez rien d’autre. Ne pensez pas ça. Ne faites pas d’exercices ou de cérémonies étranges, parce que vous serez de retour à l'intérieur (du mental). Il vous aura, l’esprit (le mental).

 

Il suffit de prendre la Connaissance, le Gnost, par la main et de marcher droit dehors, de sortir.

 

(pause)

Alors, chers humains, préparez-vous pour quelque chose de nouveau. C’est ce que vous faites tellement bien, vraiment, vraiment, très bien. Vous faites du nouveau et de l'expérience. Pas le Maître. Le Maître ne fait rien de nouveau. Il suffit de faire ce que vous avez fait et de l'amener à la sagesse. Le Je Suis ne peut qu'imaginer ou rêver de nouveau, mais vous, l'humain, vous pouvez vraiment le faire.

 

Prenons une bonne respiration profonde ici dans la beauté de cette journée.

 

Souvenez-vous aussi que maintenant ces bandeaux commencent à se détacher, rappelez-vous qu'il y avait une beauté en eux. Il y en avait vraiment une. Ce n'était pas une erreur. Vous allez l'apprécier très profondément en restant sur cette planète en tant que Maîtres incarnés. Tout est une question de souveraineté.

 

 

Prenons une grande respiration profonde ensemble.

 

Et pour en revenir à ma déclaration liminaire/d'ouverture d’aujourd’hui, vous êtes fous jusqu'à ce que vous ne le soyez  plus.

 

 (la musique se termine)

 

Sur ce, mes chers amis, rappelez-vous que tout est bien dans toute la création.

 

Merci (applaudissements du public).

 

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