Quatorze

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RENCONTRE AVEC LE PERSONNEL DU CRIMSON CIRCLE - INTERVIEW AVEC MARC RITTER- -DIRECTEUR ARTISTIQUE DU MAGAZINE ET GÉRANT ASSISTANT DE STUDIO- Shaumbra Magazine, Novembre2020

 

RENCONTRE AVEC LE PERSONNEL DU CRIMSON CIRCLE

 

INTERVIEW AVEC MARC RITTER- -DIRECTEUR ARTISTIQUE DU MAGAZINE ET GÉRANT ASSISTANT DE STUDIO

 

MARC RITTERShaumbra Magazine, Novembre2020

www.crimsoncircle.com

 

 

 

MAGAZINE SHAUMBRA: Comment et quand avez-vous trouvé le Crimson Circle?

 

MARC: Il y a longtemps dans un pays lointain, très lointain… J'ai vécu en Suisse et je l'ai trouvé en 2002 grâce à un ami. C'était à l'époque où les Shouds n'étaient encore qu'en audio, alors nous nous réunissions tous les mois avec un potluck (En Amérique anglophone, le potluck est un rassemblement autour d'un repas où chaque convive est censé apporter un plat à partager avec le groupe. Selon le cas, on parle en anglais de potluck dinner, potluck supper ou encore potluck party. Wikipédia) , et nous asseyions tous autour, et nous  écoutions les canalisations.

 

En 2003, Geoff et Linda sont venus en Suisse et avec quelques autres Shaumbra locaux, j'ai aidé à organiser l'atelier Seven Seals (l'atelier des Sept Sceaux) près de Zurich. Il se tenait dans un cirque et derrière le chapiteau, il y avait des phoques qui étaient amenés dans le cadre des numéros de cirque. Nous nous sommes rencontrés à l'intérieur du chapiteau et quand Tobias a commencé à parler des Sept Sceaux, les phoques à l'extérieur ont commencé à aboyer et à faire toutes sortes de bruits amusants. C'était hystérique!

 

Quelques jours plus tard, il y a eu un autre événement au lac de Constance et mon frère et moi avons conduit Geoff et Linda de Suisse à la frontière allemande et les avons remis à l'hôte de cet événement. C'est à ce moment-là que Norma et Garret ont voyagé avec eux et nous avons bien ri.

 

SM: Vous êtes aux États-Unis maintenant. Comment est-ce arrivé?

 

MARC: Je suis venu à un Shoud à Coal Creek plus tôt cette année-là et j'ai rencontré ma femme, Jane, lors de mes voyages dans le Colorado. Et, comme on dit, le reste fait partie de l'histoire.

 

SM: Que faites-vous pour Crimson Circle?

 

MARC: Je suis le directeur artistique du magazine Shaumbra et je crée la mise en page du magazine chaque mois. C’est le principal projet que je fais pour le Crimson Circle et je l’apprécie beaucoup.

 

Marc Ritter 2

Je suis également le directeur adjoint du studio et je travaille avec Peter Orlando pour m'assurer que tout se passe bien avec nos productions à la pointe de la technologie. Et je crée les décors de scène avec Peter, j'aide à résoudre les problèmes techniques et réinitialise le studio au besoin pour les différentes productions. Il en va de même pour la Villa Ahmyo à Hawaï. Peter et moi avons construit le studio de production dans le pavillon et nous y avons également fait quelques Shouds et productions.

 

Et le dernier mais non le moindre, je suis l'un des caméramans lors de l'enregistrement des événements  et des Shouds.

 

SM : Quelles sont les compétences que vous avez apportées à ce travail ?

 

MARC: J'ai de nombreuses compétences! Je suis freelancer (un travailleur indépendant) et j'adore être créatif sur ordinateur avec toutes sortes de créations, de dessins, de photographies et de productions vidéo. J'aime aussi faire du travail physique au studio. Au fil du temps, j’ai réalisé de nombreux projets variés pour le Crimson Circle. Par exemple, j'ai créé le premier site Web DreamWalker Death, j'ai aidé à concevoir l'ancien site Web Awakening Zone, l'ancien site Web Adoula, et un tas d'autres projets. Environ six mois avant que nous ne déménagions de la salle de réunion de Coal Creek Canyon au studio de Louisville, j'ai commencé à travailler tous les mois à la caméra pour les Shouds et depuis lors, je suis presque toujours à la caméra.

