Quatorze

L' AVENTURE LA PLUS FOLLE  DE TOUTES

Par Thalía Güido Z

Shaumbra Magazine, Décembre 2022

www.crimsoncircle.com

Nous sommes en 2022 et je viens d'avoir 33 ans.

J'ai atteint l'âge du Christ lors de l'effondrement total d'un monde, au milieu du début du Temps des Machines. Le chaos règne sur Terre et nous vivons le rêve le plus fou, la transformation la plus radicale et absolument réelle de tous les temps : incarner tout ce que nous sommes tout en restant sur Terre pour faire briller notre lumière. Et, pour ne pas décevoir, cet anniversaire ne ressemblait à aucun autre.

J'ai choisi de le célébrer avec un voyage en solo dans les montagnes du Mexique dans la ville magique de Tepoztlán, Morelos avec mes deux chiens : Laisha, une race mixte de 14 ans qui ressemble plus à un labrador jaune et Ticho, un Phu Quoc vietnamien de taille moyenne de 4 ans, tigré semi-loup avec le visage et l'attitude d'un ours en peluche.

J'ai séjourné dans un hôtel isolé près des collines, entouré d'une nature et d'une beauté luxuriantes. Mon plan d'anniversaire était de me détendre et d’aller faire une petite randonnée le lendemain, dans les collines.

Et pourtant, j'avais quelques craintes persistantes à propos de cette journée particulière. Après avoir abandonné 98% de mes amis, cela allait être ma première fête d'anniversaire en solitaire, et aussi, j'avais fait des cauchemars ces derniers jours. L'un d'eux était un rêve lucide et c'était la question centrale de ce qui se passait vraiment.

Comme une remarque nécessaire, le meilleur canal de communication entre moi et mon âme a été le monde des rêves. Avant de rencontrer le Crimson Circle et Adamus, j'étais à peine sobre, aussi mon processus d'éveil et même ma Réalisation se sont produits en premier dans mes rêves. Ils sont ensuite devenus des potentiels que je pouvais télécharger au fur et à mesure que je m'ouvrais de plus en plus à moi-même et que je laissais disparaître mon ancienne identité ; une identité qui avait une relation bien ancrée avec la nostalgie et la douleur.

Il y a un an, mon partenaire et moi avons rompu, un processus insensé car cela s'est produit peu de temps après ma Réalisation. C'était dévastateur pour mon aspect humain. Je pensais que si jamais j'épousais quelqu'un un jour, ce serait cet homme. Au lieu de cela, ce fut une rupture très douloureuse qui a apporté de nombreux aspects blessés à la présence du Maître pour être intégrés, en synchronisation avec la perfection d'avoir fait le choix conscient de tomber profondément amoureuse de moi-même.

J'avais, dans l'intimité totale de mon propre silence et de ma solitude, pris la décision du cœur de me choisir. « Je me choisis moi, avant tout. » Trois jours plus tard, mon ex est venu me dire qu'il n'était tout simplement plus amoureux de moi. J'avais l'impression que j'allais mourir. Et c'est ce que j'ai fait.

Pendant notre relation, il avait tendance à me mettre à terre. Il était une expression de mon énergie masculine déséquilibrée, et je vivais donc dans l'illusion qu'il était ma stabilité, celui qui me ramènerait les pieds sur terre lorsque j'étais hors de cette réalité. Son sarcasme britannique et son sens de l'humour me rappelaient qu'il y avait des choses plus agréables dans la vie que la souffrance, et maintenant il n'allait plus être là. Nous avons décidé de cesser tout contact afin de pouvoir nous détacher complètement l'un de l'autre, et je sais que certains d'entre vous comprendront quand je dis que ce n'est pas la chose la plus facile à faire.

Maintenant, laissez-moi vous raconter le cauchemar lucide que j'ai fait une semaine avant mon voyage d'anniversaire. Ce rêve était la toute première fois que je voyais ma conscience telle que mon cerveau l'interprète. Cela a commencé dans le vide. J'ai vu 3 majestueuses et gigantesques bulles translucides et colorées, chacune différente et comme un océan en soi. De ces bulles sortait une projection de lumière, comme si on regardait un film dans une salle de cinéma. Les trois faisceaux lumineux se sont combinés pour former un seul carré, et quand je l'ai regardé, j'ai été immergée dans une réalité 3D, comme si je sautais dans un tableau.

