Long chant et paroles d’ouverture
Mes Très Aimés, quelle joie, quel plaisir, quelle réjouissance de chaque cellule, de m’adresser à vous ! Je sens vos cellules modifiées, régénérées, transformées, simplifiées, ou complexifiées selon le regard que l’on pourrait y porter, car vous avez considérablement changé.
Ne vous fiez pas aux apparences qui donneraient à penser, avec votre moi limité, que vous n’avez pas changé, car cela n’est vraiment qu’illusoire : croyez-moi, vous avez considérablement changé ! Vous êtes rayonnants, vous êtes splendides, vous êtes puissants, vous êtes beaux, vous êtes libres, vous êtes sages, vous êtes créateurs – du moins, vous avez tout ce qu’il faut, ou presque. Il vous manque encore quelques petits paquets de données, mais cela est conjoncturel, car vous avez également à vous assujettir à certains cours des événements cosmiques, qui font que vous ne pouvez pas aller plus vite que ce qui vous entoure et que ce qui vous fait être, tous à la fois, ensemble, avec la Terre et le Système Solaire.
C’est moi, Eloha, Mère Elohim Créatrice, qui m’adresse à vous.
Que chaque cellule, que chaque atome de vos corps et de vos lumières soient en Joie -mais ils le sont-, soient en Vérité -et ils le sont-, soient en pleine potentialité -et ils savent l’être.
Je remarque, de toute ma tendresse, qu’en ce moment vous ne riez pas beaucoup. Je crois en saisir plus ou moins les raisons… Mais sachez que vous ne devez pas vous attacher à ces raisons disons événementielles, ou de séparation telles que Marie-Isis les a évoquées, car vous êtes réellement en état d’outre-passer, de par vos Êtres, ces aspects circonstanciels qui – nous le savons – font partie du processus qui vous permet de vous libérer de vos vieilles enveloppes, et cela est long… Mais sachez donc que le rire n’est pas exclu.
Le rire est une activité non seulement saine, mais libératrice, activante, et par là-même propice aux états de création. Il ne s’agit pas, bien évidemment, de rire de façon lourde pour des choses qui ne sont pas réellement élevantes. Il ne s’agit pas de rire de qui que ce soit; mais vous pouvez rire de vous-même en revanche, et cela, je ne saurais trop vous y inviter.
Que chacun sache rire de ce qu’il n’est plus et de ce qu’il croit encore être, tout en sachant qu’il ne fait que croire l’être, alors qu’il sait qu’il ne l’est pas !…Vous jouez à cache-cache avec vous-même, mes Très Chers. Vous mettez, vous retirez votre Masque, vous jouez à colin-maillard avec vous-même, mais sachez au moins en rire ! Riez, riez, amusez-vous ! Sinon, vous êtes simplement enchevêtrés dans les ficelles qui attachent votre Masque, et ça n’est pas très drôle, n’est-ce-pas ?
Nous allons donc jouer à quelque chose. Je vais donc vous inviter à bien regarder votre Masque. Et quand je parle de Masque, de désigne le visage et la forme de l’individu social et de convention – que vous appelez aussi votre personnalité – qui vous sert de vêtement et de véhicule, dans cet environnement que vous croyez encore extrêmement réel. Ainsi donc, ceci étant désigné comme le Masque, je vous invite d’une part à le reconnaître comme tel, d’autre part à le regarder… Et qu’est-ce qui n’est pas le Masque ? direz-vous. Eh bien vous le savez très bien, je ne vais pas vous le décrire. Ce qui n’est pas le Masque, c’est Vous, c’est Toi, c’est ta Vérité, ta Joie, ton Entièreté, Toi qui est capable de rire.
Regardez donc bien ce Masque, regardez-le avec amour, avec affection, avec bienveillance, car il vous appartient, il vous est familier, il vous est encore utile dans un certain nombre d’interactions, et par confort. Mais justement, ce confort : est-il véritablement, mes Très Chers, confortable de porter un Masque jour et nuit ? Cela ne vous colle-t-il pas au visage ? Cela ne vous gratte-il pas les oreilles d’avoir cette chose accrochée, reposant par cette ficelle, un peu de guingois, sur vos oreilles qui servent à bloquer sa chute? Eh bien enlevez vos oreilles pour que sa chute s’accomplisse ! Vos oreilles ne vous servent à rien ; vous pouvez entendre sans les oreilles. Ne croyez pas que je plaisante… Je sais que vos oreilles, celles de votre corps physique, sont un bien précieux. Et même que l’oreille contient (en résumé) l’accès à un grand nombre de programmes. Néanmoins, je vous affirme que vos oreilles ne vous servent pas à entendre et qu’elles ne servent pas non plus véritablement, utilement, à maintenir ce Masque en position.
