SHOUD 10 - Série ALT- Adamus Saint Germain, canalisé par Geoffrey Hoppe, le 1er Juillet 2023
ADAMUS SAINT GERMAIN
LES MATERIAUX DU CRIMSON CIRCLE
Série: ALT
SHOUD 10
Adamus Saint Germain, canalisé par Geoffrey Hoppe, assisté par Linda Hoppe,
Présenté au Crimson Circle le 1er Juillet 2023
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NOTE IMPORTANTE: Ces informations ne vous concernent probablement pas, à moins que vous ne preniez l'entière responsabilité de votre vie et de vos créations.
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Pour profiter pleinement de toutes les énergies, Vous pouvez visionner en Anglais, la vidéo du SHOUD 10 Ici ou simplement l’écouter, tout en lisant l’Interprétation ci-dessous.
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Respiration d’Introduction de Linda
Bienvenue. Nous sommes ici au Centre de Connexion Du Crimson Circle, à Louisville dans le Colorado.
Et ceci, (le chapeau) c’est pour la célébration du Jour de L’Indépendance.
Alors, quoi qu’il en soit, Geoff se prépare pour Adamus.
Ceci est le Shoud numéro dix de la série Alt et…
Sommes-nous prêts pour Adamus ? (Le public dit:"ouais").
Nous avons un public très joyeux aujourd’hui.
Et je pense que cette joie va probablement me gagner, et que je vais vraiment gagner en confort malgré chaque guerre.
Prenez un souffle de vie conscient.
Prenez une bonne respiration profonde.
Respirez pour vous
Permettez le flux
Laissez votre Soi s'ouvrir aux vieux potentiels
Respirez, respirez profondément
C'est un souffle pour permettre
Prenez un temps, un temps pour respirer et un temps pour permettre
Et un souffle pour recevoir
Prenez la bonne respiration profonde
Pour vous ouvrir à ces potentiels pour vous.
Respirez, Adamus est là.
Respirez. Sentez le flux circuler facilement à chaque respiration.
Respirez. Et restez avec la bonne respiration profonde.
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ADAMUS SAINT GERMAIN
Je Suis ce que Je Suis, Adamus du Domaine Souverain.
Bienvenue à tous. Bienvenue au 10e Shoud de la série ALT. Bienvenue à tous.
Normalement, je ne suis pas un grand fan de la musique contemporaine sur cette planète.
Je viens d’un milieu plus classique. J’ai écrit pas mal de compositions et je pouvais vraiment jouer à un niveau expert sur cinq ou six instruments différents (quelques rires).
LINDA : Au moins.
ADAMUS : C’était au niveau expert –et beaucoup, beaucoup d’autres au niveau presque expert.
LINDA : Bien sûr.
ADAMUS : Quand j’ai commencé à travailler avec les Shaumbra et que j’entendais la musique entrer et que je l’écoutais, je n’aimais pas tellement ça. Je l’ai bien fait savoir à Cauldre. Mais c’est finalement lui qui la choisit, avec le reste du personnel du Crimson Circle. J’ai simplement dit : « Que diriez-vous d’un peu de musique classique, hein ? Ne serait-ce pas sympa ? Ouvrez avec de la bonne musique classique. » Quelques personnes âgées ici disent oui (quelques rires). Mais j’apprends en fait à l’apprécier davantage, comme la chanson qui vient d’être jouée. Elle s’appelle « Diamonds », briller comme un diamant.
Quand j’ai entendu cela l’autre jour, alors qu’ils préparaient la musique pour ma grande entrée, j’ai pensé : « Eh bien, maintenant, j’aime ça. » Et je me suis retrouvé – j’étais assis au Club des Maîtres Ascensionnés, et je me suis retrouvé, assis dans mon grand fauteuil près de la cheminée, en train de taper du pied sur la musique (quelques rires). J’étais émerveillé. Oui, nous avons des pieds au – vous savez, nous les Maîtres Ascensionnés, avons été humains. Et j’ai écouté un peu les paroles et « Briller comme un diamant ». C’est ce que vous faites ! Et au fur et à mesure que j’écoutais – c’est assez bruyant par moments, je pense que j’aurais fait l’orchestration un peu différemment – mais il y a une telle passion. À travers les yeux de Cauldre, je regardais la vidéo que vous avez vue au début de ceci, je la regardais et il y avait une telle passion de la part de la chanteuse. J’ai oublié son nom, mais une telle – Rihanna, oui – une telle passion.
J’écoute de plus en plus de musique humaine avec cet œil et cette oreille. Il ne s’agit pas seulement d’une composition classique exquise maintenant, mais d’êtres humains qui expriment leur voyage. Il y a encore des choses que je ne comprends pas. Le hip-hop. Pourquoi quelqu’un appellerait-il sa musique ainsi ? J’aurais été expulsé d’Europe si j’avais fait ça (quelques rires). Le hip hop. La Country western. En fait, j’aime bien une partie de cette musique, mais il y a un peu trop de caravanes et un peu trop de tornades pour moi (plus de rires). Alors, je passe mon tour. Mais j’apprends vraiment à en apprécier certaines.
En fait, nous avons eu une réunion, il y a quelques jours au Club des Maîtres Ascensionnés. J’ai réuni mes pairs qui vont faire partie de cette Lumière de Merlin. J’ai fait appel à Merlin. J’ai fait appel, bien sûr, à Kuthumi. J’ai fait appel à St Germain, qui est vraiment moi, donc c’était redondant. Mais cela a fonctionné.
J’ai fait appel à ce cher Kuthumi, puis à Gaïa. Gaia. Elle est ici aujourd’hui. Je l’ai invitée à la conférence, puis elle est revenue plus tard et a dit : « Eh bien, parlez-moi un peu plus de ces Shaumbra. » Et j’ai dit : «Eh bien, je vais vous dire, venez simplement au rassemblement d’aujourd’hui. Prenez un siège ou une souche ou quoi que ce soit d’autre » (quelques rires) – asseyez-vous sur des arbres – « prenez, je ne sais pas, prenez une fleur. Entrez et ressentez les Shaumbra.
Je lui ai parlé un peu de vous. J’ai dit : « C’est vraiment un groupe de rebelles. Ce n’est pas le groupe typique de Gaia, si vous voyez ce que je veux dire. Nous n’allons pas sortir ramasser des noix et sentir les roses. Ce groupe aime boire. Et j’ai dit : « Mais c’est un peu comme Gaïa, vous savez, parce que, eh bien, le vin vient du raisin. » Cela fait partie de votre surveillance des vignobles. Donc, oui, ils sont un peu comme Gaia. Mais ce n’est pas un groupe typique». Elle est donc ici aujourd’hui. S’il vous plaît, respirez profondément. Sentez et accueillez les énergies de Gaïa dans notre rassemblement. Espérons qu’à la fin de cette journée, elle voudra toujours faire partie de la conférence Merlin (Linda rit), mais on ne sait jamais.
Nous avons commencé à parler de musique, et Gaia a été la première à dire : « Oh, non. La musique humaine est ancrée dans la réalité. Elle est très réelle. Les humains chantent maintenant avec leur cœur.» Il ne s’agit pas seulement de jouer pour l’oreille, comme nous avions l’habitude de le faire dans nos compositions il y a des centaines d’années.
Nous avions l’habitude de jouer pour l’oreille, pour, je suppose que vous pourriez appeler cela, l’influence vibratoire. « Mais les humains maintenant, a déclaré Gaia, les humains, jouent avec leur cœur, et leur musique est si pleine d’âme.» J’ai donc écouté avec une oreille différente et j’ai un peu atténué mon arrogance.
ADAMUS : J’ai dit un peu (le public rit). Je n’ai pas dit que je l’avais éteinte. Je l’ai atténuée et je commence à apprécier certaines musiques. Je suis donc curieux de voir ce que nous allons tous proposer pour notre conférence Merlin cette année.
LINDA : Oh, bon sang.
Ouais. Mais en écoutant cette chanson, elle m’a fait penser à vous, les paroles, « Briller comme un diamant. » C’est ce que vous faites – briller de mille feux – et nous allons parler aujourd’hui de la lumière, de l’effet de la lumière. C’est en quelque sorte notre discussion continue sur la métaphysique, mais je veux que vous ressentiez juste un instant que cette chanson parle de vous. Pas une chanson d’amour pour quelqu’un d’autre, mais cette chanson parle de vous, brillant comme un diamant – j’adore les diamants, d’ailleurs, les cristaux – brillant comme un diamant.
(pause)
En l’écoutant et en ressentant la passion de la chanteuse, j’ai réalisé que c’est pour cela que vous êtes venus ici, pour briller comme des diamants, comme des cristaux; pour faire briller votre lumière. C’est exactement ce pourquoi vous êtes ici, et c’est pourquoi j’ai accepté avec Cauldre que cette chanson soit jouée. Ce n’est pas ma norme, mais j’ai trouvé que c’était très approprié pour ce groupe. Briller de tous ses feux comme un diamant.
Pour ce qui est de briller comme un diamant, eh bien, c’est ce que vous êtes venus faire ici, et c’est ce pour quoi vous êtes plutôt bons. Mais il y a encore des obstacles à franchir /des superpositions. Ne pas la laisser briller, la retenir. Savoir que l’on peut la faire briller, mais être encore un peu hésitants, prudents à ce sujet. Et si vous faisiez sauter les circuits de la planète à cause de toute votre lumière ?
Et si les autres vous remarquaient ? C’est une question difficile, n’est-ce pas ? Soudain, ils vous voient. Soudain, vous êtes révélés pour qui vous êtes vraiment, des êtres angéliques qui marchent sur cette planète, des êtres qui ont– beaucoup d’entre vous – fait beaucoup de travail dans le royaume, des êtres qui sont revenus ici à ce moment précis. Et s’ils vous voyaient ? Et s’ils vous submergeaient ? S’ils ne vous laissaient pas tranquilles ? Et s’ils vous faisaient le coup de Jésus ? (quelques rires ; quelqu’un dit « Jésus ! ») Jésus, oui.
Il y a donc toujours ce frein/ une sorte de retenue, et c’est tout à fait compréhensible. Mais je veux vous mettre au défi ce mois-ci, comme je vous ai mis au défi le mois dernier avec une chose différente. Et si vous laissiez votre lumière briller maintenant, ouvertement ? Et si vous la laissiez sortir, rayonner ?
Est-ce qu’ils la verront vraiment, est-ce qu’ils vous verront ? Certains d’entre eux, oui. Beaucoup d’entre eux, non. En d’autres termes, ils ne vont pas tous soudainement tomber sur vos traces. Ils ne vont pas tous vouloir des guérisons instantanées. C’est une mauvaise chose. Ils ne vont pas tous vouloir soutenir que la lumière est en réalité le démon, le diable.
Faire briller votre lumière, vous allez le découvrir, est tellement plus facile que ce que vous avez vécu avec votre propre corps ces derniers temps. Une grande partie de ce qui s’est passé depuis la Croix du Ciel affecte votre corps. C’est à d’autres niveaux, mais ce que vous remarquez vraiment en ce moment, surtout si vous vous retenez, c’est que cela fait mal au corps, n’est-ce pas ? Eh, ouais. Cela et quelques autres symptômes que vous pourriez rencontrer/ ressentir. Beaucoup d’entre vous ont de l’anxiété à un niveau que vous n’avez pas eu depuis un moment. Beaucoup d’entre vous ne l’ont même jamais vraiment eu, mais ils se sentent soudain anxieux. C’est en partie dû au fait que vous vous retenez. C’est en partie parce que vous savez que les choses vont vraiment s’accélérer et que des changements vont se produire.
Encore une fois, nous en reparlerons aujourd’hui. Mais cette anxiété, c’est presque comme si vous ne pouviez pas reprendre votre souffle. C’est comme si vous saviez que quelque chose allait se produire, mais que vous craignez ce qui pourrait arriver.
