BATTEMENT DE COEUR SHAUMBRA - C’Est Pourquoi - Par Jean Tinder, Manager de Contenu - Shaumbra Magazine, Novembre 2023
BATTEMENT DE COEUR SHAUMBRA
C’Est Pourquoi
Par Jean Tinder, Manager de Contenu
Shaumbra Magazine, Novembre 2023
De nombreux éléments de mon histoire se sont mis en place au cours de ces 20 dernières années. La recherche constante, le désir ardent de comprendre le « pourquoi », la consternation face aux divergences religieuses sans fin, les attributs bien trop humains de « Dieu », le soupçon que j'ai réellement mon mot à dire dans la chorégraphie de ma vie. – tout cela et bien plus encore a trouvé une réponse, un accomplissement et une mise au repos. La vie a désormais un sens. Je sais d’où je viens, pourquoi je suis ici et où je vais – et non pas parce qu’une « autorité » me l’a dit. Cette connaissance est aussi réelle pour moi que mon expérience de cette journée. Ce fut un voyage incroyable, mais comme dans toute grande saga, il y a eu des pièges/ des embûches, des traumatismes, des erreurs d’orientation et des désastres sur le chemin qui mène au grand final.
Lorsque j'ai écouté pour la première fois Atlantis Rising (qui fait maintenant partie de la série Wound of Isis), je me souviens avoir été impressionnée et horrifiée par les histoires que Tobias racontait sur l'époque de l'Atlantide. Elles ont touché une corde sensible en moi; je savais que j'avais été là, et mes cellules mêmes se souvenaient à la fois de l'émerveillement et de l'agonie.
Au fil des ans, l’Atlantide est devenue un sujet commun à Tobias et Adamus. J’ai progressivement rassemblé de plus en plus de morceaux de mon histoire, avec la conscience inévitable que certaines de ces anciennes vies n’étaient pas toujours du « bon » côté de l’histoire. Au cours d'une des sessions de Threshold (Seuil) , Adamus a finalement expliqué ce que j'avais commencé à soupçonner sombrement : c'était nous – moi et mes amis Shaumbra bien-aimés – qui avons créé les bandeaux en Atlantide, apportant des changements utiles mais aussi trop de conséquences épouvantables. Et nous sommes de retour maintenant, essayant d’arranger les choses à cause de la culpabilité que nous portons toujours. Je me souviens d'être sortie pour être seule après l'enregistrement de cette session, j'avais du mal à respirer. Il l’a dit clairement : « Vos blessures, votre culpabilité d’autrefois sont plus grandes que celles de la plupart des humains. »
Tout cela est revenu sur le tapis quand Adamus a parlé de Hapiru dans le Shoud d'octobre.
Il ne s’agit pas d’une histoire fantaisiste sur un endroit lointain, il y a très, très longtemps. C'est notre histoire. C'est MON histoire. Je suis Hapiru, et j'ai mené ces justes batailles avec autant de passion, de conviction et d'oubli que n'importe qui. Le problème, c'est que ce sont des batailles. Le pouvoir est séduisant, la vengeance appelle /attire toujours, et l’impossible « rééquilibrage » œil pour œil ne s'arrête tout simplement jamais. Même maintenant, en écrivant ceci, je dois me demander si je me bats pour que les guerres cessent ? Est-ce que je me bats pour que les batailles cessent ?
C'est une question redoutable.
Ce que je sais, c’est que rien de ce qui ressemble au passé ne nous aidera, seulement la sagesse.
Il y a quelques nuits, j'ai rêvé que je participais à la guerre en Israël. Je n’étais pas un humain sur le terrain, mais plutôt « au-dessus » de la mêlée, sans aucun doute l’une des nombreuses entités offrant présence et assistance. Dans le rêve, j'ai remarqué des êtres très étranges.
C'étaient des choses humanoïdes noires, rondes et d'apparence globulaire, perchées comme sur un échafaudage ou une plate-forme d'observation surplombant la bataille, et qui étaient singulièrement occupées à la faire durer. Si un humain « sur le terrain » prenait une pause pour s’interroger sur la violence dans laquelle il était engagé, ces êtres l'interpellaient d’une manière ou d’une autre, l'incitant à poursuivre le combat. Déterminés à ne jamais accorder de moment de réflexion ou de questionnement intérieur, ces êtres étranges étaient également actifs des deux côtés du conflit.
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Ils étaient fixés sur la scène, ne pensant qu'à maintenir le combat, comme on attise les braises d'un feu pour qu'il continue à brûler. Alors que j'en prenais conscience, ils s'arrêtèrent, me fixant avec des yeux vides et malveillants, empreints de noirceur et de réactivité.
Je les sentais attendre, me mettant presque au défi de faire quelque chose, n'importe quoi, ce à quoi ils répondraient par une nouvelle explosion dans le monde humain. Ils ne se souciaient pas vraiment de ce qui se passait réellement sur le terrain, mais seulement du fait que le « feu » continuait de brûler. Je les ai regardés en retour avec un regard neutre et constant. Rien ne s'est passé. Comme un chat qui n’a rien à chasser lorsque la souris ne bouge pas, je n’ai pas essayé d’arrêter ou de changer ce qu’ils faisaient, donc ils n’avaient rien à quoi réagir. Une lueur de confusion a traversé leurs étranges visages bulbeux, et je me suis réveillée.