Ensuite, je me suis retrouvée dans un vaisseau spatial avec ma meilleure amie Maître Amará. Nous allions visiter un endroit pour son anniversaire, qui précède de peu le mien. Dans notre engin de transport, nous sommes allées dans une ancienne forêt européenne, une expérience sublime, mystique et sensuelle. Nous avons parlé avec des fées et elle n'arrêtait pas de me montrer ses mains. Nos conversations portaient toutes sur le fait de permettre et ce que cela signifie réellement dans la pratique. Nous avons respiré toute la forêt.

L’étape suivante était mon anniversaire et je nous avais emmenées dans un endroit en Inde où il y avait des petits enfants cannibales qui avaient très faim. Dans mon rêve, j'étais complètement victime, pleurant parce que je nous avais emmenées dans un cauchemar. Elle s'est tournée vers moi et m'a dit : Thalí, tu vois ?! Permettre est la même chose dans la forêt que dans le cauchemar. Il n'y a rien de mal à ce que nous soyons ici, nous amenons ces petits démons à la lumière de notre conscience. Il ne nous arrivera rien. C'est un cadeau. Il faut juste continuer à se laisser aller ! Aïe ! Dit-elle, tout en arrachant les bâtards effrontés/ insolents comme s'ils étaient des épines miniatures au bout de ses doigts. « Aïe ! Lumière lumière!" Nous avons ri ensemble.

J'ai parfaitement compris ce qu'elle voulait dire; Je n'avais qu'à faire la même chose que nous faisions dans les bois. C'est si simple ! Peu importait que l'expérience soit désagréable pour l'esprit/le mental, il s'agissait de permettre et de l'inspirer. Puis nous sommes retournées au vaisseau spatial et je me suis réveillée.

Passons maintenant au 14 septembre 2022. J'ai eu un anniversaire étrange avec beaucoup d'émotions mélangées et beaucoup de permettre. Le lendemain, j'ai passé du temps à profiter de la piscine et je suis partie pour notre petite randonnée plus tard que prévu. J'ai pris les chiens et j'ai quitté l'hôtel vers 17h30. Le coucher du soleil ici se produit vers 20h30, alors j'ai prévu de marcher pendant une heure, puis de faire une randonnée complète le lendemain.

La nature était si enchanteresse que Ticho, Laisha et moi avons continué à marcher et à gravir les collines de la forêt tropicale. Nous avons atteint une petite chute d'eau, et je me suis dit que nous étions vraiment chanceux ! Il était déjà près de 19 heures et j'ai commencé à m'inquiéter pour le retour. Il y avait deux façons de revenir : le beau sentier d'aventure ou marcher le long de l'autoroute. Ticho m'a regardée et a insisté sur l'aventure. Le chemin semblait clairement indiqué, même s'il traversait la forêt, alors j'ai choisi l'aventure  Qu'est-ce qui pourrait mal tourner si nous n'avions besoin que de descendre?

Tout se passait bien jusqu'à ce que nous atteignions un mur de montagne et que le chemin disparaisse. Je n'avais aucune idée de la distance que nous avions déjà parcourue et le soleil se couchait. Ma nervosité a augmenté, et quand j'ai vu que mon téléphone n'avait pas de signal, j'ai commencé à paniquer. Je n'arrivais pas à retrouver le chemin du retour et je n'entendais plus la cascade. Oh putain ! Nous étions perdus.