Je vais vous le dire tout de suite, et je sais que c’est facile à dire, mais il n’y a rien à craindre du tout. Il n’y a rien à craindre. Rien. Je sais que certains d’entre vous craignent de mourir, « Je vais mourir » ou « La planète va exploser » ou de devoir maintenir leurs limites pour ne pas perdre pied. Vous n’avez pas à vous inquiéter de cela. En ce moment, comme jamais auparavant, c’est vous et votre âme. C’est vous et votre sagesse.
Maintenant, la sagesse ne va pas permettre qu’il vous arrive quelque chose de nuisible pour vous. Elle ne vous laissera même pas faire quelque chose de mal, même si vous le vouliez. En fin de compte, en ce moment, il s’agit surtout de la nouvelle relation entre l’humain et l’âme.
Le niveau de confiance en vous, l’humain ; le niveau de confiance en votre Soi en fin de compte – mais pas votre petit moi humain, en votre Soi âme – et le fait de laisser cela entrer.
Alors, oui, vous êtes comme des diamants qui brillent, et il est vraiment temps de laisser cela sortir maintenant.
Cela va vous faciliter les choses, physiquement, surtout en ce moment.
Les Effets de la Lumière sur la Biologie
En ce moment, ce qui se passe, et la raison pour laquelle vous ressentez les réactions physiques de la Croix du Ciel, c’est que votre corps de lumière est juste là. Je veux dire, il est juste là. Il travaille/ fonctionne en ce moment en harmonie avec votre biologie. Votre biologie sait que son heure est venue. Pour l’ancienne biologie de la planète, c’est vraiment la fin.
La biologie humaine existe depuis longtemps, et elle ne va pas disparaître demain. Mais cela change/ elle évolue rapidement à beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup de niveaux différents. Certains vont passer par la voie de l’augmentation, des implants, éventuellement d’un corps artificiel total, que l’on pourrait qualifier d’artificiel– mais c’est un peu réel aussi – un corps artificiel total. Presque pas de biologie dedans. Et, oui, la conscience peut s’infuser dans un être robotique. Eh bien, bon sang, vous l’avez fait pour le carbone. Pourquoi ne pas le faire en robotique ? C’est tout à fait faisable/ tout à fait possible. Je ne dis pas que c’est la voie à suivre, mais c’est la voie que prennent les choses sur cette planète.
L’époque de la vieille biologie, en particulier une biologie que vous ne compreniez pas vraiment –très, très complexe –est en train de disparaître. Pour vous, il ne s’agit pas d’augmentation, de robotique, d’implants ou de quelque chose comme ça. Il s’agit du corps de lumière. Le corps de lumière est juste ici. C’est pourquoi vous ressentez tant de choses dans votre corps. C’est pourquoi vous avez des réactions, que vous attrapiez une très grave pneumonie, que vous soyez – certains d’entre vous ont eu la malheureuse situation de devenir septique et quelques autres choses – c’est parce que ce vieux corps humain est en train de se purger en ce moment et qu’il subit d’énormes changements, amenant le corps de lumière. Et cela se produit à des niveaux profonds, mais vous commencez aussi à le sentir à la surface. Tout cela se passe en ce moment même.
C’est une chose merveilleuse. Vous devriez sourire. Tout le monde ici assis dans le public est : « Ohhhh ! (quelqu’un crie « Yeah ! ») Je veux revenir au bon vieux temps ! » (Adamus rit) Non, vous avez demandé cela, désolé. Ce train a quitté la gare.
Mais prenez un instant. Prenez un moment pour sentir ce corps de lumière. Il n’est pas là dehors; il est juste ici. Il s’agit d’apprendre à entrer en relation avec votre biologie. Au départ, votre biologie ne s’intéressait pas particulièrement à lui. Votre biologie est une sorte de système en boucle fermée, qui n’aime pas les éléments étrangers, à l’exception du sexe (quelques rires). Vous savez, c’est vraiment un système en boucle fermée. Elle n’aime rien en elle, et elle l’attaque quand cela se présente. Et vous êtes ici, en ce moment même, en train d’intégrer ce corps de lumière ou d’entrer en relation avec lui. C’est très simple. Ce n’est pas une chose complexe. C’est sa propre unité. Il n’a pas besoin d’un grand réseau.
Votre corps physique, sentez-le un instant. C’est un énorme réseau. Je veux dire, énorme, et son heure est venue. Son heure est vraiment venue. Et j’entends les questions maintenant, alors nous ferons une toute nouvelle session là-dessus très bientôt, dès que vous aurez du temps dans votre emploi du temps, chers Linda et Cauldre.
LINDA : Ouais, ouais ! Merci. Bien sûr, tout de suite !
ADAMUS : Dans toute cette transition, qu’arrive-t-il à la biologie ? Que lui arrive-t-il ? Eh bien, je vais vous donner un indice, elle meurt. Non, c’est le cas (Adamus rit). Il y a des rires ! Non, la biologie meurt, mais vous pouvez toujours être présent. Disons que si vous deviez revenir pour une autre vie – je ne pense pas que beaucoup d’entre vous le fassent- mais si c’était le cas – vous pourriez commencer avec un être biologique, un corps biologique, mais ensuite il se transformerait en un corps de lumière complet. Et vous avez beaucoup d’attributs physiques, mais ce n’est vraiment pas le cas. Ou, une autre façon de le dire, après avoir quitté la planète, laissé ce corps de biologie physique derrière vous, c’est ce que vous aurez à l’avenir. Vous êtes un corps de lumière, vous n’êtes plus un réseau. C’est l’unité. Mais vous pouvez faire apparaître tous les attributs physiques que vous voulez, quand vous le voulez, si vous le voulez. C’est donc un changement énorme.
Lorsque nous avons eu notre discussion l’autre jour, c’était un peu comme une réunion de préparation pour Light of the Merlin (La lumière de Merlin) pour savoir qui allait parler de quoi et pour les orienter sur les choses à dire, en particulier à mon sujet (quelques rires).
Nous parlions des changements rapides qui se produisent sur la planète, et Gaïa a dit : « Pensez-vous que votre groupe, ce groupe de Shaumbra, comprend la rapidité avec laquelle les choses changent ? »
J’ai répondu : « Nan », en fait, je ne sais pas. Dans une certaine mesure, nous en parlons. Mais, j’ai dit : « Gaia, le problème, c’est qu’ils veulent que ça aille plus vite. C’est ça le problème » (plus de rires). « Oh, cher seigneur, » a-t-elle dit. Elle m’a dit : «Ça va tellement vite en ce moment, que je n’arrive pas à suivre– les changements sur la planète, les espèces qui disparaissent et les nouvelles qui apparaissent. Ce n’est pas du tout une mauvaise chose. C’est l’évolution de la planète. Et Gaia a essentiellement dit : « Eh bien, que devraient-ils faire ? »
Et j’ai répondu : « Eh bien, c’est un paradoxe, parce qu’à un moment donné, les Shaumbra ont dit : « Je veux que ça aille plus vite, ça va trop lentement », et l’instant d’après, quand nous accélérons un peu, ils pleurent. Ils sont à terre. Ils sont comme : « Ohhh ! Qu’est-ce qui m’arrive ?! »
Donc, elle va avoir des choses intéressantes à dire sur le départ. Pas ses derniers mots, mais pourquoi elle part et comment elle part et comment les humains le prennent. J’attends cela avec impatience. Mais revenons à nos moutons.
Respirez profondément. Vous brillez vraiment comme des diamants en ce moment. Mais laissez-la sortir. Vous vous sentirez beaucoup mieux lorsque vous respirerez et que vous la laisserez s’échapper. Laissez-la s’ouvrir.
Effets de Lumière Visibles
En parlant du ciel, je vais faire une prédiction. Je – heh !– ne devrais jamais faire de prédictions avec ce groupe, mais je vais en faire une. C’est basé sur le fait d’aller un peu dans le futur, je vais dire peut-être au début de l’automne, jusqu’à la fin de l’automne et peut-être un peu plus tard, et je ne sais pas exactement ce qui va se passer. Personne ne le sait. Personne ne le sait. Tout lecteur ou médium, tout être angélique ne sait pas exactement ce qui va se passer, car ce ne sont que des potentiels. Maintenant, il y en a certains qui sont plus évidents que d’autres, et donc je fais cette prédiction en me basant sur des faits évidents.
Deux ou trois choses. Il y a beaucoup plus de lumière sur la planète aujourd’hui qu’il y a trois mois. C’est un fait assez évident. Il y a beaucoup plus de lumière, beaucoup plus de conscience sur la planète. Il y a énormément de changements en cours en ce moment, en particulier en ce qui concerne la planète, Gaïa, la nature. Les choses évoluent très, très, très rapidement en ce moment, et ce n’est pas une mauvaise chose. Les humains sont pris dans le jeu du blâme et tout le reste. Oui, il y a certaines choses qui doivent être corrigées, mais pour l’essentiel, les humains y travaillent.
Gaïa est en train de changer en ce moment. La façon dont la lumière entre sur cette planète a changé depuis Heaven’s Cross (la Croix du Ciel). La façon dont la lumière entre est différente. Et vous avez d’autres facteurs comme l’environnement qui ont à voir avec, encore une fois, tous ces incendies qui se produisent, envoyant de la fumée dans l’atmosphère. Vous combinez tous ces facteurs et en particulier avec votre lumière venant de cette planète, vous allez voir des spectacles atmosphériques étonnants dans les mois à venir. En particulier, dans l’hémisphère nord, à l’époque où il fait plus froid et plus chaud, le niveau d’humidité, la pollution naturelle dans l’air et celle causée par l’homme, et votre lumière qui entre en jeu. Il y aura d’incroyables spectacles de lumières atmosphériques, un bon potentiel. Et, bien sûr, vous savez ce qui va se passer. Tout le monde va avoir ses théories et ses opinions, et il y aura ceux qui diront que ce sont les extraterrestres. Non, ce n’est pas ça. C’est vous.
Votre lumière brille, se réfractant d’une manière différente. Et vous êtes ici sur la planète et cette lumière brille et frappe une atmosphère qui est différente maintenant pour de nombreuses raisons, tout, de la fumée au Canada – merci, les Canadiens – au… (quelques rires) Je plaisante, hein ? (plus de rires) – – à l’évolution des températures sur la planète. Si l’on combine tous ces facteurs, l’humidité et tout le reste, on obtient soudain des jeux de lumière extraordinaires.
Que vont dire les gens ? Une personne typique. D’un côté, on dira qu’il s’agit d’extraterrestres et qu’ils viennent ici dans leurs vaisseaux spatiaux, de l’autre, on dira que : « c’est parce que nous détruisons notre planète à cause de toutes les mauvaises choses que nous lui avons fait subir et cela signale la fin. » Vous allez tout avoir. On vous dira tout et n’importe quoi. Mais je veux que vous sachiez dès maintenant que lorsque cela se produit, c’est simplement votre lumière qui brille/ qui rayonne dans l’atmosphère.
C’est une sorte d’agroglyphe inversé (quelques rires). Non, c’est ça. Les crop circles, ils venaient de l’Ordre de l’Arc. Ils n’étaient pas nécessairement délibérés. Ce n’est pas comme s’ils étaient assis là-haut à l’Ordre de l’Arc avec un gros laser : « Très bien, prenez le champ du fermier Jones là-bas et zappez et faites un super gros crop circle. » Il s’agissait simplement d’une réflexion des énergies, de la lumière, de l’Ordre de l’Arc sur la planète, qui a touché certains endroits – en fonction de la composition du sol, de la météo, de la température et de tout le reste – et qui a créé des agroglyphes/ des crop circles.