 

Grâce à tout cela, ainsi qu'à la reconfiguration, la mise à jour et même le déplacement d'une partie de la technologie du studio avec Peter, j'ai une bonne compréhension de la configuration du studio et de son fonctionnement. J'ai également suivi une formation polyvalente pour le poste de directeur technique en tant que remplaçant de Peter.

 

SM: Quelles sont vos parties préférées du travail, ainsi que les parties les plus difficiles?

 

MARC: J'adore créer le magazine chaque mois. C'est amusant de travailler avec Geoff et Jean et toujours excitant de voir comment cela va se terminer. J’aime aussi beaucoup travailler en studio, collaborer avec Peter à la création des décors de scène, et parfois même travailler à Hawaï. Je veux dire : à quel point c'est génial? C’est une joie de faire partie des productions et de l’équipe qui crée toutes ces excellentes versions de produits en ce moment.

 

Marc Ritter 3

Ce qui est difficile, c’est de gérer les énergies pendant toutes les grandes projections, comme nous l’avons fait cet été. Les énergies peuvent vraiment être très intenses et c'est éprouvant. Vous pensez qu'il s'agit simplement de rester assis là et de faire fonctionner une caméra, mais non, c'est bien plus que cela. C'est vraiment éprouvant, surtout quand vous avez un grand événement après l'autre. C'est une sorte de défi parce que je sens les énergies entrer et circuler à travers moi. Je trouve que c'est particulièrement perceptible quand je fais fonctionner la caméra parce que je suis «dans la zone», pas vraiment en train de réfléchir mais de suivre le talent (la personne sur scène). Comme il ne s'agit pas tant d'une chose mentale que visuelle, je sens vraiment les énergies qui se déplacent et qui peuvent être assez effacées après les séances.

 

Marc Ritter4Préparation de Santa Fe 2019 avec Peter Orlando et Larry Bluhm

 

 C’est un objectif totalement différent de celui, par exemple, d’occuper le siège du directeur technique. Il faut ensuite s'assurer que les microphones sont allumés et à un bon niveau, que les bandes tournent, que tout est bien diffusé, etc. Vous êtes beaucoup plus occupé mentalement à tout vérifier qu'à faire partie de la production. Être directeur technique peut également être un défi, car il faut faire attention à ne pas se laisser distraire par le matériel.

 

Au poste de directeur que Jean occupe, l'objectif est également différent. Vous devez vraiment faire attention à ce qui se passe, à la caméra qui est en direct et à ce que vous diffusez en continu. Vous devez être un peu «en avance» sur ce qui se passe pour vous assurer que tout fonctionne au bon moment. Lors de l'utilisation des caméras, nous nous concentrons sur le suivi du talent, nous observons de près le cadrage et les mouvements de la caméra, totalement dans l'instant. Chaque position est un peu différente.

 

Marc Ritter 5

SM: Dans l'ensemble, qu'est-ce qui vous passionne dans la vie et y a-t-il quelque chose que vous aimeriez que Shaumbra sache sur vous?

 

MARC: J'ai une passion pour le design/la conception, avec laquelle je combine et laisse couler dans tout ce que je fais. J'adore l'art, la photographie, l'architecture, le graphisme, la conception de produits - tout ce qui a trait vraiment au design. Je suis juste fasciné, ou vous pourriez dire, obsédé par ça. J’aime aussi les voitures et les conduire, c’est une autre grande passion. Et, bien sûr, être sur ce chemin avec tous ces autres Maîtres en ce moment.

 

Marc peut être contacté via son site internet 

 

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Interprétation de Feolla   feolla.ca@gmail.com        https://quatorze.blog4ever.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



09/11/2020
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