Je me suis sentie terrifiée. En me souvenant de mon ex, j'ai ressenti une douleur et une absence terribles. Il avait l'habitude de me calmer quand j'avais des crises d'angoisse, chaque fois que je me sentais en danger ou dépassée par le monde. Il était mon filet de sécurité. Maintenant, pouvez-vous imaginer tout ce qui me rendait visite dans l'obscurité boisée ? Outre le doute de soi, il y avait des aspects des vies antérieures : l'orpheline, la jeune fille déséquilibrée attendant d'être secourue, la mère craintive et contrôlante, l'enfant blessée qui a dit : « j'ai merdé », la reine impuissante qui aimait jouer la victime dans le paysage de ses jeux de pouvoir. Celle qui a perdu l'amour et s'est sentie suicidaire. L'ange lâche. Le pionnier qui a dépassé les limites du premier cercle de la Création, qui s'est effondré dans un Mur de Feu et qui était maintenant complètement perdue dans la dualité et seule.

J'ai crié à pleins poumons en demandant à l'AIDE ! Bien sûr, j'ai invoqué Adamus, Kuthumi, Tobias, Yeshua, Quan Yin, et ne pas avoir de leurs nouvelles m'a plongée encore plus profondément dans le désespoir. Mais leur compassion est si grande qu'ils m'ont permis d'affronter mes peurs les plus profondes et les plus cachées, celles qui vivaient dans le sous-sol du sous-sol sous un tapis avec des serrures, enfouies dans un cachot. Non seulement cela, ils me permettaient de faire l'expérience - de mon propre choix et d'une manière vraiment réelle - de devenir mon propre héros.

J'ai continué à essayer de trouver le petit chemin pour pouvoir retourner à la cascade mais, étant complètement investie dans la panique, je me suis permise de prendre les pires décisions.

J'ai commencé à sauter, à traverser et à détruire les clôtures comme une folle. J'ai enlevé les cadenas et je les ai jetés dans l'herbe en criant : « Je n'ai pas le temps de réparer votre clôture, nous avons besoin de vivre !!! (Avec le recul, j'ai trouvé cela assez drôle.) J'avais aussi peur que les chiens de garde des propriétés dans lesquelles je pénétrais par effraction ne sortent, car Ticho n'a aucune agressivité même lorsqu'il se fait attaquer (il est du genre « attrape-moi si tu peux ») et à 14 ans, Laishita est une senior. Et, bien sûr, ces collines et ces vallées sont bien connues pour être le territoire des narcos, ce qui a ajouté au cocktail de peur.

C'est alors que le tonnerre a fait son apparition. Nous étions dans l'obscurité absolue, pas même la lumière de la lune n'était visible à travers les arbres, et nous étions entourés de troncs d'arbres brisés, de rochers et de forêt tropicale humide. Dieu merci, j'avais la lampe de mon téléphone, et en un éclair de signal j'ai pu voir la carte. Nous étions loin de toute route ou autoroute visible, mais avoir la carte à portée de main m'a beaucoup aidée.

Chaque fois que je criais, mes chiens devenaient de plus en plus anxieux, et avec le tonnerre et la pluie, plus les fusées des fêtes patriotiques en ville, ils perdaient la tête. (C'était le jour de l'indépendance du Mexique, nous pouvions donc entendre les festivités au loin.)

Pendant un moment, j'ai cru que ça ne pourrait pas être pire. Puis je me suis dit : OK ASSEZ ! ARRÊTONS-NOUS ET PRENONS UNE RESPIRATION PROFONDE. Bien que l'idée de faire un arrêt complet dans un endroit bien connu pour ses serpents venimeux, ses araignées et ses scorpions me fasse trembler, je savais que j'avais juste besoin de revenir à mon centre.

Je me suis arrêtée et me suis permise de sentir la pluie. J'ai respiré profondément, bu un peu d'eau et même fait pipi. Le tonnerre a de nouveau retenti et un de mes chiens a essayé de s'enfuir, alors je l'ai poursuivi sans pantalon. Je pouvais entendre les rires de tout le Club des Maîtres Ascensionnés, et mon âme pleurait de rire : Quelle expérience nous vivions!