Vous remarquerez maintenant qu’il n’y a plus autant d’agroglyphes /de crop circles qu’avant. Il y a beaucoup de crop circles canulars, mais les agroglyphes/ les crop circles sont bien réels. Ils étaient simplement un peu comme un dessin venant de l’Ordre de l’Arc, de beaux dessins symboliques. Et puis les humains ont commencé à les copier et ont tout gâché. Mais vous n’aurez plus autant d’authentiques crop circles qu’auparavant, parce que l’Ordre de l’Arc a en quelque sorte fermé ses portes.
Il y aura une sorte de contrecoup/ de séquelle. Quelques agroglyphes /crop circles ici et là, mais vous allez commencer à voir des diamants dans le ciel, des lumières dans le ciel, de très beaux motifs lumineux inhabituels dans le ciel. Pas la variété des aurores boréales, mais quelque chose de tout à fait différent. Et si cela se produit, ce dont je suis presque sûr – Cauldre me dit de me taire (quelques rires), Je suis à peu près sûr que ce sera le cas – vous l’aurez entendu ici en premier. C’est vous. Cela vient de la lumière, du nouveau niveau de lumière sur la planète en ce moment.
Prenons donc une profonde respiration et, une fois de plus, sentez-vous dans votre corps de lumière. Votre corps de lumière. Il change la biologie. Il la change complètement.
Recevoir
Ok. Commençons (Linda rit). Quoi ? Je n’en suis qu’à 15 minutes (Linda continue de rire). Nous pourrions commencer dans 30 minutes, alors nous pouvons commencer. Parlons de recevoir. Je vais demander à Linda de prendre le micro et elle va s’adresser à ce public de volontaires.
C’est une chose énorme. Il ne s’agit pas seulement d’une belle formule du genre « Oh, recevons tous maintenant ». C’est la métaphysique dans ce qu’elle a de meilleur, dans ce qu’elle a de plus grand en ce moment. Recevoir. Nous venons de faire une Master’s Pause (une Pause du Maître) – qui était géniale/ brillante, soit dit en passant – une Master’s Pause sur le fait de recevoir (ici). C’est l’occasion de s’asseoir, d’écouter de la musique, de m’écouter parler de recevoir.
Vous n’êtes pas très doués pour recevoir. Vous ne l’avez jamais été jusqu’à présent. Non, vous ne l’êtes pas. Je veux dire, ce n’est pas que je donne des notes ici, mais vous obtenez environ un C- à recevoir. Non, un D, D+. Vous n’êtes pas vraiment doués pour recevoir. Vous êtes doués pour donner votre énergie. Vous êtes doués pour vous épuiser et, vous savez, bla, bla, bla. Mais recevoir ? Non.
C’est une chose énorme, et il ne s’agit pas seulement d’essayer d’équilibrer le fait d’être gentil avec les autres, et le fait qu’ils soient gentils avec vous. Il s’agit d’une physique, d’une métaphysique, de recevoir.
Pouvez-vous réellement recevoir votre propre énergie ? C’est cela. Il y a eu l’idée fausse, que le fait de recevoir consiste à prendre l’énergie de cette grande conscience de masse et que vous prenez plus que ce que vous méritez et tout le reste.
Êtes-vous prêt à recevoir votre propre énergie, à l’intégrer à votre être ? C’est de cela qu’il s’agit. Cela va à l’encontre de l’esprit/du mental de beaucoup d’entre vous. Vous êtes des donneurs. Vous donnez toujours. Vous êtes si nombreux à vous occuper d’autrui pendant des vies entières, et vous ne pensez à vous qu’au dernier moment, presque quand il est trop tard, quand vous êtes malade, que vous devenez fous ou que vous êtes fauchés. Vous vivez dans votre voiture. Non, ils ont pris la voiture. Vous vivez dans la rue.
C’est un changement énorme. C’est un énorme changement physique pour la planète qui est lié à tous les autres changements qui se produisent. Les changements dans la biologie, les changements dans la conscience, dans le pouvoir et tout le reste. On vous demande maintenant de recevoir. De recevoir.
J’ai commencé à en parler lors du dernier Shoud. Nous en avons parlé lors d’autres rassemblements. Mais il s’agit simplement d’accepter votre propre énergie et de recevoir.
Et de ne pas poser de questions. De ne pas se prendre la tête. De ne pas réfléchir à la quantité à recevoir. Il suffit de recevoir. C’est tout. C’est votre énergie ! C’est aussi, quand vous entrez dans la vraie physique de celle-ci, c’est aussi reconnaître une fois pour toutes que c’est votre énergie. Ce n’est pas une chose extérieure. Il s’agit de recevoir. Recevoir est réellement très beau et très sensuel. Très sensuel.
Mais avant d’aller plus loin, Linda, avec le micro. La question est : comment s’est passé votre réception ce dernier mois, votre réception personnelle? Linda, s’il vous plaît. Avez-vous été un bon receveur ? Vous êtes-vous permis de recevoir ?
Bonjour Vince.
VINCE : Non.
ADAMUS : Non. Non. Ok. Merci (Adamus rit). Expliquez un peu. Pourquoi pas, Vince ?
VINCE : Je suis trop occupé à faire.
ADAMUS : Vous êtes trop occupé à faire. Ok. Non, c’est une bonne réponse de Shaumbra. Trop occupé à faire. Avez-vous pensé à allouer un peu de temps pour simplement recevoir ?
VINCE : Je n’arrête pas d’en parler.
ADAMUS : Bien. Bon (Adamus rit). Mais vous ne le faites pas.
VINCE : Le mettre en action, c’est…
ADAMUS : À quel point est-ce difficile ?
VINCE : (pause) C’est manifestement difficile, parce que je ne le fais pas (ils rient).
ADAMUS : Qu’est-ce qu’il faudrait ? Qu’est-ce qu’il faudrait pour que vous fassiez un peu de réception? Que diriez-vous d’un merabh à la fin de la journée, cela fonctionnerait-il ? Pourrais-je vous offrir personnellement le « Je reçois » et vous demander de l’écouter ?
VINCE : Ce serait magnifique.
ADAMUS : Bien. Je le ferai personnellement. S’il vous plaît, notez-le ici. Un « Je reçois» pour Vince. Oui. Est-ce que cela vous permettrait de recevoir un peu ?
VINCE : Je l’espère.
ADAMUS : Moi aussi. Ouais. Bien. Ok. Eh bien, pourriez-vous nous faire un rapport le mois prochain ?
VINCE : Avec plaisir.
ADAMUS : Bien. Je vous remercie. Recevoir. Allez voir Kerri. Elle est assise juste à côté de lui. Linda, allez voir Kerri. Kerri.
LINDA : Non.
ADAMUS : Oui.
LINDA : Non !
KERRI : Oui.
ADAMUS : Oui.
LINDA : Ah !
KERRI : Pourquoi, Linda ?
LINDA : Elle fait mon travail maintenant.
KERRI : Parfois, elle m’aime.
ADAMUS : Recevoir.
KERRI : Oui, Adamus ?
ADAMUS : Alors, pourrais-je faire une petite configuration ici ?
KERRI : S’il vous plaît.
ADAMUS : Vous traversez une période tumultueuse en ce moment, n’est-ce pas ?
KERRI : Pbbbtt ! Pourquoi étaler mon linge sale en ce moment ?
ADAMUS : Eh bien, vous l’étalez…
KERRI : D’accord, oui !
ADAMUS : Vous le diffusez tout le temps de toute façon, alors autant le faire ici ! (Elle tend son majeur et quelques rires) Donc, recevoir.
KERRI : Ouais.
ADAMUS : Êtes-vous prête…
KERRI : C’était mon doigt cassé.
ADAMUS : Êtes-vous prête pour cela ?
KERRI : Je n’avais pas l’intention de faire ça.
ADAMUS : Êtes-vous prête ?
KERRI : Ok, je suis prête.
ADAMUS : Ok.
KERRI : Faisons ça.
ADAMUS : Non, c’est difficile pour vous, et c’est pourquoi je voulais vous mettre au micro.
KERRI : Mais j’en parle tout le temps dans ma tête.
ADAMUS : Je le sais. Mais c’est difficile, Kerri. Qu’est-ce qui vous retient ?
KERRI : Je pense que je ne faisais assez l’amour. J’en suis arrivée à cette conclusion.
ADAMUS : Bien. Donc, vous ne recevez pas. Ça c’est sûr.
KERRI : Pas moi.
ADAMUS : Ok (rires).
KERRI : Zéro, zip, nada !
ADAMUS : Oh, non, cela fait partie du…
KERRI : Sauf pour moi-même, cependant. Je recevais des choses de moi-même.
ADAMUS : Cela fait partie du gâteau ici, c’est que recevoir, c’est, vous savez, vous ne le faites pas sur le plan physique, sensuel, sexuel. Vous traitez le fait de recevoir comme si vous n’en valiez pas la peine (elle soupire). Vous devez redresser toutes ces autres choses dans votre vie avant de pouvoir recevoir. Pourquoi ? Vous êtes un peu comme dans une énigme en ce moment, n’est-ce pas ?
KERRI : Oui.
ADAMUS : D’accord. Vous êtes prête pour une grande réponse, un éclair à venir ?
KERRI : Luttons.
ADAMUS : C’est ça.
KERRI : Ok.
ADAMUS : Recevoir.
KERRI : Ok, je reçois tout de suite.
ADAMUS : Pourquoi pas, Kerri ? Pourquoi ne le faites-vous pas? Je peux le voir, je vous observe. Vous êtes sur ma liste spéciale. Je vous observe tout le temps (quelques rires).
KERRI : C’est flippant (plus de rires). C’est vraiment flippant !
ADAMUS : Tout ce que vous avez à faire, c’est recevoir, mais vous vous battez. Pourquoi vous battez-vous ?
KERRI : Parce que je suis une guerrière, Adamus.
ADAMUS : Ok. Mais laissez tomber, alors, ok ?
KERRI : J’essaie ! Je veux dire, je jette cette épée. Je la mets dans un feu– ok? – sur mon Angel’s Peak (mon Pic d’Ange).
ADAMUS : Kerri, vous prenez cette épée, vous la jetez au feu ou à la poubelle ou quoi que ce soit, et vous allez dans le placard et il y en a 800 de plus (rires)
KERRI : Je ne les y ai pas mises –aidez-moi, ok ? Vous vous en prenez à moi et il n’y a pas de solution. Comme je ne dis pas : « Je reçois ! » en conduisant la voiture.
ADAMUS : Kerri, nous allons faire un merabh aujourd’hui.
KERRI : Oh, ce sera la réponse.
ADAMUS : Et je veux que vous vous asseyiez ici. Ne restez pas dehors. Je veux que vous vous asseyiez ici et que vous le fassiez. Et puis – et …
KERRI : Vous faire un rapport ?
ADAMUS : … apprenez à recevoir.
KERRI : Ok.
ADAMUS : Apprenez à recevoir, ok?
KERRI : Oui, je le ferai.
ADAMUS : Et ensuite, faites votre rapport. Vous et Vince, le mois prochain, au premier plan.
KERRI : Ok, je le ferai.
ADAMUS : Ok.
KERRI : Merci.
ADAMUS : Linda, c’est à vous de jouer.
KERRI : Vous voyez, j’ai été sage.
ADAMUS : Elle m’a payé dix dollars pour que je l’appelle (plus de rires).
KERRI : Vous voulez votre café ? J’espère que je n’ai pas craché dedans (Adamus rit et le public dit « Ooh !! »).
ADAMUS : Allez-y, n’importe qui.
LINDA : Quelqu’un ?
ADAMUS : N’importe qui. Comment est votre réception ?
LINDA : Ok. Que diriez-vous …
ADAMUS : Comment recevez-vous ? Salut, Nancy (Linda rit). Comment allez-vous ?