Ces êtres sont aussi des Hapiru. Ni mauvais ni bons, ils vivent simplement le modèle /le schéma familial, ignorant qu’il s’agit d’un vieux jeu fatigué qui ne mène nulle part. Coincés dans la répétition, inconscients des conséquences, ils n'étaient que primitivement conscients de leurs actes. Comme des enfants qui donnent des coups de couteau dans une fourmilière, se divertissant en maintenant les fourmis dans un état de frénésie ; si jamais l’action ralentissait, un autre coup de couteau suffisait.
Quelques jours avant d’écrire ces lignes, je revenais d'un merveilleux voyage de dix jours. J’ai rendu visite à ma famille, je me suis fait de nouveaux amis, je me suis immergée dans la nature et j’ai apprécié la déconnexion de ma routine et des problèmes du monde.
Deux de ces nouveaux amis ont 2 et 5 ans, et j'ai pu m'intéresser à leur innocence et à leur émerveillement, ainsi qu'à leur penchant pour le drame. Lorsqu’un enfant fait une fixation sur un objet interdit ou une activité dangereuse, un bon parent apprend à le distraire avec quelque chose de nouveau et d’intéressant, plutôt que de le punir ou de lutter contre le désir de l’enfant. J'ai regardé avec plaisir papa ne pas sourciller aux cris du bambin, se contentant de proposer un autre jouet ou une autre activité pour attirer son attention.
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Et voilà que le déclic se produit.
Se pourrait-il que la solution à toute cette guerre et à tous ces traumatismes soit… la distraction ? Retranchés/ Tapis dans l’obscurité, ces anges désemparés ne connaissent que la répétition de ce qu’ils font depuis des éternités. Mais lorsqu’une lumière s’allume, de nouveaux potentiels lumineux pourraient attirer leur attention.
Mettre fin aux guerres ne consiste pas à gagner, ni à convaincre, ni à dominer, ni à raisonner, ni à aucune autre forme de dualité. Il s’agit d’offrir une toute nouvelle expérience, si belle et si séduisante que les armes tombent et que le combat est oublié. Cela fonctionne, je l'ai vu se produire à maintes reprises entre les enfants. (J'ai aussi vu qu'essayer d'utiliser la raison ou le pouvoir ne faisait que les faire crier plus fort).
Ces êtres non physiques coincés en pilote automatique ne sont rien de plus que des anges enfantins qui n’ont pas encore acquis leur sagesse. Ils sont comme des enfants de deux ans fatigués et grincheux, obnubilés par la seule chose qu’ils savent faire : s’en prendre à la fourmilière pour obtenir la petite dose de drame qui les nourrit. Comme les bambins, ils ne savent pas encore quelles merveilles les attendent lorsqu’ils se détourneront enfin du jeu. Mais nous, nous le savons.
C'est pourquoi la joie est révolutionnaire. C’est pourquoi il est extrêmement important de vivre notre meilleure vie dès maintenant. C'est pourquoi, chers Shaumbra, la culpabilité et la souffrance doivent disparaître.
Il est temps d’offrir quelque chose de nouveau à nos frères et sœurs anges qui jouent encore dans l'obscurité. Ils aimeront la vie autant que nous – si seulement nous leur montrons à quel point elle est magnifique.
Ce n’est pas le moment de jouer les idiots et les ignorants, en faisant comme si nous ne « comprenions » toujours pas. C’est nous qui en avons eu marre, qui avons dit « ça suffit» et qui avons créé la Terre pour comprendre cela – et nous l’avons fait. Il est maintenant temps de sortir du laboratoire et de revenir à la réalité – notre vraie réalité où rien ne fait mal ni ne meurt – et de mener une nouvelle vie brillante et lumineuse, devant les rats des champs. Il ne s’agit pas de changer les fourmis qui se battent frénétiquement ; eux – nos bien-aimés semblables – veulent vraiment revenir à la paix et à l’ordre. Et il ne s’agit pas non plus d'enlever aux enfants leurs bâtons à piquer ou de les mettre à l'écart.
Il s’agit de leur dire : « Hé, regardez par ici ! Regardez ce que j’ai trouvé ! »
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Brillez de mille feux, jouez dur, aimez profondément, chers Shaumbra. Abandonnez la honte et la peur, parce que ce sont les trésors brillants de votre vie joyeuse qui changeront tout.
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AUTEUR
JEAN TINDER
En tant que gestionnaire de contenu du Crimson Circle, Jean réalise le rêve de sa vie de faire briller sa lumière dans le monde. En voyage spirituel depuis son enfance, elle a découvert le Crimson Circle en 2002, a rejoint l'équipe en 2008 et n'a jamais regardé en arrière. Son premier livre s'intitule "Histoires de ma dernière vie".
Interprétation de Feolla
feolla.ca@gmail.com www.quatorzenouvelleenergie.com
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