Tout en respirant, j'ai commencé à sentir mon Gnost. Je me suis souvenue de l'histoire du cristal d'Adamus et de l'histoire du "J'Existe" de Geoffrey lorsqu'une pierre allait le frapper. C'était mon énergie qui me disait que si je me mettais/ me sentais dedans, alors je m'en sortirai. Je me suis souvenue des paroles de mon amie Amará : Fais d'abord un choix conscient, puis permets-le simplement sans attentes. Mon âme m'a murmuré: Relâche le contrôle, tu es entre mes mains. Tout va bien.

J'ai commandé mon énergie à haute voix : Je Suis pure conscience ! J'Existe! Je commande à toutes mes énergies de  me servir en toute liberté ! Je Suis ce que Je Suis!!!!

Tout est revenu comme une étreinte chaleureuse, comme une bulle magique qui m'enveloppait. Mon cœur se sentait tenu dans un amour absolu délectable et savoureux, même au milieu de la panique. À ce moment-là, j'ai ressenti la conviction absolue que j'allais nous sortir de là, moi et mes chiens, sains et saufs. J'ai fait la supposition la plus profonde, et je l'ai accompagnée en mettant toute mon énergie et ma concentration à la ressentir de tout mon cœur et de tout mon être. J'ai même dit: je serai de retour avant qu'ils ne ferment le restaurant et je commanderai un mezcal et une cerveza avec Clamato, et j'aurai une pizza entière pour moi!

Il n'y avait plus de place pour la peur, car elle m'avait littéralement emmenée nulle part et nous avait perdus encore plus. Maintenant, je devais embrasser ma sagesse avec l'avatar de mon choix : la guerrière intérieure et la princesse intrépide Xena.

Je devais devenir mon propre homme, guidé par mon intuition féminine. Je devais me ramener à la plénitude, être pleinement présente et être la stabilité dont j'avais besoin pour nous sortir de là. Et je savais que si je retombais dans la dualité et la peur, les choses pourraient vraiment empirer. C'est ici que les choix conscients deviennent une baguette magique.

J'ai continué à marcher avec les chiens et j'ai atteint une fourche ouverte sur le chemin. Un côté était un peu plus clair car il n'y avait pas beaucoup d'arbres, et l'autre ressemblait à une grotte sombre car je ne voyais que des pierres.

Sur le chemin le plus sombre, des lucioles scintillaient. Ma tête me disait de prendre le chemin le plus visible ; mon intuition n'était pas d'accord mais, effrayée par l'obscurité, j'ai suivi mon esprit/mental. Après avoir marché pendant 20 minutes, j'ai trouvé une énorme maison de type château super effrayante à côté d'une plus petite maison, vide. J'étais à l'intérieur de la propriété, devant un immense porche qui comportait plusieurs serrures fermées et des chaînes. Mon rêve m'est revenu : Continue à permettre. Reste derrière le petit mur des jugements et des opinions de l'esprit/du mental. Nous allons y arriver !

J'ai pensé que nous devions être proches de l'autoroute si nous étions déjà en train de traverser des maisons, mais je ne me sentais pas en sécurité à cet endroit. Quand je suis revenue à la fourche, les lucioles étaient toujours sur le chemin le plus sombre, et j'ai réalisé de la manière la plus littérale ce que signifie vraiment suivre aveuglément son cœur. Alors que je marchais vers ce qui semblait être le chemin le plus dangereux, les lucioles ont volé plus loin. Oh, j'ai compris ! Elles nous guident ! J'ai réalisé que c'était le lit d'une rivière asséchée.  Les pierres étaient énormes et glissantes, mais mon cœur me disait : Suis la rivière, laisse-toi porter par le courant.

C'est ce que j'ai fait. Nous avons continué à marcher, et soudain je suis tombée sur ce qui semblait être des œufs récemment éclos, de la même taille que des œufs de poule. Putain ! Ce sont des serpents ! Je me suis souvenue de mes Droits de Maître : Je Suis en Sécurité! Et en parlant aux animaux, en supposant que chaque chose, quelle qu'elle soit, est mon énergie, je leur ai dit que je suis un Maître et qu'il n'était pas nécessaire de venir nous saluer.

En continuant à marcher, j'ai trouvé le squelette d'un autre animal, mais les lucioles étaient nos guides scintillants. Bientôt, j'ai entendu les bruits des fêtes se rapprocher et j'ai su que nous étions près de l'autoroute.