NANCY : Mieux.
ADAMUS : Mieux que… ?
NANCY : Il y a quelques mois.
ADAMUS : Ok. Super. Physiquement ? Mentalement ?
NANCY : Physiquement.
ADAMUS : Ok. Bien. Comment se passe la réception ?
NANCY : Un peu moins bien.
ADAMUS : Pourquoi ? ! Qu’est-ce qui ne va pas ? Je veux dire, est-ce que la réception est…
NANCY : Je ne sais pas.
ADAMUS : … si difficile ?
NANCY : Je ne sais pas.
ADAMUS : Qu’aimeriez-vous recevoir en ce moment ?
NANCY : Tout.
ADAMUS : Oh, bien (Adamus rit). Eh bien, cela réduit le champ d’action. Mais pourquoi cette retenue ? Vous avez entendu les mots. Nous en avons parlé le mois dernier. Nous en avons parlé à Keahak. Et je fais cela pour le bien de tout le monde. Vous êtes tous à peu près dans le même bateau, et ce bateau a un gros trou dedans (Adamus rit à nouveau). Et si vous receviez, un nouveau bateau arriverait, vous savez ? C’est comme ça que ça marche. Mais quelle est la retenue/ le problème ? Nous avons notre petite réunion, la réunion de Merlin, et nous disons : « Quelle est la retenue ? Tout est ici maintenant. Vous avez cette Nouvelle Lumière qui arrive. Vous avez cette grande physique. Pourquoi ? »
(Elle fait une pause)
ADAMUS : Ne dites pas ces mots.
NANCY : Je ne le ferai pas (elle rit).
ADAMUS : Vous irez dans la pièce du fond (ils rient). Vous attendez que quelqu’un d’autre le fasse ?
NANCY : (soupire) Je suppose que oui.
ADAMUS : Ne prononcez pas ces mots.
NANCY : Je ne dirai pas ces mots.
ADAMUS : C’est juste là. Dites : « Adamus, je n’ai pas encore réalisé. » Ok. Donc, encore une fois, vous allez être ici le mois prochain aussi (elle rit) et vous ferez un rapport, après que nous aurons fait le merabh. Et puis avez-vous également besoin d’un cadeau gratuit du « Je reçois » ?
NANCY : Eh bien, je ne…
ADAMUS : Oui, mettez-la sur la liste.
NANCY : … il faut que ce soit gratuit. Mais je …
ADAMUS : Eh, nous le donnerons gratuitement (Adamus rit). C’est juste pour que vous plongiez vraiment dedans. Recevoir, c’est si facile, genre « Ah ! Ok ! » Comme ça. Mais vous réfléchissez : « Que signifie recevoir ? Combien puis-je recevoir ? Et de qui est-ce que je le reçois ?
Est-ce que ça vient juste un peu et puis ça s’arrête ? Et puis ai-je une facture à payer ? Est-ce que je vais recevoir une facture pour tout ce que j’ai reçu ? » (Quelques rires) Je disais à Gaia : « Bon, j’adore ce groupe, mais ils sont à peu près aussi têtus qu’un chêne. » Elle a ri, « Un chêne » (plus de rires). Mais juste recevoir, ok?
NANCY : Ok.
ADAMUS : Ok. Ok, nous avons un je reçois gratuit qui vient à vous. Nous allons en donner beaucoup. Comment se passe votre réception ?
LINDA : Elle a reçu le micro, et elle n’était pas contente (quelques rires).
ADAMUS : Je m’en suis rendu compte immédiatement.
TAMERA : Mm. C’est bon.
ADAMUS : Bien. Qu’avez-vous reçu ?
TAMER : Moi.
ADAMUS : Bien. Comment suis-je ?
TAMERA : Merveilleux.
ADAMUS : Merveilleux. Ok.
TAMERA : Oui.
ADAMUS : Était-ce « Vous », vous ? Était-ce comme un Vous élargi ? Était-ce …
TAMERA : Je ne sais pas (Linda et le public halètent). Oh !
ADAMUS : (il attrape son cœur, faisant semblant de s’effondrer) C’est comme de la Kryptonite ! Ugh ! Nous allons laisser tomber.
TAMERA : Ok. Bien.
ADAMUS : À l’avenir, nous allons – s’il vous plaît, ayez un panneau pour le public du studio, « Numéro un, éteignez vos téléphones portables. Numéro deux, ne dites pas : « je ne sais pas ». Et nous l’afficherons juste là. Ok. Ouais, donc, votre réception est correcte ?
TAMERA : Oui.
ADAMUS : En termes de quoi, d’abondance ? De Bonheur ? De Joie ? De Perspicacité ? De Connaissance ?
TAMERA : D’Amour.
ADAMUS : D’Amour. De vous ?
TAMERA : Oui.
ADAMUS : Bien. Je peux vraiment le sentir.
TAMERA : Mais j’ai besoin d’abondance.
ADAMUS : Vous avez besoin d’abondance.
TAMERA : Oui.
ADAMUS : Eh bien, recevez-la.
TAMERA : Ok.
ADAMUS : Je veux dire, je simplifie à l’extrême, mais en fait je ne le fais pas. Il suffit de recevoir.
TAMERA : (chuchote) Ok.
ADAMUS : Alors, quelle est l’énigme ? Qu’est ce qui se passe avec vous ?
TAMERA : Eh bien, avant la Croix du Ciel – oh !
LINDA : (chuchote) Levez le micro.
TAMERA : Oh, désolée.
LINDA : (chuchote) Ok.
TAMERA : J’ai reçu quelque chose.
ADAMUS : Avant ?
TAMERA : Ouais.
ADAMUS : Ok. Quoi, du matériel ?
TAMERA : Non.
ADAMUS : Était-ce émotionnel ?
TAMERA : Non.
ADAMUS : Énergétique ?
TAMERA : Oui.
ADAMUS : Ok. Et puis, le problème ?
TAMERA : Il n’y a pas de problème. Je ne sais pas ce que j’ai reçu.
ADAMUS : Oh, ok.
TAMERA : Oui.
ADAMUS : Ok. C’est …
TAMERA : Je sais que j’ai reçu quelque chose.
ADAMUS : Ok. C’est une bonne question à soulever, parce que parfois vous recevez quelque chose et vous ne savez pas ce que c’est. Et c’est plutôt sympa. C’est comme avoir une surprise dans la boîte de Cracker Jack. Mais c’est là.
TAMERA : Oui.
ADAMUS : Ok. Et tout ce que vous avez à faire, c’est de permettre.
TAMERA : Je sais comment faire ça.
ADAMUS : Ok. Bien. Non, vous vous en sortez bien. Merci.
TAMERA : Merci.
ADAMUS : Kerri, revenez ici ! Kerry ! (Adamus rit) Ok. Quelques autres. Comment se passe votre réception ?
TANIA : Je suis reconnaissante de recevoir beaucoup de choses dans ma vie ces derniers temps.
ADAMUS : Bien. Bien.
TANIA : Depuis la dernière fois que je suis venue ici, je vous remercie pour votre étreinte. Vous m’apportez beaucoup de bonnes choses.
ADAMUS : Alors, qu’avez-vous reçu ?
TANIA : De l’amour. Amour pour moi-même.
ADAMUS : Bien.
TANIA : Je réalise mon dragon, depuis que je suis ici.
ADAMUS : Bien. Bien.
TANIA : Et je réalise que je dois laisser tomber beaucoup de choses [comme] plaire aux autres et pas à moi-même.
ADAMUS : Alors, quels changements substantiels y a-t-il eu dans votre vie au cours des trois derniers mois ?
TANIA : Je commence à m’aimer. J’ai laissé partir mes enfants.
ADAMUS : Oui.
TANIA : C’était difficile.
ADAMUS : De laisser partir vos enfants ?
TANIA : Oui.
ADAMUS : Comment les avez-vous laissés partir ? Vous leur avez enlevé la laisse ?
TANIA : En vous écoutant.
ADAMUS : Bien. Bien (ils rient). Et comment y ont-ils réagi ?
TANIA : Il n’y a pas eu de réaction. En fait, ils m’ont aidée à les laisser partir.
ADAMUS : Oh, bien, bien.
TANIA : Je reviens à mon Esprit maintenant. L’épisode d’une dame qui était ici, et je me suis beaucoup rapprochée d’elle.
ADAMUS : Bien.
TANIA : Et c’est –c’était une porte ouverte pour que je prenne du courage et lâche prise.
ADAMUS : Bien.
TANIA : La situation était dramatique et épuisante.
ADAMUS : Très dramatique. Ouais.
TANIA : Oui.
ADAMUS : Ouais. Pour vous, pour eux, ou tout cela à la fois ?
TANIA : Je crois que c’était plus pour moi, et même pour les enfants, juste pour être plus précise, ils disaient : «Je t’aime, mais je veux juste être avec mon père. Va-t’en. Je ne veux pas être avec toi » (elle rit). C’était blessant pour un être humain. Je pense que je suis une maman aimante. J’aime les enfants.
ADAMUS : Mm hmm. Quel âge avaient vos enfants quand vous les avez laissé partir ?
TANIA : Il avait – physiquement, il avait six ans.
ADAMUS : Bien.
TANIA : Cinq, six ans. Mais il est venu avec cette personnalité, une personnalité très forte, détaché de moi. J’étais plus attachée à lui. Je devais subvenir à ses besoins. Je devais subvenir à mes besoins, souffrir pour lui, être là pour lui, me sacrifier pour lui.
ADAMUS : Bon.
TANIA : Et il a dit : « Je veux juste être avec mon père. » Il était très hypnotique avec son père, et je me disais : « Mais comment se fait-il qu’il puisse aimer son père si c’est un criminel ? » (Elle rit)
ADAMUS : Bon.
TANIA : Comment peut-on aimer cela ? Et puis je commence à réaliser que je devais laisser tomber et me libérer, parce qu’il va bien.
ADAMUS : Au fait, les connexions ancestrales sont très, très fortes. Peu importe ce que vous pourriez penser de leur père ; ce sont les choses ancestrales qui les maintiennent liés.
TANIA : C’est très intéressant. C’est très intéressant, la dynamique que je ressens.
ADAMUS : Vous sentez-vous plus légère, plus heureuse ?
TANIA : Je me sens plus légère. Je sens quelque chose brûler. Je me sens libre. Mon Dieu, que ce mot, ce sentiment. Je me sens libre.
ADAMUS : Bien.
TANIA : Cela vient, de temps en temps, au niveau spirituel, au niveau de l’âme, j’essaie de me connecter à lui mentalement ou télépathiquement. Je pense qu’il a ces capacités.
ADAMUS : Bien.
TANIA : Ils sont très créatifs – les enfants. Donc, j’ai l’impression que l’énergie est connectée, à un certain degré.
ADAMUS : Donc, fondamentalement, vous avez reçu une certaine liberté pour vous-même.
TANIA : C’est formidable.
ADAMUS : Ouais.
TANIA : C’est formidable pour tout le monde. Tout le monde. J’ai eu un gros virus (elle rit).
ADAMUS : Ouais.
TANIA : Merci pour votre cadeau, en fait.
ADAMUS : En fait, vous recevez la liberté et…
TANIA : Oui.
ADAMUS : Vous savez, au prix d’un certain drame.
TANIA : Oh, mon Dieu, oui.
ADAMUS : Mais vous avez réussi, n’est-ce pas ?
TANIA : Beaucoup.
ADAMUS : Ouais. Bien. Merci. Un ou deux de plus.
LINDA : Ok.
ADAMUS : Qu’avez-vous reçu ? Ou comment êtes-vous bon à recevoir en ce moment ?
Bonjour Pablo.
PABLO : Salut. Oui, j’ai reçu du bonheur pour moi-même.
