Quatorze

CHER MAÎTRE

Compilé par Carolina Oquendo

Shaumbra Magazine Février 2023

www.crimsoncircle.com

Cher Maître répond aux questions courantes qui reviennent souvent au cours de votre voyage. Chaque réponse ci-dessous est un extrait d'un message d'Adamus trouvé dans la bibliothèque des canalisations gratuites.

CLIQUEZ ICI  pour voir tous les articles Cher Maître.

Q : POURQUOI EST-CE QUE JE CONTINUE DE ME SENTIR INVALIDE ?

R : LE DERNIER HOURRA DE LA SOUFFRANCE

Question : Cher Maître, pourquoi ne puis-je pas me débarrasser du sentiment tenace que j'ai besoin d'aider les autres ou d'être toujours là pour ma famille ou de faire quelque chose d'important pour me sentir digne ? Et même quand je le fais, ça ne va toujours pas ?

Réponse : Parce que cela vous occupe l'esprit. Cela vous fait vous sentir bien dans votre peau. Vous pensez que vous faites ce qu'il faut pour aider les autres. Vous avez quitté ce rôle lorsque vous avez cessé d'être un détenteur d'énergie pour la planète, lorsque vous avez commencé à vous éveiller véritablement. Et maintenant, il s'agit de vous. Vous êtes la cause de vous-même (…)

Rien dans votre vie ne devrait être plus important que votre liberté et votre illumination. Ni votre travail, ni votre famille, ni vos enfants, ni votre santé, ni votre statut, ni aucune récompense sur votre poitrine.

Question : Est-ce que ça ne ferait pas de moi une sorte de psychopathe si j'arrêtais de m'occuper et de ressentir de l'empathie pour les autres parce que j'arrêterais de « souffrir » ?

Réponse : Je ne dis pas de ne pas le faire, mais ne le mettez pas devant vous. Cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas s'en occuper. Mais prenez soin d'eux en tant que Maître.

Il n'y a pas de compromis. Peu importe le nombre de gros mots ou de seaux d'eau ou de livres que vous gagnez ou les années que vous mettez sur votre âge ou vos mauvaises relations ou votre manque d'argent. Rien de tout cela n'a d'importance autre que la liberté… mais la souffrance ne peut pas coexister avec la liberté au sein d'une personne, au sein d'une communauté, au sein d'une planète. Cela ne peut tout simplement pas.

Liberté avec l'énergie, liberté avec soi-même, la souveraineté. Je dis cela parce que ce sera l'une des choses les plus difficiles que vous allez rencontrer : qu'il est très difficile pour ces deux choses de coexister – la souffrance et la liberté.

Question : Eh bien, ce n'est pas comme si je souffrais. Cela semble un peu trop dur. Je me sens juste mal à l'aise et peut-être un peu indigne…

Réponse : La souffrance – et j'utilise ce terme au sens large – cela signifie beaucoup de choses : la peur, la culpabilité, la honte, bien sûr. Cela signifie beaucoup de choses différentes. Appelez ça comme vous voulez - douleur, souffrance, culpabilité, remords, manque d'estime de soi - c'est la même chose. Tout est souffrance.

Et, au fait, vous êtes de très bonnes victimes. Vous tous, de bons malades. Vous avez fait du très bon travail avec cela. Certains d'entre vous l'ont poussé à l'extrême, mais cela faisait partie du jeu.

Question : Mais ne me suis-je pas libéré de tout cela avec tout ce que j'ai fait ces dernières années ?

Réponse : (Il y a) toute cette dynamique : une partie de vous (est) en train de devenir totalement libre, et il y a encore une partie de l'ancienne énergie et conscience de souffrance. Et les deux ne peuvent pas coexister. Alors, que va-t-il se passer ? Vous avez cette partie libre qui arrive, mais vous avez toujours la partie souffrante. Elle sait qu'elle est sur le point de disparaître, mais elle résiste.

Elle croit toujours qu'il doit y avoir un certain degré de souffrance.

Ressentez simplement à quoi ressemble cette dynamique, ce qu'elle va faire dans votre corps et même dans votre esprit/mental, et finalement qu'ils ne peuvent pas coexister.

Question : Si je suis conscient de cette « souffrance » et que je l'abandonne, pourquoi persiste-t-elle encore ? Pourquoi ne s'en va-t-elle pas tout simplement?

Réponse : Je généralise ici, ce n'est pas destiné à tout le monde (…) mais (la souffrance c'est endurer) son dernier hourra, son dernier combat. Cela va insister sur le fait que vous devez vous accrocher à une partie, alors cela va monter en vous, dans certaines expériences de votre vie.

Et la souffrance va essayer de vous dire - appelons-la simplement « l'aspect souffrance » - il va essayer de vous dire que vous devez l'avoir, que vous n'êtes pas digne d'être sans aucune souffrance, et certains d'entre vous vont le croire.

Les aspects sont vraiment bons pour vous tromper, parce que, eh bien, ils sont vous. Ils connaissent toutes vos vulnérabilités, vos points faibles et tout le reste.

Alors la souffrance va essayer de s'accrocher, et quand elle se rend compte que vous allez appeler son jeu, vous allez reconnaître que ce n'est qu'un aspect, alors elle va essayer de vous  supplier, de vous supplier. Il va faire le « Pauvre moi ». Je suis juste ce petit aspect souffrant et, écoute, tu  essayes de me jeter dehors.

Il va essayer de travailler sur vos sympathies et vos émotions. Il va essayer de vous culpabiliser, et il sait vraiment comment vous culpabiliser.

Cela semble un peu bizarre - Pourquoi voudriez-vous même souffrir? – mais cela trouvera un moyen de vous faire sentir mal à propos de cela et de vous-même.

Et que se passe-t-il quand cela ne fonctionne pas ? Lorsque vous dites à cet aspect que vous n'allez tout simplement pas l'accepter, que se passe-t-il ?

Eh bien - et je généralise ici - mais vient le Maître.

Le Maître a observé tout cela, comment cet aspect de souffrance vous a joué comme un violon. D'abord menaçant, puis commençant.

Le Maître n'a aucun amour, aucun respect, aucune ressemblance pour la souffrance - et le Maître va simplement se planter au centre/au cœur  de votre être, là où la souffrance essaie de travailler et sans dire un mot, sans rien faire, pas une chose, mais Être juste Là très Présent sans vaciller, sans broncher.

Tellement Présent dans la lumière du Maître, dans la sagesse du Maître que, eh bien, ce sera un peu comme cette énorme explosion alors que ce dernier morceau de souffrance est amené à la sagesse.

Ça ne va pas être facile. Ce ne sera pas comme une douce petite transformation duveteuse. Ce sera une grande explosion lorsque la souffrance sera amenée à la sagesse.

Vous le sentirez. En fait, ce sera une très bonne sensation. Cela pourrait vraiment secouer votre corps, cela va certainement secouer toutes les autres parties de vous, mais ce sera un tel soulagement quand toute cette souffrance sera finalement amenée à la sagesse.

Et c'est tout. C'est la fin.

>> Cliquez ici pour lire la suite de cet article <<

Source : Série Découverte : 6.11

// Série Kharisma : 4

// Série Passion 2020 : 2, 3

Interprétation de Feolla 

feolla.ca@gmail.com    www.quatorzenouvelleenergie.com