Soudain, nous avons atteint un mur de ravin escarpé, de peut-être 3 m de haut. J'ai essayé de trouver un moyen de le contourner mais il n'y avait pas d'autre issue que de descendre. Je me suis d'abord précipitée pour trouver le chemin, puis je suis revenue chercher chaque chien, un par un, en les portant d'un bras. À ce stade, je me sentais comme mon propre Chuck Norris, jusqu'à ce que – pum ! – J'ai glissé avec Laisha et nous avons roulé comme une boule de neige.

Miraculeusement nous allions bien toutes les deux ! Je me suis cogné la tête et les genoux, mais je n'ai ressenti aucune douleur et je n'avais pas d'os cassés, de chevilles tordues ou d'entorse musculaire. J'ai vu Ticho avec son gilet à mi-chemin sur son corps et c'était une scène tellement hilarante que j'ai éclaté de rire. C'était un tel soulagement !

Nous avons marché pendant encore 10 minutes et – voila ! – nous avons atteint l'autoroute. Au moment précis où nous y sommes arrivés, deux femmes du coin passaient avec leurs propres lampes. Je leur ai dit que je m'étais perdue dans les montagnes et leur ai demandé si elles savaient comment aller à mon hôtel. La compassion dans leurs yeux m'a rappelé Adamus et Kuthumi, et j'ai su que j'étais avec mes amis bien-aimés. Les femmes m'ont dit que j'étais encore loin de chez nous mais qu'elles connaissaient un raccourci, et en quelques minutes elles nous ont conduits à la porte de mon logement. Elles ont décliné mon offre de boisson, j'ai leur exprimé mon amour et leur ai souhaité bonne nuit, sachant que j'étais en interaction avec ma propre énergie.

Le cauchemar était terminé et nous étions absolument sains et saufs. J'ai eu ma pizza Margherita et mes boissons. Les chiens ont eu droit à leurs friandises aussi, et les employés de l'hôtel m'ont raconté des histoires terrifiantes sur le nombre de personnes qui se perdent dans la forêt pendant des semaines et sur le nombre de celles qui ne s'en sortent pas pour raconter leur histoire. « Je ne sais pas si vous croyez en Dieu, mais vous avez eu beaucoup de chance ! », m'ont-ils dit.

Ce n'était pas une question de chance, répondis-je. C'était une question de confiance absolue et aveugle. Pas de confiance en un Dieu aléatoire quelque part, pas dans les Maîtres Ascensionnés, pas dans le Crimson Circle, pas dans  la bonté de Gaia ou les élémentaux des collines de la forêt tropicale, pas dans les cristaux ni les porte-bonheur, pas même dans mes chiens. C'était une confiance totale, pure et inconditionnelle en rien d'autre que Mon Soi.

Thalía est une âme intrépide qui a mis trop de vies à réaliser qu'elle n'était pas les arbres mais la forêt elle-même. Née et élevée au Mexique, elle était une militante  des droits de l'homme et journaliste d'investigation pour le grand média mexicain El Universal et reporter pour Playboy Magazine, jusqu'à ce que le potentiel d'illumination ruine sa carrière. Elle a laissé derrière elle cette vie triste, traumatisante et misérable et s'est finalement permis de profiter de la vie. Elle a vécu quatre ans en Asie du Sud-Est, principalement à Hanoï, au Vietnam, et est maintenant de retour au Mexique, où elle incarne son Soi et découvre tout un univers dans le monde de la fabrication de shampoings naturels, donnant vie à ses propres créations à travers des arômes sensuels issus d'activités sauvages et cosmiques. Thalía est en train de créer sa propre entreprise appelée « De lo Cósmico & Salvaje » (Du cosmique et du sauvage) avec sa meilleure amie Agné Viliutè (Amará), et peut être contactée par e-mail :thalia.guido.ze@gmail.com

Interprétation de Feolla  

feolla.ca@gmail.com    www.quatorzenouvelleenergie.com