ADAMUS : Bien.
PABLO : Et aussi, j’ai bloqué d’autres choses. Je fais passer les gens avant moi.
ADAMUS : Ouais.
PABLO : Et cela m’a interdit ou m’a empêché d’apprendre davantage de moi-même. Et j’aimerais changer cela à partir de maintenant.
ADAMUS : Ouais. Et, vous savez, il y a ce vieux concept de conscience de masse selon lequel vous devez faire passer les autres en premier, et c’est tellement faux. Je veux dire, c’est tellement faux. Et c’est – je ne veux pas revenir sur les origines de ce concept ; oui, aimez, respectez les autres, faites-leur du bien, vous savez, tout ça – mais si vous ne vous mettez pas en premier, personne n’avance. Je veux dire, la planète entière n’évolue pas si vous ne vous mettez pas en premier. Et ce n’est pas être égoïste. C’est prendre soin de soi. Ensuite, vous pouvez vraiment aider les autres.
PABLO : Oui.
ADAMUS : Absolument.
PABLO : Cela m’a coûté cher.
ADAMUS : Ouais. Cela vous a coûté cher ?
PABLO : Oui.
ADAMUS : Alors, comment en êtes-vous à recevoir, sur une échelle de un à dix ?
PABLO : Pour certaines choses, je pense à cinq ou six, et pour d’autres, à zéro.
ADAMUS : Ok (ils rient). Qu’est-ce qui vous retient ?
PABLO : Pardon ?
ADAMUS : Qu’est-ce qui vous retient ?
PABLO : Je crois que j’ai surtout peur de laisser aller certaines choses. Je ne sais pas si elles reviendront plus tard.
ADAMUS : Bien.
PABLO : Alors, j’essaie de m’attacher à elles, au lieu de les laisser partir. Mais je pense que les laisser partir me rendra meilleur et me rendra plus heureux.
ADAMUS : Comment se porte votre abondance ?
PABLO : Eh, un peu mieux.
ADAMUS : Environ quatre ou cinq. Ok.
PABLO : Ouais.
ADAMUS : Ouais. Ok. Merci.
PABLO : Merci.
ADAMUS : Une dernière. Je cherche quelqu’un qui a reçu … avant de choisir, il y a quelqu’un ici qui a reçu un très beau cadeau. Pas forcément physique, matériel, mais un vrai changement. Mais vous ne levez pas la main ou vous ne voulez pas le dire. Quelqu’un a reçu quelque chose de vraiment sympa.
Prenez-le, Tad.
TAD (femme) : Tout d’abord, je dirai, que quand je vais dormir – j’oublie de recevoir – et donc, je mets le merabh ou la musique et je peux visualiser la plupart du temps dans mes cellules. Mais ensuite, quand je conduis, ce que j’ai reçu – je vais juste aller droit au but…
ADAMUS : Merci.
TAD : … c’est… (quelques rires) c’est que j’ai lâché prise. Cela a à voir avec le Tad’s Dad’s Chili, et je m’en fiche !
ADAMUS : Bien.
TAD : Juste, je ne vais pas le jeter, mais je suis tellement détendue à propos de tout ce qui va se passer.
ADAMUS : De quoi parlait toute cette émission ? Je veux dire, le « Tad’s Dad’s Chili». Vous travaillez dessus depuis quoi, cinq, six ans ?
TAD : Un peu plus que cela.
ADAMUS : Un peu plus, ok.
TAD : Ouais.
ADAMUS : De quoi s’agit-il ?
TAD : (soupir) Excellente question.
ADAMUS : Bien, bien (Adamus rit).
TAD : C’était une – non, je ne le dirais pas – une massion. C’était ma raison de respirer et de vivre et…
ADAMUS : Mais vous êtes prête à lâcher prise maintenant.
TAD : Ouais.
ADAMUS : Ouais.
TAD : Cela peut avoir lieu, mais je ne– oui, j’ai lâché prise.
ADAMUS : Pourrais-je aller droit au but avec vous ?
TAD : Oui, s’il vous plaît.
ADAMUS : Donc, il s’agissait de voir à quel point vous étiez un bon créateur.
TAD : Ok.
ADAMUS : Vous vous testiez : « Puis-je être un créateur pour une fois ? » Vous avez eu des créations ratées dans le passé, comme tout le monde. Les grands en ont tous eu. Beaucoup ont échoué. Mais vous étiez en train de vous tester : « Puis-je le faire ? » Vous avez essayé d’appliquer une combinaison de la métaphysique dont nous parlons ici et une combinaison de votre propre obstination, de votre entêtement et de votre ténacité. Et cela a fonctionné, jusqu’à un certain point, puis cela n’a pas fonctionné. Et vous vous êtes retrouvée, vous avez avancé, puis vous avez reculé. Et vous avez appris que – j’espère que vous avez appris – que la création n’est pas une question de puissance. Créer n’est pas une question de force et de muscles. Créer, c’est permettre et recevoir.
Donc, vous avez essayé d’utiliser certaines de vos anciennes compétences, de vos anciens trucs, de vos anciens ingrédients, pour ainsi dire, avec certains des nouveaux, et de voir comment ils fonctionneraient ensemble. Et, dans une certaine mesure, vous avez eu un certain succès, mais vous avez aussi connu beaucoup de frustrations en cours de route. Qu’en faites-vous maintenant ?
TAD : Je l’ai laissé faire. Je vais… Je ne suis pas… (elle soupire) Je peux sentir le potentiel. C’est juste – je ne suis pas…
ADAMUS : Vous rêvez mentalement, ma chère. Vous rêvez mentalement.
TAD : Ok.
ADAMUS : Ok. Et ça n’ira nulle part. Je vais l’expliquer dans un instant. Ça va tomber à plat, parce que vous appliquez toujours les vieilles techniques de pensée positive mentale, d’affirmation : « Je sais que nous pouvons le faire ». C’est vous et votre épée. C’est vous et votre armure de combat, « « Bon sang ! Je vais le faire. Je vais prouver au monde, mais surtout à moi-même, que je suis un bon créateur ». Mais vous le faites d’une manière– vous essayez de le faire d’une manière Nouvelle Énergie, mais vous l’utilisez avec de vieilles astuces énergétiques. Et vous prenez ces vieilles astuces énergétiques et vous les repeignez en quelque sorte pour essayer de les faire ressembler à la Nouvelle Énergie.
TAD : Comme si je les enduisais.
ADAMUS : Ouais.
TAD : C’est toujours l’ancien en dessous, mais il y a ce…
ADAMUS : Et ce n’est pas le cas. C’est vraiment très simple, et vous rendez les choses si difficiles ! Vous savez pourquoi ?
(légère pause)
TAD : Dites-moi ! (elle rit)
ADAMUS : Parce que c’est ce que vous aimez (Adamus glousse). Je vous remercie. Non, vous aimez ça. Vous aimez vous battre contre les choses et vous en sortir par la force. Donc, recevoir pour vous est vraiment difficile. Vous entendez les mots, et vous dites : « Je reçois. Je vais sortir et leur botter le cul et leur faire acheter mon chili. (Rires) C’est comme : « Non ! Non, non, non, Tad. Ce n’est pas recevoir. » Ce sont les mêmes vieux trucs, juste avec une nouvelle robe ou un nouveau rouge à lèvres ou quoi que ce soit d’autre.
Je vous demande, à vous et à tous les Shaumbra, de vraiment recevoir maintenant. Ce n’est pas si difficile à faire. C’est très facile à faire. Il s’agit de reconnaître que c’est votre énergie et que vous allez la permettre. Et vous n’allez plus lutter contre quoi que ce soit. Vous n’allez pas combattre les acheteurs de nourriture ou Gary ou vos amis ou quoi que ce soit d’autre.
TAD : (à la caméra) Salut, Gary.
ADAMUS : Ouais. Salut Gary. Gary dit : « Dieu merci ! Adamus, continuez à parler ! » (Adamus rit) Et alors vous verrez la vraie nature de la création, à quoi ça ressemble. Et il se peut que ce ne soit pas exactement ce que l’humain pense. Cela pourrait se transformer en quelque chose de beaucoup plus grand. Mais vous ne vous battez plus. C’est ce que j’ai dit le mois dernier. Arrêtez les efforts. Arrêtez les combats. Vous vous épuisez. Vous vous brûlez.
TAD : C’est ce que j’ai ressenti. Par exemple, est-ce que je reste allongée dans mon lit et que je dis : «Ok ! Tad’s Dad’s, c’est parti ! Je vais juste – je ne vais pas sortir du lit. Je ne vais pas fair … je vais prendre un café… »
ADAMUS : Vous seriez probablement mieux, oui (Adamus rit), qu’avec ce que vous faites maintenant.
TAD : Ok.
ADAMUS : Mais ce que vous faites, c’est que lorsque vous permettez et recevez, alors soudainement, vous êtes dans un flux différent. Maintenant, dans le flux, vous vous déplacez quelque part. Vous n’êtes pas simplement allongée dans votre lit. Les choses se produisent. Mais vous y répondez dans la joie, pas dans l’effort. Pas avec des muscles.
TAD : Ok.
ADAMUS : Et vous – et vous êtes représentative de tant de Shaumbra – vous avez cette attitude : « Je vais rêver pour y arriver. Je vais rêver de puissance. Je vais pouvoir rêver. Ça va arriver, et je ne dirai jamais « non ». Je ne baisserai jamais ma garde. Je vais toujours être positive. Je dois être positive. Cela ne fonctionne pas. Je vous le dis tout de suite, j’emmerde la pensée positive (rires).
TAD : Alors, on emmerde le « Tad’s Dad’s Chili » ?
ADAMUS : Non… (rire) Il faut que je ramasse – Cauldre est tombé par terre ici (plus de rires). Relève-toi, mon garçon ! (Adamus rit) Nous avons une canalisation à faire ici.
LINDA : Je vais me souvenir de ce que vous avez dit et l’utiliser quand j’en aurai besoin.
ADAMUS : Je viens de le breveter et de le protéger par copyright (droit d’auteur). Vous ne pouvez pas l’utiliser (plus de rires).
LINDA : Regardez-moi !
ADAMUS : C’était Cauldre qui parlait, pas moi (Linda rit). La pensée positive ne fonctionne pas (Linda continue de rire). Ça ne marche pas. C’est une pensée du pouvoir. Ce sont des rêves fictifs. Il n’y a qu’une seule chose qui fonctionne, et nous allons en parler dans un instant ici. Cela ne fonctionne tout simplement pas.
Vous utilisez certaines, je dirais, des techniques que vous avez apprises en cours de route, il y a 20, 30, 40 ans, et vous pensiez pouvoir en faire une belle tapisserie, l’appliquer au Chili de votre Père, et que la vie allait être belle. En fait, d’une certaine manière, vous avez de la chance que cela n’ait pas fonctionné, parce que la vie n’aurait pas été aussi géniale. Vous auriez été tellement absorbée par la sauce chili que vous n’auriez pas eu le temps de vous consacrer à votre véritable mission sur la planète. Vous auriez pu faire le chili, mais vous vous seriez empêtré dedans. Vous vous seriez fait bouillir dans votre propre chili (quelques rires), et ne feriez pas ce que vous êtes vraiment venue faire ici. Vous vous êtes donc en quelque sorte auto-corrigée.
Vous ne l’avez pas laissé fonctionner d’une part, parce que vous saviez que la façon dont vous abordiez votre création, vous auriez été si profondément dedans et ensuite, parce que vous êtes entré dans la création en vous battant, vous auriez été constamment en train de vous battre contre chaque haricot et chaque épice qui s’y trouvait. Cela vous aurait rendue malade. Et en fin de compte, cela ne vous aurait pas menée là où vous voudriez être dans cette vie. C’était donc une sorte de bénédiction, mais il y a un moyen plus facile de le faire. Que vous vouliez que le chili continue, ça va. Mais cela peut être fait de manière à recevoir et non à faire des efforts.