Nous allons donc établir un petit protocole pour jouer à retirer le Masque, sans le perdre, car je sais que beaucoup d’entre vous craignent de le perdre – et je respecterai ce petit travers. Car c’est à vous qu’il appartient – et à vous seuls – de choisir que vous ne craigniez plus de le perdre. Je ne vous forcerai pas.
chant
Eh bien, dites-vous que ce chant, vous ne l’avez pas entendu avec vos oreilles, et cela est la réalité. Vous allez donc considérer que vous n’avez plus d’oreilles. Avouez que c’est amusant et que c’est libérateur : vous allez pouvoir vous coiffer autrement… Je plaisante ! Comment donc ce Masque peut-il à présent être regardé ? Je sais qu’il vous est cher et je sais que vous aimez, beaucoup même – et je concède que cela est important -, vous aimez vous trouver beaux, vous aimez vous trouver cohérents -et cela est encore plus important, d’où l’importance que vous accordez au maintien cohérent de ce Masque. Nous allons donc admettre parfaitement qu’il est cohérent, et nous allons cependant décider de le poser tranquillement, à côté… On pourrait proposer de le remiser, mais cela est un choix qui vous appartient. Nous jouons simplement à l’enlever, et vous vous apercevrez que le Visage qui est derrière est non seulement parfaitement cohérent, mais parfaitement beau, parfaitement structuré, et qu’en plus il vous plait davantage que le Masque. Pour cela, vous allez écouter – et non pas avec vos oreilles que vous avez enlevées mais avec vos véritables organes d’audition – la suite de ce chant.
le chant se déploie en silence, se clôt par de brèves modulations sonores
Et bien que vous le croyez ou non à présent, mes Très Aimés, mes tendres Aimées Créatures, votre Masque est déposé pour les instants que vous choisirez de laisser durer. Vous pouvez ne plus le remettre; vous pouvez le remettre dès que vous en aurez besoin : cela vous appartient. Néanmoins, je vous ai fourni là un code tout à fait précis qui vous permet de déposer ce Masque…N’utilisez pas votre mental pour comprendre et croire ce que je vous dis, car vous vous y perdriez, et vous seriez encore une fois prisonniers, englués dans votre Masque.
Nous allons passer maintenant à l’étape suivante de mon Jeu, qui consistera à vous regarder sans votre Masque. Comment faire ?
Je vais vous inviter à vous regarder intérieurement (il ne s’agit pas d’aller vous mettre devant un miroir !). Vous allez donc focaliser intérieurement votre regard, d’abord sur votre gorge, précisément là où vous avalez votre salive. Et puis vous allez suivre, en direction de votre coeur, cette merveilleuse goutte de salive qui descend comme une petite lumière pour vous aider… Et vous allez focaliser votre regard, intérieurement, vers le point de votre coeur que je vais désigner :
bref énoncé en langue stellaire
Je vous rappelle que vous avez laissé votre mental dans votre Masque, et que donc les indications que je vous ai données sont parfaitement intelligibles, évidentes, limpides. Vous êtes en train de vous regarder… Vous n’allez pas tout de suite comprendre que vous êtes en train de vous regarder, et cela était prévisible. Simplement, nous allons maintenir cet état. Rappelez-vous que c’est un Jeu, un Jeu de « j’enlève mon Masque, et je suis tellement bien sans mon Masque ». Et pendant que vous vous regardez, je vais simplement vous envoyer quelques sons, pour supporter cette situation disons, en musique…
chant
Est-ce que vous commencez à Vous voir ? Est-ce que vous acceptez de voir que Vous voyez ? Est-ce que vous acceptez de Vous reconnaître, d’être en face de Vous-même ? Si vous croyez ne rien percevoir, ne rien saisir, ne rien voir ni ne rien comprendre, soyez en paix car cela va se faire… Je ne fais que vous transmettre ce qui vous permet de le faire en toute quiétude. Et par conséquent, soit c’est déjà là, soit cela va se produire, peut-être plus tard, peut-être demain, peut-être très vite. Les clés sont données, les oreilles qui tiennent le Masque sont dévissées… Façon de parler : vous savez que nous aimons jouer !
Je vous invite encore à poursuivre votre contemplation. Que la vibration de mon chant vous permette de réaliser cela encore quelque temps. Ce chant est sans prétention : il est simplement Présence.
chant
silence, contemplation
Je sais que vous reconnaissez la beauté et la cohérence magnifiques de ce Vrai Visage. C’est le Visage que vous avez à la Maison – cette Maison de l’Instant, où ma vibration de Marie-Isis vous attend. C’est le Visage de votre Joie, de votre Présence dans l’Unité. Reconnaissez que vous aimez le porter, le montrer…
silence, contemplation
Ainsi, mes Très Aimés, est le but de notre Jeu. J’espère que ce Jeu vous plait et que vous le referez. Vous pouvez le refaire, chacun, tout seul, ou en groupe, chaque fois que vous en avez envie. Et j’espère, peut-être, que vous aimerez ne plus considérer cela comme un Jeu mais comme une réalité, et laisser votre Masque définitivement là où vous le laisserez. Je sais qu’aujourd’hui, comme je l’ai dit, vous craignez encore de le perdre : apprenez à vous en détacher, si cela n’est déjà en cours. Ce Jeu que je vous ai proposé est une autre approche des exercices de détachement que vous pratiquez déjà, et je le sais.
Nous avons installé dans ce Jeu un petit programme, bien utile, pour vous aider à déconnecter d’un switch votre Vrai Visage de votre Masque. Apprenez à profiter de ce programme.
Je vous aime, je me réjouis en toutes vos cellules, en toute joie. Que vous êtes beaux, que vous êtes cohérents, comme vous avez changé, comme cela est magnifique ! Vous êtes puissants, vous n’avez plus besoin de votre Masque, mes Aimés, il vous enferme. Sachez dénouer ses ficelles et libérer vos oreilles. Sachez vous aimer pour ce que vous êtes, et non pas pour ce Masque que vous entretenez encore.
Je suis Eloha, Mère Elohim Créatrice. Je vous aime à l’Infini, et je vous salue.
Alleluiah
via Christine Anne K. le 24 janvier 2012
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