Vous êtes presque comme l’enfant de l’affiche pour l’effort, la force, la musculature, la réalisation (Tad commence à faire des flexions et à sauter de haut en bas et Adamus rit). Ouais, c’est ça ! Et le mois prochain, portez des gants de boxe et…
TAD : Ok. Je peux.
ADAMUS : … le short. J’aimerais vraiment ça (ils rient). Parce que vous avez été l’enfant de l’affiche pour cela, et que cela a été une partie tellement essentielle de votre vie : « Je dois y arriver. » Ça suffit. Vous permettez que cela se produise. Finies ces ruses (sa montre sonne). Ouais. Gary est juste là en train d’appeler (Adamus rit). Alors merci. C’est à vous que je voulais parler.
TAD : Oh, merci.
ADAMUS : Et comment !
Alors, prenons une bonne respiration profonde avec ça.
Êtes-vous doués pour recevoir ? D+, C- peut-être. Peut-être un quatre sur une échelle de dix, et je suis très généreux. Ce n’est pas votre nature. Ce n’est pas votre conditionnement. Vous avez été des combattants. Vous avez été les leaders. Vous avez été les créateurs de pouvoir. Mais cela prend fin maintenant, ok?
Le Changement
Je veux parler du changement. Le changement. Les choses ne changent pas vraiment beaucoup, mais elles changent maintenant. Mais normalement, les choses ne changent pas tant que ça. Vous retournez dans vos vies passées, votre histoire passée ; vous remontez environ, quoi, il y a quatre ou cinq cents ans, dans une vie d’alors. Il ne s’est pas passé grand-chose. Vous avez eu la machine à vapeur, et puis environ, quoi, 80 ans plus tard, la machine à coudre (Adamus fait semblant de bâiller ; quelques rires). Peu de choses ont changé. Les villages n’ont pas changé. Les gens n’ont pas changé, surtout lorsqu’ils se réincarnaient dans les mêmes familles, dans les mêmes villages. La politique n’a pas beaucoup changé.
Rien n’a vraiment changé, sauf le temps. C’était le changement le plus excitant qui soit arrivé, et ce n’était pas il y a si longtemps. Ce qui comptait, c’était : « Oh, aujourd’hui il pleut », et c’est ce qu’il fallait attendre avec impatience. Je veux dire, vraiment, la vie tournait plutôt autour du temps qu’il faisait.
Maintenant, le changement se produit assez rapidement. Le changement se produit à des vitesses, eh bien, vraiment, vraiment rapides. Mais je veux parler d’un élément de changement très important. Je vais revenir un instant sur la réception. Non, je vais attendre. Je vais le ramener à l’autre bout (quelques rires).
Donc, le changement ne se produit vraiment pas beaucoup. Il n’y a vraiment qu’une seule chose, une seule chose qui cause le changement. Ce n’est pas la pensée positive. J’aimerais vraiment que chacun d’entre vous se débarrasse de cela tout de suite. La plupart d’entre vous l’ont utilisée dans leur vie. Et si vous ne l’avez pas utilisée pour, par exemple, un truc de type commercial comme Tad, vous l’avez utilisée pour éloigner le diable : « Je dois penser positivement. Je dois penser à la lumière. » Vous deviez contrôler vos pensées : « Je dois penser à des choses positives et alors des choses positives m’arriveront. » Ça n’a pas marché, n’est-ce pas ? (quelqu’un dit « Non ») Non (Adamus rit).
Vous avez accordé plus de crédit à vos pensées sombres qu’à vos pensées lumineuses. En d’autres termes, vos pensées sombres avaient beaucoup de pouvoir, n’est-ce pas ? Vous n’aviez même pas à les penser. Elles étaient juste là, et elles allaient apporter des choses sombres dans votre vie. Tellement vite ! Fuyez-les ! Pensez vite aux choses positives ! Pensez positivement ! « Je vais bien ! Je suis génial ! En fait, je suis un crétin, mais je vais prononcer ces mots (rires) et, je l’espère, faire disparaître les choses sombres. » Vous avez donné du pouvoir à l’obscurité, mais jamais vraiment à la lumière, à votre côté positif.
Mais beaucoup d’entre vous, en particulier dans cette vie, au cours de vos premières études, au cours de votre premier voyage vers la Réalisation, sont tombés sur cette chose, la pensée positive, les bonnes pensées, les affirmations. « Je suis beau. Je suis belle », jusqu’à ce que vous ouvriez les yeux et que vous vous regardiez dans le miroir, « Oh, merde ! Qu’est-ce qui s’est passé ? » (Plus de rires)
Et puis vous pensez : « Eh bien, non, si je continue à le dire, alors un jour je deviendrai vraiment beau ». Non ! Tout ce que vous faites, c’est rester assis avec vos affirmations en vous disant : « Je suis vraiment moche. Je veux être beau. Je suis vraiment une mauvaise personne. Je veux être bon. » Vous ne faites que vous enfoncer plus que jamais, vous vous enracinez. Ces affirmations, ces pensées positives, débarrassez-vous-en. Et n’ayez pas peur des mauvaises pensées non plus, parce qu’elles ne sont pas les vôtres. Arrêtez d’essayer de vous modeler et d’utiliser ces choses.
Recevoir consiste à abandonner tout cela. Vous n’avez pas besoin d’avoir de bonnes pensées pour faire bouger les choses. Ça n’a pas marché ! Cela n’a vraiment pas fonctionné. Et vous dites : « Eh bien, non, une fois ça a marché » (quelques rires). Je sais, mais les 10 millions d’autres fois, ça n’a pas marché, n’est-ce pas ? Ne vous fiez pas à la seule fois où cela a fonctionné. Vous n’avez pas vraiment obtenu ce que vous vouliez. Les pensées puissantes, les affirmations, tout le reste. Combien d’entre vous ont fait, eh bien, ces affiches et ces photos. Avez-vous déjà reçu ces bêtises que vous avez mises sur cette affiche ? Les voitures, les histoires d’amour, la santé ou quoi que ce soit d’autre ? Non.
KERRI : Un tableau de vision.
ADAMUS : Un tableau de vision. Merci. Comment était le vôtre ?
KERRI : Non, ce sont des ordures. Je n’ai jamais fait ça.
ADAMUS : Vous ne l’avez jamais fait.
KERRI : C’est peut-être pour cela que je n’ai pas eu ces choses (Adamus rit). Je n’ai jamais fait ça.
ADAMUS : Il y a une chose qui provoque vraiment le changement. Vous avez une idée ? Des suppositions ? Une chose qui provoque le changement. Pourquoi ne prenez-vous pas le micro ? (à Linda ; quelqu’un dit « la Mort ») la Mort (plus de rires). Bon, Bon, deux choses.
DAVID : Permettre la réception du changement.
ADAMUS : Permettre la réception. Eh bien, on s’en rapproche. C’est plutôt bien. Merci. Permettre le changement. C’est bien. Il y a une chose qui affecte le changement. Une chose. S’il vous plaît.
VANESSA : Oh, c’est moi (elle rit).
ADAMUS : Oui.
VANESSA : (pause) Eh bien, recevoir.
ADAMUS : Oh, d’accord. Cela en fait partie, mais pas tout.
VANESSA : Ah.
ADAMUS : Une chose qui provoque le changement. Allez-y. Linda va prendre votre micro. Bonne fête canadienne.
PILAR : Le choix. Un choix conscient.
ADAMUS : Non (Linda rit).
PILAR : Vraiment ? Parce que ça a marché pour moi.
ADAMUS : Non.
PILAR : Incroyablement.
ADAMUS : Non. Quelque chose d’autre fonctionne pour vous. Vous l’appelez choix, mais c’est vraiment autre chose.
PILAR : Eh bien, la sensualité. J’appelle l’éner-… Je ressens les énergies. Je suis douée pour cela.
ADAMUS : Mm hmm.
PILAR : Et je coule avec elles, et j’obtiens tout de suite beaucoup d’informations.
ADAMUS : Bien sûr.
PILAR : C’est juste de la sagesse. Cela fonctionne pour moi.
ADAMUS : Ok.
PILAR : Mais…
ADAMUS : Dans quelle mesure cela fonctionne-t-il pour vous ?
PILAR : En fait, plutôt bien.
ADAMUS : Je veux dire, sur une échelle de un à dix.
PILAR : J’ai envie de dire dix.
ADAMUS : Dix, ok.
PILAR : Ouais (elle rit).
ADAMUS : Ouais.
PILAR : Oui, parfois des choses arrivent.
ADAMUS : Bien.
PILAR : En parlant de recevoir, vous – je me rattrape à travers la résistance. C’est mon nouveau hobby.
ADAMUS : Vous vous rattrapez à travers votre résistance.
PILAR : Oui, toute la journée. Je regarde ma résistance…
ADAMUS : N’est-ce pas fascinant ?
PILAR : … et puis je dis : « Ok, même si c’est une chose merdique, ok, je reçois ». Et tout à coup cela mène à quelque chose de merveilleux. Donc, je suis pleine de surprises chaque jour.
ADAMUS : Bien.
PILAR : Je ne dis pas : « Eh bien, ça arrive. La merde arrive. »
ADAMUS : Ouais.
PILAR : Vous vous mettez en colère ou peu importe, mais je relâche un peu le contrôle et cette envie de tout résoudre, parce que je suis une mère et j’ai toutes ces choses à résoudre. Je me permets simplement de laisser les autres être ce qu’ils sont.
ADAMUS : Bien.
PILAR : Mais j’ai toujours pensé que le choix était, vous savez, la seule chose…
ADAMUS : Eh bien, le choix, c’est bien, mais…
PILAR : … la seule chose qui change vraiment, parce que je dis : « Hé, je n’aime plus ça. Ça suffit. Je choisis de laisser tomber. »
Non pas ce qui va devenir, mais ce qui me suffit dans la vie.
ADAMUS : Le choix est important, mais ce n’est pas la chose qui cause le changement.
PILAR : Donc, Ce n’est donc pas ce que vous recherchez. Ok.
ADAMUS : Ce n’est pas ce que je recherche.
PILAR : Ok.
ADAMUS : Vous verrez dans un instant.
PILAR : Et je reçois juste une chance de dire : « Salut, mon ami ».
ADAMUS : Oui, merci.
PILAR : Très bien.
ADAMUS : C’est bon de vous voir, Maître. Ouais. Bon, un de plus. Qu’est-ce qui cause le changement ? Je sais où vous voulez en venir. Bien.
LULU : C’est moi qui ai de la chance. La perception ? Comment je perçois les choses.
ADAMUS : C’est un peu comme le choix. La perception est importante, mais elle, en soi, ne cause pas de changement. Ok. Mary Sue. Micro, s’il vous plaît.
MARY SUE : Je dirais la perspective.
ADAMUS : C’est la même chose que la perception, mais avec une orthographe un peu différente.
MARY SUE : Oui, c’est la cause et l’effet.
ADAMUS : Ouais. Oui, cela en fait partie, mais voici la grande révélation, à moins que vous ne vouliez…
MARIE SUE : Oui. Je pense que pour changer… (elle rit, alors qu’Adamus passe son bras autour de l’épaule de Dave, alias Crash, le photographe)
ADAMUS : Nous devons prendre une photo de cela. Ouais (Adamus rit).
CRASH (photographe) : Ici. Appuyez simplement sur ce bouton.
ADAMUS : Ne faites pas ça et … (rires alors qu’il mime en train de prendre un selfie)
CRASH : Je ne le ferai pas (Adamus rit), nous sommes trop proches.
ADAMUS : Vous êtes trop proche. Bien. Grand sourire (quelqu’un prend sa photo et d’autres rient devant le visage idiot d’Adamus). Ok. Bien. Merci Crash.
CRASH : Merci.
ADAMUS : Oh, Mary Sue ? Oui.
MARIE SUE : Ok. Je pense que le plus grand changement pour moi a été de réaliser que tout cela m’appartient.
ADAMUS : Tout est à vous. Ouais ok.
MARIE SUE : Oui. C’est à l’intérieur.
ADAMUS : C’est bien. Ouais.
MARY SUE : C’est à l’intérieur.
ADAMUS : Comment êtes-vous en train de recevoir ?
MARY SUE : Je m’évaluerais plutôt bien. J’ai …
ADAMUS : C’est si hésitant. Pouvez-vous entendre ces mots ? À un moment donné, genre : « Oh, oui, je vais me donner beaucoup de crédit. Mais je ne m’en sors pas vraiment bien. (Adamus rit)
MARIE SUE : Ok. Non. J’ai l’impression d’avoir compris le don de cadeaux à un niveau différent de celui de quiconque, toute ma vie. J’ai fondamentalement détesté donner et recevoir des cadeaux physiques.
ADAMUS : Hm. Je suis bon à cela. Pour recevoir. Je suis doué pour recevoir.
MARY SUE : Je n’aime pas ça parce que personne ne me connaît– les autres ne me connaissent pas et je sens que je suis différente. Et les cadeaux qui sont importants pour moi ne sont pas ceux que les autres veulent. Alors, je pense que revenir à moi-même…
ADAMUS : Oui.
MARY SUE : … est beaucoup …
ADAMUS : Votre réception.
MARY SUE : Ma réception.
ADAMUS : Ok.
MARY SUE : Et c’est ce sur quoi je me concentre maintenant.
ADAMUS : Ok. Bien. Merci.
La grande révélation ici. Une chose qui provoque le changement et le seul changement et puis il y a des choses qui se mettent en place à cause de cela. La seule et unique chose qui cause vraiment des changements sur cette planète est la lumière.
LINDA : Ohhh.
ADAMUS : C’était – c’est si facile. C’est la lumière. Vous ne pouvez pas avoir de changement sans un changement de lumière, plus ou moins. Ou vous diriez plus de luminosité ou moins de luminosité. Sinon, tout restera toujours le même. Vous avez une certaine quantité, je suppose que vous pourriez dire, de lumière sur la planète. Et disons qu’il y a 300, 400 ans, c’était à peu près la même chose, assez constant. Cela ne changeait pas beaucoup. De temps en temps, un peu plus, et de temps en temps, un peu moins. Mais rien ne changeait. Pour qu’il y ait un véritable changement dans votre vie, il faut qu’il y ait plus de lumière ou moins de lumière. Mais regardons plus.
La pensée positive ne le fait pas. Vous pouvez penser positivement jusqu’à ce que vous soyez fauché, fauché et brisé. Les affirmations ne font aucune différence. En revanche, la lumière, elle, elle fait la différence. Donc, quand vous prenez un peu plus de lumière, disons, dans votre vie – vous permettez plus de lumière, vous recevez votre énergie, votre conscience ; vous arrêtez de penser qu’elle se trouve dans les autres royaumes, et vous la permettez ici même – le changement se produira. Et parce qu’il est basé sur la lumière, votre lumière, et que vous la recevez, le changement va finalement vous servir.
Maintenant, le moi humain pourrait d’abord dire : «Oui, mais il s’est passé quelque chose. Il s’est passé quelque chose de grave /d’horrible. J’ai perdu un grand compte. Ou, comme dans le cas de Tad, il y a parfois une réorganisation. Ne paniquez pas. Vous devez apprendre à faire confiance à votre lumière intérieure, parce que quelque chose d’autre se présente. Souvent, les vieilles choses doivent disparaître avant que de nouvelles choses n’arrivent. C’est particulièrement vrai dans le cas des relations. Et vous pensez, oh, si vous laissez entrer plus de lumière, la relation changera. C’est difficile à faire, mais finalement, c’est mieux pour vous deux, par exemple.
Pour qu’un changement se produise – vers le haut ou vers le bas, à gauche ou à droite, bon ou mauvais, en bien ou en mal – il faut qu’il y ait un changement dans le niveau de lumière. Vous pouvez absolument déterminer cela par votre niveau de réception. Vous ne recevez pas, genre, des cadeaux par la poste. Vous ne recevez pas plus de santé. Vous ne recevez pas plus d’argent ou plus d’intelligence. Vous êtes simplement – lorsque vous recevez, vous recevez la lumière. C’est tout.
La lumière est conscience. La réalité ne pourrait pas exister sans conscience, sans lumière. Ce que vous faites, c’est dire : « Je suis prêt pour un changement. Je suis prêt à recevoir ma lumière, ma conscience. » Et puis, cher humain, n’essayez pas de penser à votre façon ou de vous donner du pouvoir ou de penser positivement à votre façon. Permettez ce qui se passe ensuite. Et c’est alors que certains attributs comme… la lumière vous aideront à changer votre propre perspective. Elle vous aidera à faire un choix plus judicieux/ plus sage. Mais c’est la lumière qui provoque /qui est à l’origine de tout changement.
Ce qui se passe en ce moment, alors que vous recevez – et je suis dur avec vous au sujet de la réception, en disant : « Vous ne vous débrouillez pas très bien », parce qu’au fond, il s’agit de laisser entrer plus de lumière pour provoquer des changements dans votre vie. Au diable la pensée positive. Elle ne fonctionne pas, de même que toutes ces vieilles techniques et astuces et tout ce que vous aviez. Arrêtez de vous battre, de vous donner du pouvoir, d’être un guerrier déterminé, tout ça. Apprenez à laisser passer la lumière. La lumière est la seule chose dans la réalité physique qui provoquera un changement – à un niveau personnel, à un niveau personnel profond – et c’est très facile à faire. Nous le ferons dans notre merabh aujourd’hui, si jamais nous en arrivons là (Adamus rit).
Donc, je veux que cela soit gravé en vous. La seule chose qui cause /qui provoque le changement est la lumière. Et vous pouvez faire moins de lumière. Vous pouvez vous fermer davantage, et cela va changer les choses dans votre vie. Ou vous pouvez la recevoir. Votre lumière, votre énergie, votre conscience, changeront les choses. Cela les changera absolument. Alors, quand vous tournez en rond et que vous vous dites : « Oh, je ne sais pas quoi faire », quand vous vous couchez le soir, que vous êtes stressé, que vous pensez trop à tout et que vous vous demandez : « Comment puis-je sortir de ce dilemme dans lequel je me trouve ? » Arrêtez-vous et recevez votre lumière. C'est tout. Il n'y a pas de conditions. Pas d'application : « Eh bien, je vais appliquer cette lumière à ma santé ou à mes problèmes relationnels » ou quoi que ce soit d'autre. Vous acceptez la lumière. Point.
Au fond de vous, vous, en tant qu’humain, vous, en tant qu’être doté d’une âme, savez déjà ce que vous voulez vraiment. Vous n’avez pas besoin de le lui dire ! Qu'est-ce que vous croyez, que votre âme est stupide ? Vous n’avez pas besoin de lui dire. Vous n'avez pas à le dire à votre propre énergie. Parfois vous pensez que vous devez dire – voici ce que vous voulez – vous devez dire à Dieu ce que vous voulez, ou à votre âme ou à votre Je Suis. Il sait déjà. Il sait déjà. Habituellement, même quand vous ne savez pas.
Alors maintenant, vous laissez entrer la lumière. Vous la recevez. Vous n’essayez pas de lui dire quoi faire. Vous ne dites pas : « J’ai besoin de vendre 200 caisses de chili aujourd’hui », rien de tout cela. Ensuite, vous permettez absolument ce qui se passe maintenant avec cette lumière. Vous n’avez pas besoin de la contrôler. Gardez vos mains hors d’elle/ Ne la touchez pas. Gardez votre cerveau loin de cela. Vous ne feriez que tout gâcher. Permettez-lui d’entrer maintenant dans votre vie. Et ce que vous découvrirez, c’est que vous avez utilisé ce que j’appelle la véritable intelligence artificielle, votre cerveau, sur des choses depuis bien trop longtemps (Linda rit). C’est artificiel. Il ne sait pas. Il ne comprend pas la lumière. Il ne comprend que la logique.
Recevez cette lumière et laissez-la entrer, observez ce qui se passe, puis dansez avec ce qui se passe. Mais arrêtez d’essayer de la contrôler. Arrêtez d’essayer de lui dire : «J'ai besoin de ceci, j'ai besoin de cela.» Elle le sait déjà. Vous saisissez ? Elle le sait déjà. Vous êtes le seul à tout gâcher/à tout foutre en l’air en pensant que la lumière et votre âme et votre Je Suis sont si stupides que vous devez leur dire ce que vous voulez.
Respirez profondément et permettez.
La seule chose qui fait changer, qui affecte le changement, c’est la lumière, le niveau de lumière. C'est tout. Et c’est la conscience, et c’est si simple. Si simple.
Prenons une profonde respiration avec ça. Une très bonne respiration profonde.
Le changement ne se produit que lorsque le niveau de lumière augmente ou qu’il diminue. La lumière est la seule chose qui affecte vraiment le changement. Tout le reste n’est qu’un jeu. Ce n’est qu’un jeu.
Merabh - Respirer, Permettre, Recevoir et Couler
Prenons une profonde respiration et commençons le merabh.
Vous, en tant qu’humain, pouvez laisser entrer plus de lumière. C’est une chose que vous pouvez faire.
(la musique commence)
Mais je vais vous dire, elle sera là de toute façon, que vous le permettiez ou non. Vous pouvez lui résister. Vous pouvez la repousser. Mais tôt ou tard, elle fera son chemin.
Nous avons parlé de recevoir, et ce dont il s'agit, c’est de recevoir votre lumière, votre conscience.
(pause)
Il y a un désir d’essayer de la gérer et de la contrôler. Mais ensuite, vous prenez une profonde respiration et vous lâchez tout cela, et vous recevez.
(pause)
Cela commence par la respiration. Cela commence par le souffle.
La respiration, la respiration profonde, vous enracine et vous centre, vous amène dans votre Présence et vous fait sortir de votre mental. Faisons cela maintenant. Une bonne respiration profonde.
(pause)
Genre : « Ahhh ! »
Lorsque vous inspirez, vous recevez. Vous recevez de l’air, de l’oxygène, bien sûr. Mais vous ne faites que recevoir votre Soi, votre Présence.
Prenez une bonne inspiration profonde et recevez.
Recevoir n’est vraiment pas une chose mentale. Si vous devenez mental, respirez profondément. C’est un si beau symbole de réception. Vous l’inspirez, puis vous la laissez couler.
Elle traverse votre corps, puis elle s’écoule.
(pause)
Vous inspirez maintenant de la lumière. Oui, vous pouvez respirer la lumière, absolument.
Respirez profondément et recevez simplement votre propre lumière.
(pause)
C’est votre énergie que vous respirez.
(pause)
C’est une très bonne façon de commencer à permettre votre propre énergie, en la respirant.
Et quand vous la respirez, ce n'est pas seulement de l'air. Ce n’est pas seulement l’air commun que vous inspirez. Maintenant, vous respirez consciemment et vous recevez votre lumière.
Cela commence par la respiration. C'est très simple.
(pause)
Et puis vous permettez.
Vous savez que je suis un fervent partisan de permettre.
Le fait est que tout est déjà là. Pouvez-vous permettre ? Pouvez-vous aller au-delà de votre propre manque d’estime de soi, de vos vieilles croyances selon lesquelles vous n'avez que ce qu'il vous faut, et vraiment permettre ?
Lorsque vous permettez, vous allez au-delà de la simple perception que vous avez de vous-même en tant qu’humain. Vous permettez votre Soi supérieur, votre âme, votre Je Suis. Vous permettez vraiment la conscience et la lumière.
Très souvent, je vois les Shaumbra chercher l’abondance ou la santé ou des réponses. C’est aussi simple que de permettre. C’est déjà là. C’est déjà là. Arrêtez de chercher.
Soit dit en passant, j'ai parlé tout à l'heure du Voyage dans le Temps, de notre nouvelle publication, de notre nouvelle classe Cloud (Classe Nuage), et le principe du voyage dans le temps, c'est que vous n'allez nulle part. Vous ne sautez pas dans une petite machine, vous ne faites même pas de projection astrale, il y a 300 ans ou 20 ans dans le futur. Vous n’allez nulle part. Vous laissez les choses venir à vous. C'est tout. C'est ainsi que l'on voyage dans le temps.
On ne s'envole pas dans les royaumes astraux. C’est foutrement dangereux là-dehors. Vous seriez comme un scout dans le ghetto. Ils vous poursuivraient si vite ! C’est tellement naïf. Non ! En voyageant dans le temps, vous laissez le passé ou le futur venir à vous. C’est la même chose qu’avec permettre.
Vous prenez une profonde respiration – commençons par ça, une profonde respiration– et vous permettez simplement. Que permettez-vous ? Vous, votre lumière.
Vous respirez profondément et vous permettez simplement. Cela signifie s’ouvrir. S’ouvrir. Ouvrez les portes et les fenêtres de votre moi humain. Ouvrez les portes et ouvrez votre esprit/mental. Il suffit d’ouvrir et de permettre.
(pause)
Puis, tout en respirant et en permettant, recevez maintenant.
Je sais que permettre et recevoir, c’est assez proche. Mais ils sont aussi un peu différents. J’ai vu beaucoup de Shaumbra permettre maintenant. Ils ouvrent les portes et les fenêtres de leur moi humain, ils laissent entrer la lumière, mais ils ne la reçoivent pas.
C'est comme si la lumière était là, mais qu'ils ne la recevaient pas. Ils ne la digèrent pas.
Recevez cette lumière maintenant.
Vous lui avez permis de s'approcher, maintenant recevez-la.
(pause)
Tout cela est assez facile. S'il n'y avait pas tous les millions de superpositions et de résistances, tout serait assez facile. Vous respirez. Vous permettez et ensuite vous recevez. Vous l'amenez à l'intérieur.
Non. Certains d’entre vous essaient de – non, non. Pff ! Vous allez m’obliger à arrêter la musique ici dans une minute, s’il le faut. Vous essayez d'exprimer les choses en termes stricts. Vous dites : « D’accord, je permets à ma santé de changer. Je reçois de l’énergie pour que mes enfants quittent la maison. J'autorise l'achat d'une nouvelle voiture ». Arrêtez ça ! Arrêtez de mentaliser ce processus. Arrête d’être si sacrément humain.
Il s'agit d'une permission ouverte. C’est tout ce que c’est. C’est juste de la lumière. C’est votre conscience et votre énergie. Vous respirez profondément, vous la permettez et vous la recevez.
Ce processus est inhérent à une plus grande luminosité, à plus de lumière, et le changement se produit.
Vous, l’humain, et votre âme, savez déjà où aller avec tout cela. Vous n’avez pas à diriger tout cela. Vous n’avez qu’à jouer avec. Faites-en l'expérience/vivez-le.
Tout de suite, certains d’entre vous se sont dit : « D’accord, je me permets d’avoir une nouvelle voiture. » Fermez-la ! Permettez simplement, voulez-vous ?
Bon, revenons à l'essentiel. Faisons la respiration maintenant.
(pause)
Faisons une bonne respiration profonde. Permettons maintenant à cette lumière et à cette énergie d'être présentes.
Inspirez et permettez à cette lumière d'être présente.
Elle est assise juste là. Elle est prête à partir. Elle est assise juste là. Elle a été au ralenti, juste en attente. Alors, vous la permettez.
Maintenant qu’elle est juste là, vous la recevez. Vous l’apportez. Vous l’apportez.
Ah ! Vous voyez ? C'est très simple.
C’est si simple, c’est comme l’illumination de Sesame Street. C'est comme si vous preniez une profonde respiration et que vous permettiez.
Vous respirez profondément, vous laissez entrer votre lumière, votre énergie, puis vous la recevez. Vous l’intégrez. Vous l'amenez à l'intérieur.
(pause)
Vous respirez profondément.
Vous permettez à votre lumière d’être présente.
Vous la recevez en ce moment.
(pause)
Vous respirez profondément.
Vous permettez à votre divinité, à votre lumière d'être présente.
Puis vous la recevez. Vous l'amenez dans cette réalité, dans votre vie.
Et, vous voyez, quand vous faites cela, et c’est si simple, vous n’avez pas à penser à votre façon de faire. Vous n’avez pas à vous demander quelle quantité de lumière ou ce que vous allez en faire. Votre sagesse inhérente comprend déjà.
Vous, l’humain, êtes maintenant libéré/ soulagé de tout ce jeu de « Combien ? » et « Que dois-je faire ? » et « A quel point dois-je y travailler ? » et « Où dois-je la mettre ? » et « Et si je le fais mal ? »
L'illumination de la rue Sésame. C'est très simple. Respirez profondément pour vous centrer. Ensuite, vous permettez cette lumière, votre lumière, votre énergie pour qu’elle soit dans votre Présence. Et puis vous la recevez. Elle s'écoule dans votre corps. Elle s'écoule dans votre esprit/mental.
(pause)
Elle s’écoule dans votre passé, elle s'écoule dans votre futur, et maintenant vous avez le flux.
Vous respirez.
Vous permettez à votre lumière de se répandre.
Vous la recevez dans votre réalité, dans votre vie.
Et maintenant, vous avez du flux.
(pause)
Vous respirez profondément.
Vous permettez votre lumière.
Vous la recevez dans cette réalité, et maintenant tout coule.
Et, alors que vous faites cela, alors que vous traversez cela, vous réalisez que vous avez travaillé très dur sur les choses. Vous avez essayé d’être une sorte d’agent de la circulation, de gardien de prison, de toutes les énergies, et vous êtes devenus si mentaux et si coincés dans votre cerveau, que vous n'avez pas pu trouver la sortie.
Je sais ce que c’est. J’ai cette histoire que je vous raconterai un jour. J’ai été dans une prison de cristal pendant 100 000 ans (Adamus rit). Pour ceux qui sont nouveaux, qui n'ont pas entendu l'histoire, je la raconterai bientôt. Mais vous vous arrêtez et vous prenez une profonde respiration, et vous vous ouvrez simplement et vous permettez.
C’est vraiment facile. Et puis vous recevez cette lumière, et pendant que cela se produit – cette lumière entre maintenant – seule la lumière peut provoquer le changement. C'est tout. Pas les affirmations. Pas la pensée positive, vous pouvez prétendre pendant un certain temps qu'elle le fait. Pas en allant à l'église. Pas en priant tous les jours. Pas en étant quelqu’un qui prend soin de tout le monde.
Seule la lumière peut apporter le changement. Seule la lumière.
Alors, vous respirez profondément.
Vous permettez à cette lumière d'entrer.
Vous la recevez dans cette réalité.
Et tout commence à couler.
Cela commence juste à couler et vous réalisez que vous n’avez pas besoin d’avoir ce plan massif pour savoir quoi faire de ces choses ou comment changer votre vie. Cela change sous vos yeux d’une manière qui est divine. Cela change malgré vous d'une manière divine.
Vous respirez profondément. Faisons-le. Une respiration profonde. Allez ! Respirez profondément.
Et vous permettez à votre lumière d’entrer.
Et vous la recevez dans cette réalité, dans ce corps.
Et tout recommence à couler.
(pause)
C’est très simple. Et si vous oubliez: «Qu'est-ce qu'il a dit? Suis-je censé recevoir, puis réfléchir et ensuite faire de l’exercice ? Qu’est-ce qu’il a dit ? C’est si simple.
C’est Respirer. C'est Permettre. C’est Recevoir. Et c’est Couler. BARF (quelques rires ; « barf » est synonyme de « vomir »).
Barf. Vous savez, ce n'est pas grave, parce que vous vous en souviendrez maintenant. Vous vous souviendrez. « Qu’est-ce qu’il a dit ? Oh, je suis censé vomir. » Oui (il fait un bruit de vomissement). Laissez sortir toutes les vieilles choses et laissez entrer votre lumière. Dégueulez toutes ces vieilles habitudes mentales, fastidieuses, pénibles, de lutte, de combat. Dégueulez tout. Et puis vous respirez profondément et vous permettez, vous recevez et vous coulez.
Vous vous en souviendrez, n’est-ce pas ? Oui. Bien.
Faisons cela ensemble maintenant.
LINDA : Bleghhh ! (elle fait un bruit de vomissement ; beaucoup de rires).
ADAMUS : (riant) Montez ici, Linda. Venez ici. Venez ici. Venez ici (elle monte sur la scène, l'air penaud). Linda a été institutrice à un moment donné. Alors maintenant, chers élèves, vomissons avec Linda (plus de rires). Allez-y.
LINDA : Blooghhh !
ADAMUS : Blaaghhhh ! Encore.
LINDA : Blooghhh !
ADAMUS : Bleagghhh ! Et encore.
LINDA ET LE PUBLIC : Bleagghhh !
ADAMUS : Bleagghhh !
Pourquoi est-ce que les Shaumbra sont si bons à cela, mais qu’ils ne peuvent pas recevoir ? (rires) Pourquoi est-ce que – faisons-le tous. Joignons-nous en ligne, où que vous soyez, avec Linda, qui habituellement fait la respiration, mais maintenant, avec Linda, comptez jusqu’à trois. Un, deux, trois …
TOUT LE MONDE : Bleaghhhhh ! (Adamus rit)
ADAMUS : Ok. Gaia vient de partir (beaucoup de rires). Bon sang ! Kuthumi, pourriez-vous lui parler ? Pourriez-vous s’il vous plaît lui expliquer ce que nous faisons ici ? (plus de rires) Pourriez-vous s'il vous plaît ?
Oh, et puis zut.
Bon, souvenez-vous simplement que tout est bien dans toute la création.
ADAMUS ET LE PUBLIC : Bleaghhhhh ! (applaudissements du public)
*****
Conclusion de Linda
Techniquement, nous sommes supposés respirer, mais après tout ça, je veux dire, là non.
Mais encore une fois ressentez la beauté du message tellement simple et juste et recevez cette lumière.
Alors merci d’avoir fait partie de cet incroyable Shoud 10 de la Série ALT.
Merci à tous ceux qui écoutent.
On peut tous vous voir dans le monde entier et ce public n’a-t-il pas fait du bon travail ?
Quoi qu’il en soit, Merci à tous.
Et nous reviendrons le mois prochain.
Merci.
*****
CRIMSON CIRCLE
The Global Affiliation of New Energy Teachers
Affiliation Mondiale Des Enseignants Nouvelle Énergie
*****
Interprétation de Feolla
feolla.ca@gmail.com www.quatorzenouvelleenergie.com
______________________© Copyright Geoffrey Hoppe 2023_______________________
Adamus® canalisé par Geoffrey Hoppe , assisté par Linda Hoppe
Vous pouvez distribuer librement ce texte, dans son entièreté, sur une base non commerciale et gratuite, y compris ces notes. Toutes autres utilisations doivent être approuvées par écrit par Geoffrey Hoppe, Golden, Colorado.
Voir la page des contacts sur le site Web : www.crimsoncircle.com Golden, Colorado USA 80403
Toutes les photos sont de Dave Schemel
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